Comment poursuivre la vérité (12)
Sur quel thème avons-nous échangé la dernière fois ? Nous avons échangé sur certaines manifestations spécifiques de trois aspects : les conditions innées, l’humanité et les tempéraments corrompus. Nous avons discuté de ces manifestations spécifiques et avons ainsi discerné auquel des trois aspects elles appartiennent. Si vous observez dans la vie quotidienne ces manifestations sur lesquelles nous avons échangé, vous pouvez pour l’essentiel les caractériser et les catégoriser, c’est-à-dire déterminer si elles appartiennent aux conditions innées, à l’humanité ou aux tempéraments corrompus. Quant aux manifestations sur lesquelles nous n’avons pas échangé, savez-vous maintenant comment les catégoriser selon ces principes ou selon l’essence qu’elles manifestent ? (Nous avons l’impression d’être un peu meilleurs qu’avant pour cela : nous sommes capables de réfléchir dans ce sens, mais nous n’avons pas encore tout à fait atteint le point d’être capables de discerner.) Vous pouvez généralement discerner les manifestations sur lesquelles nous avons échangé, mais quant à celles qui n’ont pas fait l’objet d’un échange et qui n’ont aucun lien avec les manifestations sur lesquelles nous avons précédemment échangé, vous ne savez pas si vous êtes capables de les discerner. (C’est exact.) Au cours des derniers sermons, nous avons échangé sur certaines manifestations des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts dans le cadre des conditions innées, ainsi que sur les questions relatives à ces aspects qui se manifestent chez les personnes. Nous avons également échangé sur l’attitude et le chemin de pratique que les gens devraient avoir à l’égard de ces questions, ainsi que sur les exigences de Dieu envers les personnes qui ont des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts. Le but principal de ces échanges est de dire aux gens quelles pensées et quels points de vue ils devraient avoir – et quel chemin de pratique ils devraient comprendre – vis-à-vis des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts, et quelles sont les intentions et les exigences de Dieu concernant ces aspects qu’ils devraient comprendre. En ce qui concerne les questions relatives aux centres d’intérêt, aux passe-temps et aux points forts, nous n’avons eu qu’un échange d’ordre général et nous n’avons pas échangé spécifiquement sur les pensées et les points de vue erronés que les gens ont à ces égards, sur les chemins de pratique erronés qu’ils peuvent emprunter, ni sur les compréhensions erronées qu’ils ont à propos des exigences de Dieu à ce sujet. Échangeons donc à présent en détail sur les problèmes spécifiques que les gens devraient comprendre concernant les centres d’intérêt, les passe-temps et les points forts, sur la base de ces problèmes que les gens ont.
Avez-vous remarqué quelles sont vos compréhensions fallacieuses ou déformées concernant vos centres d’intérêt, vos passe-temps et vos points forts ? Pour la plupart des problèmes, est-ce que votre compréhension se limite à ce sur quoi J’échange, et qu’ensuite, vous ne réfléchissez pas à ce qui a été dit et ne le comparez pas avec votre propre vie, mais que vous avez l’impression de tout comprendre et que vous considérez ces problèmes comme étant très simples ? Réfléchissez d’abord à cette question : y a-t-il une différence entre les centres d’intérêt, les passe-temps et les points forts ? (Oui.) Quelle est cette différence ? Si tu vois une différence, en quoi sont-ils différents ? (Avoir un centre d’intérêt et un passe-temps signifie simplement qu’une personne aime vraiment une chose, cela ne signifie pas nécessairement qu’elle possède un point fort dans ce domaine.) Pour l’essentiel, les points de distinction principaux ont été énoncés, c’est plus ou moins cela. Du point de vue humain, les centres d’intérêt et les passe-temps désignent le fait qu’une personne s’intéresse à un type particulier d’activité spécialisée ou à un genre de chose, qu’elle est disposée à y prêter attention ou à s’y engager. Autrement dit, ses préférences personnelles sont relativement orientées vers les choses qui l’intéressent et la passionnent. Elle n’a pas seulement une légère préférence pour les compétences professionnelles dans ce domaine, mais elle s’y intéresse beaucoup, ce qui dépasse le niveau de goût ou de passion qu’elle pourrait avoir pour des choses ordinaires. Voilà ce que sont les centres d’intérêts et les passe-temps. Cependant, en ce qui concerne le type d’activité spécialisée ou de chose qui l’intéresse et la passionne, pour ce qui est de son calibre, de son aptitude à la pratiquer, de sa capacité à bien la faire et du niveau qu’elle peut atteindre, rien de tout cela n’est certain. Par conséquent les centres d’intérêt et les passe-temps désignent les choses qui intéressent les gens, qui leur plaisent, dans lesquelles ils sont disposés à s’engager fréquemment et auxquelles ils sont prêts à consacrer du temps et de l’énergie pour s’y intéresser et les faire dans leur vie quotidienne. Quant à savoir dans quelle mesure ils peuvent bien faire ces choses, cela dépend de leur calibre et de leur aptitude les concernant. Supposons que cette chose les intéresse et les passionne particulièrement et qu’ils soient également doués pour elle, c’est-à-dire qu’en plus d’être intéressés et passionnés par cette chose, ils peuvent également très bien la faire, atteindre des résultats significatifs et parvenir à de grandes réalisations. En d’autres termes, leur maîtrise de ce centre d’intérêt et de ce passe-temps dépasse celle de la moyenne des gens, et leur perspicacité, leur vitesse d’apprentissage et la vitesse à laquelle ils saisissent les principes dans ce domaine dépasse celles de la moyenne des gens. Lorsque de telles manifestations sont présentes, on parle alors de point fort. D’autres personnes peuvent avoir besoin de suivre une formation professionnelle formelle et de longue durée, un enseignement, d’acquérir des connaissances et de pratiquer, et de recevoir des conseils, une direction, une évaluation, une normalisation et des recommandations de la part de professionnels compétents, entre autres, avant de pouvoir bien faire quelque chose de manière autonome. Toutefois, les personnes qui possèdent des points forts ont généralement un certain niveau de perspicacité en ce qui concerne les compétences professionnelles qu’elles maîtrisent sans avoir suivi de formation professionnelle ni d’apprentissage systématique. Elles possèdent une certaine compréhension pratique, une expérience sur le terrain, ou ont des réalisations personnelles dans ce domaine. Et grâce à une formation professionnelle, leur point fort dans ce domaine peut atteindre un niveau encore plus élevé. En bref, avoir un point fort signifie être très doué pour les choses qui nous intéressent et nous passionnent, en surpassant la moyenne. Que signifie « être doué » ? (Avoir un point fort dans un certain domaine, être relativement bien informé sur les choses que ce domaine englobe et les gérer avec une compétence naturelle.) Être doué pour quelque chose ne signifie pas seulement être bien informé sur le sujet, mais plutôt avoir une habileté exceptionnelle et un talent inné relativement fort dans ce domaine. Même sans les conseils d’autrui, ces personnes peuvent comprendre des choses que les autres sont incapables de saisir. Et en combinant cela avec une formation officielle ou l’enseignement d’un professeur renommé, elles peuvent faire encore mieux dans ce domaine. Lorsque l’on parle d’avoir un point fort, cela signifie qu’une personne est particulièrement douée pour ce qui est d’un certain centre d’intérêt ou passe-temps, et qu’elle a une habileté exceptionnelle dans ce domaine. Sa capacité de compréhension, sa perspicacité et sa capacité d’apprentissage dans ce domaine sont toutes exceptionnellement fortes, et elle saisit très vite ce que recouvre ce domaine. Elle est nettement plus douée dans ce domaine que la moyenne des gens. Voilà ce que l’on entend par avoir un point fort.
Maintenant que vous comprenez ce que sont les points forts, parlons des centres d’intérêt et des passe-temps. En quoi les points forts se distinguent-ils des centres d’intérêt et des passe-temps ? Les centres d’intérêt et les passe-temps sont-ils identiques aux points forts ? (Non, ce n’est pas la même chose.) Pourquoi les centres d’intérêt et les passe-temps ne sont-ils pas identiques aux points forts ? (Parce qu’être intéressé par quelque chose ne signifie pas nécessairement être capable de le faire bien, ni être doué pour cela ; de plus, cela ne signifie pas nécessairement que l’on saisit rapidement cette chose.) Avoir des centres d’intérêt et des passe-temps signifie que tu apprécies une certaine catégorie de choses, mais que cela constitue ou non un point fort dépend de ta capacité de compréhension, de ta capacité d’apprentissage et de ta perspicacité dans ce domaine, ainsi que de ton habileté naturelle et du fait que tu sois naturellement doué pour cela ou non. Si c’est le cas, alors c’est ton point fort. Si tu n’es pas doué pour cela et qu’il s’agit simplement d’une préférence personnelle, d’un domaine qui t’intéresse, mais que ton calibre est médiocre et que tu manques d’habileté naturelle, ce qui signifie que tu as peu de capacité de compréhension en ce qui concerne ce centre d’intérêt et ce passe-temps, que tu n’es pas du tout doué pour cela, que tu le fais maladroitement, que tu manques d’efficacité et n’obtiens aucun résultat dans ce domaine, alors ce domaine n’est pas ton point fort, il reste seulement au niveau d’un centre d’intérêt et d’un passe-temps pour toi. Pourquoi est-ce seulement ton centre d’intérêt et ton passe-temps et non ton point fort ? Parce que tu n’es pas doué pour cela. Par exemple, certaines personnes disent : « J’adore chanter ». À quel point aiment-elles cela ? Dès qu’elles ouvrent les yeux le matin, elles écoutent des chansons pop ; elles écoutent toutes sortes de chansons, y compris des chansons étrangères, des opéras occidentaux et chinois – elles aiment écouter tout ce qui est considéré comme de la musique. Elles veulent aussi chanter, mais il y a un gros problème : elles n’ont pas naturellement l’oreille musicale ou n’ont tout simplement pas de point fort dans ce domaine. Il y a aussi des personnes qui, même après avoir étudié le chant pendant plusieurs années, ne parviennent toujours pas à trouver les bonnes techniques. Elles ne savent pas comment chanter de la manière la plus agréable, comment rendre leur chant émouvant ou comment atteindre de bons résultats à travers leur chant. Même si elles aiment chanter depuis leur enfance et que cela fait partie de leurs centres d’intérêt et de leurs passe-temps, en raison des limites de leurs conditions innées, leur centre d’intérêt et leur passe-temps ne peuvent rester qu’à ce niveau-là et ne constituent pas un point fort. Par exemple, lorsqu’une personne douée pour le chant apprend une hymne, elle peut chanter la mélodie principale après seulement trois répétitions environ. Et après quatre ou cinq répétitions, elle peut pratiquement chanter toute la chanson. Toutefois, ceux qui aiment écouter des chansons, mais qui ne sont pas doués pour le chant, peuvent encore être incapables de se souvenir de la mélodie générale après trois écoutes. Même au bout de cinq essais, ils peuvent encore être incapables de la chanter et avoir constamment besoin de regarder les paroles ou la partition. Lorsqu’il est question de chanter réellement, ils ne parviennent pas à se familiariser avec la chanson ni à trouver le bon placement vocal. Ils ne parviennent pas non plus à se souvenir des paroles et, parfois, ils chantent même faux. De plus, lorsqu’ils chantent des chansons relativement émouvantes, ils ne parviennent jamais à contrôler correctement l’expression des émotions. Les autres disent que leur chant est désagréable à écouter et qu’ils n’y prennent pas de plaisir, mais ces chanteurs ne se découragent pas et n’abandonnent pas : ils persistent tout de même à apprendre et à chanter. Bien entendu, chanter est une liberté et un droit personnel ; personne ne les en empêche. Cependant, c’est la différence entre les centres d’intérêt, les passe-temps et les points forts qui fait aujourd’hui l’objet de notre échange. À en juger par ces manifestations, leur centre d’intérêt et leur passe-temps ne sont pas une chose pour laquelle ils sont doués. Alors, pourquoi devons-nous échanger clairement sur cette question ? Pour aider les gens à comprendre que leurs centres d’intérêt et leurs passe-temps ne sont pas la même chose que leurs points forts. Si, en te basant sur tous les aspects de tes conditions innées, tu n’es pas doué dans un certain domaine, alors même si c’est ton centre d’intérêt et ton passe-temps, les limites de tes conditions innées déterminent que ton centre d’intérêt et ton passe-temps ne sont pas ton point fort. Même si tu aimes vraiment cela, au point de l’aimer autant que ta propre vie, malheureusement, ce n’est tout simplement pas ce pour quoi tu es doué. Par exemple, certaines personnes aiment vraiment danser. Dès qu’elles entendent de la musique, leur corps se met à bouger en phase avec le rythme et la mélodie, et elles éprouvent beaucoup de satisfaction à bouger ainsi. Cependant, elles ne sont pas très belles naturellement, pas très grandes, leurs membres ne sont pas particulièrement longs et leur physique n’est pas particulièrement élégant. Dans l’ensemble, leur danse n’est pas très attrayante visuellement. Mais elles aiment simplement danser et, parfois, dans des lieux publics ou au bord de la route, elles dansent avec une totale insouciance. Les passants trouvent cela ridicule, pourtant elles dansent comme si personne n’était là, sans se soucier du regard des autres, comme si elles n’avaient pas la moindre conscience de leur environnement. Elles sont obsédées par la danse à ce point. Même si elles ont le sentiment de danser plutôt bien, elles ne sont en réalité pas très douées pour cela. Elles ne peuvent pas saisir l’essence de la danse, ni savoir quels mouvements sont appropriés, lesquels sont gracieux et lesquels sont les plus à même de transmettre différents types d’émotions humaines. En d’autres termes, elles ne comprennent pas vraiment nombre d’aspects liés à la danse. Même avec les conseils d’un professeur professionnel et une formation dans une école spécialisée, en ce qui concerne leur propre calibre inné, elles ne sont pas douées pour la danse et ne peuvent pas en saisir l’essence. Par conséquent, compte tenu de tous les aspects de leurs conditions innées, la danse, qu’elles aiment tant, n’est pas une chose pour laquelle elles sont douées. Même si elles aiment vraiment la danse et en sont grisées, qu’elles admirent souvent leurs propres mouvements et leur présence lorsqu’elles dansent devant une caméra ou un miroir, si l’on considère la situation concrète, elles ne sont pas douées pour la danse. En d’autres termes, la danse n’est que leur centre d’intérêt et leur passe-temps, et non leur point fort.
Certaines personnes aiment beaucoup la littérature. Elles aiment écrire des articles, réciter et composer de la poésie, elles aiment les forums littéraires, et elles aiment également lire des romans et diverses œuvres littéraires, tant étrangères que nationales, modernes et classiques – elles apprécient toutes ces œuvres. Elles aiment les divers termes de vocabulaire et les styles linguistiques que les auteurs utilisent dans leurs œuvres littéraires, et elles aiment également les diverses idées que les auteurs expriment dans leurs œuvres. Est-ce là leur centre d’intérêt et leur passe-temps ? (Oui.) Il est évident que c’est leur centre d’intérêt et leur passe-temps. Ce qu’une personne aime, ce qui l’intéresse dans son cœur et dans son esprit, est inné ; ce n’est pas quelque chose qu’elle acquiert plus tard dans la vie, et encore moins quelque chose qui est cultivé par ses parents ou sa famille. Certaines personnes aiment la littérature et ont lu de nombreuses œuvres littéraires. Certaines ont étudié la littérature de manière systématique à l’université. Certaines ont même travaillé comme professeurs de littérature professionnels ou se sont engagées dans des emplois et des carrières liés à la littérature, en allant jusqu’à s’engager pendant longtemps dans ces carrières ; elles ont passé la majeure partie de leur vie à s’occuper de questions liées à leur centre d’intérêt et à leur passe-temps ; pratiquement chaque jour de leur vie a inclus la littérature, qui les intéresse et les passionne. Mais cela signifie-t-il pour autant que leur centre d’intérêt et leur passe-temps constituent véritablement leur point fort ? Pas nécessairement : il faut voir si elles possèdent des connaissances, des réflexions et des points de vue littéraires qui surpassent ceux des gens ordinaires ou qui s’en distinguent. Si ce qu’elles ont saisi et compris en littérature se limite à ce qu’elles ont appris dans les livres ou se compose uniquement de connaissances générales conventionnelles que tout le monde peut acquérir et saisir, alors cela ne constitue pas un point fort. Par exemple, si tu leur demandes d’écrire un article, il n’y a pas de fautes de grammaire, la ponctuation est correcte, les paragraphes sont bien structurés et la structure générale de l’article est assez bonne. Une abondance de langage fleuri est même employée tout au long de l’article. Cependant, il y a un problème : lorsqu’il est question d’exprimer une certaine chose, un certain point de vue ou une certaine intrigue, ces personnes ne font pas usage d’une méthode d’expression unique, ni de méthodes d’expression particulièrement artistiques ou astucieuses. Ces qualités sont absentes de toutes leurs œuvres littéraires. En d’autres termes, leurs articles semblent bien structurés et très professionnels, avec des mots soigneusement choisis, mais ils sont dénués de la méthode unique d’expression des pensées et des points de vue, des phénomènes ou des intrigues qu’un praticien littéraire chevronné devrait maîtriser. La plupart de leurs articles sont plutôt médiocres. Leur structure et leur manière d’exprimer les idées sont particulièrement rigides, figées et dogmatiques ; ils ne sont ni innovants ni uniques, manquent de sagesse et d’intelligence, et ne peuvent certainement pas être considérés comme élégants. Que dénote ce phénomène ? (Ces personnes ne sont pas douées pour l’écriture et n’ont pas d’aptitude pour cela.) Elles ne sont pas douées pour l’écriture et ne savent pas élaborer des récits avec souplesse en se basant sur le contexte des événements ou sur le prototype de tels récits. En fin de compte, lorsque les gens lisent leurs articles et leurs œuvres littéraires, ces derniers semblent tous monotones et répétitifs, suivant toujours la même formule. Pourquoi disons-nous qu’ils semblent monotones et répétitifs ? Dans l’ensemble, leurs articles semblent assez bien structurés, formatés et professionnels ; en termes d’aspects techniques, le lecteur moyen n’aurait pas grand-chose à critiquer, même si la structure est fondamentalement toujours la même. Même si ces personnes peuvent apprendre diverses formes d’œuvres littéraires, y compris la poésie, la prose et l’écriture narrative étrangères, elles ne sont jamais capables de les adapter ou de les appliquer à leur propre création littéraire. La raison en est que leur niveau de compétence et de maîtrise littéraire restera toujours au stade du centre d’intérêt et du passe-temps, sans jamais atteindre le niveau d’un point fort. Il est possible qu’elles aient une grande connaissance de la littérature, mais elles n’ont pas vraiment une quelconque réussite en littérature. En d’autres termes, elles ne font pas vraiment preuve de la moindre innovation en matière de littérature, elles ne sont vraiment pas en mesure de produire des œuvres représentatives qui leur sont propres et elles n’ont pas de pensées ni de points de vue originaux, ni de mode d’expression unique. Cela prouve que la littérature n’est pas leur point fort. Ces personnes possèdent des connaissances générales sur la littérature uniquement parce que ce domaine est leur centre d’intérêt et leur passe-temps, mais elles n’ont pas de talent particulier dans ce domaine. Tu vois, beaucoup de gens lisent des livres, notamment des œuvres littéraires diverses, et beaucoup se disent amateurs de littérature ou créateurs littéraires, mais parmi ceux qui sont engagés dans la création littéraire, combien ont vraiment leurs propres œuvres ? Combien ont écrit des œuvres littéraires capables de résister à l’épreuve du temps et de devenir des classiques ? Très peu, n’est-ce pas ? La plupart de ces personnes ont quelque intérêt et passion innés pour la littérature et, par la suite, elles apprennent, se forment et s’entraînent dans des écoles professionnelles, puis se retrouvent à prendre en charge des travaux liés à la littérature. Même si elles s’engagent dans un travail lié à la littérature, ce qui peut sembler indiquer que ce centre d’intérêt et ce passe-temps peuvent les accompagner tout au long de leur vie, le nombre d’œuvres achevées qu’elles produisent, le nombre de contributions qu’elles apportent et le nombre de créations originales qu’elles réalisent au cours de leur carrière dans ce domaine dépendent du fait qu’elles possèdent ou non un point fort en littérature. Beaucoup de personnes sont engagées dans une profession qu’elles aiment et qui les passionnent, et elles y gagnent un moyen de subsistance ou certains avantages, mais elles ne parviennent pas à obtenir de bons résultats dans cette profession. Cela suffit à prouver que la profession qu’elles aiment et qui les passionne n’est pas leur point fort. D’un autre côté, certaines personnes, bien qu’elles n’exercent pas une profession liée à leurs centres d’intérêt et à leurs passe-temps, sont capables de parvenir à des réussites réelles parce que c’est leur point fort. C’est le cas, par exemple, des inventeurs, de ceux qui ont apporté une contribution remarquable dans divers domaines, de ceux qui ont inventé leur propre style dans divers domaines, ou encore des personnalités éminentes dans divers domaines, entre autres. Ainsi, compte tenu de ces situations, avoir des centres d’intérêt et des passe-temps ne signifie pas nécessairement avoir un point fort dans ces domaines. Toutefois, certaines personnes ne sont pas en mesure de discerner le lien entre les centres d’intérêt et les passe-temps, d’une part, et les points forts, de l’autre. Elles pensent que leurs centres d’intérêt et leurs passe-temps sont leurs points forts, mais après s’être engagées pendant de nombreuses années dans un domaine qui les intéresse et les passionne, elles ne parviennent pas vraiment à obtenir le moindre résultat. Une fois que l’on a fait la lumière sur ces points, comment doit-on traiter ses centres d’intérêt et ses passe-temps, ainsi que ses points forts ? C’est très simple : il faut les traiter correctement. Si la maison de Dieu a besoin de toi pour faire un devoir dans un certain domaine qui implique des connaissances, des compétences ou des talents professionnels liés à tes centres d’intérêt et à tes passe-temps, alors tu dois traiter cela conformément aux principes pour faire un devoir : sans le rejeter, sans faire de grands discours et sans se montrer imprudent. Si c’est quelque chose que tu ne maîtrises pas, quelque chose qui dépasse tes capacités et que tu n’es pas capable de faire, alors ne deviens pas négatif et ne te plains pas de Dieu ; tu dois être capable de le traiter correctement. Que signifie le fait de le traiter correctement ? Cela signifie que si tu estimes que tes centres d’intérêt et tes passe-temps dans ce domaine sont uniques, mais que lorsque tu effectues un travail en rapport avec ceux-ci, tu n’es jamais en mesure de répondre aux exigences de la maison de Dieu, et que tu ne parviens jamais à atteindre les principes requis par la maison de Dieu, alors tu dois atteindre ce que tu es capable d’atteindre. Dieu n’oblige jamais les poissons à vivre sur la terre ferme ni les cochons à voler. Dieu sait ce que tu es capable d’atteindre et quelle charge tu es capable d’endosser. Avec l’expérience, tu en viendras à le savoir aussi. Selon les circonstances concrètes et tes conditions innées, atteins ce que tu es capable d’atteindre, ne te complique pas les choses. Si tu es capable, ne te réfrène pas ; si tu ne l’es pas, ne deviens pas négatif et ne te force pas au-delà de tes capacités, traite cela correctement.
Vous avez cru en Dieu pendant de nombreuses années, et la plupart d’entre vous ont fait un devoir pendant plus de trois ans – cela ne fait pas seulement un an ou deux que vous faites un certain devoir dans la maison de Dieu. Alors, en ce qui concerne le devoir que tu fais ou certains travaux professionnels que tu effectues, sais-tu précisément dans ton cœur jusqu’où tu peux aller, quel niveau tu es capable d’atteindre et combien tu peux t’investir et dans quelle mesure ? (Oui.) Tu es fondamentalement au clair sur tout cela. Certaines personnes n’ont pas encore atteint la maîtrise d’un certain devoir parce qu’elles ont peu pratiqué. D’autres, en revanche, font ce travail depuis de nombreuses années et ont beaucoup pratiqué, mais ne parviennent toujours pas à atteindre les principes exigés par la maison de Dieu. Elles ne sont pas très douées dans ce domaine. Même si elles aiment vraiment ce devoir et sont passionnées par son exécution, et même si elles se sentent honorées et heureuses de le faire, elles ne sont tout simplement pas douées pour cela. Quelles que soient les exigences de la maison de Dieu, elles sont tout simplement incapables d’y satisfaire. Ce n’est pas qu’elles soient rebelles ou désobéissantes, ni qu’elles ne fassent pas leur part ; c’est plutôt que leurs conditions innées ne leur permettent pas d’atteindre cela et qu’elles ont des limites. Que faut-il faire dans ce cas-là ? Laissez simplement les choses suivre leur cours, ne soyez pas négatifs, ne soyez pas faibles, ne vous plaignez pas ou ne pensez pas dans votre cœur que c’est injuste. Certains individus disent : « J’aime danser, mais je suis né avec deux pieds gauches et je ne suis pas attirant. Je veux faire un devoir de danse, mais j’en suis incapable. Que dois-je faire ? J’ai vraiment envie de danser. » Ton désir de danser est ton désir personnel et ta préférence, mais Dieu doit-Il satisfaire tes préférences ? Non. La maison de Dieu a les principes qu’elle exige ainsi que ses stipulations. La sélection des personnes qui font tel ou tel travail repose sur des principes. Tu ne peux pas imposer ton exigence que la maison de Dieu te satisfasse sur la base de ton désir personnel, de ta préférence personnelle ou de ton humeur personnelle : c’est inapproprié. Si tu n’es pas apte à faire un devoir dans ce domaine, alors dans ton cœur, souhaite calmement des bénédictions à ceux qui peuvent faire un devoir dans ce domaine. Fais simplement ce que tu peux, ou bien tu peux être un ouvrier discret dans les coulisses, en aidant à conseiller et à corriger, en aidant aux répétitions ou au montage en post-production des vidéos de danse, en aidant à rechercher divers documents ou en aidant à chercher la vérité. Il y a beaucoup de travail qui peut être fait dans divers domaines, et le champ d’action lié à tes centres d’intérêt et à tes passe-temps est vaste. Tu n’es pas obligé d’être devant la caméra, tu peux aussi travailler à temps partiel dans les coulisses. Ça aussi, c’est faire ton devoir. De cette manière, tu satisfais à la fois tes souhaits personnels et le principe et la norme qui consistent à satisfaire Dieu en faisant un devoir ; c’est vraiment formidable ! N’est-ce pas faire d’une pierre deux coups ? (Si.) Puisque Dieu ne t’a pas donné de points forts dans ce domaine dans le cadre de tes conditions innées, tu n’as donc pas le choix. Tu ne peux pas te plaindre, ronchonner ou nourrir de la rancœur simplement parce que, de manière innée, tu es déficient dans ce domaine et que tu ne peux pas répondre aux normes de sélection des talents par la maison de Dieu dans ce domaine, puis devenir réticent à accomplir un devoir dans ce domaine, en refusant de le faire même si la maison de Dieu l’exige de toi ; ce n’est pas approprié. Ce n’est pas la bonne attitude à adopter en faisant ton devoir. Contente-toi de faire ce que tu peux. Ce n’est pas parce que tu n’es pas fait pour ce devoir ou que tu n’es pas doué pour cela que tu peux refuser de le faire alors que la maison de Dieu te le demande. En agissant ainsi, tu ne fais pas ton devoir, tu satisfais tes désirs personnels et tu mènes ta propre entreprise. Tu ne fais pas ton devoir avec une attitude de soumission à Dieu, ni avec une attitude de sincérité et de loyauté envers Dieu. C’est inapproprié. C’est là quelque chose que les gens devraient comprendre. D’une part, comprenez correctement les centres d’intérêt, les passe-temps et les points forts ; d’autre part, traitez-les correctement.
Certaines personnes aiment rédiger des articles et s’adonner à des activités liées à la littérature. Elles souhaitent constamment réviser et corriger des articles, et gérer des articles quotidiennement. Cependant, pour diverses raisons, tant subjectives qu’objectives, elles ne sont pas aptes à ce type de travail. D’une part, elles manquent de connaissances fondamentales dans le domaine de la littérature ; d’autre part, leur calibre est relativement médiocre et elles n’ont pas de capacité de compréhension. Par conséquent, même si la littérature les passionne et qu’elles s’entraînent pendant plusieurs années, elles ne parviennent pas à atteindre la norme requise en matière de compétences rédactionnelles. Or, la maison de Dieu exige que les personnes possèdent au moins un calibre de base pour s’engager dans du travail textuel. Si leur calibre n’est pas adapté pour faire du travail textuel et que même leurs révisions et relectures d’articles ne répondent pas à la norme, alors elles ne peuvent que choisir un autre devoir. Elles peuvent être tout juste aptes à effectuer certains travaux relatifs aux affaires générales ou à collecter des documents à la place. En bref, le travail textuel qu’elles aiment dans leur cœur est quelque chose qu’elles sont incapables de faire. Même si elles n’étaient pas renvoyées du travail textuel, elles ne feraient que de la figuration et n’obtiendraient aucun résultat concret. Comment les gens doivent-ils saisir une telle question de manière pure ? (Ils doivent apprendre à se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu et être raisonnables.) Telle est la direction générale à suivre, mais comment les gens doivent-ils pratiquer, spécifiquement ? Si une personne a tendance à déformer les choses, elle dira : « Tout le monde dit que les centres d’intérêt et les passe-temps sont donnés par Dieu, qu’ils sont des conditions innées. Puisque Dieu m’a donné ce centre d’intérêt et ce passe-temps, alors Dieu a assurément ordonné que je m’engage dans un travail qui y est lié. Puisque cela est ordonné par Dieu, alors dans la maison de Dieu, le travail lié à ce centre d’intérêt et à ce passe-temps devrait m’être confié ; je devrais y avoir ma part. Si l’on ne me demande pas de faire ce travail, alors c’est un problème lié aux personnes ; cela signifie que les gens me méprisent, que les dirigeants et les ouvriers ne savent pas jauger les autres. Me voici, je suis talentueux, mais il n’y a aucun dénicheur de talents qui ait le discernement nécessaire pour me repérer ! J’aime tellement la littérature, et je suis vraiment doué pour cela : réviser des articles est beaucoup trop facile pour moi. M’envoyer prêcher l’Évangile ou faire du travail manuel, n’est-ce pas comme utiliser une masse pour casser une noix ? N’est-ce pas gaspiller un individu talentueux ? N’est-ce pas comme enfouir de l’or dans la terre ? Je ne peux rien faire : quand le plafond est bas, on n’a pas d’autre choix que de baisser la tête ! Mais comme dit le dicton : “L’or véritable est destiné à briller un jour.” Il suffit d’attendre, c’est peut-être Dieu qui m’épure, qui me teste. Un jour, je vais sûrement m’engager dans le travail que Dieu a ordonné pour moi, le travail qui correspond à mon centre d’intérêt. Les bonnes choses valent la peine qu’on les attende. Lorsque vous serez tous éliminés, ce sera mon heure de gloire, ce sera le moment où j’aurai l’occasion de mettre à profit mes compétences ! Comme le disent les dictons, “Pour un gentleman, il est toujours temps de prendre sa revanche” et “Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir” ». Que pensez-vous de ces points de vue ? Ils sont incorrects, n’est-ce pas ? Ces personnes font assurément des vœux pieux et élaborent même des plans à long terme, mais on ne sait pas si elles ont vraiment des capacités réelles. Certaines personnes se sentent même lésées et disent : « J’ai un talent littéraire naturel, mais on m’a envoyé faire un travail manuel, où je suis couvert de boue toute la journée. Et à qui puis-je m’adresser à ce propos ? Je n’y peux rien, c’est ainsi que Dieu a orchestré les choses. Quel choix ai-je ? » En réalité, l’équipe de relecture a déjà testé ces personnes, et leurs compétences rédactionnelles sont insuffisantes. Elles n’ont aucun fondement littéraire et n’utilisent même pas la ponctuation correcte. Elles mettent une virgule partout où il faudrait couper une phrase ou marquer une pause. Pourtant, elles se considèrent toujours comme des génies littéraires et croient que le travail physique est un gaspillage de talent. Leur cœur est rempli de griefs : « Je suis né avec un amour pour la littérature. Enfant, j’adorais lire des livres d’histoires. En grandissant, j’ai aimé lire des œuvres écrites par des gens célèbres. J’ai lu de nombreux classiques littéraires d’auteurs nationaux et étrangers ; j’ai lu de nombreuses œuvres de tous genres, y compris des pièces de théâtre, de la prose et de la poésie. Faire un travail textuel ne me demande aucun effort ; écrire un article est un jeu d’enfant pour moi. Mais voyez où j’en suis à présent : on m’a réduit à faire un travail salissant et épuisant. Mon amour de la littérature, qui a accompagné la moitié de ma vie, a été nié dans la maison de Dieu. Toutes les connaissances que j’ai accumulées tout au long de ma vie ne servent à rien dans la maison de Dieu : ma carrière littéraire a pris fin ! Avant, je pensais que la maison de Dieu était un lieu où régnaient la vérité, l’équité et la justice. Moi qui suis doté d’un grand talent et féru de littérature, j’ai été ignoré et méprisé dans le monde, sans aucune chance de mettre mes compétences à profit. Je pensais que, dans la maison de Dieu, je pourrais mettre en jeu les efforts qui me restaient. Plein d’enthousiasme, je me suis inscrit à l’équipe de relecture, mais je n’ai pas été sélectionné. Regardez-moi, comme je suis maintenant, qui pourrait deviner que je suis un passionné de littérature, que je suis un talent littéraire ? Tout mon don littéraire a été usé par ce travail sale et épuisant. À présent, les seules choses qui sortent de ma bouche sont des paroles grossières et rustiques. » Ces personnes sont très mécontentes dans leur cœur. Même si elles disent à haute voix qu’elles se soumettent à l’orchestration de Dieu et qu’elles feront tout ce que la maison de Dieu leur demandera, dans leur cœur, elles s’évaluent elles-mêmes de façon inexacte. Elles ont pris à tort leurs centres d’intérêt et leurs passe-temps pour des points forts, pour quelque chose pouvant être utilisé par Dieu, elles n’ont pas trouvé leur place, elles n’ont pas reconnu leur situation concrète, elles ne connaissent pas leur propre valeur et elles ne savent pas si leurs centres d’intérêt et leurs passe-temps sont réellement ce pour quoi elles sont douées – elles sont dans le flou et sont ignorantes à ce sujet, et pourtant elles continuent à prétendre qu’elles sont des talents littéraires, c’est tout juste si elles ne se prennent pas pour des maîtres littéraires. Quel en est le résultat final ? (Elles sont pleines de récriminations à l’égard des arrangements de l’Église et, dans leur cœur, elles ne sont pas disposées à se soumettre.) Elles se sentent constamment lésées dans leur cœur. Même si, en faisant un devoir, elles ne se relâchent pas et peuvent s’investir pleinement – en se soumettant tout juste – elles se sentent lésées à cause de leur auto-évaluation inexacte. Une pensée leur traverse fréquemment l’esprit : « Il y a beaucoup de chevaux rapides dans le monde, mais peu de bons juges de chevaux. » Quels chevaux rapides ? Quels bons juges de chevaux ? Parce qu’un certain domaine les intéresse et les passionne un peu, et qu’elles l’étudient ensuite de manière systématique, ces personnes se considèrent comme inégalables, se prenant pour des « chevaux rapides » et croyant qu’elles ont du talent. N’est-ce pas là un manque total de conscience de soi ? Elles croient seulement que leurs centres d’intérêt et leurs passe-temps leur ont été donnés par Dieu, mais elles ne reconnaissent pas le calibre que Dieu leur a donné. Elles ne savent pas clairement si elles sont réellement douées pour les choses qui les intéressent et les passionnent, si elles sont vraiment capables de bien faire le travail et le devoir liés à leurs centres d’intérêt et à leurs passe-temps, si elles sont compétentes dans ces domaines et si elles peuvent en assumer la responsabilité. Elles sont dans le flou à ce propos, elles ne le savent pas. N’est-ce pas très problématique ? (Si.) Comme elles sont incapables de reconnaître ou de trouver leur place, elles se sentent vraiment lésées. Qu’affichent-elles extérieurement ? Elles poussent souvent de profonds soupirs et expriment fréquemment leur détermination devant Dieu, en espérant que Dieu créera un jour une occasion pour elles, qu’Il réparera les torts qu’on leur a faits, qu’Il leur rendra justice et leur permettra de réaliser leur souhait de faire un devoir lié à leurs centres d’intérêts et à leurs passe-temps. Écoutez la chanson qu’elles chantent souvent : « Je ne songe pas au chemin qui est devant moi. » Quel est le prochain vers ? (« Mon seul devoir impérieux est de suivre la volonté de Dieu. ») Pour ceux qui possèdent véritablement cette stature, qui ont véritablement cette réalité et qui sont véritablement capables de suivre la volonté de Dieu, chanter cette chanson est tout à fait approprié ; c’est exactement ce qu’il faut. Mais lorsque ce genre de personne la chante, quel est son état émotionnel ? Dans quelle situation la chante-t-elle ? (Lorsqu’elle se plaint et se sent lésée.) Alors, quand elle chante, ce qu’elle chante n’est-il pas rempli de ressentiment ? (Si.) Ce qu’elle chante est rempli de récriminations, d’attitude de défi et de mécontentement, ce n’est rien d’autre que de la peine et du ressentiment. Lorsque tu l’entends chanter cette chanson, c’est à ce moment-là qu’elle est la plus mélancolique. Il y a un dicton en Chine, que dit-il ? « Les hommes expriment leur tristesse en chantant, les femmes en pleurant et les vieilles grand-mères en marmonnant des absurdités. » Tu vois, différentes personnes expriment leur tristesse de différentes manières. Certaines femmes, lorsqu’elles sont confrontées à ce genre de situation, se contentent de pleurer, en essuyant constamment leurs larmes en secret. Elles sont incapables de lâcher prise, et chaque fois qu’elles y pensent, leurs yeux sont rouges de larmes et elles se sentent lésées et mécontentes dans leur cœur. Elles sont tout simplement incapables de traiter correctement cette situation. En réalité, c’est très simple : les centres d’intérêt et les passe-temps sont intrinsèquement distincts des points forts. Si tu as un certain point fort, qu’il s’agisse ou non de ton centre d’intérêt ou de ton passe-temps, tu es bien adapté au travail lié à ce point fort ; c’est-à-dire que ton calibre, ton talent ou ton habileté innés te rendent doué pour faire cette chose en particulier, et que tu es capable de bien la faire. Dans ce cas-là, lorsque tu t’engages dans ce travail, tu peux atteindre certains résultats, et il est relativement approprié pour toi de le faire. Toutefois, si tu as seulement un centre d’intérêt et un passe-temps dans ce domaine, mais que tu n’y as pas de point fort, tu ne seras pas nécessairement capable de bien le faire. C’est une affaire très simple. En raison de leur obstination et de leur compréhension déformée, combinées à leur stupidité et à leur ignorance, lorsque les gens ne peuvent pas s’engager dans le travail qui les intéresse, ils se mettent à être découragés, abattus et négatifs, et se plaignent, débordant de toutes sortes d’émotions négatives. Il est donc tout à fait nécessaire que les gens comprennent la situation concrète de leur centre d’intérêt, de leur passe-temps et de leurs points forts. Une fois qu’ils comprennent cela, ils doivent traiter ces choses correctement ; c’est un aspect. L’autre aspect est qu’ils doivent se soumettre aux arrangements de la maison de Dieu et mener à bien leur devoir conformément aux principes exigés par la maison de Dieu. Si la maison de Dieu te demande de faire ton devoir dans un certain domaine, mais que tu n’es pas doué dans ce domaine de travail, que tu es uniquement intéressé et passionné par ce travail et que tu aimes le faire, mais que, selon les normes minimales requises par la maison de Dieu, tu es tout juste compétent dans ce domaine, alors tu dois te soumettre et t’efforcer de faire ta part, sans trouver toutes sortes d’excuses objectives pour refuser ou décliner. Bien entendu, si tes conditions innées dans divers domaines sont limitées ou si tu as certains problèmes concrets, et que la maison de Dieu ne peut pas te permettre de faire un devoir dans ce domaine, alors tu ne dois pas te plaindre, ni devenir négatif ou faible. Fais simplement ce dont tu es capable. Quant à tes centres d’intérêt et à tes passe-temps, garde-les pour toi : les membres de l’Église ne s’en mêleront pas et ne te priveront pas de ton droit de t’intéresser ou de te passionner pour certaines choses. C’est une affaire personnelle. Cependant, lorsqu’il est question de faire un devoir, tu dois clairement discerner toutes les diverses questions relatives à tes centres d’intérêt, à tes passe-temps et à tes points forts, et tu dois être capable de les traiter correctement ; c’est la chose la plus cruciale. Comprends-tu ? (Oui.)
Beaucoup de gens ont des centres d’intérêt et des passe-temps dans un domaine particulier. Il y en a également qui n’ont aucun centre d’intérêt ni aucun passe-temps. Autrement dit, ils n’ont aucun centre d’intérêt ni aucun passe-temps particulier lorsqu’il est question d’une quelconque profession ou d’activités spécialisées quelconques, ou encore des diverses personnes, divers événements et diverses choses que l’on rencontre fréquemment dans le monde ; ce sont simplement des gens ordinaires. Par exemple, si quelqu’un leur demande s’ils sont passionnés de littérature, s’ils tiennent habituellement un journal ou écrivent des articles, ces individus disent : « Je ne suis pas passionné par cela et je ne suis pas doué pour cela. Dès que je commence à lire ou à écrire, j’ai mal à la tête. » Si on leur donne des chefs-d’œuvre littéraires à lire, ils trouvent cela accablant et sont complètement réticents dans leur cœur. Certains vont même jusqu’à dire : « Regarder fixement du texte tout le temps me fatigue les yeux et me fait vieillir, donc je n’aime pas la littérature. » Si tu leur demandes s’ils aiment danser, ils répondent : « Danser n’est pas une activité convenable, c’est quelque chose que les gens font lorsqu’ils sont oisifs et n’ont rien de mieux à faire. Je n’aime pas danser. » Tu vois, ils n’aiment pas ça et trouvent même une raison à cela, en disant que ce n’est pas une affaire convenable. D’autres dansent pour louer Dieu – quelle chose positive ! Chanter, danser, jouer de la harpe et de la lyre pour louer Dieu – cela se fait depuis la nuit des temps ; c’est quelque chose que Dieu approuve, alors comment cela pourrait-il ne pas être une affaire convenable ? Mais quant à eux, ils dénigrent tout ce qu’ils n’aiment pas et en parlent comme de quelque chose de négatif. Lorsqu’on leur demande : « Tu n’aimes pas danser, alors aimes-tu chanter ? », ils répondent : « Chanter ? Dès que je commence à chanter, je chante faux. Même moi, je ne peux pas supporter de m’entendre. Je n’aime pas chanter. Ce n’est que maintenant, en tant que croyant en Dieu, que j’ai commencé à apprendre quelques hymnes des paroles de Dieu et des hymnes d’expérience. Avant de croire en Dieu, je ne chantais jamais ; quand les autres chantaient, je ne voulais même pas écouter. » « Alors comment t’exprimes-tu quand tu es de bonne humeur ? » « Quand je suis de bonne humeur, je fais simplement une sieste. » « Alors que fais-tu quand tu es confronté à des situations douloureuses et que tu es de mauvaise humeur ? » « Je grignote quelque chose ou je fais simplement une sieste. » « Tu n’aimes pas chanter, alors aimes-tu écouter de la musique ? » « Cela ne m’intéresse pas et je ne comprends pas ce qui est exprimé dans la musique. Vous dites tous que la musique exprime les diverses émotions des gens, qu’elle exprime leurs pensées et leurs sentiments, mais je ne comprends pas cela et je ne peux pas m’y identifier. La musique est un art noble, une personne humble comme moi ne peut pas s’identifier à la musique, et je n’aime pas ça. » « Aimes-tu la bonne cuisine ? » « Je n’aime pas non plus la bonne cuisine. Je peux manger n’importe quoi. Je suis rustique de naissance. Je peux manger de la semoule de maïs, je peux manger du gâteau, je peux manger de la nourriture chinoise ou occidentale, n’importe quoi. Et si je meurs de faim et que je n’ai rien à manger, je peux même manger de la nourriture pour chien. » Les personnes de ce genre sont simplement grossières à ce point. Demandez à certaines femmes : « Aimez-vous les produits de beauté ? » Elles disent : « Cela ne m’intéresse pas. Je suis telle que j’étais à ma venue au monde, ceux qui veulent me regarder peuvent le faire, et quiconque ne veut pas me regarder n’a qu’à détourner les yeux ! » Demandez à certains hommes : « Aimes-tu l’électronique ou les objets mécaniques comme les voitures ? » Ils disent : « À quoi bon aimer ces choses-là ? Ça épuise l’esprit et ça fatigue le cerveau. Si j’ai du temps, je préfère faire une sieste ou bavarder ! » Ils n’aiment rien et n’ont absolument aucun centre d’intérêt ni aucun passe-temps. Qu’il s’agisse de biologie, de technologie, de produits haut de gamme ou bas de gamme, ils n’aiment rien de tout cela. Lorsqu’on leur demande : « Tu n’aimes aucune de ces choses qui concernent l’humanité, qu’elles soient sophistiquées ou grand public. Aimes-tu donc les petits animaux, comme les chats, les chiens et les oiseaux ? » « Je les aime encore moins. Les animaux ne peuvent pas parler aux gens, à quoi bon les aimer ? » Certaines personnes s’intéressent aux chiens. Elles leur parlent souvent, et les chiens peuvent même comprendre le langage humain. Certains n’ont absolument aucun passe-temps et ne s’intéressent à rien, il y a beaucoup de gens comme ça. Certains disent : « Nous naissons avec certains centres d’intérêt et passe-temps ; ils nous sont donnés par Dieu. En particulier pour ceux d’entre nous qui ont un point fort dans un certain domaine, ceux qui sont nés avec un talent exceptionnel et remarquable dans ce domaine ; tout cela est la grâce de Dieu, l’exaltation de Dieu, c’est Dieu qui pose sur nous un regard favorable. En particulier de nos jours, se charger d’un devoir lié à nos centres d’intérêt, à nos passe-temps ou à nos points forts dans la maison de Dieu rend encore plus notre identité et notre valeur incomparablement honorables et extraordinaires. Ceux qui n’ont ni passe-temps ni points forts ne peuvent que rendre des services de base et faire des travaux basiques qui ne sont pas techniquement exigeants, comme assurer l’hébergement, cuisiner, nettoyer, ou cultiver des légumes, élever des cochons et nourrir des poulets. Donc, en termes de centres d’intérêt, de passe-temps et de points forts, les gens ne sont-ils pas distingués entre supérieurs et inférieurs, nobles et vils ? N’y a-t-il pas une différence hiérarchique entre eux ? » Ce point de vue est-il correct ? (Non.) Tu vois, Dieu a donné à certaines personnes des points forts, Il a ordonné que certaines personnes aient des centres d’intérêt et des passe-temps particuliers, tandis que pour d’autres, Dieu n’a rien ordonné : elles n’ont absolument aucun point fort, ne savent ni chanter ni danser, ne comprennent pas la littérature et ignorent tout de toutes sortes de compétences professionnelles. Il peut se trouver qu’une famille d’hébergement ait deux chiens, et il serait donc approprié qu’une personne dépourvue de points forts nourrisse les chiens, car c’est la tâche la plus simple. Mais à part les nourrir, cette personne ne les promène pas et ne sait pas comment s’en occuper. Après les avoir nourris pendant un an ou deux, même les chiens ne la reconnaissent pas comme leur maître et ne sont pas proches d’elle. Dites-moi, de quel type de personne s’agit-il ? N’y a-t-il pas une différence par rapport à ceux qui ont des centres d’intérêt, des passe-temps ou des points forts dans un certain domaine ? Il s’agit clairement de deux types de personnes qui ont des conditions innées différentes : les unes vivent avec un fort sentiment de supériorité et mènent une vie riche et épanouie, tandis que les autres mènent une vie vide de sens, sans le moindre sentiment de supériorité. Alors, si l’on distingue les gens en fonction de leur statut et de leur valeur selon ce principe, est-ce approprié ? (Non.) Selon quel principe est-il alors approprié de les distinguer ? Dites-Moi, y a-t-il des différences entre les gens ? (Oui.) Où se trouvent ces différences ? Comment faut-il distinguer les gens ? À tout le moins, il faudrait examiner s’ils aiment la vérité, en distinguant leur essence, leur supériorité ou leur infériorité, leur noblesse ou leur abjection, ainsi que leur catégorie, en fonction de leur attitude envers la vérité. En théorie, ne peut-on pas distinguer les gens très facilement de cette manière ? (Si.) Cette façon de distinguer les gens est-elle bonne ? (Oui.) Mais est-il un peu trop simple de les distinguer de cette façon ? Certaines personnes n’ont aucun point fort inné, ni aucun centre d’intérêt ou passe-temps – ce sont des personnes très médiocres, très simples. Toutefois, elles aiment la vérité, elles la comprennent, ont de l’expérience et une compréhension de la vérité, et lorsqu’elles échangent sur la vérité, elles sont capables de partager leur compréhension des paroles de Dieu ; en termes d’entrée dans la vie, elles sont meilleures que la moyenne. Elles peuvent aider beaucoup de personnes. Peux-tu donc dire que ces personnes sont humbles et sans valeur ? (Non.) En théorie, l’essence des personnes, leur supériorité ou leur infériorité, leur noblesse ou leur abjection, ainsi que leur catégorie, devraient être distinguées en se basant sur leur attitude envers la vérité, mais comment devrait-on les distinguer, exactement ? C’est là-dessus que nous allons échanger aujourd’hui.
La question de savoir si une personne a intrinsèquement des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts est préordonnée par Dieu. Si Dieu te les donne, alors tu les as ; si Dieu ne te les donne pas, alors tu ne les as pas – tu ne peux ni les apprendre, ni les gagner par imitation. Toutefois, si tu possèdes un point fort dans un certain domaine et que tu dis : « Faire un devoir lié à ce point fort est trop épuisant ; je ne veux pas de ce point fort », même si tu n’en veux pas, tu ne peux pas le supprimer, et les autres ne peuvent pas non plus te l’enlever. Ce que tu as, les autres ne peuvent pas te l’enlever ; ce que tu n’as pas, tu ne peux pas t’en emparer ni l’obtenir en rivalisant avec les autres. Tout cela est lié à la préordination de Dieu. Toutefois, cela étant dit, le fait que Dieu te donne un certain centre d’intérêt, passe-temps ou point fort ne signifie pas qu’Il doit te faire faire un devoir ou un travail lié à ton centre d’intérêt, ton passe-temps ou ton point fort. Certaines personnes disent : « Puisque je ne suis pas appelé à faire un devoir dans ce domaine ou à m’engager dans un travail qui y est lié, pourquoi m’a-t-on donné un tel centre d’intérêt, un tel passe-temps ou un tel point fort ? » Dieu a donné à la grande majorité des gens certains centres d’intérêt et passe-temps en fonction des diverses conditions de chacun. Il y a bien sûr plusieurs éléments qui sont pris en considération : d’une part, il s’agit de la subsistance et de la survie des gens ; d’autre part, il s’agit d’enrichir leur vie. Parfois, la vie d’une personne nécessite certains centres d’intérêt et passe-temps, que ce soit pour se divertir et s’amuser ou pour pouvoir s’engager dans des tâches appropriées, rendant ainsi sa vie humaine épanouissante. Bien sûr, quel que soit l’aspect sous lequel on considère la question, il y a une raison qui sous-tend le don de Dieu, et Dieu a également Ses raisons et Ses motifs pour ne pas donner. Il se peut que ta vie humaine ou ta survie ne nécessitent pas que Dieu te donne des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts, et que tu puisses assurer ta subsistance ou enrichir ta vie humaine et la rendre épanouissante par d’autres moyens. Bref, que Dieu ait ou non donné aux gens des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts, ce n’est pas un problème posé par les gens eux-mêmes. Même si quelqu’un n’a pas de points forts, il ne s’agit pas d’une imperfection de son humanité. Les gens doivent bien saisir cela et le traiter correctement. Si quelqu’un possède certains centres d’intérêt, certains passe-temps et certains points forts, il doit les chérir et les mettre en application correctement ; s’il ne les possède pas, il ne doit pas se plaindre. Telle est la situation concrète du point de vue des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts. Toutefois, le fait de posséder ou non ces choses ne reflète pas la valeur, le statut ni l’identité d’une personne. Quelle leçon les gens doivent-ils donc en tirer ? Même si Dieu t’a donné des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts raffinés – ce sont tes biens personnels, tes conditions avantageuses – le fait que tu les possèdes ne signifie pas que tu es plus noble que quiconque, que tu es plus avantagé ou privilégié que quiconque pour faire quoi que ce soit. La raison en est qu’aux yeux de Dieu, quelles que soient les conditions innées d’une personne, celle-ci fait partie de l’humanité corrompue. Même si les conditions innées ne contiennent pas d’éléments de corruption, toutes les personnes, qui possèdent des conditions innées, ont été corrompues par Satan et vivent selon des tempéraments sataniques. Leur vie-essence est leur tempérament corrompu satanique. Par conséquent, quelles que soient tes conditions innées et que tu aies ou non des centres d’intérêt, des passe-temps et des points forts, aux yeux de Dieu, puisque la vie-essence de toutes les personnes est la même, ta valeur est égale à celle des autres. Les gens devraient voir clairement que même s’ils ont certaines conditions avantageuses ou certains avantages, en termes d’essence humaine et de tempéraments corrompus, l’essence de chaque personne est la même et toutes les personnes sont les mêmes. Elles doivent subir le châtiment et le jugement de Dieu, et elles sont toutes celles que Dieu souhaite sauver. En termes de vie-essence de la chair des personnes, celles-ci sont identiques. Toutefois, d’un autre point de vue, il existe certaines distinctions entre les personnes, et nous devons échanger en détail à propos de ces distinctions. Comment les identifier ? Elles doivent être examinées à partir des origines des personnes. À quoi fait référence le terme « origines » ? Il désigne ce à partir de quoi une personne s’est réincarnée : les distinctions sont faites en fonction de la manière dont les personnes ont vu le jour et de ce dont elles sont issues. Globalement, ce genre humain est divisé en trois catégories. La première catégorie comprend ceux qui se sont réincarnés à partir d’animaux, la deuxième ceux qui se sont réincarnés à partir de divers démons, et la troisième, ceux qui se sont réincarnés à partir d’êtres humains. Ces trois catégories distinguent les personnes à leur origine même. Si ces catégories permettent de distinguer les personnes, c’est parce que les origines des différentes catégories de personnes ne sont pas les mêmes. Alors, comment peut-on savoir qui s’est réincarné à partir d’animaux, qui s’est réincarné à partir de démons et qui s’est réincarné à partir d’êtres humains ? Cela doit être déterminé en fonction de ce que ces personnes manifestent et des caractéristiques qu’elles présentent. Avez-vous déjà entendu ce genre d’informations, que ce soit dans le folklore ou par d’autres biais ? (Oui.) Ce thème ne vous est donc pas totalement inconnu, n’est-ce pas ? (Non, en effet.) Ceux qui se réincarnent à partir d’animaux, ceux qui se réincarnent à partir de démons, ceux qui se réincarnent à partir d’êtres humains : de quelle catégorie souhaitez-vous entendre parler en premier ? (De la première catégorie.) La première catégorie est celle des personnes qui se sont été réincarnées à partir d’animaux. Si vous parvenez vraiment à connaître la vérité à ce sujet, cela aura-t-il un impact sur votre vie ? Cela vous causera-t-il des problèmes ou vous fera-t-il obstacle ? (Je pourrais commencer à me demander à partir de quoi je me suis réincarné.) Pour certaines personnes, une fois qu’elles savent vraiment à quelle catégorie elles appartiennent et qu’elles se reconnaissent dans une catégorie particulière, si elles se sont effectivement réincarnées à partir d’êtres humains, elles se sentent chanceuses et en sont plutôt satisfaites. Mais si elles ne se sont pas réincarnées à partir d’être humains, ne trouveraient-elles pas cela contrariant ? (Si.) Cela entraînerait certaines difficultés et aussi un certain malaise, n’est-ce pas ? (Oui.) Étant donné que cela peut entraîner un malaise et certaines difficultés, vaut-il mieux que les gens le sachent ou ne le sachent pas ? (Il me semble qu’il serait préférable de le savoir.) En quoi serait-ce préférable ? (En le sachant, on peut comprendre la vérité à ce sujet et, en outre, on est capable de discerner certaines personnes, certains événements et certaines choses autour de soi.) Dans ce cas, échangeons là-dessus.
Commençons par échanger sur ceux qui se sont réincarnés à partir d’animaux. La réincarnation à partir d’animaux, comme son nom l’indique, signifie qu’une telle personne s’est réincarnée à partir d’un animal. Les animaux représentent un champ très vaste – quant au nombre exact d’espèces animales pouvant se réincarner en êtres humains, cela n’entre pas dans le cadre de notre échange. En bref, il existe une catégorie de personnes dont l’existence passée était celle d’un animal, ce qui signifie que leur identité d’origine ou leur catégorie créée ne faisait pas partie de l’humanité créée. Initialement, leur première catégorie biologique était celle d’un animal. Donc, aux yeux de Dieu, leur identité dans le domaine de la biologie est celle d’un animal. Dans cette réincarnation, ces animaux sont devenus humains, ce qui signifie qu’ils ne renaissent plus parmi les animaux, mais qu’au lieu de cela, ils se sont réincarnés en tant qu’êtres humains, en naissant à un certain moment, dans une certaine famille, une certaine lignée et un certain pays. Le fait qu’un animal se soit réincarné en être humain signifie qu’il est né en tant qu’être humain, mais que son existence précédente n’était pas celle d’un être humain : c’était celle d’un animal. Auparavant, il existait au sein du règne animal et renaissait parmi les animaux ; maintenant, dans cette renaissance, il n’est plus au sein du règne animal. Son identité a changé et il est devenu un membre du genre humain. C’est ce que l’on appelle la réincarnation des animaux en êtres humains. Lorsqu’un animal se réincarne en être humain, son apparence et ses instincts sont essentiellement les mêmes que ceux de n’importe quelle personne appartenant à l’humanité. Autrement dit, il possède toutes les caractéristiques d’un être humain : il peut marcher debout, il a des traits humains et une apparence humaine, il possède une pensée humaine, des instincts humains et une vie humaine normale, et il a également la capacité de parler, qui est unique à l’être humain. C’est ce que l’on appelle la réincarnation d’un animal en être humain. Autrement dit, d’après sa morphologie, son apparence extérieure et ses caractéristiques vitales physiques, tu ne peux voir que des traits humains ; aucun trait animal n’est visible. Alors comment savoir s’il s’est réincarné à partir d’un animal ? C’est ce qui préoccupe le plus les gens. Bien entendu, il est possible de voir qu’il est issu de la réincarnation d’un animal. S’il n’y avait aucune différence entre ceux qui se sont réincarnés à partir d’animaux et ceux qui se sont réincarnés à partir d’êtres humains, cette catégorie de personnes n’aurait alors aucune caractéristique évidente. C’est précisément parce qu’il existe des différences évidentes entre ceux qui se sont réincarnés à partir d’animaux et ceux qui se sont réincarnés à partir de véritables êtres humains que l’on peut facilement distinguer ces deux catégories de personnes selon leurs caractéristiques. Quelles sont donc les caractéristiques des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux ? La première caractéristique est qu’elles ont une compréhension déformée. La deuxième caractéristique est qu’elles sont particulièrement insensibles. La troisième caractéristique est qu’elles sont particulièrement confuses. La quatrième caractéristique est qu’elles sont stupides. Ces quatre caractéristiques suffisent à elles seules à mettre en évidence la différence entre une personne qui s’est réincarnée à partir d’un animal et un véritable être humain.
La première caractéristique des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux est qu’elles ont une compréhension déformée. Tout d’abord, qu’est-ce que cette déformation implique ? Elle implique des problèmes dans leurs pensées et leurs points de vue ; elle concerne également leurs capacités cognitives à considérer, saisir et comprendre les choses. Cette catégorie de personnes ne peut rien saisir correctement, ni voir quoi que ce soit correctement. Leur façon de voir les gens et les choses, ainsi que leur conduite et leurs actes, sont particulièrement absurdes, obstinés et ridicules, totalement incompatibles avec la pensée de l’humanité normale et les pensées et points de vue de l’humanité normale sur les choses. Bien entendu, les personnes qui ont une compréhension déformée sont très loin de comprendre la vérité ou de parvenir à la connaître. La vérité est totalement hors de leur portée, sans parler de la compréhension des vérités-principes. Leurs points de vue sont complètement déformés lorsqu’il est question de traiter quoi que ce soit ou qui que ce soit. Une fois que tu as échangé avec elles sur quelque chose, elles comprennent cette chose en termes de doctrine, mais leur connaissance reste tout aussi déformée après cela. Lorsque tu leur expliques les choses plus clairement et plus précisément, en donnant des exemples, ces personnes peuvent les comprendre sur le moment, mais plus tard, lorsqu’elles sont confrontées au même genre de choses, leur point de vue reste tout aussi déformé, et quelle que soit la manière dont on échange avec elles, cela ne corrige pas leur point de vue. De plus, cet état qui est le leur, cette façon de saisir les choses, persistera indéfiniment sans changer. Personne ne peut provoquer de changement chez elles en échangeant sur la vérité ; même si J’échange avec elles et que Je prononce des sermons, cela ne peut toujours pas changer leurs pensées et leurs points de vue déformés, ni leur façon déformée de saisir les choses. Les personnes de ce genre sont très problématiques. Par exemple, lorsqu’elles font quelque chose de mal et que tu leur dis : « Ce que tu as fait n’était pas correct, cela n’est pas conforme aux principes ; il y avait là une altération personnelle », elles répondent : « Je ne l’ai pas fait exprès. Je ne voulais pas que cela finisse comme ça. Puisque vous êtes tous si bons, que vous avez la vérité et que vous savez comment faire les choses, pourquoi ne le faites-vous pas vous-mêmes au lieu de me demander de le faire ? Vous dites que j’ai mal agi, n’est-ce pas simplement parce que je vous déplais ? Puisque vous avez tous de l’humanité et que je suis le seul à en être dépourvu, j’irai simplement en enfer et vous pourrez tous aller au ciel ! » Ces personnes peuvent même essayer de se défendre et de se justifier avec des raisonnements, et trouver des excuses pour fuir leurs responsabilités. Elles refusent de reconnaître qu’elles ont mal agi, elles n’ont pas la bonne attitude et elles ne s’engagent pas à se corriger à l’avenir, tout en affirmant qu’elles comprennent comment elles doivent agir la prochaine fois. Elles ne comprendront jamais de cette manière et ne saisiront jamais la question de façon pure du point de vue de l’humanité. Il y a même certaines personnes qui, lorsque tu leur fais remarquer des problèmes dans leur travail et que tu échanges avec elles sur la vérité, disent : « Tu me regardes simplement de haut, n’est-ce pas ? N’est-ce pas simplement parce que je suis inculte et que je viens de la campagne ? N’est-ce pas simplement parce que mon statut est peu élevé ? Même Dieu ne me méprise pas, alors de quel droit le fais-tu ? » Ces personnes n’admettront jamais qu’elles ont commis une erreur pour ensuite chercher vérité, elles ne réfléchiront jamais sur elles-mêmes pour voir où elles se sont trompées et elles ne chercheront jamais le chemin de pratique correct à suivre pour résoudre le problème. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce qu’elles ne sont pas humaines. Elles n’ont pas une pensée humaine normale et elles sont incapables d’aborder les erreurs qui surviennent comme le ferait un être humain normal. Elles n’ont pas l’attitude qu’un être humain normal devrait avoir face à ses erreurs. Avez-vous déjà été confrontés à de telles personnes ? Il vaudrait mieux que vous réfléchissiez également sur vous-mêmes, afin de déterminer si votre raisonnement est normal ou non. Par exemple, après que quelqu’un a passé la serpillère sur le sol, la surface est encore assez humide. Quelqu’un d’autre, qui ne s’en rend pas compte, marche dessus et glisse. Cette personne se relève et dit à l’autre : « Tu n’as pas bien séché le sol après avoir passé la serpillière. Tu aurais dû mettre un panneau avec quelques mots pour prévenir les gens ! Heureusement, je suis jeune, si je tombe, je peux me relever. Mais si c’était une personne âgée, elle se serait cassé un os, non ? Tu as vraiment manqué de considération ! » Ces paroles sont-elles appropriées et normales ? (Oui, elles sont normales.) La personne qui a passé la serpillière n’a pas été assez prévenante en faisant cette tâche, elle devrait donc être plus attentive la fois suivante. Comme quelqu’un est tombé à cause de cela, il est clair qu’elle a commis une erreur dans cette affaire. C’était une erreur, et personne ne la condamne ; elle doit simplement corriger son erreur. Cependant, ces personnes ne sont pas capables d’envisager ni d’aborder cette question de manière correcte et rationnelle du point de vue d’un être humain ou avec une pensée humaine. Au lieu de cela, elles vont rétorquer : « Tu n’as pas vu que le sol était mouillé ? Tu es aveugle ? Tu as glissé et tu es tombé, tu l’as bien mérité ! Tu n’utilises pas tes propres yeux, et c’est ma faute ? Évidemment que le sol est mouillé après avoir été lavé, pourquoi as-tu marché dessus ? Je ne t’ai pas dit de marcher là. Admets simplement que c’est par ta propre malchance que tu es tombé. Cela n’a rien à voir avec moi ! » Ces paroles sont-elles rationnelles ? (Non.) Elles ne sont pas rationnelles. Comment dire cela en termes familiers ? Ces personnes sont déraisonnables. Tu as lavé le sol, mais tu ne l’as pas séché, ce qui a provoqué la chute de quelqu’un. Même s’il n’est pas absolument nécessaire d’exprimer ta culpabilité et tes excuses, tu devrais au moins accepter les remarques et les conseils des autres concernant ton erreur. Tu devrais demander : « Es-tu blessé ? As-tu besoin d’aller à l’hôpital pour te faire examiner ou soigner ? J’assume l’entière responsabilité de cette situation. » Voilà l’attitude correcte. C’est ainsi qu’une personne devrait traiter de manière rationnelle quelque chose qu’elle a fait de mal du point de vue de l’humanité et y réfléchir. Toutefois, les personnes réincarnées à partir d’animaux n’ont pas d’humanité et ont une compréhension déformée. Elles ne parlent jamais de cette manière et ne considèrent jamais aucun problème de cette manière. Au contraire, elles se montrent obstinément déraisonnables. Elles n’ont pas séché le sol après avoir passé la serpillière, ce qui a provoqué la chute de quelqu’un ; la prochaine fois, il leur suffit donc de faire autrement, d’être plus attentives et de corriger leur erreur, voilà tout. Le problème serait résolu. C’est une affaire très simple : personne n’en parle et personne ne les condamne pour cela. Elles ne sont pas non plus tenues d’assumer une quelconque responsabilité juridique. Mais elles refusent d’accepter les faits et disent plutôt : « Oh, alors vous êtes tous des gens bien, vous êtes les seuls à avoir de l’humanité ! Je dois être une personne malfaisante ! Je fais délibérément du mal aux autres ! J’ai de mauvaises intentions ! Vous irez tous au ciel et moi en enfer ! » Dites-Moi, une personne normale pourrait-elle proférer de telles absurdités ? (Non.) Seules les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux saisissent tout et considèrent tout d’un point de vue particulièrement extrême, obstiné et ridicule. Pour la moindre chose – une chose tout à fait légitime – elles peuvent débiter toute une série d’arguments déraisonnables et fallacieux, de sorte que les autres ne savent plus s’ils doivent en rire ou en pleurer. Si elles sont émondées, comment se comportent-elles ? Elles se donnent beaucoup de mal pour se justifier et se défendre, en expliquant pourquoi elles ont agi de la sorte et combien elles ont souffert pour cela, en rétorquant avec toutes sortes de raisons. Lorsque tu échanges avec elles sur les raisons pour lesquelles elles ont été émondées, sur la manière dont elles devraient corriger leurs erreurs lorsqu’elles en commettent et sur la manière dont elles devraient chercher les vérités-principes, ainsi que sur les principes à appliquer pour traiter la question, elles refusent de prendre en compte le moindre mot. Au lieu de cela, elles retiennent leur rage et leur colère, en se sentant lésées et humiliées. En coulisses, elles se plaignent même aux autres, en disant : « Hum ! Je n’avais pas réfléchi à ces problèmes et je n’ai pas intentionnellement voulu agir de cette manière. Pourtant, ils me condamnent et disent que je causais des interruptions et des perturbations. Suis-je vraiment si malfaisant ? Suis-je une personne malfaisante ? » En matière de vérités-principes, ces personnes ne sont jamais à la hauteur et ne les comprennent jamais ; leur compréhension est toujours particulièrement déformée et ridicule. Quelles que soient les vérités-principes qui font l’objet d’un échange, lorsqu’elles leur parviennent, ces vérités-principes se transforment en une expression unique, en une manière unique d’agir : elles deviennent une formalité, un rituel, un règlement. Non seulement elles saisissent les vérités-principes de façon unilatérale, mais leur compréhension est également particulièrement ridicule et absurde. La façon dont ce type de personne saisit la vérité semble particulièrement maladroite et idiote. Idiote à quel point ? Au point que les gens n’éprouvent même pas de pitié pour ces personnes, mais plutôt un dégoût pur et simple ; ils ne savent pas s’ils doivent rire ou pleurer, et ils restent complètement interdits. Les choses ont déjà été expliquées dans une telle mesure que dire quoi que ce soit de plus serait superflu, toute parole supplémentaire ne serait que sottise. Il est inutile de continuer à parler des vérités-principes avec ces personnes. Peu importe ce qu’elles gèrent, même la plus petite des choses de la vie quotidienne, elles le font d’une manière vraiment anormale, ridicule et déformée. Elles sont incapables de voir et de gérer les choses dans les limites de la raison humaine. Leur point de vue sur toute chose est à ce point obstiné et ridicule que les opinions qu’elles pourraient exprimer sur n’importe quel sujet te dégoûteraient à vie si tu les entendais. Si tu étais en train de manger en les écoutant, tu pourrais bien vomir sur-le-champ. Dites-Moi, à quel point doivent-elles être déformées ? C’est l’une des caractéristiques principales des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux : elles sont obstinées et ridicules. Du point de vue de l’humanité, cette obstination et ce ridicule sont avant tout une absence de pensée humaine normale. Ces personnes sont incapables d’examiner le moindre problème selon la pensée normale de l’humanité : elles sont extrêmes, ont tendance à déformer les choses et sont obstinées. Peu importe la façon dont tu échanges sur la vérité, sur des faits objectifs ou sur des situations spécifiques, elles s’accrochent fermement à leur raisonnement et refusent de lâcher prise. Elles pensent : « J’ai raison, et je ne t’ai rien donné que tu puisses utiliser contre moi. Je vais simplement m’accrocher à ce raisonnement, et cela deviendra la vérité. Rien de ce que tu diras ne servira à quoi que ce soit ! » C’est là une des caractéristiques des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux : leur compréhension est déformée.
Une autre manifestation des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux est qu’elles sont particulièrement insensibles face à de nombreuses personnes, de nombreux événements et de nombreuses choses. Non seulement elles ont une vision obstinée et déformée des choses, mais elles sont également totalement incapables de percevoir la nature, l’essence ou la cause profonde de toute chose qui se produit, de l’influence qu’elle peut avoir ou des conséquences qu’elle peut entraîner. Ces personnes ne peuvent toujours pas percevoir ces choses et en restent ignorantes, même lorsque certaines personnes ont déjà dit ou fait certaines choses, ou révélé certains signes et indications – c’est comme si elles étaient idiotes. Lorsqu’elles finissent par percevoir les choses en question, l’affaire est déjà réglée et les conséquences se sont déjà produites. Même après avoir entendu tant de vérités, elles ne savent pas et sont incapables de sentir quel genre de personnes les entourent, quelle est leur essence, ni de quoi elles sont capables. Certaines personnes disent des choses qui sont manifestement problématiques, mais elles ne le perçoivent pas. Par exemple, lorsque certains individus se vantent, font de grands discours, se mettent en valeur et se pavanent, cela révèle clairement un tempérament arrogant, mais les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont incapables de percevoir le problème. Au contraire, elles pensent que ces gens sont capables, elles les admirent et les respectent, et veulent même suivre ce genre d’individus par la suite. Cela montre qu’elles sont insensibles. Les personnes manifestement malfaisantes et les actes malfaisants évidents, les révélations évidentes de tempéraments corrompus, la direction dans laquelle les choses vont manifestement – les personnes de ce type ne peuvent rien percevoir de tout cela. Elles ne savent pas quelle est l’essence de la question, ni quelle est la racine du problème ; elles ne peuvent pas le percevoir du tout, elles n’en ont même pas conscience. Elles sont ce que nous appelons souvent des cadavres sans esprit. Les personnes de ce type sont encore moins à la hauteur face aux questions concernant les vérités-principes. Tu leur dis selon quel principe elles doivent pratiquer, mais elles ne comprennent pas ; elles ne font que mémoriser les règlements qu’elles sont censées respecter. Elles sont incapables de comprendre les principes sur lesquels tu échanges, ils sont hors de leur portée. Tu leur fais remarquer un certain état en elles, qui est une manifestation de leur révélation d’un tempérament corrompu, mais elles pensent que tu parles de quelqu’un d’autre. Même si elles admettent verbalement avoir aussi ce genre de tempérament corrompu, elles ne reconnaissent pas les paroles qu’elles ont prononcées ni les mesures qu’elles ont prises, qui correspondent à cet état ou à cette manifestation. Elles ne comprennent pas et ne savent pas de quoi tu parles. Lors des échanges sur la vérité pendant les réunions, alors que les autres sont déjà passés au sujet suivant, elles reviennent encore sur le sujet précédent. N’est-ce pas là se montrer obtus et insensible ? Lorsque les autres parlent, il leur est impossible de suivre, non pas parce que leur pensée n’en est pas capable, mais parce que leur calibre est insuffisant et n’est pas à la hauteur. Lorsque certaines personnes malfaisantes tentent de les tromper, de se jouer d’elles ou de les tourmenter, elles ne sont pas à même de le sentir, mais traitent plutôt ces personnes malfaisantes comme des frères et sœurs et s’entendent bien et intimement avec elles, et ce n’est qu’après avoir été blessées par ces individus qu’elles se rendent compte qu’elles se sont fait berner. Elles se disent alors : « Je suis tellement stupide ! Je ne sais pas juger les gens, je ne sais pas discerner les gens ! Cette fois, j’ai vraiment retenu la leçon : à l’avenir, je ne ferai confiance à personne, je ne ferai confiance qu’à moi-même. C’est la plus grande sagesse qui soit ! » Après avoir été trompées une fois, elles croient avoir gagné en perspicacité et pensent même qu’elles sont désormais plus intelligentes, basculant d’un extrême à un autre. Les individus qui se sont réincarnés à partir d’animaux sont insensibles à toute chose. Par exemple, l’un d’entre eux était responsable de l’élevage et des plantations. Un jour, la température a chuté et Je lui ai dit : « Cette nuit, il fera moins cinq degrés. Ne faudrait-il pas s’occuper de ces plantes et de ces animaux qui ne supportent pas le froid ? » Après avoir entendu cela, cet individu a répondu : « J’ai une veste rembourrée de coton, et je dors la nuit avec une couette et une couverture, donc je n’aurai pas froid. » A-t-il compris ce que Je voulais dire ? D’après sa réponse, il est clair que non. N’est-ce pas être insensible ? (Si, en effet.) Si J’avais dit : « Ce soir, il fera moins cinq degrés. Si les fleurs restent dans le jardin, elles gèleront. Les animaux sensibles au froid et ceux qui sont les plus faibles doivent être placés dans les étables. Tu devrais accrocher un rideau supplémentaire à la porte et colmater tous les endroits où il y a des courants d’air dans les étables. » Après avoir entendu cela, il aurait réfléchi un instant et se serait dit : « Oh, Tu parlais des animaux et des plantes. Alors, il suffirait de rentrer les fleurs à l’intérieur, non ? Il y a tellement d’animaux, et Tu n’as pas précisé lesquels sont sensibles au froid et lesquels ne le sont pas, ni lesquels doivent être rentrés et lesquels doivent rester dehors. » En effet, Je ne l’ai pas précisé, mais ne peux-tu pas agir conformément aux principes ? Tu ne te rends même pas compte que les fleurs laissées dehors en hiver peuvent geler et mourir, et si Je ne te charge pas de faire ces choses, tu ne les fais pas. De quel genre de problème s’agit-il ? N’est-ce pas de l’insensibilité ? (Si, en effet.) Cela montre que cet individu est insensible. Par exemple, il fait beau dehors, des vêtements sont suspendus dans la cour pour sécher, et quelqu’un dit : « On dirait qu’il va pleuvoir cet après-midi. Les vêtements qui sèchent dehors vont-ils être mouillés ? » ; ces paroles expriment un soupçon de rappel. Une personne dotée d’une pensée humaine normale entendrait cela et réfléchirait : « Je dois faire attention, quand le ciel se couvrira, je rentrerai rapidement les vêtements. » Mais ceux qui n’ont pas la pensée de l’humanité normale n’en prendront pas conscience. Lorsque tu dis qu’il va pleuvoir dans l’après-midi, ils l’entendent et se disent : « À quoi bon dire cela ? Cela ne me concerne pas. Je serai à l’intérieur, donc je ne serai pas mouillé s’il pleut. D’ailleurs, que puis-je y faire s’il pleut ? Il ne sert à rien de me le dire ! » Ils ne se rendent tout simplement pas compte de la raison pour laquelle on leur dit cela ni de la raison pour laquelle on aborde ce sujet. Alors, comment dois-tu leur parler pour qu’ils comprennent vraiment ? Tu dois leur dire : « Il va pleuvoir cet après-midi à telle heure. Avant qu’il ne pleuve, lorsque tu verras que le ciel se couvre, rentres rapidement les vêtements à l’intérieur. Sinon, ils seront mouillés et il faudra les laver à nouveau. Et puis, en rassemblant les vêtements, vérifies s’il y a autre chose dans la cour qui ne doit pas être mouillé ni exposé à la pluie, et ramènes-le également à l’intérieur. » Tu dois leur donner ces instructions. Si tu ne le fais pas, ils ne comprendront pas qu’ils doivent rentrer les vêtements, ni qu’ils doivent rassembler tout autre objet qui ne doit pas être mouillé. Ils ne feront rien de tout cela. Pourquoi ? Parce qu’ils sont trop insensibles, qu’ils ne possèdent pas la pensée de l’humanité normale et qu’ils ne satisfont pas aux normes de l’humanité normale. Autrement dit, leur intelligence et leur calibre n’atteignent pas la norme de l’humanité normale. Voilà comment sont les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux. Lorsque Je demande à une telle personne de faire quelque chose, même si Je lui ai déjà donné plusieurs fois la même instruction et qu’elle l’a déjà fait à maintes reprises, il faut encore que Je lui redonne la même instruction. Si Je ne lui donne pas d’instructions, elle ne se rendra pas compte de ce qu’il faut faire et ne sera pas capable de le faire. Ainsi, chaque fois qu’une telle personne est confrontée à ce genre de tâche, tu dois lui dire exactement ce qu’il faut faire et comment le faire, en lui donnant des instructions étape par étape. Si tu omets ne serait-ce qu’un seul élément, elle ne fera pas cette chose et risque même de tout gâcher. Et si tu lui fais remarquer ses problèmes, elle répondra par une série d’arguments déformés et recommencera à se montrer obstinément déraisonnable. C’est là une manifestation de l’insensibilité.
Cette caractéristique de l’insensibilité chez les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux est très évidente. Par exemple, grâce à l’échange sur la vérité, ces personnes comprennent en termes de doctrine comment discerner si un dirigeant d’Église fait du travail concret, s’il est un dirigeant à la hauteur, ou s’il s’agit d’un faux dirigeant ou d’un antéchrist. Toutefois, lorsqu’il s’agit de discerner à quelle catégorie appartient leur propre dirigeant d’Église, même lorsqu’elles sont témoins de certaines manifestations présentées par celui-ci, elles ne savent pas comment le discerner. Si tu leur demandes : « Votre dirigeant d’Église fait-il du travail concret ? », ces personnes répondent : « Je le vois être occupé tous les jours à organiser des réunions et s’affairer à organiser des choses, il a distribué des livres aux frères et sœurs et il a assuré le suivi du travail d’évangélisation. » Tu leur demandes alors : « Fait-il bien son travail, dans ce cas ? Est-ce quelqu’un qui poursuit la vérité ? » Elles répondent : « Il a renoncé à sa carrière et à sa famille. Même lorsque ses parents sont venus lui rendre visite, il était trop occupé à faire son devoir pour les voir. Ce doit être quelqu’un qui poursuit la vérité, n’est-ce pas ? » Ces personnes ne voient que les manifestations apparentes du dirigeant d’Église, mais peu importe le nombre de maux que le dirigeant commet en secret, même si elles s’en aperçoivent, elles n’identifient pas cela comme étant un problème, elles ne savent pas que c’est un problème. Peu importe le nombre de ces choses qui se produisent devant elles, c’est exactement comme si elles n’avaient jamais rien vu, comme si elles ne vivaient pas parmi les gens, mais entièrement dans un autre monde. Ces personnes ne sont-elles pas extrêmement insensibles ? (Si.) Voilà ce qu’est l’insensibilité. Lorsqu’elles sont confrontées à quelqu’un qui est influencé par des esprits malfaisants, qui prête toujours attention aux choses surnaturelles et parle toujours de choses qu’il perçoit, en disant toujours des choses comme : « J’ai entendu une voix, Dieu m’a éclairé, Dieu m’a illuminé, Dieu m’a guidé, Dieu a encore révélé quelque chose en moi », les personnes insensibles se disent : « Il aime véritablement Dieu. Il a reçu des révélations, pourquoi n’en ai-je pas reçu ? » Elles ne se rendent tout simplement pas compte que c’est là l’influence d’esprits malfaisants. C’est seulement quand, un jour, cet individu devient soudainement fou, fait une énorme scène devant tout le monde, se roule par terre et court nu dans les rues qu’elles voient enfin qu’il s’agit d’un esprit malfaisant. En réalité, avant que cet individu ne devienne fou, il y avait déjà de nombreux signes, et ces manifestations auraient suffi à le caractériser comme étant influencé par des esprits malfaisants et pour qu’il soit traité précocement en étant exclu. Cependant, ces personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont insensibles, incapables de percevoir ces choses, et elles ne se rendent pas compte des conséquences que pourrait avoir le fait de laisser un tel individu dans l’Église. Cela ne risque-t-il pas de causer des désastres ? Certains esprits malfaisants et démons malfaisants vont même jusqu’à nuire aux gens, mais les personnes insensibles ne parviennent toujours pas à les percevoir pour ce qu’ils sont. Elles croient même que ces individus aiment vraiment Dieu et qu’ils sont pleins de zèle, restant souvent éveillés tard dans la nuit pour lire les paroles de Dieu et apprendre des hymnes, se privant de nourriture et de sommeil pendant des jours sans pour autant se sentir fatigués. Même si cela est manifestement anormal, elles prétendent que c’est de l’amour pour Dieu. Ne sont-elles pas bien trop insensibles ? Les personnes insensibles, d’une part, sont incapables de percer les choses à jour ; elles sont incapables de voir au-delà des phénomènes superficiels pour percer à jour l’essence des problèmes. Il leur est donc très difficile de caractériser avec précision le moindre problème. De plus, les façons de penser des personnes insensibles ne sont pas normales et elles n’ont pas la capacité d’identifier les choses, elles restent donc complètement inconscientes de beaucoup de choses qui se passent autour d’elles. Les personnes de ce genre peuvent vivre dans un endroit pendant plusieurs années, mais lorsqu’on leur demande : « Quel est le climat là-bas ? Quels sont les cycles saisonniers ? Est-il agréable d’y vivre ? », elles sont incapables de répondre. Elles disent : « Le climat ? Je ne sais pas. En tout cas, les fleurs s’épanouissent en avril, les feuilles jaunissent et commencent à tomber vers septembre ou octobre et, quand l’hiver arrive, c’est le moment où il neige. » Si on leur demande : « Quelles sont les coutumes locales ? Comment fonctionne le système social ? Y a-t-il de la discrimination raciale ? Comment sont les politiques du gouvernement ? Comment traite-t-on les personnes originaires d’autres endroits ? », elles n’ont aucune idée de la réponse, elles restent bouche bée, incapables de dire quoi que ce soit. Même lorsqu’il s’agit de la question la plus importante, à savoir l’attitude du gouvernement envers les croyances religieuses, elles sont incapables de dire quoi que ce soit et se contentent de répondre : « Eh bien, nous vivons là-bas et le gouvernement ne nous cause jamais de problèmes. » Elles sont comme des mannequins de bois, complètement inconscientes de quoi que ce soit ; il s’agit là d’une insensibilité extrême. Certaines personnes disent également qu’elles sont trop occupées à faire un devoir et qu’elles n’ont pas le temps de résumer ces choses, mais n’est-ce pas simplement une excuse ? (Si.) Il est évident que c’est une excuse. Des choses aussi simples nécessitent-elles que l’on y prête une attention particulière et que l’on tienne des registres ? Non, pas du tout. Si tu as la pensée de l’humanité normale, après avoir vécu dans un endroit pendant plus de trois ans, tu devrais globalement saisir le climat local, les coutumes, les habitudes de vie, la situation en matière de croyances religieuses, ainsi que les politiques du gouvernement et son attitude envers les personnes originaires d’autres endroits. Tu n’aurais pas besoin de te renseigner particulièrement quant à ces informations, de faire des recherches pour les obtenir ou de les collecter, tu saurais, tout simplement. Toute personne dotée de la pensée de l’humanité normale pourrait saisir ces choses très naturellement. Si tu es même incapable de saisir les situations que les gens normaux peuvent saisir et voir clairement, qu’est-ce que cela indique ? Cela indique que tu ne possèdes pas la pensée ni la rationalité de l’humanité normale et que tu ne satisfais pas aux critères de l’humanité normale. La raison fondamentale pour laquelle les personnes de ce type ne parviennent pas à satisfaire aux critères de l’humanité normale est qu’elles ne se sont pas réincarnées à partir d’humains, mais d’animaux. Comprends-tu ? (Oui.) Si le caractère insensible d’une personne est très évident, cela en dit long sur le problème.
Qu’avez-vous compris de notre échange à l’instant concernant les caractéristiques des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux ? Avez-vous remarqué un fait : que les deux caractéristiques que sont la déformation de la compréhension et l’insensibilité sont très évidentes chez cette catégorie de personnes ? (Oui.) Pourquoi ces personnes présentent-elles ces deux manifestations ? Que manque-t-il à leur humanité ? (La pensée normale.) C’est plutôt approprié : elles n’ont pas d’intelligence humaine. En apparence, ces personnes semblent avoir un calibre médiocre, mais à quel point l’est-il ? Elles sont à la fois sujettes aux déformations et insensibles ; lorsqu’il s’agit de certains problèmes auxquels les personnes dotées d’une humanité normale sont fréquemment confrontées et qu’elles sont en mesure de traiter et de résoudre de manière autonome, elles ne sont pas à la hauteur et ne parviennent pas à les résoudre, paraissant très puériles, ridicules et immatures. Plus grave encore, certaines de ces personnes n’ont pas la capacité de survivre de manière autonome : elles sont incapables de subvenir à leurs propres besoins et, qu’elles aillent travailler ou s’engagent dans n’importe quel type d’emploi, elles sont incompétentes. Peu importe où elles vont, soit les employeurs ne veulent pas d’elles, soit ils les renvoient. En outre, l’essentiel est que lorsqu’elles sont confrontées à diverses questions dans le cadre de leur propre vie, telles que des questions courantes de la vie et même certaines affaires insignifiantes, elles sont incapables de bien les gérer. Elles peuvent même tout embrouiller sur une question très simple ; elles se contentent toujours d’appliquer aveuglément les règlements. Les méthodes et les approches qu’elles utilisent pour gérer les choses sont extrêmement idiotes et maladroites ; elles ne possèdent pas les méthodes et les moyens qu’un adulte utiliserait pour gérer les choses dans le monde. Cela montre de façon très évidente qu’elles n’ont pas d’intelligence humaine. Par exemple, une de ces personnes contracte une maladie et se sent constamment souffrante. Elle consulte des informations qui indiquent qu’il pourrait s’agir d’une maladie grave ou d’une affection majeure ; elle est prise de panique et se précipite à l’hôpital pour passer des examens. Le médecin lui dit : « Cette maladie est très grave. Son taux de mortalité est extrêmement élevé. Si elle n’est pas traitée, elle s’aggravera et entraînera la mort. La chirurgie est le seul moyen de la traiter. Si vous ne vous faites pas opérer, il vous reste au plus trois mois à vivre. » En entendant cela, cette personne est extrêmement effrayée et ne sait pas quoi faire. Sans passer d’autres examens pour confirmer le diagnostic, elle écoute simplement le médecin et décide de se faire opérer. Avant l’opération, elle ne demande même pas quelles précautions doivent être prises, s’il y aura des effets secondaires après l’opération – elle ne sait même pas qu’il convient de poser ces questions et se laisse simplement intimider par le médecin, qui la pousse à se faire docilement opérer. Finalement, après l’opération, elle ressent des douleurs en divers endroits, et même les médicaments ne la soulagent pas. Plus tard, elle apprend par d’autres personnes que cette maladie ne nécessite pas d’opération, qu’elle n’est pas vraiment grave et qu’avec de l’exercice et des médicaments courants, elle se résorbera progressivement sans progresser ni s’aggraver. Les médecins, afin de gagner de l’argent, font parfois des déclarations alarmistes pour effrayer les gens, et la personne insensible n’a pas d’opinion propre et est incapable de former des jugements ; en entendant ce que dit le médecin, elle est terrifiée et, lorsque le médecin lui dit de se faire opérer, elle s’exécute. Lorsque de telles choses lui arrivent, s’il y a quelqu’un dans son entourage qui a ses propres idées, qui est déterminé et qui a l’intelligence nécessaire pour l’aider à examiner de près la situation, elle pourra éviter les détours et souffrira un peu moins. Mais si elle doit gérer seule de telles situations, en particulier les plus importantes, elle fera un écart d’une manière ou d’une autre, elle sera trompée ou lésée ; ces personnes prennent toujours des mesures extrêmes. Elles sont tout simplement incapables d’évaluer les choses de manière exhaustive en se basant sur des principes ou des méthodes couramment utilisés pour gérer de telles situations, puis de trouver la manière la plus raisonnable et la plus rationnelle de les traiter. N’importe qui peut les tromper, se jouer d’elles, les influencer et les induire en erreur. Certains demandent : « Ces personnes n’ont-elles pas leurs propres pensées ou opinions ? » En réalité, elles ont bel et bien leurs propres pensées et opinions ; tu vois, lorsqu’elles commettent des méfaits et débitent des arguments fallacieux, elles ont assurément des idées bien arrêtées. Peu importe qui dit des choses justes, elles n’écoutent pas, et même si quelqu’un dit des choses correctes, elles sont rebelles et persistent simplement avec leurs arguments fallacieux et tordus. Cependant, lorsqu’il leur faut réellement recourir à la raison et à la pensée normales pour faire face aux affaires qui se présentent dans la vie quotidienne, les aborder correctement et les traiter, elles ne savent pas quelle méthode ni quelle procédure utiliser pour les traiter, elles ne savent pas comment les aborder, n’ont ni moyens ni méthodes et n’ont pas de pensées ni d’opinions propres. En fin de compte, elles ne peuvent qu’être manipulées par les autres : elles font tout ce que les autres leur disent de faire. Ne pas posséder l’intelligence de l’humanité normale est une caractéristique des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux. Alors, pourquoi sont-elles capables de persister dans leurs arguments fallacieux et tordus, voire de les exprimer à haute voix et de les diffuser à tout va ? Cela prouve qu’en ce qui concerne leur intelligence, elles sont incapables de discerner ce qui est la vérité et ce qui est un raisonnement fallacieux, ce qui est conforme à la rationalité normale et ce qui ne l’est pas : elles sont incapables de faire la distinction entre ces choses ; par conséquent, lorsque tu partages un raisonnement correct, elles sont incapables de l’accepter et ne le comprennent pas. Elles persistent simplement dans leur propre raisonnement déformé et tordu et croient qu’il est correct. Quelle que soit la méthode utilisée par quelqu’un d’autre pour leur parler, peu importe à quel point sa façon de s’exprimer est bonne ou pleine de sagesse, les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont incapables de l’assimiler et ne comprennent pas ce qu’on leur dit ; elles sont fichues. Cela montre qu’elles n’ont pas l’intelligence de l’humanité normale. Même pour les questions les plus normales de la vie quotidienne, lorsque tu essaies de les raisonner, cela ne les atteint pas : elles persistent quand même dans leur raisonnement déformé. Quand les gens voient cela, ils se demandent : « Pourquoi cette personne est-elle aussi étrange ? Pourquoi est-elle aussi imperméable à la raison ? Elle ressemble à la fois à quelqu’un qui souffre d’une maladie mentale et à quelqu’un qui n’a pas atteint l’âge adulte ; pourquoi parle-t-elle toujours de manière puérile ? » Mais ces personnes ne sont pas jeunes : à cinquante ou soixante ans, elles sont comme ça, et quand elles atteignent quatre-vingts ans, elles sont encore comme ça. Toute leur vie, ce sont des personnes à l’intelligence déficiente ; toute leur vie, la pensée humaine normale et l’intelligence humaine normale leur font défaut. C’est là une caractéristique des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux. Cette caractéristique est-elle évidente ? (Oui.) Par exemple, disons qu’il y a une femme stupide qui est plutôt jolie et qu’après avoir été séduite par un voyou louche, elle emménage avec lui. Ce voyou louche flirte tout le temps à l’extérieur, mais lorsqu’elle le découvre, elle ne se met pas en colère ; en tout cas, cela lui convient du moment qu’il la traite bien. Plus tard, le voyou louche a une liaison avec quelqu’un d’autre, mais lorsqu’elle le découvre, elle ne s’en soucie pas et reste encore auprès du voyou louche avec un dévouement inébranlable. Elle dit même : « Tant qu’il ne m’abandonne pas, ça me va. » Quelqu’un lui donne un conseil en lui disant : « Il est déjà tombé si bas, tu devrais le quitter. » Elle répond : « Non, je ne peux pas me passer de lui. Il m’aime et je l’apprécie ! » Une telle personne mérite de rester avec ce voyou louche et de souffrir toute sa vie, car elle est tout simplement incapable de discerner ce qu’est une bonne personne ou une personne convenable. Elle se met avec un voyou louche et pense même qu’il l’aime vraiment. Le voyou louche lui dit quelques mots doux, lui achète de bons petits plats, et, juste comme ça, il la séduit et elle tombe dans ses bras. Il se joue d’elle comme s’il jouait avec de la pâte à modeler. Quand il flirte dans son dos et qu’elle le découvre, il lui suffit de quelques paroles pour arranger les choses, il la berne, et elle est tout simplement incapable de percer cela à jour. En fin de compte, le voyou louche s’empare de tous ses biens et de sa maison, puis la plaque. Elle le maudit en disant qu’il n’a aucune conscience, mais elle ne dit tout simplement pas qu’elle a été trompée parce qu’elle ne sait pas voir clair dans le jeu des gens. Pourquoi ce voyou louche a-t-il réussi à la duper alors qu’il n’est pas parvenu à duper les autres ? N’est-ce pas parce qu’elle est stupide ? Les principales caractéristiques des personnes de ce type sont d’être obstinées et ridicules dans leur façon de saisir et de traiter toute chose et de ne pas posséder l’intelligence de l’humanité normale. C’est pourquoi nous disons qu’elles se sont réincarnées à partir d’animaux. Comme ce sont des animaux, elles n’ont pas d’intelligence humaine. Le fait qu’elles n’aient pas d’intelligence humaine suffit à prouver que l’essence qui les habite n’est pas celle des êtres humains. Par conséquent, elles sont incapables de faire face aux affaires humaines ni de gérer et de résoudre les problèmes que les êtres humains normaux devraient être capables de gérer et de résoudre. Même lorsqu’il s’agit de leur façon d’aborder les choses dans leur propre vie quotidienne – leurs repas quotidiens, les besoins fondamentaux, ainsi que les relations interpersonnelles et l’environnement qui les entoure – elles sont également très insensibles. De plus, lorsqu’elles sont confrontées à certaines questions auxquelles elles doivent faire face et qu’elles doivent gérer, elles n’ont pas l’intelligence des personnes normales et, bien entendu, la sagesse leur fait encore plus défaut. Lorsqu’elles sont confrontées à ces problèmes, elles les gèrent avec beaucoup de difficulté, beaucoup d’épuisement et une extrême maladresse. Elles sont si âgées et ont vécu si longtemps : comment peuvent-elles gérer les choses de cette manière ? Pourquoi les choses qu’elles disent semblent-elles aussi répugnantes et aussi embarrassantes ? Pourquoi ne parlent-elles pas comme des personnes normales ? Elles ont vécu pendant tant d’années et ont fait l’expérience de beaucoup de choses, alors comment peuvent-elles se comporter ainsi quand elles gèrent une question aussi simple ? Elles n’ont même pas les limites de l’humanité les plus élémentaires ni les principes les plus fondamentaux que les gens devraient avoir.
En plus de leurs deux caractéristiques principales que sont la compréhension déformée et l’insensibilité, les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux présentent une autre caractéristique, à savoir qu’elles sont particulièrement confuses. Par le passé, lorsque nous échangions sur la vérité, nous n’abordions que les grandes lignes et les orientations générales ; nos échanges étaient relativement généraux. Quant aux divers détails de la vérité, nous n’avons pas échangé spécifiquement à leur sujet, mais nous avons uniquement discuté de certaines déclarations et de certains contenus conceptuels. Au cours de ces années d’échange, divers aspects de la vérité ont fait l’objet d’échanges spécifiques et détaillés. Toutefois, en ce qui concerne les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux, lorsqu’elles écoutent les paroles prononcées lors des échanges actuels, elles pensent que ces paroles sont plus ou moins équivalentes à ce qui était dit au cours des échanges passés, et que seule la manière de présenter les choses a quelque peu changé, que le contenu est devenu un peu plus riche et que la quantité d’échanges a considérablement augmenté par rapport à avant. Et donc, elles se demandent pourquoi, après cette longue période d’écoute, elles ne font que devenir de plus en plus perplexes. Elles ont écouté des sermons pendant tant d’années, mais elles n’en ont rien gagné. En ce qui concerne leur manière de se conduire, de traiter les autres, de se connaître elles-mêmes, de faire l’expérience de l’œuvre de Dieu pour parvenir à la connaissance de Dieu, et surtout de traiter Dieu et Ses paroles, elles ont dès le départ été incapables de comprendre ces choses et, même aujourd’hui, elles ne parviennent toujours pas à les comprendre. Il ne s’agit pas d’un degré mineur de confusion, mais d’un grave degré de confusion. Peu importe à quel point les divers aspects de la vérité sont expliqués en détail, elles les confondent tous. Elles ne saisissent que quelques slogans et doctrines, tels que « Nous devons nous dépenser pour Dieu, être loyaux envers Dieu et bien faire nos devoirs ! » Elles s’accrochent à quelques règlements, slogans et théories, et pensent qu’elles pratiquent la vérité. Plus tu échanges de manière spécifique, plus elles sont déconcertées et plus elles ont le sentiment que cela les dépasse, que c’était mieux avant, quand les échanges étaient simples. En outre, plus l’explication est détaillée, plus elles éprouvent de difficultés : « Comment puis-je me souvenir de quelque chose d’aussi détaillé ? Avant, pratiquer était assez simple. À présent, plus nous échangeons, plus il y a de déclarations ; pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi plus on en dit, moins je sais comment pratiquer ? Avant, faire un devoir était assez simple : il suffisait de renoncer à des choses, de se dépenser, de courir partout, de beaucoup prêcher l’Évangile et de beaucoup témoigner de Dieu. Maintenant, les vérités concernant l’exécution d’un devoir ont été expliquées en détail, de même que tous les autres aspects de la vérité, mais plus ces choses sont expliquées, moins je les comprends et plus elles me dépassent. » Plus l’explication est détaillée, plus ces vérités leur échappent : n’est-ce pas là être confus ? Elles sont gravement confuses, n’est-ce pas ? Même si divers aspects de la vérité ont été expliqués en détail, elles sont toujours perplexes et toujours confuses au sujet de certains termes conceptuels et définitionnels. Par exemple, elles ne savent pas et ne peuvent pas percer à jour ce que sont les personnes malfaisantes ou les faux dirigeants ; elles ne savent pas non plus ce qu’est la bonne humanité et ce qu’est la mauvaise humanité, ni ne connaissent la différence entre le fait de pratiquer les vérités-principes et d’adhérer à des règlements. Ces questions spécifiques sont toutes un imbroglio pour elles. Elles ne comprennent même pas ces choses conceptuelles ; leur pensée est désordonnée. De plus, quoi qu’elles fassent, elles sont incapables de trouver les principes, elles n’ont pas d’étapes à suivre, pas de plans concrets, et elles ne savent pas quelles méthodes elles devraient utiliser ni quels résultats elles devraient atteindre ; elles ne peuvent pas non plus voir clairement quelles conséquences entraînera une certaine façon d’agir. Dans leur esprit, elles se demandent : « Pourquoi devrais-je me préoccuper de ces choses ? Si je ne sais pas comment faire quelque chose, je le ferai à l’aveuglette ; de toute façon, tant que mon cœur est sincère envers Dieu, c’est suffisant. » Tu vois, ces personnes sont incroyablement confuses, n’est-ce pas ? Elles croient en Dieu depuis de nombreuses années, mais elles ne savent pas quels aspects de la vérité elles sont parvenues à comprendre, ni si elles ont pratiqué la vérité. Quand on leur demande si elles ont une entrée dans la vie, elles disent : « Eh bien, je crois en Dieu depuis de nombreuses années et j’ai renoncé à ma famille. » Elles ne sont pas au clair sur toutes ces choses ; c’est là être gravement confus. Lors des chants et des danses dans les réunions, elles sont pleines d’énergie, mais quand vient le moment des sermons et des échanges sur la vérité, elles deviennent somnolentes, le marchand de sable arrive et elles peuvent même s’endormir. Quand il s’agit de faire un travail, elles sont prêtes à fournir des efforts et elles disent : « Faisons bien nos devoirs et offrons notre loyauté à Dieu ! » Mais quand il s’agit d’échanger sur la vérité, si on leur demande : « Avez-vous récolté de quelconques gains récemment ? Avez-vous reconnu les tempéraments corrompus que vous avez révélés ? Après les avoir reconnus, avez-vous trouvé un chemin pour les résoudre ? », elles répondent : « Je n’en ai aucune idée. Je les ai un peu reconnus, mais je ne sais pas si ce que j’ai reconnu est juste ou non. Quoi qu’il en soit, j’ai simplement continué à pratiquer comme cela, mais je ne sais pas si c’est exact ou non. » Ces personnes ne peuvent rien voir clairement et leur esprit est confus et flou. Elles ne savent pas ce pour quoi elles sont douées, ni ce pour quoi elles sont déficientes. Lors des échanges portant sur la connaissance des tempéraments corrompus, elles admettent qu’elles ont des tempéraments corrompus, qu’elles mentent également et que, parfois, elles agissent de manière fuyante et se relâchent. Mais lorsqu’elles sont confrontées à des situations réelles, si on leur demande : « Pourquoi as-tu agi de manière fuyante et t’es-tu relâché ? Pourquoi t’es-tu livrée à la tromperie ? », elles répondent : « Ce n’est pas vrai ! Je ne l’ai pas fait exprès ! Je pensais que c’était la façon appropriée de le faire, alors c’est ce que j’ai fait. » Supposons que quelqu’un les expose en disant : « Tu pensais qu’il était approprié d’agir comme cela, mais avais-tu des intentions ou des plans personnels ? Sais-tu comment réfléchir sur toi-même ? Sais-tu quelles conséquences aura le fait d’agir de cette façon ? » Elles répondent : « Du moment que je n’avais pas de mauvaises intentions, tout va bien. » « Est-ce que le fait de ne pas avoir de mauvaises intentions équivaut à agir conformément aux vérités-principes ? » « Je ne sais pas. » Elles ne savent rien. Elles ont écouté tant de vérités et tant d’échanges et, dans leur vie quotidienne, elles ont été confrontées à toutes sortes de questions liées à la vérité, mais elles demeurent dans le flou et embrouillées au sujet de chaque vérité. Elles sont incapables de distinguer les choses qui sont des vérités de celles qui n’en sont pas, et elles ne savent pas non plus comment pratiquer la vérité lorsqu’elles sont confrontées à des situations. Elles ne savent pas si leurs actes et leurs comportements sont en accord avec les vérités-principes, et elles agissent simplement selon leur bon vouloir. N’est-ce pas là de la confusion ? (Si.) Elles n’ont aucun principe dans tout ce qu’elles font, ni dans la manière dont elles traitent les autres. Par exemple, en ce qui concerne le traitement des personnes malfaisantes, il existe des personnes malfaisantes qui ont certains points forts ou certaines compétences professionnelles et qui peuvent encore rendre service pour l’instant ; de telles personnes peuvent alors être autorisées à rendre service. Mais certaines personnes ne parviennent tout simplement pas à comprendre cela : « Dieu n’aime pas les personnes malfaisantes, n’est-ce pas ? Alors pourquoi sont-elles encore utilisées ? » Lorsque tu échanges avec ces personnes confuses pour leur expliquer que c’est de la sagesse et que c’est aussi un principe, elles réfléchissent et se disent : « Quel principe ? N’est-ce pas simplement tromper les gens ? N’est-ce pas exploiter les gens ? » C’est ainsi qu’elles le perçoivent. Dites-Moi, ont-elles la pensée de l’humanité normale ? Elles ne savent pas comment identifier les principes selon lesquels agir en fonction des circonstances concrètes. Peuvent-elles atteindre le niveau de l’intelligence humaine normale ? (Non.) Ceux qui ont la pensée de l’humanité normale et une intelligence normale peuvent tous comprendre et saisir cette question, mais les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux ne peuvent même pas saisir cette simple affaire. Comment pourraient-elles alors comprendre la vérité ? Elles disent souvent ceci : « La dernière fois, tu as dit telle chose à propos de telle affaire. Pourquoi dis-tu quelque chose de différent aujourd’hui ? Tes paroles ne sont pas fiables, comment peux-tu les changer à tout instant ? » Ces personnes ne savent pas que le statut de l’affaire en question est à présent différent, et que l’approche pour la traiter doit donc changer également. Les principes et les objectifs restent toutefois les mêmes. Simplement, la méthode de traitement de l’affaire a changé : elle est ajustée en fonction des circonstances spécifiques, elle s’adapte et réagit chaque fois que nécessaire en fonction du statut de l’affaire en question, afin d’atteindre de meilleurs résultats. Lorsque les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont confrontées à de telles situations, elles sont incapables de les percer à jour. Elles croient que les vérités-principes sont des règlements et qu’elles doivent être respectées immuablement à tout moment. Ainsi, quand tu ajustes la méthode pour faire quelque chose en te basant sur les vérités-principes, elles ne le comprennent pas et ne peuvent pas l’accepter. Certaines d’entre elles peuvent même te condamner et trouver un moyen de pression à utiliser contre toi. Intérieurement, elles sont incapables de voir clairement l’essence ou la nature de quoi que ce soit. Leurs pensées sont confuses. Pour considérer quoi que ce soit, elles se contentent d’y appliquer des règlements ; elles ne savent jamais comment l’évaluer en fonction des vérités-principes, ni comment adopter différentes méthodes pour le résoudre et y réagir en fonction de la loi de son développement. Chez les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux, cette caractéristique qui consiste à avoir l’esprit confus est très évidente, n’est-ce pas ? (En effet.)
Les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont incapables de discerner les autres. Lorsqu’elles rencontrent quelqu’un qui s’exprime en toute honnêteté, mais qui agit de manière quelque peu sournoise, elles ne parviennent pas à percer à jour le genre d’individu dont il s’agit réellement, ni à déterminer si cet individu est quelqu’un qui poursuit réellement la vérité. Confrontées à des situations complexes qui nécessitent une réflexion dialectique, ces personnes sont déconcertées et incapables de les comprendre, et ne savent pas comment les évaluer. Leur pensée est confuse, leur réflexion ressemble à un enchevêtrement inextricable, et elles ne parviennent jamais à démêler leurs propres pensées. Peu importe combien de fois tu leur indiques les principes, elles ne savent pas comment appliquer les vérités-principes pour discerner les différentes personnes, les différents événements et les différentes choses. Par exemple, lorsqu’il s’agit de signaler des problèmes, elles ne peuvent pas rendre compte avec précision de la situation réelle. Certains dirigeants sont capables d’effectuer un travail concret, mais dans certains cas, il peut y avoir des écarts dans l’accomplissement de leur travail et ils peuvent afficher certaines révélations de leur tempérament corrompu ; cependant, en termes d’humanité et de capacité de travail, ils sont globalement à la hauteur. Pourtant, certaines personnes confuses ne tiennent pas compte du fait que ces dirigeants peuvent faire du travail concret, ni des mérites de leur humanité. Au contraire, elles ne font que relever leurs imperfections, leurs défauts et certains problèmes mineurs et insignifiants à signaler. En revanche, les véritables antéchrists et les personnes malfaisantes, ces individus qui commettent de grands maux, sont incapables d’accomplir le moindre travail concret et ne font que prononcer des formules et des doctrines pour fourvoyer les autres. Ils agissent en apparence avec éclat, mais en réalité, leur humanité n’est pas à la hauteur, le chemin qu’ils ont choisi est erroné, leur humanité est celle de personnes malfaisantes et d’antéchrists, et le chemin qu’ils suivent est celui des antéchrists, qui consiste à ne pas poursuivre la vérité ; et pourtant, ces personnes confuses sont incapables de percer à jour ces choses. Elles voient que ces individus se mettent en scène lorsqu’ils font leur travail et présument qu’ils ont des talents de direction et des compétences organisationnelles, qu’ils peuvent bien faire le travail. Quant aux résultats que leur travail produit réellement, quant à savoir s’ils se sont repentis et ont changé, ou si leur humanité est à la hauteur, elles ne savent rien de tout cela. Même si elles sont fourvoyées et contrôlées par les antéchrists, elles n’en auront pas conscience ; elles suivront les antéchrists et leur obéiront, mais continueront à croire qu’ils suivent Dieu, qu’ils prêchent l’Évangile et témoignent de Dieu. En réalité, les antéchrists auront depuis longtemps pris le contrôle sur elles ; elles ne croiront pas en Dieu, mais suivront des personnes, elles suivront des démons et des Satans, sans toutefois en avoir conscience. Intérieurement, elles auront depuis longtemps été remplies de ténèbres, elles auront depuis longtemps perdu la présence de Dieu et elles auront depuis longtemps perdu l’œuvre du Saint-Esprit. Comme elles sont très insensibles, que leur compréhension est déformée et qu’elles ne comprennent aucune des vérités-principes, elles sont incapables de percer à jour les choses et de discerner les gens. Non seulement elles ne signalent pas les problèmes et ne font pas renvoyer les antéchrists, mais elles prennent même leur défense. En revanche, lorsqu’il s’agit de dirigeants et d’ouvriers qui sont véritablement capables de faire un travail concret, si elles remarquent des défauts mineurs ou de petits problèmes, elles insistent pour signaler et soulever ces problèmes, même s’il ne s’agit pas de questions de principe. Ces personnes sont gravement confuses ! Il n’y a pas une seule question de principe qu’elles soient capables de percer à jour, même lorsqu’il s’agit de déterminer avec qui elles doivent interagir dans la vie quotidienne, de qui elles peuvent gagner de l’aide et des avantages, ou de qui elles doivent se tenir à l’écart, elles sont incapables de discerner ou de percer à jour ces choses. Certaines d’entre elles entretiennent de très bonnes relations avec des incrédules et des non-croyants, pensant que ces individus sont cultivés, qu’ils ont du calibre et peuvent donc les aider, et qu’il est très avantageux de les fréquenter. Elles font même fréquemment l’éloge de ceux qu’elles idolâtrent, en vantant leurs capacités et leur prestige. Elles vénèrent les démons comme des idoles. N’est-ce pas là faire preuve de confusion ? (Si, en effet.)
Que signifie précisément être confus ? (C’est avoir un calibre médiocre.) Ce sont là des termes généraux ; plus précisément, être confus signifie qu’une personne n’a pas de pensées ni de points de vue précis pour discerner quoi que ce soit et que, quoi qu’elle considère, elle n’a ni principes ni fondements, et que son opinion à ce sujet est confuse. Voilà un aspect. De plus, les personnes de ce type sont incapables de distinguer le bien du mal et le noir du blanc : elles confondent souvent les choses négatives avec les choses positives et qualifient les choses positives de négatives. Elles sont incapables de discerner ce que sont les choses positives et ce que sont les choses négatives. Par exemple, certains individus disent : « Le dieu en qui vous croyez n’est qu’une personne. » Elles réfléchissent à cela et disent : « Non, ce n’est pas vrai. Celui en qui je crois est dieu. S’il n’était qu’une personne, comment pourrait-il exprimer la vérité ? Celui en qui je crois est dieu, j’en suis certain. » Sur ce point, elles ne sont pas confuses. Mais quand quelqu’un dit : « Le dieu en qui vous croyez s’est enfui avec un paquet d’argent, il s’est échappé aux États-Unis pour y mener la grande vie », elles sont déconcertées et induites en erreur. Si une personne douée d’intelligence entendait ces paroles, elle discernerait qu’il s’agit d’une rumeur inventée de toutes pièces. Comment pourrait-on appeler cela « s’enfuir avec un paquet d’argent » ? Lors du passage à la douane, tout le monde est soumis à une inspection stricte, et la quantité d’argent liquide que chaque personne peut transporter est réglementée. Le fait d’emporter cette petite somme d’argent pourrait-il être assimilé à « s’enfuir avec un paquet d’argent » ? En outre, à qui appartient cet argent ? Si quelqu’un détournait l’argent d’autres personnes ou s’en emparait, on pourrait appeler cela « fuir avec un paquet d’argent », mais s’il s’agit de son propre argent, peut-on appeler cela « fuir avec un paquet d’argent » ? Ce n’est pas « fuir avec de l’argent », mais transporter de l’argent normalement. C’est là un aspect. Par ailleurs, que signifie « s’enfuir » ? Lorsqu’un fugitif s’échappe après avoir commis un crime, on appelle cela « s’enfuir ». Christ incarné a-t-Il commis un crime ? Il a simplement exprimé de nombreuses vérités et réalisé Son œuvre de jugement en Chine continentale, gagnant un groupe de personnes qui Le suivaient, et pour cela, Il a subi la répression brutale et les arrestations frénétiques du PCC. En fin de compte, Il n’a eu d’autre choix que de conduire certaines personnes hors du pays pour poursuivre l’œuvre de Dieu à l’étranger. Comment peut-on appeler cela « fuir avec un paquet d’argent » ? Il s’agissait d’un voyage normal, en passant par la douane et en prenant l’avion pour les États-Unis de manière tout à fait normale. Il a quitté le pays parce qu’Il était pourchassé par le PCC et qu’Il n’avait nulle part où Se reposer ni où séjourner. Sous le régime dictatorial du PCC, non seulement il n’y a pas de liberté religieuse, mais croire en Dieu conduit également à se faire arrêter et persécuter ; quant à Christ, qui exprime la vérité pour sauver l’humanité, s’Il était capturé, Il serait condamné à mort et crucifié. C’est uniquement pour les besoins de l’œuvre que Christ a choisi de Se rendre dans un pays démocratique et libre, et Il a obtenu un passeport et un visa par les voies normales avant d’arriver aux États-Unis. Aux États-Unis, Il n’a ni amis ni famille, Il ne connaît pas bien les lieux et mène une vie ordinaire, en mangeant des repas simples et faits maison ; Il ne vit en aucun cas « la grande vie ». « Vivre la grande vie », n’est-ce pas là simplement la formule de ceux qui ont des arrière-pensées ? N’est-ce pas un mensonge ? Christ mène la vie d’une personne ordinaire aux États-Unis : Il mange des plats faits maison, ne dîne jamais dans un restaurant haut de gamme pour savourer un repas somptueux et Il lui arrive encore moins de séjourner dans un hôtel haut de gamme. Il voyage très rarement et Se contente de Se déplacer dans les zones voisines. Aucune de ces choses ne présente d’attrait particulier pour Lui. Certaines personnes adorent manger et veulent goûter tout ce qu’elles n’ont jamais mangé auparavant, allant même jusqu’à se faire livrer des plats par avion juste pour les goûter. Ai-Je jamais fait cela ? Jamais. Mais malgré tout, certaines personnes qui ont des arrière-pensées ont inventé une histoire de toute pièces à ce sujet ! Ces personnes sont des démons. Elles sont nées ennemies de Dieu, et c’est leur nature innée que d’agir ainsi ; elles se reposent principalement sur le mensonge pour tromper les gens et diffamer Dieu. Elles sont indubitablement des démons. Alors, quel genre de personne peut croire les mensonges de ces démons ? Bien entendu, ces personnes doivent également être des démons, car seuls les démons croient aux paroles des démons. Certains individus affirment : « Le christ en qui vous croyez s’est enfui avec un paquet d’argent », et elles le croient immédiatement et l’acceptent sans réserve. Certains individus disent : « Le christ en qui vous croyez a fui aux États-Unis et y mène la grande vie, il mange tellement de mets délicats qu’il en est lassé, il séjourne dans des hôtels de luxe, se déplace dans des voitures de luxe, avec un chef cuisinier et des serviteurs personnels, et part à l’étranger pour visiter des sites touristiques célèbres ; il passe tout son temps à vivre la grande vie. » Une fois que Satan leur a fait un lavage de cerveau, ces personnes à l’esprit confus croient immédiatement ces choses. Je dis que ces personnes devraient être livrées à Satan ; elles ne sont pas dignes de croire en Dieu. Peu importe le nombre de sermons qu’elles ont entendus, elles ne comprennent tout simplement pas et peuvent encore croire à ces rumeurs. Les personnes de ce genre ne sont pas humaines. Si elles ne sont pas humaines, que sont-elles ? Ce sont des animaux. Bien qu’elles ne soient pas des personnes malfaisantes, elles sont gravement confuses, incapables de distinguer le bien du mal, le positif du négatif, le vrai du faux, la vérité de la malveillance et des raisonnements tordus. De telles personnes devraient être évincées : si elles ne partent pas d’elles-mêmes, elles doivent être évincées de l’Église. Il faut les renvoyer immédiatement et nous les mettrons volontiers à la porte. Le PCC a sa propre façon de décrire l’exclusion des personnes par l’Église, il dit que l’exclusion et l’expulsion des personnes sont une démonstration de force. Tu vois, les démons et les Satans comprennent chaque chose d’une manière tout à fait ridicule. Cela expose simplement que beaucoup d’actes du PCC sont faits dans le but de démontrer sa force ; ainsi, il interprète l’éviction des personnes par l’Église comme une démonstration de force. Le PCC suppose que les autres pensent de la même manière que lui et ne comprendra jamais que l’Église agit ainsi uniquement en se basant sur la vérité et les paroles de Dieu : la purge de l’Église fait partie des décrets administratifs de l’Église. Les démons ne sont-ils pas malveillants ? (Si, en effet.) Ils sont vraiment malveillants ! Et il y a beaucoup de personnes confuses : peu importe à quel point les démons sont malveillants, les personnes confuses sont incapables de voir qu’ils le sont. Lorsque les démons inventent des rumeurs sur Dieu, qu’ils L’insultent et blasphèment contre Lui, ces personnes croient tout ce qu’ils disent. Mais peu importe à quel point les paroles de Dieu sont réelles et positives, elles n’y croient pas. Peu importe les bienfaits que les paroles de Dieu apportent aux gens, elles ne peuvent pas les voir. Pourtant, dès que Satan prononce le moindre mot, elles sont induites en erreur et le croient sans poser de questions. On pourrait dire qu’elles sont du même acabit que Satan, mais Satan ne veut pas vraiment d’elles. Pourquoi ? Parce que des imbéciles comme elles, de tels parfaits idiots, sont trop stupides, même pour Satan. Tu es incapable de faire quoi que ce soit, alors tout ce que Satan fait, c’est te fourvoyer pour que tu ne croies pas en Dieu et que tu Le trahisses ; Satan ne veut pas de quelqu’un comme toi. Que pourrais-tu bien faire ? As-tu les compétences nécessaires pour te livrer à l’espionnage ? Tu n’as même pas l’intelligence humaine. Tu exposerais ton identité avant même d’avoir fini trois phrases. Même si tu voulais être un espion pour le PCC, le PCC ne voudrait pas de toi. Étant donné que tu es stupide, confus, si facile à tromper, et que tu n’as pas d’intelligence humaine, même Satan te méprise et ne veut pas de toi. Ainsi, lorsque la maison de Dieu te demande de faire ton devoir, c’est Dieu qui t’exalte, ne te sens donc pas lésé. Tu crois tout ce que dit Satan, mais peu importe la mesure de l’œuvre faite par Dieu ou le nombre de paroles qu’Il a prononcées, tu n’y crois pas. Tu n’as pas une véritable foi en Dieu et tu restes pétri de doutes. Satan prononce un seul mot et il te prend au piège. Quel genre de misérable es-tu ? Quelle dignité as-tu ? Quelle valeur as-tu ? Tu n’es rien d’autre qu’une personne confuse, mais tu penses que tu es plutôt bon et tu te crois noble. Tu n’es même pas capable de discerner des mensonges de Satan aussi évidents et tu es incapable de reconnaître l’objectif de Satan qui les sous-tend. N’est-ce pas là une extrême confusion ? Le PCC dit : « Le christ en qui vous croyez s’est enfui avec beaucoup d’argent et mène la grande vie aux États-Unis. » Lorsque ces personnes confuses entendent cela, leur cœur s’emballe : « Est-ce vrai ? Comment se fait-il que je ne sois pas au courant ? S’est-il enfui avec tout l’argent que j’ai donné en offrande ? Cet argent n’a pas été utilisé pour le travail d’Église, n’est-ce pas ? Il a été dépensé pour son plaisir personnel, n’est-ce pas ? Ce christ l’a utilisé pour acheter de la bonne nourriture, de beaux vêtements et des bijoux précieux pour lui-même, n’est-ce pas ? Je n’ai même pas pu en profiter, je lui en ai fait offrande et il l’a utilisé pour son propre plaisir. Je refuse catégoriquement d’accepter cela. Je ne crois plus ! Je dois récupérer mon argent ! » Si tu regrettes tes offrandes d’argent, la maison de Dieu peut te le rendre, mais à partir de ce moment-là, tu seras complètement écarté de la maison de Dieu. Tu as écouté des sermons pendant tant d’années : quelle part de vérité as-tu reçue gratuitement ? Tu as bénéficié de la grâce, des bénédictions, de la protection et de l’attention de Dieu pendant tant d’années : as-tu dépensé un seul centime ? Dieu t’a-t-Il jamais demandé de l’argent ? La grâce, les bénédictions, l’attention et la protection de Dieu, y compris ta propre vie, t’ont toutes été accordées par Dieu. Peux-tu acheter avec de l’argent ce que Dieu accorde ? Que pourrais-tu échanger contre cela ? Peux-tu échanger tes quelques pièces de monnaie crasseuses contre cela ? Ces choses sont des trésors inestimables, tu ne peux rien échanger contre elles, personne ne le peut ! Elles te sont accordées parce que Dieu est disposé à le faire, parce que Dieu te montre Sa grâce et te traite comme un être créé. Ce ne sont pas des choses que tu as achetées avec de l’argent, ni des choses que tu as obtenues en échange d’un prix que tu as payé. Les personnes à l’esprit confus sont incapables de percer à jour ces choses. Dans leur cœur, elles sont toujours perplexes ; elles se demandent sans cesse : « Dieu cache-t-il quelque sombre secret ? Outre les sermons, n’y a-t-il pas beaucoup d’autres choses qui devraient être clarifiées et nous être expliquées ? Ne devrait-il pas y avoir une explication, un compte rendu ? Sa vie privée, ses paroles et ses actes en coulisses ne devraient-ils pas être divulgués à tous ? » Beaucoup de personnes à l’esprit confus ont cette mentalité : elles ne le disent peut-être pas à haute voix, mais c’est ce qu’elles pensent dans leur cœur. Dieu doit-Il divulguer tout ce qu’Il fait à l’humanité corrompue ? Dieu a déjà exprimé tant de vérités, et c’est là la plus grande forme de divulgation : cela révèle toutes les personnes. Si tu ne crois pas que tout ce que Dieu fait est la vérité, alors tu n’as pas la moindre connaissance de Dieu. Si tu fais des commentaires arbitraires à propos de Dieu, tu attaques Dieu et tu Lui résistes. Dieu a déjà rendu publique toute vérité afin que les gens puissent utiliser la vérité pour considérer les choses. La façon dont on doit considérer les gens, la façon dont on doit considérer les choses, et quels points de vue et principes on doit avoir pour se conduire et agir : tout cela se trouve dans les paroles de Dieu. Si tu ne le sais toujours pas et que tu n’es pas au clair à ce sujet, c’est parce que tu es confus ; tu es un individu confus. Les personnes confuses ne sont pas dignes d’être informées des affaires de Dieu et de celles de la maison de Dieu, et les démons le sont encore moins, car les personnes confuses et les démons n’ont absolument aucune compréhension de la vérité ; ils ont tendance à appliquer aveuglément des règlements, à porter des jugements aveugles sur ces affaires et à les condamner aveuglément. Ils n’ont aucun discernement et aucun principe. On peut affirmer avec certitude que les personnes confuses et les démons ne sont pas dignes de rester dans la maison de Dieu : ils devraient disparaître ! Les personnes confuses et absurdes ne possèdent pas les conditions de base pour comprendre la vérité, ni celles pour parvenir au salut : elles peuvent être capturées par Satan à tout moment et en tout lieu. Dites-Moi, quand Dieu a-t-Il jamais donné des sermons ou expliqué la vérité aux animaux ? Ainsi, que les gens puissent comprendre la vérité ou non, le fait qu’ils puissent entendre autant de sermons est entièrement le fruit de la grâce de Dieu et de l’exaltation de Dieu. Si tu doutes constamment de Dieu, en te demandant : « Celui en qui je crois est-Il réellement le vrai Dieu ? Dieu existe-t-Il vraiment ? Dieu exerce-t-Il vraiment sa souveraineté sur toutes choses ? Dieu est-Il réellement bon envers les gens, ou fait-Il seulement semblant ? Dieu est-Il vraiment la vérité, et peut-Il vraiment sauver les gens ? » Si tu penses ainsi et que tu traites Dieu avec une telle attitude, alors tu mérites la mort. Tôt ou tard, Dieu mettra en place un certain environnement par le biais duquel Il te livrera à Satan, et ta relation avec Dieu sera complètement rompue. La relation entre toi et Dieu ne sera plus celle entre un être créé et le Créateur, et à partir de ce moment-là, tu n’auras plus rien à voir avec Dieu.
Nous venons d’échanger sur la troisième manifestation des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux : le fait que leur esprit est confus. Il existe une autre manifestation, à savoir leur stupidité. La stupidité est également liée à l’intelligence. À quel point exactement ces personnes sont-elles stupides ? Quelles manifestations démontrent la stupidité ? Certaines personnes, lorsqu’elles prêchent l’Évangile, disent : « Faites preuve de considération envers les intentions de Dieu ! Dieu n’a même pas d’endroit où reposer Sa tête. Les intentions de Dieu sont minutieuses ! L’œuvre de Dieu n’est pas facile, elle est ardue ! » Lorsque les non-croyants entendent cela, ils disent : « Qu’est-ce que c’est que ce charabia dont tu parles ? » Ces paroles sont incompréhensibles pour les non-croyants. Ils ne croient pas en Dieu, ils ne savent donc pas à quoi ces paroles font référence ni quel est leur contexte. Alors, n’est-il pas stupide de ta part de dire ces choses ? (Si.) En quoi est-ce stupide ? Elles sont adressées au mauvais public, n’est-ce pas ? (En effet.) Certaines personnes dont l’esprit est confus, après avoir été arrêtées, sont interrogées par la police malveillante : « Vous croyez en dieu, que vous dit-il de faire ? Ne savez-vous pas que croire en dieu est illégal ? Vous avez violé la loi. L’État n’autorise pas une telle croyance ! » En réalité, ces policiers malveillants cherchent simplement quelques éléments compromettants qu’ils pourraient utiliser pour inculper les croyants en Dieu, mais les personnes stupides de ce genre ne parviennent pas à percer cela à jour. Elles répondent : « Notre croyance en Dieu n’est pas illégale. Dieu nous dit d’être honnêtes, de suivre le chemin correct et d’être de bonnes personnes. » Lorsque les démons entendent cela, ils répondent : « Puisque dieu vous demande d’être honnêtes, dis-nous : qui sont les dirigeants de votre Église ? Où est conservé l’argent de votre Église ? Parle honnêtement ! Si tu ne parles pas honnêtement, ton dieu te condamnera ! » En entendant cela, ces personnes stupides sont abasourdies. N’est-ce pas de la stupidité ? Comment peut-on parler honnêtement aux démons ? Comment peut-on dire la vérité de Dieu aux démons ? Quoi qu’il arrive, il ne faut jamais la leur dire. Il y a aussi des personnes stupides qui demandent à la police : « Pourquoi nous arrêtez-vous tout le temps ? Pourquoi compliquez-vous toujours les choses pour nous, les croyants en Dieu ? Pourquoi inventez-vous toujours des rumeurs à notre sujet ? » Ne savent-elles vraiment pas pourquoi ? S’attendent-elles à obtenir une réponse de leur part ? Obtiendront-elles une réponse ? N’est-il pas absurde de leur demander cela, n’est-ce pas faire preuve de stupidité ? Mais ces personnes stupides peuvent en effet poser ce genre de questions stupides. Elles ne comprennent tout simplement pas et continuent à demander : « Pourquoi le PCC nous persécute-t-il toujours ? Pourquoi nous arrêtent-ils toujours, nous les croyants en Dieu, en allant même jusqu’à inventer des rumeurs à notre sujet ? Nous sommes clairement persécutés et ne pouvons pas rentrer chez nous, pourtant ils disent que nous avons abandonné nos familles. Ces démons ne fondent pas leurs propos sur des faits ! N’est-ce pas une invention pure et simple ? Nous créons simplement des vidéos de performances artistiques pour témoigner de Dieu et propager Ses paroles. Pourquoi les démons et les Satans haïssent-ils cela à ce point ? Ils se rendent toujours chez moi pour menacer et intimider ma famille et mes proches, et ils installent même des caméras de surveillance ; pourquoi ? » Est-il même besoin de le demander ? N’est-ce pas une chose stupide à dire ? Si tu venais de commencer à croire en Dieu, il serait normal que tu ne comprennes pas ce qui se passe. Mais tu crois en Dieu depuis tant d’années, comment se fait-il que tu ne saches toujours pas cela ? Et si tu le sais, alors pourquoi poses-tu la question ? Certaines personnes ne parviennent toujours pas à comprendre cela : « Nous ne nous sommes jamais opposés au Parti ni à l’État, nous ne nous sommes jamais livrés à des activités politiques, nous n’avons jamais tenté de renverser le gouvernement ni son régime, nous n’avons jamais représenté une menace pour son régime, alors pourquoi le PCC ne cesse-t-il de nous arrêter et de nous persécuter ? Nous sommes constamment en train de nous cacher, sans pouvoir rentrer chez nous ni appeler nos familles, même si nous le souhaitons. Je ne comprends pas : pourquoi le PCC nous complique-t-il toujours les choses ? » Si tu ne peux vraiment pas percer cela à jour, alors tu es bien trop ignorant, tu es vraiment stupide. Imaginons qu’une femme épouse un mari non-croyant. Lorsqu’ils sortaient ensemble, il lui disait : « Je croirai avec toi, moi aussi, nous entrerons ensemble dans le royaume des cieux. » Il parlait si gentiment, mais en réalité, c’est un incrédule, un démon : il ne faisait que la mener en bateau. Mais quand elle renonce à tout afin de se dépenser pour Dieu, il devient furieux. Il ne la laisse pas assister aux réunions, ne la laisse pas faire son devoir et ne la laisse pas lire les paroles de Dieu. Cette femme stupide reste perplexe : « Il n’était pas comme ça avant. Il m’aimait tellement, prenait tellement soin de moi, me comprenait si bien et soutenait pleinement ma croyance en Dieu. Pourquoi semble-t-il être une personne complètement différente à présent ? Avant, il croyait, lui aussi, pourquoi est-il devenu comme ça ? » Pendant les quelques années où elle est loin de chez elle à faire son devoir, elle réfléchit constamment à cette question : « Mon mari ne pourrait en aucun cas chercher une autre femme. C’est moi qu’il aime le plus. Je suis la seule pour lui, je suis son premier amour. Il n’aimerait jamais une autre femme. Par ailleurs, mon mari est un homme candide, et il n’a ni grandes capacités ni grandes compétences ; qui voudrait être avec lui ? » En réalité, même au moment où elle se dit cela, elle se sent mal à l’aise dans son cœur. Elle espère que son mari l’attend encore. Mais en réalité, même lorsqu’elle était encore à la maison, comme elle était occupée à croire en Dieu et à faire son devoir chaque jour, il avait déjà trouvé une autre femme. Pourtant, elle pense que c’est impossible : « N’importe qui d’autre pourrait chercher une autre femme, mais pas lui. Il n’est pas ce genre de personne ! Quand j’étais encore à la maison, il disait même qu’il voulait croire en Dieu ! » Dites-Moi, cette femme ne se montre-t-elle pas extrêmement stupide ? (Si.) Elle n’a pas été à la maison pendant toutes ces années ; non seulement son mari a trouvé quelqu’un d’autre, mais même ses enfants et ses parents l’ont désavouée. Elle a cessé d’être considérée comme un membre de cette famille depuis longtemps. Qui sait comment ils l’insultent dans son dos ou à quel point ils la haïssent. Pourtant, elle est incapable de percer cela à jour. Dites-Moi, n’est-ce pas stupide ? (Si.) À quel point est-elle stupide ? Au point qu’elle est complètement dénuée d’intelligence humaine normale ; elle est donc incapable d’utiliser une pensée humaine normale pour considérer les personnes et les choses. Elle utilise toujours ses pensées et ses points de vue puérils, déformés et idiots pour considérer et évaluer les choses. En fin de compte, elle se retrouve souvent coincée dans des situations difficiles, devient très passive et agit de manière très ignorante. N’est-ce pas stupide ? (Si.) Il existe des personnes stupides de ce genre. Être stupide signifie qu’elles n’ont pas l’intelligence de l’humanité normale, de sorte que lorsqu’elles considèrent les personnes et les choses ou qu’elles gèrent des situations, elles n’ont donc pas comme soutien les principes de base qui leur permettraient d’obtenir de bons résultats, n’est-ce pas ? (En effet.)
En résumé, si l’on évalue les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux en utilisant la vérité comme norme, leur principale caractéristique est qu’elles n’en sont généralement pas à la hauteur, car la vérité est une norme élevée. Si on les évalue à l’aune de l’intelligence de l’humanité normale, elles sont même incapables de considérer les personnes, les événements, les choses ou les situations qui se présentent dans leur vie quotidienne avec la pensée de l’humanité normale. À proprement parler, dans la vie quotidienne, les personnes de ce type ne sont même pas en mesure de gérer de manière autonome leur alimentation, leur habillement, leur logement et leurs déplacements, ni de réagir à ces questions et de les traiter de manière autonome. Même si elles parviennent tout juste à survivre sans mourir de faim, d’après ce qu’elles manifestent dans leur gestion de diverses affaires, ces personnes paraissent très idiotes et maladroites, loin de posséder une véritable humanité normale. Prenez certains animaux, par exemple : ils ne savent même pas par eux-mêmes quelle quantité de nourriture il convient de manger. Ce n’est que si les gens les nourrissent à heures fixes et en quantités mesurées qu’ils peuvent manger de manière saine. Prenez les chiens, par exemple : si on les laisse manger librement, sans restriction de quantité, ils mangent trop. Ils continuent à manger jusqu’à être complètement gavés et physiquement incapables de manger davantage. Une caractéristique très évidente des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux est donc qu’elles sont incapables de gérer de nombreux aspects de leur propre vie de manière autonome. Pourquoi sont-elles incapables de le faire de manière autonome ? Parce qu’elles ne savent jamais quels sont les principes pour faire ces choses, quelles sont les conditions de base ou les limites à ne pas dépasser. C’est exactement comme certains animaux lorsqu’ils mangent : ils ne savent pas quelle quantité de nourriture est appropriée. Si les gens ne les contrôlent pas, ils mangeront jusqu’à être gavés à l’excès et mourront. Si quelqu’un les surveille et les nourrit, ils peuvent rester en bonne santé. Cette caractéristique est également très évidente chez les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux. Tout comme certaines personnes le disent : « Ils mangent sans savoir s’ils ont faim ou s’ils sont rassasiés et dorment sans savoir s’il fait jour ou nuit. » Alors, ces personnes possèdent-elles l’intelligence de l’humanité ? Il est très clair que non. Des considérations telles que la manière dont elles devraient manger pour réguler leur santé tout au long des quatre saisons de l’année, alors que leur corps fait l’expérience de différentes conditions, quels aliments sont sains et lesquels ne le sont pas selon la saison, quels modes de vie sont sains et lesquels ne le sont pas… Une personne normale, à l’âge de vingt ans, peut ne pas savoir ces choses, mais à trente ans, elle en connaît certaines, et à quarante ans, elle en connaît encore plus. À cinquante ans, en fonction de sa propre condition physique concrète, elle aura résumé un ensemble de règles de vie qui lui conviennent, et celles-ci seront essentiellement établies et fixées, sans autre changement majeur. Cependant, les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux, même si elles vivent jusqu’à quatre-vingts ans, ne parviennent toujours pas à résumer un ensemble de règles de vie. Elles mangent soit trop, soit trop peu, et souffrent soit de maux d’estomac, soit d’indigestion. Elles ne savent pas du tout quels problèmes de santé sont causés par quelles habitudes de vie ou quels aliments – elles mangent simplement sans modération. Si on leur demande de résumer un régime alimentaire ou une approche alimentaire qui leur convient, en fonction des aliments adaptés ou non à leur constitution et de diverses informations, elles sont incapables de le faire. Par exemple, quelqu’un sur Internet affirme que les coquilles d’œufs sont riches en calcium et que le fait d’en manger permet de compléter son apport en calcium, alors elles y réfléchissent : « Je ne suis pas très grande parce que je manque de calcium, je vais manger des coquilles d’œufs pour compléter mon apport en calcium. » Mais il s’avère qu’après en avoir mangé pendant un certain temps, leur taux de calcium ne semble pas s’être amélioré. Dites-Moi, cela n’est-il pas déformé ? Lorsque tu tombes sur des informations en ligne indiquant que les coquilles d’œufs sont riches en calcium et peuvent être utilisées comme complément alimentaire, comment devrais-tu saisir cela ? Il est très clair que les personnes qui mangent des coquilles d’œufs ont tendance à déformer les choses. Leur compréhension est incorrecte, donc leur pratique est déformée, extrême et idiote. Alors, quelle est la bonne façon de saisir cela ? Les coquilles d’œufs sont peut-être riches en calcium, mais elles ne sont pas comestibles. On ne sait toujours pas si elles peuvent réellement constituer un complément de calcium, et même si elles peuvent compléter les apports en calcium, on ignore également si elles sont assimilables. En outre, existe-t-il la moindre preuve que les coquilles d’œufs peuvent constituer un complément de calcium ? Cette affirmation a-t-elle été vérifiée ? En réalité, il existe de nombreux aliments qui peuvent compléter l’apport en calcium, et ils ont tous été validés médicalement. Si tu refuses d’accepter ces méthodes qui ont fait leurs preuves, alors tu es une personne absurde. Pourquoi ne pas simplement prendre des comprimés de calcium pour compléter ton apport en calcium ? C’est la méthode la plus simple. Ces comprimés ne font pas de mal à l’estomac ni aux dents, ils ont bon goût et tu peux en ressentir les effets. Ne s’agit-il pas là de la compréhension correcte ? (Si.) Pourtant, ceux dont la compréhension est déformée ne saisissent pas cela de cette façon, ils poussent les choses à l’extrême. Ils croient que « si quelqu’un affirme que les coquilles d’œufs peuvent compléter l’apport en calcium, alors les manger ne doit pas poser de problème. Si l’on a besoin de compléter son apport en calcium, il faut en manger ». Ils ne se demandent même pas si le corps peut les absorber après les avoir consommées. Cela reflète une compréhension déformée, c’est se montrer extrême. Si quelqu’un disait : « La peau de banane est riche en vitamines et la manger peut vous embellir », est-ce que vous la mangeriez ? (Non.) Pourquoi ? (Parce que certains aliments créés par Dieu doivent être mangés après avoir été pelés, selon l’ordre naturel des choses. Insister pour manger la peau, c’est pousser les choses à l’extrême. Si un individu souhaite compléter son apport en vitamines pour rehausser sa beauté, il devrait manger des aliments qui sont à la fois comestibles normalement et qui ont des effets embellissants.) Voilà la compréhension correcte. Mais regardez cet imbécile extrémiste : il ne saisit pas cela de cette manière. Il insiste pour se forcer à manger la peau et dit même : « Je dois me rebeller contre ma chair. Je dois manger la peau de banane pour compléter mes niveaux d’un nutriment spécifique. » Mais il ne se dit pas : « La peau de banane n’a pas bon goût. Ce n’est pas un aliment. Je ne la mangerai pas. Pourquoi ne pas simplement manger à la place un autre aliment qui contient ce nutriment ? » Ne s’agit-il pas là de la compréhension correcte ? (Si.) Si tu es capable de faire la distinction de cette manière, si tu es capable de saisir les choses de cette manière, cela prouve que tu fais preuve d’intelligence humaine. Mais si tu n’es pas capable de faire preuve de discernement de cette manière, et que dès que tu entends dire que la peau de banane contient un certain nutriment, tu insistes pour en manger, même si cela a mauvais goût, alors tu es un imbécile, tu es quelqu’un qui s’est réincarné à partir d’un animal, et tu ne possèdes pas la pensée de l’humanité normale. Toute hérésie ou idée fausse peut induire ces personnes en erreur, et elles sont tout simplement incapables de discerner la justesse ou la véracité de diverses informations : elles se font toujours duper. Tout cela constitue une manifestation de la façon dont les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux traitent diverses questions spécifiques : elles sont extrêmement stupides, leur compréhension est déformée et absurde, et elles poussent tout à l’extrême. Quand les gens disent que des recherches suggèrent que quelque chose est comestible, cela ne signifie pas que tu dois le manger, ni que rien d’autre ne peut le remplacer. Si tu dis que la vérité ne peut être remplacée par aucune théorie, c’est objectif et exact. Mais ces nutriments sont des substances matérielles : il est impossible qu’il n’y ait aucun substitut. Dieu a créé une grande variété d’aliments, et il existe de nombreux aliments qui contiennent différents nutriments. Les gens peuvent faire des choix précis en se basant sur leur constitution individuelle, leur tranche d’âge et leur état de santé actuel. Il n’est pas nécessaire de se conformer à des règlements. Après avoir entendu une information, les gens qui tombent dans des extrêmes ne peuvent pas la traiter correctement, ni la discerner. Ils sont toujours induits en erreur par ces choses et finissent par dire : « Tout ce qui se trouve en ligne est un mensonge, pas un seul mot n’est vrai ! » Tu vois, ils tombent à présent dans l’autre extrême. Tu peux rechercher des informations en ligne, mais tu dois savoir comment utiliser l’intelligence humaine et connaître la façon correcte d’employer la pensée humaine pour les discerner, afin de faire un choix correct quant à ce qu’il faut utiliser et ce qu’il faut rejeter. Si quelque chose t’est bénéfique, tu peux l’utiliser ; si cela ne t’est pas bénéfique ou ne te convient pas, tu peux le traiter comme une référence ou comme une sorte de connaissance commune. Les personnes douées de pensée humaine pratiquent de cette manière. Celles qui ne possèdent pas la pensée humaine pratiquent d’une manière qui dévie soit vers la gauche, soit vers la droite : elles sont soit trompées, soit dans l’incrédulité totale. Elles sont incapables de discerner de telles questions avec soin. Ces personnes semblent particulièrement obstinées, ridicules, confuses et idiotes dans leur manière de traiter divers types d’informations ou de gérer les questions de la vie réelle. Comment les personnes qui sont à ce point idiotes, qui sont incapables de discerner le vrai du faux ou le bien du mal, font-elles pour vivre leur vie au quotidien ? Rien qu’en observant leur comportement, on ne peut s’empêcher de s’inquiéter : peut-on encore espérer qu’elles parviennent à entrer dans la vérité-réalité ?
Une femme a épousé un voyou louche et se dit : « Mon mari m’aime tant. J’ai trouvé l’amour véritable, je suis tombée amoureuse », et elle a le sentiment de nager dans le bonheur. Mais en regardant son mari, les autres se rendent compte qu’il n’est même pas humain, qu’il est un démon, et ils se demandent comment elle peut encore être à ce point enivrée et prendre autant de plaisir. Même eux se font du souci pour elle et s’inquiètent à son sujet. Finalement, après avoir eu des enfants avec lui, elle est mise au rebut et se retrouve sans soutien. Sa vie devient insupportablement difficile ! Au vu des choses stupides que font les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux, il est clair que le fait qu’elles parviennent à vivre et à survivre est en grande partie dû à la grâce de Dieu. Dieu leur donne le souffle pour qu’elles puissent rester en vie et Il leur donne de la nourriture pour qu’elles puissent survivre. Les oiseaux dans le ciel, les petits animaux et même les fourmis sur le sol ont tous de quoi se nourrir – à quel point cela est-il plus vrai encore pour les êtres humains ? Puisque tu t’es réincarné en tant qu’être humain, Dieu te donne les moyens de survivre. Soit quelqu’un subvient à tes besoins, soit tu possèdes un certain point fort qui te permet de subvenir à tes besoins. C’est la grâce de Dieu. Dieu ne te laisse pas mourir de faim, mais te donne un moyen de survivre, afin que tu puisses vivre jusqu’à un âge avancé, jusqu’à la fin. Sans la grâce de Dieu, étant donné le calibre de naissance de ceux qui se sont réincarnés à partir d’animaux, leur absence de pensée normale et leur absence de la moindre capacité à gérer les problèmes, ces personnes ne pourraient alors même pas réussir à gagner leur vie. D’un autre point de vue, les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont en réalité très chanceuses. Compte tenu de leurs capacités à tous égards et de leur intelligence, il leur serait pratiquement impossible de gagner leur vie dans ce monde complexe et malfaisant. Toutefois, comme Dieu fait preuve de grâce et de miséricorde envers tous les êtres créés, que tu te sois réincarné à partir d’un animal ou d’un être humain, aux yeux de Dieu, si tu es un être créé et qu’Il t’a donné le souffle de vie, alors Il te fournit normalement ce dont tu as besoin pour vivre et survivre, te permettant ainsi de subsister et de continuer à vivre. Tu as donc tort si tu dis : « Je suis sorti et j’ai lutté pour gagner de l’argent, pour subvenir à mes besoins afin d’être bien nourri et en bonne santé ; je me débrouille très bien, non ? Ne m’insultes-tu pas en me qualifiant de stupide ? ». Le fait que tu puisses gagner de l’argent et subvenir à tes besoins n’est pas nécessairement dû à ta propre capacité : cela relève à 99 % de la grâce de Dieu. Dieu te donne de la vigueur et te permet ainsi de trimer pour gagner de l’argent afin de te nourrir ; Il te donne un certain point fort, ainsi qu’un corps en bonne santé, te permettant de faire un travail, de gagner de l’argent, de subvenir aux besoins de ta famille et de survivre. Sur quoi repose ta capacité à faire ces choses ? Tout cela repose sur le fait que Dieu t’a donné la condition innée la plus fondamentale qui te permet de t’engager dans un travail humain normal, te permettant en fin de compte de subvenir à tes besoins et d’assurer ta subsistance. En bref, quoi qu’il en soit, que tu sois stupide ou confus, à cet instant, en tant qu’être créé ayant l’apparence extérieure d’un être humain, tu devrais connaître ton identité et ta valeur. De plus, tu devrais saisir correctement ce que Dieu t’a accordé, ainsi que la grâce et la miséricorde de Dieu. Si tu corresponds aux différentes caractéristiques des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux et que tu as le sentiment que tu appartiens certainement à cette catégorie de personnes, que devrais-tu faire ? C’est facile à gérer : quelle que soit ton origine, que tu possèdes ou non naturellement l’intelligence et la pensée humaines, le fait est que tu as à présent une identité humaine. Puisque tu as une identité humaine, tu dois mener à bien le devoir d’un être humain : faire tout ce que tu peux, au mieux de tes capacités, et, dans toute la mesure du possible, réaliser et bien faire ce qu’un être humain doit faire. Certaines personnes disent : « Tu as déclaré que les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux se caractérisent par une compréhension déformée, de l’insensibilité, de la confusion et de la stupidité, ce qui signifie qu’elles ne possèdent pas l’intelligence humaine. La grande majorité de ces personnes ne comprennent pas du tout la vérité, comment peuvent-elles donc bien faire leur devoir et de manière appropriée ? » Si tu n’es pas tenu à des normes strictes, tu peux parvenir à bien le faire et de manière appropriée, car après tout, tu as maintenant une identité humaine ; du moment que tu es obéissant et que tu ne débites pas d’arguments tordus, tu peux y parvenir. Si tu n’es même pas capable de respecter ces deux points, alors Je dis que tu es vraiment en danger, et tu devras être évincé de l’Église. Si tu dis : « Je peux gérer ces deux points. Je ne débiterai pas de discours tordus et j’accepte les déclarations correctes. Je ferai tout ce qu’on me dira de faire et, peu importe comment on me dira de le faire, je le ferai de cette façon » ; si tu es vraiment capable de pratiquer de cette manière, alors tu seras en mesure de parvenir à bien faire ton devoir et de manière appropriée. Certaines personnes disent : « J’ai bien fait mon devoir et je l’ai fait de manière appropriée, et je veux également le faire conformément aux vérités-principes. » Si tu as vraiment l’intention de t’efforcer de progresser vers les vérités-principes en te basant sur ta capacité à bien faire ton devoir et à le faire de manière appropriée, alors quel que soit le niveau que tu peux atteindre, c’est acceptable – il n’y a pas d’exigences. Du moment que tu n’es pas têtu, que tu ne débites pas d’arguments tordus, que tu ne continues pas à insister sur tes propres raisons, que tu n’agis pas de manière confuse et que, quand tu as fait quelque chose de stupide, tu ne refuses pas de l’admettre, cela suffit. Quant à agir conformément aux vérités-principes, tu peux faire tout ce dont tu es capable ; fais simplement ce que tu penses pouvoir faire. Les exigences pour les personnes de ce type ne sont pas élevées, car il leur est quelque peu difficile d’atteindre les vérités-principes. Ainsi, sur la base de leurs conditions innées, il n’est pas strictement exigé d’elles qu’elles agissent conformément aux vérités-principes. Pourquoi n’est-ce pas exigé ? Parce qu’elles en sont incapables. Si tu insistes pour exiger qu’elles agissent conformément aux vérités-principes, cela reviendrait à forcer un poisson à vivre sur la terre ferme. Prenons l’exemple de certains animaux : si tu leur demandes de manger la quantité adéquate à chaque repas, de ne pas manger à l’excès et de ne pas se distendre l’estomac, sont-ils capables de le faire ? Non. Ils mangent autant qu’ils le peuvent en une seule fois, jusqu’à ce qu’ils ne puissent physiquement plus manger. Les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux sont pareilles. Si tu leur demandes d’agir conformément aux vérités-principes, elles en sont incapables. Cela signifie-t-il donc que ces personnes sont abandonnées ? Non, elles ne sont pas abandonnées. Mais ne pas les abandonner ne signifie pas leur demander de comprendre les vérités-principes ni d’entrer dans les vérités-principes. Cela signifie simplement les traiter correctement, les laisser faire ce dont elles sont capables. Cela ne signifie pas que l’on révoque leur qualification à faire leur devoir, ni que l’on révoque leur qualification à poursuivre la vérité, et encore moins que l’on révoque leur qualification à atteindre le salut. Cela signifie seulement qu’il ne leur est pas strictement demandé de pratiquer conformément aux vérités-principes et qu’il ne leur est pas non plus strictement demandé d’atteindre les vérités-principes en toutes choses. Autrement dit, elles doivent en faire autant qu’elles le peuvent. Tant qu’elles ne tentent pas délibérément de causer des perturbations, qu’elles ne débitent pas des propos tordus et qu’elles ne commettent pas imprudemment des méfaits lorsqu’il s’agit de questions de principe cruciales, c’est suffisant. Les exigences pour ces personnes ne sont pas élevées. Cela est-il compris ? (Oui.)
En ce qui concerne les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux, nous avons échangé sur certaines manifestations de leur essence. Bien entendu, il existe des manifestations dont nous n’avons pas discuté en grand détail. Si nous devions en parler plus spécifiquement, il se pourrait que certaines personnes ne puissent pas le supporter, c’est pourquoi nous avons abordé le sujet de manière plus générale, sans parler de certaines choses. Peu importe à partir de quoi tu t’es réincarné, au bout du compte, tu as désormais une identité humaine. Puisque tu as une identité humaine, tu te soucies de ton image et de ta dignité, nous allons donc épargner un peu ta dignité ; nous n’aborderons pas cet aspect trop en détail. Ce dont nous avons déjà discuté correspond globalement à la réalité ; compare-toi à cela. Supposons que tes manifestations correspondent à celles des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux et que tu te sentes assez troublé dans ton cœur, en ayant le sentiment que, puisque tu as ce genre d’identité, d’une part, ta valeur a diminué et, d’autre part, ton intégrité s’est trouvée insultée et ta dignité a été remise en question. Tu ne sais pas comment gérer ta relation avec Dieu et tu as soudainement le sentiment que ton statut a chuté, que tu es inférieur aux autres, tu n’as plus le sentiment d’avoir quoi que ce soit d’honorable en toi, tu n’as plus le sentiment que ton caractère est noble ou que tu as une valeur honorable, et tu as soudainement le sentiment dans ton cœur que tu n’as aucun espoir ni aucun soutien, et que ta destination future est en suspens. Seraient-ce là de bonnes manifestations ? (Non.) Alors, ne devrais-tu pas changer de cap ? (Si.) Puisque ces manifestations et ce genre de compréhension ne sont pas bons, que faut-il faire ? Nous devons trouver une échappatoire pour les personnes comme celles-ci, afin qu’elles se sentent un peu mieux. Il ne s’agit pas de les apaiser, ni de les tromper, mais de leur permettre de traiter cette question correctement et de s’efforcer de pratiquer conformément aux vérités-principes. Que devraient-elles donc faire ? Comment les personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux devraient-elles saisir cette question ? Tout d’abord, du point de vue de Dieu, peu importe à partir de quoi une personne s’est réincarnée, cela est ordonné par Dieu – les gens n’ont pas leur mot à dire à ce sujet. Supposons que tu sois l’une de ces personnes. Si l’on te demandait de choisir, choisirais-tu de te réincarner en tant qu’animal ou en tant qu’être humain ? (En tant qu’être humain.) Pourquoi choisirais-tu cela ? (Parce que ce n’est que si nous nous étions réincarnés en tant qu’êtres humains que nous aurions l’occasion d’entendre ce que Dieu dit et de comprendre Ses paroles.) Et si tu t’étais réincarné en tant qu’animal ? (Nous n’aurions aucune occasion d’entendre les paroles de Dieu.) Cela signifie que tu n’aurais jamais la chance d’entendre la voix de Dieu. Donc, puisque tu sais que, pour un animal, s’être réincarné en tant qu’être humain est une bonne chose, tu devrais remercier Dieu d’autant plus ; tu ne devrais pas te plaindre de Lui. Tu devrais remercier Dieu de t’avoir donné l’occasion d’être un être humain – ce qui est, de plus, une occasion qui ne se présente qu’une fois par millénaire. Après tout, Dieu S’est fait chair pour sauver les hommes, et si la plupart des gens n’ont pas gagné cette grâce du salut, tu l’as obtenue : tu as eu la grande chance d’entendre la voix de Dieu et de L’entendre exprimer la vérité. Voilà ta bénédiction. C’est quelque chose que, en tant que forme de vie créée, tu n’aurais pas pu obtenir même à travers plusieurs vies ou à travers de nombreuses époques, même en suppliant pour cela. Dieu t’a précisément choisi dans cette ère, te permettant de te réincarner en tant qu’être humain, de vivre dans la maison de Dieu et, associé à l’humanité, de faire le devoir d’un être créé, transformant ton identité à partir de celle d’un animal vers celle d’un membre de l’humanité et te permettant de faire le devoir d’un être humain. Quel grand honneur et quel grand privilège ! C’est quelque chose que de nombreuses formes de vie créées ne peuvent que souhaiter, mais n’obtiennent jamais, et pourtant, tu l’as obtenu et tu en jouis aujourd’hui. Cette occasion est incroyablement rare ; pour toute forme de vie créée, c’est une occasion qui ne se présente qu’une fois par millénaire. Alors, non seulement tu ne dois pas sombrer dans le découragement et te plaindre, ni te sentir contrarié ou penser que ton statut est inférieur à celui des autres, mais au contraire, tu devrais en fait te sentir chanceux. Tu devrais rendre grâce à Dieu, Le remercier pour l’occasion qu’Il t’a donnée, Le remercier de t’avoir exalté, car ce qu’Il a fait est si grand : ce qu’Il a fait est véritablement de la grâce et de la miséricorde envers les êtres créés. Après avoir accepté cette grâce de Dieu, tu devrais être reconnaissant qu’Il ait changé ton identité et ta classe. Cependant, il ne suffit pas de Lui rendre grâce et d’en rester là ; en plus de cela, il faut également réfléchir à la manière de saisir cette occasion. Quelle que soit ton identité d’origine, maintenant que tu peux faire ton devoir en tant qu’être humain, c’est une bonne occasion de changer ton identité et de changer de classe en tant qu’être créé. Alors, comment peux-tu opérer ce changement ? Le premier point essentiel est de bien faire ton devoir. Si, en raison des diverses limitations de tes conditions innées, tu n’es capable que de trimer et de faire du travail physique, de faire un travail salissant et fatigant, et que, sur la base de ton identité et de ta valeur, le devoir que tu fais ne peut jamais dépasser ce cadre, sans possibilité d’allègement ni d’amélioration, alors que dois-tu faire ? Quel principe dois-tu respecter ? Si, peu importe les manifestations observées, qu’il s’agisse de ton intelligence, de ton caractère ou de tes conditions innées, ta valeur parmi les gens est toujours ainsi – que tu es toujours une personne sans valeur, stupide, confuse, insensible, à l’esprit lent, avec une compréhension déformée, et que ta valeur n’augmente jamais – comment devrais-tu alors traiter ton devoir ? C’est d’une importance capitale. Supposons que ta valeur n’augmente jamais et que tu n’aies jamais aucune dignité parmi les gens. Aux yeux de Dieu, tu es éternellement figé sur place : c’est simplement ce que tu es. La classe dont tu es issu peut avoir des caractéristiques évidentes visibles en surface, et tu ne passeras jamais du statut d’animal à celui d’être humain véritable. Tu n’as aucun espoir d’atteindre le salut, car tu ne peux pas comprendre la vérité et tu ne possèdes même pas l’intelligence humaine. Tu ne comprends pas les vérités des visions, et dans la maison de Dieu, tu ne sais pas comment prêcher l’Évangile, pour tout devoir qui implique des compétences professionnelles, tu n’es pas à la hauteur, pas au niveau ; tu seras toujours cantonné à faire des travaux salissants et fatigants, et tu n’as aucun moyen de transformer ta situation. En supposant que tu sois ainsi, que ferais-tu ? Cesserais-tu de croire en Dieu ? Baisserais-tu les bras ? Certaines personnes en viendraient-elles même à mettre fin à leurs jours ? Diraient-elles : « Je ne veux plus vivre. Je n’ai aucune échappatoire, de toute façon ; à quoi bon vivre ainsi ? » Si, quels que soient tes efforts, ta diligence, ton acharnement ou le prix que tu paies, ta valeur ne change jamais et que, dans la maison de Dieu, tu n’es jamais qu’une personne qui trime et transpire, une personne humble et sans dignité que tout le monde méprise, alors, quant à la manière dont tu traites ton devoir, la commission de Dieu et les diverses exigences du Créateur, quelle manière de pratiquer devrais-tu choisir ? C’est là le point le plus crucial. En principe comme en théorie, ta valeur et ton identité sont fixées, mais en réalité, à l’heure actuelle, parmi les gens et aux yeux de Dieu, ta véritable identité est celle d’un être humain. Pourquoi est-ce que Je dis que cette identité est celle d’un être humain ? Parce que le devoir que tu peux faire, tes révélations quotidiennes et les diverses capacités instinctives de tes conditions innées s’inscrivent dans le champ fondamental de ce qui est normal pour un être humain : tu possèdes ces conditions de base pour être un humain. Simplement à cet égard, comment devrais-tu traiter ton devoir ? Les animaux ne comprennent pas les vérités-principes, ils ne savent pas comment bien faire leur devoir, comment s’y tenir fermement, ni comment faire leur devoir avec dévouement et persévérer à rendre service jusqu’à la fin – les animaux ne comprennent pas ces choses. Mais à présent, en tant qu’être humain, tu comprends ces choses, tu les connais, et donc tu devrais les atteindre. Puisque tu es capable d’atteindre ces choses, Dieu aura des exigences à ton égard basées sur ce principe. Toutefois, si, parce que tu es insatisfait de ton identité et que tu as le sentiment que Dieu est injuste, tu te décourages et te plains de Lui, si tu as le sentiment que ta vie est humiliante et indigne, et que tu renonces alors à faire ton devoir, refusant même de faire ce dont tu es capable, alors tu es totalement rebelle. Aux yeux de Dieu, tu n’es pas à la hauteur en tant qu’être créé ; tu es une aberration. Que devrais-tu donc faire ? Que ta valeur soit honorable ou modeste, et peu importe d’où tu viens ou quels problèmes existent dans tes conditions innées, bref, quoi que tu sois capable de faire, fais de ton mieux pour le faire, et fais de ton mieux pour le faire bien. Si, même après avoir fait de ton mieux, tu n’es toujours pas à la hauteur des vérités-principes, Dieu a une norme minimale qui est requise de toutes sortes de personnes : du moment que tu donnes tout ce que tu as, que tu montres ta sincérité et que tu offres ta loyauté, tu seras à la hauteur. Dieu n’exige pas de chaque personne qu’elle atteigne cent pour cent ; soixante pour cent suffisent. Que veut Dieu ? Ce que Dieu veut, c’est une attitude : si ton attitude consiste à désirer faire le devoir d’un être créé, à bien faire les choses que tu dois faire et que tu dois atteindre, sans rien regretter, alors cette attitude est acceptée par Dieu. Dieu approuvera cette attitude, et elle te protégera afin que tu atteignes la fin du chemin. Certaines personnes disent : « Que se passera-t-il lorsque j’atteindrai la fin du chemin ? » Je ne te le dirai pas maintenant ; Je te le dirai plus tard. Lorsque tu atteindras la fin du chemin, tu le sauras. En bref, ce qui importe le plus pour l’instant, c’est la manière dont tu traites cette question, dont tu traites le devoir que Dieu t’a confié et dont tu mènes à bien le devoir que Dieu t’a confié. Quel que soit ce devoir, dès lors qu’il t’a été assigné par la maison de Dieu, tu dois tout donner pour le faire. Quand tu reconnais tes propres problèmes, tu dois faire de ton mieux pour ne pas débiter d’arguments tordus, ne pas faire des choses qui offensent Dieu et ne pas dire des choses qui offensent Dieu ; au lieu de cela, tu dois faire et dire des choses qui profitent aux gens et à la maison de Dieu. Certains d’entre vous disent : « Je n’en suis toujours pas capable pour l’instant. » Dans ce cas, prends ton temps, ne sois pas impatient. Si tu ne peux pas le faire aujourd’hui, fais-le demain. Si tu ne peux pas le faire cette année, essaie de le faire l’année prochaine. Prends simplement ton temps. Mais si, d’ici à ce que les issues des gens soient annoncées, tu n’y es toujours pas parvenu, tu devras en assumer les conséquences toi-même. Personne ne prendra en charge les conséquences de ton comportement. Tu comprends ? (Oui.) Cette question devrait être facile à résoudre, tout dépend de la rationalité d’une personne et de sa capacité à comprendre ces paroles. Si tu peux les comprendre, alors ces choses seront assez faciles à résoudre. Même si quelques individus disent que c’est un peu difficile, du moment qu’ils font des efforts dans ce sens, ils finiront par obtenir des résultats. Si tu ne suis pas ce chemin, tu seras peut-être capable de survivre malgré tout, mais quant à l’issue qui t’attend à la fin, c’est difficile à dire ; personne ne peut la garantir, et personne ne te donnera d’assurances là-dessus.
Comment vous sentez-vous après avoir entendu le thème d’aujourd’hui ? Vous ressentez probablement un bouleversement émotionnel, n’est-ce pas ? C’est l’un des thèmes que les gens sont le moins disposés à affronter depuis qu’ils ont commencé à croire en Dieu, n’est-ce pas ? N’est-ce pas encore plus bouleversant et difficile à accepter que le thème relatif au fait d’être un exécutant ? Est-ce difficile à accepter ? En réalité, vous êtes capables de l’accepter, n’est-ce pas ? (Oui.) Si les gens sont certains de l’identité de Dieu et ont trouvé leur propre place, alors ces paroles et ce genre de question ne devraient pas être trop difficiles pour eux – seuls quelques individus pourraient avoir des difficultés avec cela. Mais la plupart des gens, après avoir entendu cela, sont peu susceptibles de continuer leurs recherches pour découvrir leur véritable valeur et leur véritable identité. Même s’ils correspondent vraiment à certaines des manifestations des personnes qui se sont réincarnées à partir d’animaux, ils seront capables de traiter cela correctement et, après un certain temps, ils se sentiront tout à fait bien, n’est-ce pas ? (Oui.) C’est donc ainsi que nous conclurons notre échange pour aujourd’hui. Au revoir !
Le 20 Janvier 2024