Comment poursuivre la vérité (26)

Dernièrement, nous avons échangé sur le thème de Dieu incarné. Ce thème implique la pratique de l’« abandon » dans « Comment poursuivre la vérité », et nous avons échangé sur « abandonner ses notions et son imagination à propos de Dieu » dans le thème de l’« abandon des barrières entre soi et Dieu et de l’hostilité que l’on a à l’égard de Dieu ». Nous avons échangé à plusieurs reprises sur cet aspect, en discutant principalement de la manière de traiter Dieu incarné. Nous avons divisé ce contenu en deux thèmes. Pouvez-vous M’indiquer quels sont ces deux thèmes ? (En ce qui concerne Dieu incarné, Dieu nous a donné deux principes de pratique corrects : le premier est de ne pas Le comparer au Dieu du ciel, et le second est de ne pas Le mentionner dans le même souffle que l’humanité corrompue.) Nous avons échangé sur certains détails de ces deux thèmes, qui concernent certaines manifestations de la normalité et de l’aspect concret de Dieu incarné. Cela comprenait un échange sur les principes spécifiques que Dieu incarné observe et auxquels Il adhère dans Sa vie, Son existence, Sa conduite et Son œuvre parmi les hommes. L’échange sur ces sujets sert à permettre aux gens de comprendre et de connaître les manifestations que Dieu incarné, cette personne dotée d’une identité particulière, exprime lorsqu’Il vit parmi les hommes. Nous avons principalement échangé sur le thème de la normalité et de l’aspect concret de Dieu incarné, et nous avons échangé sur de nombreux détails. Quand vous avez écouté cet échange, quel effet a-t-il eu sur vous ? Avez-vous moins de notions et d’imagination au sujet de Dieu incarné, ou de nouvelles notions vous sont-elles venues ? (Nous avons moins de notions et d’imagination au sujet de Dieu incarné.) Alors, l’échange sur ce thème est-il utile pour permettre aux gens de connaître Dieu incarné ? (Oui, il l’est.) C’est plutôt une bonne chose.

Notre échange sur le thème de Dieu incarné s’articule principalement autour des révélations et des pratiques spécifiques concernant la normalité et l’aspect concret de Dieu incarné, dans le but de fournir aux personnes une compréhension plus concrète de Dieu incarné, cette personne à l’identité particulière. Alors, avez-vous constaté que plus vous comprenez la normalité et l’aspect concret de Dieu incarné, plus vous avez l’impression qu’Il est juste une personne normale, rien de remarquable, et que plus vous comprenez la normalité et l’aspect concret de Dieu incarné, moins vous percevez Son aura divine ? Avez-vous de telles pensées ? (Non. En écoutant certains des exemples donnés par Dieu qui parlaient de la vie pratique et des révélations de Dieu incarné, j’ai l’impression que c’est simplement que l’image extérieure de Dieu est ordinaire et normale, mais que les révélations de Son humanité normale dépassent de loin celles des humains que nous sommes ; ce sont des choses que nous ne pouvons pas atteindre. L’humanité normale de Dieu ne contient aucun tempérament corrompu, aucune arrogance ni aucune fourberie, aucune complaisance ni aucun orgueil humains. Même si Dieu incarné semble ordinaire et normal extérieurement, on peut voir Sa grandeur dans Son humilité. Tel est mon sentiment.) En général, lorsque des personnes célèbres, de grands personnages ou des figures importantes et accomplies parmi les hommes se présentent sous divers aspects, parlent-ils de leur normalité, de leur aspect concret, de leur caractère ordinaire et banal ? (Non.) Si une personne au sein de l’humanité corrompue se présente pour se faire connaître des autres, elle ne décrira assurément pas à quel point elle est ordinaire, banale et normale. Au contraire, à travers sa présentation et ses descriptions, elle tentera de donner aux gens l’impression qu’elle est différente des autres, extraordinaire, formidable et dotée de capacités surhumaines. Si quelqu’un pouvait même la percevoir comme une personne exceptionnelle, elle serait plus heureuse. Observez la manière dont les êtres humains corrompus se présentent. Tout d’abord, ils décrivent à quel point ils sont parfaits, sans aucune imperfection ni aucun défaut. Ils mettent également en valeur leurs illustres antécédents familiaux, leur noble statut, leurs diplômes et ce qui est remarquable dans leur apparence. Même s’ils ont un grain de beauté sur le visage, ils doivent trouver une façon unique de le décrire, en disant : « Regardez, même l’emplacement de ce grain de beauté est inhabituel ; on dit que les personnes qui ont un grain de beauté à cet endroit sont promises à la richesse ou à la noblesse. » En ce qui concerne leur apparence, ils proclament ostensiblement à quel point chaque trait de leur visage est unique et quelles interprétations positives existent en physionomie pour chaque trait de leur visage, comme le fait d’être promis à la richesse ou à la noblesse, ou de pouvoir accéder à la notoriété, et qu’ils sont, parmi les gens, un coq de village. De plus, ils aiment particulièrement mettre en avant leurs dons et leurs points forts dans certains domaines, à quel point leur pensée et leurs idées sont extraordinaires et originales, et se vanter des réalisations qu’ils ont atteintes dans tel ou tel groupe, de l’estime, de l’admiration et de l’envie que leur portent des personnalités éminentes et des louanges qu’elles leur adressent, ou encore de l’importance de leurs contributions dans tel ou tel secteur, et de l’appréciation que leur portent leurs patrons. Que ce qu’ils disent soit vrai ou non, dans chaque aspect de leur présentation d’eux-mêmes, ces individus essaient de donner aux gens l’impression qu’ils sont différents des autres, que parmi les gens, ils sont uniques, exceptionnels, surpassant toutes les personnes ordinaires. Ils regardent tout le monde avec condescendance ; ils considèrent tous les autres comme des personnes de bas étage et des gens ordinaires, tandis qu’eux seuls sont les plus grands, les plus nobles et les plus exceptionnels. Si tu leur demandes quels sont leurs diplômes, ils diront qu’ils viennent d’une université prestigieuse, qu’ils ont suivi un enseignement supérieur ou obtenu un doctorat, alors qu’en réalité, ils n’ont fréquenté qu’une université ordinaire. Ils ne parlent jamais de leurs propres défauts, de leurs faiblesses, de leurs tempéraments corrompus, des aspects de leur caractère médiocre ni des choses incorrectes qu’ils ont faites. Dès lors qu’il s’agit de se présenter pour se faire connaître d’autrui, ils essaient par tous les moyens de se mettre en valeur, de se louer et de se montrer sous un jour favorable, en se décrivant comme des personnes tout à fait formidables, extraordinaires et hors du commun. Même s’ils tombent malades, ils diront qu’il s’agit d’une « maladie de riche », donnant ainsi aux gens l’impression qu’ils sont délicats, choyés et différents des autres. Quoi qu’il arrive, ils ne laissent absolument pas les gens avoir l’impression qu’ils ne sont que des personnes ordinaires et banales. Au contraire, ils tentent par tous les moyens de se faire admirer, estimer et respecter des gens. Si les gens les suivent et leur accordent une place dans leur cœur, ils se sentent encore plus satisfaits d’eux-mêmes. Si tu dis qu’ils sont ordinaires et normaux, qu’ils font partie du commun des mortels, ils ont l’impression d’avoir complètement perdu la face et que tu as vraiment froissé leur amour-propre ; c’est même comme si cela allait les tuer. Tout au long de leur vie, ils cherchent à être uniques et extraordinaires. En raison de leurs tempéraments corrompus et de ces désirs, beaucoup de gens cultivent souvent une image extérieure pour paraître très nobles, élégants et distingués. Leur attitude extérieure, leurs paroles et leurs actes reflètent tout à fait l’air d’une grande personnalité. Dans n’importe quel groupe, si quelqu’un leur dit : « Je t’ai tout de suite repéré dans la foule ; à ton regard, à tes traits et à ta prestance, je devine que tu n’es pas une personne ordinaire », ils sont très heureux. Ils exagèrent cette histoire à l’infini et, pour le restant de leurs jours, ils gardent ces paroles sur les lèvres, en se mettant en valeur partout : « Dans une foule, les gens peuvent me reconnaître au premier coup d’œil et voir que je suis un leader, un coq de village, et non pas une personne ordinaire ! » Ils aiment particulièrement être ce genre de personne, se positionner comme un individu extraordinaire, inhabituel, différent des autres, voire unique en son genre. Beaucoup d’autres individus accordent une attention particulière aux personnes célèbres, aux grands de ce monde et à ceux qui ont un statut et une position dans la société, prêtant attention à toute nouvelle les concernant, à leurs paroles et à leurs actes, ainsi qu’à leur vie quotidienne. L’objectif de cette attention n’est pas de se divertir, mais de les imiter et de les suivre. Quoi que ces personnes mangent ou portent, quoi que ce soit qui soit populaire parmi elles, ils l’imitent. Quels que soient les thèmes dont ces personnes discutent, ils en discutent également. Ils suivent cela de très près, craignant d’être exclus de la tendance toute entière, craignant d’être à la traîne et d’être méprisés. Ils souhaitent simplement se démarquer et être des personnes extraordinaires dans la foule, et ne sont absolument pas disposés à être des personnes normales et ordinaires. Certains individus, même s’ils ont un calibre moyen, n’ont ni point fort ni don, et ont des conditions innées très ordinaires et communes à tous égards, ne sont toujours pas disposés à être des personnes ordinaires, des gens lambda. Au contraire, ils s’habillent pour paraître très nobles et élégants, ou se décrivent comme étant très inhabituels, et non comme des gens lambda. Certains se donnent même beaucoup de mal pour imiter de grandes personnalités, des personnes capables et compétentes, et celles qui sont dotées de compétences exceptionnelles. Ils observent ce que ces personnes font, ce qu’elles disent et ce dont elles discutent, et ils les imitent, s’efforçant de devenir de grandes figures extraordinaires comme elles, et non plus des personnes ordinaires et communes. Par conséquent, lorsque nous échangeons sur la normalité et sur l’aspect concret de Dieu incarné, certaines personnes se disent inévitablement : « Les humains se louent, se mettent en valeur et se vantent avec vigueur d’être si différents des autres, si extraordinaires et si grands, et pourtant, Tu Te décris toujours comme étant si normal et concret. N’est-ce pas un peu déraisonnable ? N’est-ce pas un peu stupide ? Tu es Christ incarné, avec une identité si noble, avec un si grand halo et une si grande couronne sur Ta tête. Comment peux-Tu Te décrire comme une personne ordinaire, normale et concrète ? Et, craignant que les gens ne le croient pas, Tu donnes même de nombreux exemples pour prouver à quel point Tu es normal, concret et ordinaire. Naturellement, c’est quelque peu déroutant. » Même si cela ne correspond pas aux notions humaines, tels sont effectivement les faits. Les révélations spécifiques de la normalité, de l’aspect concret et du caractère ordinaire de Dieu incarné sont exactement ainsi ; c’est un fait, Je ne peux pas l’inventer. Certaines personnes disent : « Ne devrais-Tu pas au moins mentionner quelques exemples qui donnent au gens l’impression que Tu es différent des autres et extraordinaire, et que Ton identité et Ton image sont particulièrement nobles et imposantes ? » Eh bien, Je suis désolé de vous décevoir, mais il n’y a vraiment pas d’exemples de ce genre. En réalité, Mes descriptions des façons dont Je Me conduis et agis dans la vie et en œuvrant sont les véritables révélations de Dieu incarné ; c’est aussi objectif que cela. C’est vraiment ce qu’il en est ; il n’y a pas d’exemples qui permettent aux gens de Me voir comme distinct des autres, extraordinaire, formidable ou possédant une image noble et imposante. Certaines personnes disent : « Ne peux-Tu pas inventer quelque chose ? Cela laisserait une meilleure impression dans le cœur des gens et ne les décevrait pas. Tu Te décris comme quelqu’un de si normal et concret, simplement comme une personne ordinaire ; Ton image n’est pas du tout noble ! Qui continuera à T’idolâtrer et à T’admirer ? Si les gens ne T’admirent pas et ne T’idolâtrent pas, pourront-ils encore avoir une place pour Toi dans leur cœur ? » Je réponds que Je ne cherche vraiment pas cela. Cela me convient parfaitement que tu ne M’admires pas et ne M’idolâtres pas ; Je suis tout à fait à l’aise avec cela. Certaines personnes disent : « Si les gens ne T’admirent pas et ne T’idolâtrent pas, peut-on encore dire qu’ils suivent Dieu ? » Que tu M’admires ou que tu M’idolâtres, ces choses n’ont pas d’importance ; cela ne M’importe vraiment pas. Si tu ne M’admires pas et ne M’idolâtres pas, mais que tu peux méditer dans ton cœur sur chaque parole que Je prononce, chaque aspect de la vérité sur lequel J’échange avec vous, les accepter comme les paroles de Dieu et te conduire, agir et considérer les gens et les choses en fonction de ces paroles, c’est suffisant : Mes paroles n’auront pas été prononcées en vain. Supposons que tu ne M’admires pas et ne M’idolâtres pas, mais que les paroles que Je prononce et les sermons que Je prêche te conduisent devant Dieu, te permettant de savoir comment poursuivre la vérité, comment agir selon les vérités-principes lorsque tu es confronté à chaque situation, d’apprendre comment te conduire et agir, d’apprendre comment faire le devoir d’un être créé, de savoir comment être loyal envers Dieu et comment faire ton devoir d’une manière qui soit à la hauteur, de savoir comment te soumettre à Dieu, craindre Dieu et t’éloigner du mal et, finalement, te permettre de te débarrasser de tes tempéraments corrompus et d’être gagné par Dieu. Dans ce cas, Mes paroles n’auront pas été prononcées en vain, et leur objectif aura été atteint. Quant à Moi, si tu peux Me traiter correctement, en Me traitant de manière équitable et raisonnable selon les principes, c’est suffisant. Mes exigences à votre égard ne sont pas élevées. J’ai déjà mentionné les trois principes qui régissent nos interactions : soyez candides avec Christ, respectez-Le et obéissez à Ses paroles. Si tu es capable de pratiquer selon ces trois principes, c’est suffisant. Je n’ai pas besoin que les gens M’idolâtrent, ni que les gens M’admirent ou Me tiennent en haute estime. Je n’ai pas besoin que les gens aient une image de Moi dans leur cœur. Ces choses ne M’intéressent pas. Beaucoup de gens idolâtrent particulièrement les figures qui ont une image noble, qui se distinguent des autres, qui sont extraordinairement capables et exceptionnelles, croyant que Dieu incarné ne peut pas être un Fils de l’homme normal, concret et ordinaire. Ceux qui ne M’ont jamais rencontré supposent naturellement que Mon image est plus noble que celle des gens ordinaires, particulièrement imposante. Tu ne dois absolument pas penser ainsi. Je ne suis pas du tout imposant ; Je suis d’une stature assez modeste et de petite taille. Dans la vie quotidienne, Mes paroles et Mes actes sont particulièrement normaux et concrets. Tous les aspects de Ma vie quotidienne – Ma façon de M’habiller, Mes vêtements, Ma nourriture, Mon logement et Mes moyens de transport – sont particulièrement ordinaires. Je ne cherche jamais à être unique en Mon genre et je ne cherche jamais la singularité. Je cherche seulement à faire les choses selon les règles, à Me conduire conformément à Ma position appropriée, à bien faire Mon œuvre, à mener à bien Mon ministère et à dire clairement et complètement ce qui doit être dit. Tels sont Mes principes de conduite et d’action. Je n’ai pas la poursuite humaine de Me distinguer, d’être extraordinaire et formidable, et Je ne cherche jamais à être aussitôt reconnu dans une foule. Même si tu ne Me reconnais pas dans une foule, Je ne serai pas du tout triste ni contrarié, Je n’aurai pas non plus l’impression d’avoir perdu la face et, bien entendu, Je ne dirai assurément pas que tu M’offenses.

Lorsque Je M’adresse à vous, que J’œuvre avec vous et que Je suis en contact avec vous, que J’échange avec vous sur un quelconque aspect de la vérité ou que J’échange avec vous pour résoudre des problèmes dans quelque aspect que ce soit, ou que Je discute simplement de choses quotidiennes ou que Je parle de quelque chose, Je M’efforce toujours de Me faire comprendre de vous, et quels que soient les sujets dont Je parle, Je le fais pour le bien des gens. Bien entendu, si l’échange porte sur des questions qui concernent la vérité, il est d’autant plus essentiel qu’il permette aux gens de gagner des principes pour pratiquer la vérité et de trouver des chemins pour résoudre ces questions. S’il s’agit simplement de discuter de choses quotidiennes, c’est encore plus normal, car c’est un besoin de l’humanité normale. À quoi ce besoin de l’humanité normale fait-il référence ? Cela signifie que parfois, les gens ont besoin de communiquer et de partager ce qu’ils voient et entendent dans leur vie quotidienne. Parler de choses quotidiennes, bavarder et partager avec les autres sont autant de besoins de la conscience et de la rationalité de l’humanité normale. Pour Moi, partager des choses consiste plus souvent à t’aider à mieux comprendre ce monde, cette société et cette humanité, et aussi à te dire comment tu dois considérer certaines des choses qui se produisent dans cette société et parmi cette humanité, comment comprendre les tendances malfaisantes, comment comprendre diverses choses et comment comprendre divers types de personnes. Même lorsque Je discute ou que Je parle d’affaires quotidiennes, de temps en temps, ou brièvement, J’aborde certaines questions essentielles relatives aux personnes, aux événements et aux choses. Ainsi, quelle que soit l’occasion, lorsque les gens sont en contact avec Moi, ce qu’ils voient, entendent et saisissent à Mon sujet, c’est que Je ne suis pas du tout extraordinaire, mais tout à fait normal, concret et ordinaire. En vivant avec une apparence humaine comme celle-ci, Je Me sens particulièrement libre et à l’aise lorsque Je vis avec les gens. Si tu penses que J’ai de quelconques actes qui sont extraordinaires et qui se distinguent par rapport aux autres, ou qu’une partie des traits de Mon visage ou un autre aspect de Moi-même se distingue par rapport aux autres ou est particulièrement extraordinaire, si tu penses ainsi, alors Je Me sentirai très mal à l’aise et gêné. Je n’apprécie vraiment pas que les gens disent de telles choses, et Je n’apprécie pas non plus qu’ils Me regardent de cette façon. Certaines personnes, en particulier, lorsqu’elles Me rencontrent pour la première fois, M’observent, examinent l’expression de Mon regard, les traits de Mon visage, en écoutant attentivement chaque parole que Je prononce et le ton de Ma voix, afin de voir si Je suis aussi extraordinaire et différent des autres qu’elles l’imaginaient. Je dis que cela n’est pas nécessaire ; il n’est pas nécessaire de M’observer ni de Me scruter. Je suis une personne très ordinaire et normale. Lorsque tu interagis avec Moi, tu devrais être détendu, libre et à l’aise. Si tu observes et scrutes constamment, plus tu scrutes, plus tu te fatigues et plus tu es confus. Si tu M’examines et que tu Me scrutes, Je ressentirai de plus en plus d’aversion et de répulsion à ton égard. Peu importe la façon dont tu Me scrutes, si tu ne comprends pas ce que Je dis, si tu ne sais pas à quoi Mes paroles font réellement référence et quelles vérités-principes doivent être comprises ici, alors à quoi sert ton examen ? Ton examen est encore plus répugnant. Une fois, quelqu’un – Je ne sais pas s’il observait depuis longtemps ou s’il l’a vu par hasard – a dit que Mes yeux avaient une tache brillante et qu’un seul regard suffisait pour montrer que J’étais Dieu. J’ai dit : « Qu’as-tu vu d’autre ? As-tu vu l’Esprit de Dieu descendre sur Moi comme une colombe ? As-tu vu une épée à double tranchant sortir de Ma bouche ? As-tu vu tout Mon corps semblable à une colonne de lumière ? As-tu vu un sceptre de fer dans Ma main ? Tu dis avoir vu une tache brillante dans Mes yeux, mais ce que tu dis est inexact. La Bible dit : “Ses yeux étaient comme une flamme de feu.” Selon ta compréhension, tu aurais dû voir Mes deux yeux comme des flammes pour percevoir un peu de l’aura divine de Dieu, mais tu n’as vu qu’une tache brillante, ce qui signifie que tu dénigres Dieu. » Dites-Moi, cette personne ne s’est-elle pas ridiculisée ? N’est-ce pas là une manifestation de petite stature ? (Si.) Je te le dis : tu n’as pas besoin d’observer ni de scruter ces choses. Il te suffit d’écouter les paroles que J’exprime pour entrer dans la vérité-réalité et t’engager sur le chemin du salut. Si tu insistes pour observer, quels problèmes cela posera-t-il ? Non seulement il n’y aura aucun résultat, mais tu ne pourras pas non plus connaître Dieu le moins du monde et tes notions à propos de Dieu deviendront de plus en plus fortes. Le Dieu incarné n’a absolument rien à voir avec la personne de Dieu ni avec le vrai corps de Dieu dont Il parle, ni avec l’image de Dieu prophétisée par Dieu dans l’Apocalypse, ni avec l’image de Dieu que l’humanité a vue à travers les récits passés. Ainsi, quelle que soit la manière dont tu observes Dieu incarné, Il est toujours normal et concret : une personne ordinaire ; Il ne te montrera pas un côté extraordinaire ou distinct des autres. Alors, qu’est-ce que Je veux dire par ces paroles ? Je te dis simplement que tu ne dois pas observer ou scruter Dieu incarné. Plus tu Le scrutes, plus Dieu sera éloigné de toi. Si tu ne L’examines pas, mais que tu te soumets de manière pure et que tu es capable d’accepter la vérité, le Saint-Esprit t’éclairera et t’illuminera, te guidant vers la compréhension de la vérité. Si tu L’observes et L’examines constamment, le Saint-Esprit renoncera à toi. Une fois que le Saint-Esprit aura renoncé à toi, ce sera comme si ta vision entière s’obscurcissait et que tu ne pouvais plus rien distinguer. Tu ne comprendras pas les paroles de Dieu lorsque tu les liras ; lorsque quelque chose t’arrivera, tu ne seras pas en mesure de le percer à jour ou de savoir quoi faire, et lorsque tu échangeras avec les autres, tu ne sauras pas par où commencer. Tu te sentiras si mal à l’aise et perdu que tu ne seras même plus capable de faire les choses les plus simples que tu savais faire auparavant. C’est à ce moment-là que les choses se gâtent complètement. Sont-ce là de bons signes ? (Non.) Donc, lorsque ces signes apparaissent, tu dois rapidement faire marche arrière et cesser d’observer et de scruter Dieu. Et quand ces signes n’apparaissent pas, ne le fais pas non plus. Pourquoi ne devrais-tu pas le faire ? Ce chemin ne mène nulle part ; ce n’est pas celui que tu dois emprunter. Le chemin que tu dois prendre pour suivre Dieu consiste à accepter la vérité et à te soumettre à Dieu, et non à observer, à scruter ou à tester Dieu. En particulier avec Dieu incarné, si tu ne L’as jamais vu et que tu ne sais pas à quoi Il ressemble, il est normal de L’évaluer attentivement lorsque tu Le rencontres pour la première fois. Après L’avoir évalué, tu as une certaine impression de Lui, et tu peux associer Sa voix à celle qui parle dans les enregistrements des sermons : « Voilà donc à quoi ressemble Dieu incarné, voilà Sa taille, voilà comment Il S’habille. Il est vraiment normal, concret et ordinaire – tout cela est vrai, exactement comme le décrivent les paroles de Dieu. » Cela suffit ; arrête-toi là. Ne continue pas à déployer des efforts pour scruter cette question dans ton cœur. Après cela, tu devrais écouter attentivement ce sur quoi Dieu échange, réfléchir pour savoir à quel aspect de la vérité se rapporte la question qui fait l’objet de l’échange de Dieu, le noter rapidement, puis utiliser ton cœur pour méditer dessus, et après l’avoir compris, le mettre en pratique. Voilà la manière correcte de traiter Christ, Dieu incarné. Peu importe la manière dont J’échange avec vous, peu importe le contenu qui fait l’objet de cet échange, lorsqu’il concerne Dieu incarné, J’essaie toujours de vous faire connaître la normalité, l’aspect concret et le caractère ordinaire de Dieu, plutôt que de L’associer à quelque chose d’extraordinaire, de formidable, d’unique ou de distinct des autres, ou de Le connaître comme tel. Chaque sujet dont Je parle, chaque exemple que Je donne, est lié à ce thème de la normalité, de l’aspect concret et du caractère ordinaire de Dieu incarné. Je ne vais absolument pas inventer quelque chose pour te faire croire à tort que Je suis différent des autres, extraordinaire ou formidable, que J’ai l’allure d’un dirigeant, la magnanimité d’un grand homme ou l’ouverture d’esprit et la grandeur d’un grand homme. Permets-Moi de te dire : Je ne comprends jamais ce que signifient « grandeur » ou « ouverture d’esprit », et Je ne réfléchis pas à ces aspects ni ne M’y investis. À quoi est-ce que Je réfléchis ? Je réfléchis aux thèmes sur lesquels Je peux échanger avec vous afin de vous amener dans la vérité-réalité, aux thèmes qui peuvent vous inciter, vous guider, vous aider et vous orienter, afin que vous soyez disposés et déterminés à souffrir et à payer un prix, et que vous soyez capables de poursuivre la vérité, de bien faire votre devoir et d’atteindre le salut. Je réfléchis toujours aux thèmes dont Je vais parler et aux sermons que Je vais prêcher, afin que les gens puissent s’engager sur le chemin du salut, mener à bien leur devoir d’une manière qui soit à la hauteur et devenir de véritables êtres créés. Quel que soit le thème dont Je parle, Je M’efforce toujours de vous aider à devenir des êtres créés qui soient à la hauteur, à apprendre à vous soumettre à Dieu et à acquérir un cœur qui craint Dieu. Je ne réfléchis jamais aux paroles à prononcer qui vous amèneraient à M’estimer, ni aux choses à faire pour que vous M’admiriez, afin que, dans votre cœur, vous ayez le sentiment que Je suis aussi insondable qu’une personne célèbre ou formidable ; Je n’ai rien de tout cela dans Mon cœur. Je n’ai jamais réfléchi à la manière dont Je devrais parler, à Ma façon de M’exprimer, ni au style que Je devrais adopter pour que vous Me perceviez comme très noble, afin que vous soyez incapables de Me comprendre ou de M’atteindre, et pour vous faire paraître très insignifiants et ignorants. Je ne pense jamais à ces choses dans Mon cœur, et Je ne parle ni n’agis jamais pour protéger Mon propre statut, Ma propre image ou Ma propre identité ; J’accomplis simplement Mon ministère de tout Mon cœur.

Parfois, quand Je suis fatigué, Je Me rends là où vivent les frères et sœurs pour Me promener et regarder autour de Moi. Parfois, Je Me promène également dans la ferme, en observant les potagers, les cochons et les brebis. Lorsque Je vois un chaton, Je le caresse aussi, Je le serre dans Mes bras et Je lui parle. Lorsque Je vois un chiot mignon, Je le serre également dans Mes bras. Il y avait une chienne qui avait donné naissance à plus de dix chiots. Elle était si heureuse devant les gens, comme si elle avait réussi quelque chose de méritoire. Je l’ai félicitée en lui disant : « Tu es contente de toi, n’est-ce pas ? Regarde, tu as donné naissance à tellement de chiots, tu as vraiment fait du bon travail, c’est très bien, bravo ! » Je l’ai caressée et Je l’ai enlacée par le cou. Je visite également les chenils, les terres agricoles et les potagers, en regardant partout autour de Moi ; c’est vraiment agréable. Dites-Moi, ces grandes personnalités se rendent-elles dans ces endroits sales, malodorants et désordonnés ? Elles n’y vont pas. En particulier les endroits comme les chenils et les porcheries qui dégagent des odeurs désagréables ; la plupart des gens sont peu enclins à s’y rendre. Je n’aime pas non plus les mauvaises odeurs et les effluves désagréables, mais la légère odeur d’un chiot est tolérable. Parfois, les chiots se frottent contre Moi, M’embrassent et Me lèchent le visage, et Je les serre dans Mes bras. Les animaux sont très simples ; ils font confiance à leurs maîtres et n’ont pas besoin d’être sur leurs gardes, ils peuvent donc jouer et interagir avec leurs maîtres autant qu’ils le veulent. Leur vie est aussi simple que cela. Certaines personnes affirment toujours qu’elles aiment les chiens, qu’elles aiment les petits animaux et qu’elles se soucient d’eux, mais lorsque vous leur demandez de prendre un chiot dans leurs bras, elles sont réticentes. Elles disent : « Les chiens sont sales et malodorants, et ils peuvent même être porteurs de virus ! » Je leur réponds : « Tu es vraiment difficile. N’aimes-tu pas les petits animaux ? Ce n’est pas vraiment les aimer. » Ces personnes ne sont-elles pas hypocrites ? (Si.) Elles ne se considèrent pas comme des personnes ordinaires ; elles se croient nobles, elles pensent avoir une certaine position sociale et être de grandes personnalités, alors comment pourraient-elles interagir avec ces petits animaux que les gens considèrent comme insignifiants ? Même si elles les touchent avec leurs mains, elles doivent rapidement se laver les mains et les désinfecter, elles vont même jusqu’à changer de vêtements, et lorsqu’elles rentrent chez elles, elles prennent immédiatement un bain. Elles poussent la propreté aussi loin que cela. Dites-Moi, ces personnes ne sont-elles pas étranges ? Si tu n’aimes pas vraiment les petits animaux, ne fais pas semblant. Une fois que les gens verront que tu fais semblant, ils sauront que tu es trop hypocrite et insincère, ta vue les dégoûtera et ils auront une mauvaise impression de toi. Si tu n’aimes pas les animaux, ne fais surtout pas semblant et n’essaie pas de faire bonne figure. Plus tu essaieras, plus les gens te trouveront laid et méprisable. Il vaut bien mieux être honnête et sincère. Si tu ne peux pas être honnête et sincère, cela prouve qu’il y a un problème avec ton humanité. Quoi qu’il en soit, la normalité et l’aspect concret de Dieu incarné sont un fait, et Son caractère ordinaire est également un fait. De nombreuses personnes ont constaté ces choses en étant en contact avec Lui et savent que ce sont là des faits. Ce sont les faits que vous devez le plus comprendre et connaître. Une personne aussi ordinaire et normale que celle-là est Dieu incarné, et cela contredit les notions des gens. S’Il agissait comme l’humanité corrompue et que, qu’Il fasse quelque chose d’important ou de mineur, Il soulignait à quel point Il est différent des autres et essayait de Se démarquer, cela pourrait correspondre aux notions des gens. D’un côté, vous avez les diverses manifestations de l’humanité corrompue, et de l’autre, vous avez Dieu incarné qui, bien qu’il exprime tant de vérité, affiche toujours des manifestations aussi normales que celles d’une personne ordinaire. Lequel de ces types de manifestations est une chose positive qui profite aux gens ? Lequel est une chose négative que les gens détestent et rejettent ? Êtes-vous à présent capables de discerner cela dans une certaine mesure ? (Oui.) Alors nous n’avons pas besoin d’entrer dans les détails ; continuons avec le thème de la dernière fois.

La dernière fois, nous avons échangé sur un autre thème, celui d’abandonner les notions et l’imagination concernant Dieu incarné : ne pas mentionner Dieu incarné dans le même souffle que l’humanité corrompue, n’est-ce pas ? (Oui.) Sur ce thème, J’ai énuméré certaines manifestations spécifiques de Dieu incarné dans la manière dont Il Se conduit et agit du point de vue de Son humanité, ainsi que certaines manifestations de Son tempérament-essence : ne pas tromper, ne pas être en compétition, ne pas lutter, ne pas comploter, ne pas rabaisser les autres, ne pas exercer des représailles, ne pas séduire, etc. Parmi celles-ci, la dernière fois, nous avons échangé un peu sur le fait de ne pas tromper, de ne pas être en compétition et de ne pas lutter. Sur quelle manifestation devrions-nous échanger cette fois-ci ? (Ne pas comploter.) Ne pas comploter, tout comme ne pas tromper, ne pas être en compétition et ne pas lutter, est également un principe selon lequel Dieu incarné, cette personne ordinaire, Se conduit et agit. Bien entendu, ce principe concerne également Son humanité-essence et Son tempérament. Ne pas comploter est également une manifestation spécifique du tempérament-essence, ou un aspect de la conduite de soi, de Dieu incarné, cette personne ordinaire. L’expression « ne pas comploter » est-elle facile à comprendre ? La comprenez-vous tous ? (Oui.) La compréhension la plus fondamentale du fait de ne pas comploter est de ne pas ourdir de conspirations et de ne pas recourir à des tactiques ou à des stratagèmes rusés. Autrement dit, lorsque Je suis en contact avec vous et que Je discute avec vous, que ce soit pour œuvrer ou dans la vie quotidienne, Je suis toujours honnête et sincère. Je ne recours pas à des tactiques, Je ne Me livre pas à des stratagèmes rusés et Je ne complote pas. Au contraire, Je parle avec sincérité, Je dis tout ce que J’ai dans le cœur et Je vous dis les choses telles qu’elles sont. Je ne complote pas contre vous et ne vous trompe pas. Je n’utilise pas de paroles fleuries pour gagner votre confiance et faire en sorte que vous acceptiez de vous dépenser, de souffrir et de payer un prix. M’avez-vous vu faire de telles choses ? (Non.) Si Je vous pose la question, vous allez assurément répondre non, mais pouvez-vous donner un exemple pour illustrer cela ? Si chacun d’entre vous peut donner un exemple, alors ce fait sera irréfutablement prouvé, et vous aurez vraiment une certaine compréhension sur ce point, à savoir le fait de ne pas comploter. Par exemple, quelqu’un dit que dans le monde, il a acquis certaines compétences et maîtrise une certaine profession. Il se trouve justement que la maison de Dieu a un travail ou une tâche impliquant cette profession qu’il a apprise. Je lui dis : « Tu maîtrises un peu cette profession et il se trouve que la maison de Dieu a du travail dans ce domaine. Sur la base de tes connaissances professionnelles et selon les règles ou les principes de ton domaine, peux-tu bien faire ce travail ? Si tu es disposé à le faire, alors ce travail est pour toi. » Y a-t-il là des paroles sournoises ou relevant de l’exploitation ? Y a-t-il là des paroles qui dissimulent un complot ? (Non.) Êtes-vous certains qu’il n’y en a pas ? (Oui.) Puisque tu t’es recommandé et présenté comme maîtrisant cette profession, et que J’ai pris connaissance de ta situation, Je t’ai confié ce travail. Si tu es disposé à le faire et que tu dis : « J’accepte cela comme venant de Dieu ; je prends en charge ce travail, ce devoir », c’est-à-dire que tu te portes volontaire pour le faire, alors tu dois le faire bien. Si tu n’y es pas disposé, tu peux Me dire en face que tu ne veux pas faire ce devoir. Est-ce que Je te forcerais ? (Non.) Selon Mes principes pour traiter les gens, Je ne te forcerais pas. Je ne forcerai absolument pas un cheval à boire, en t’obligeant à faire les choses selon Ma volonté personnelle. Je ne te forcerai pas à faire des choses alors que tu ne le veux pas, ni à agir comme si, parce que J’ai cette identité, Mes paroles devaient avoir du poids, ou qu’elles devaient être comme celles d’un empereur dans leur caractère définitif et inaltérable. Je traite les gens avec tolérance ; Je te donne la liberté de choisir par toi-même. J’organise toujours le travail en fonction des besoins du travail de la maison de Dieu. S’il y a des personnes qui ont de l’expérience dans le domaine en question ou qui le connaissent bien et qui sont disposées à faire le travail et peuvent le faire mieux, c’est assurément formidable. Si personne ne maîtrise ce domaine, alors avec les capacités dont nous disposons, nous en faisons autant que possible, dans la mesure de nos capacités. Tel est Mon principe. Si tu es chargé d’accomplir un certain travail, mais que tu dis : « Je ne veux pas le faire. Je n’aime pas être exploité par les gens ou dirigé par la maison de Dieu ; je fais mes propres choix », alors très bien, la maison de Dieu ne t’utilisera pas. Faire son devoir est quelque chose que l’on fait volontiers et de son plein gré. Ce n’est que lorsque les gens sont disposés à faire leur devoir après avoir cru en Dieu que l’Église peut prendre des dispositions pour qu’ils fassent un travail. Si tu n’es pas disposé à faire ton devoir, la maison de Dieu ne te forcera pas, et J’utiliserai encore moins Mon identité ou Mon statut pour te forcer à faire du travail dans l’Église. C’est entièrement par la compréhension de la vérité que le peuple élu de Dieu fait son devoir et son travail. Lorsque les gens ne comprennent pas la vérité, la maison de Dieu ne les oblige pas à faire leur devoir et n’exige pas cela de leur part, et J’oblige encore moins les gens à agir entièrement selon Ma volonté. Donc, si Je veux que tu fasses quelque chose, Je le dirai directement. Je n’aurai absolument pas recours à des tactiques, Je ne ferai pas d’allusions indirectes et Je n’utiliserai pas de langage voilé pour te faire comprendre ce que Je veux dire. Je ne ferai pas cela. Si tu as la stature et le sens du fardeau nécessaires pour faire un peu de travail pour la maison de Dieu, Je te demanderai directement : « Es-tu disposé à prendre en charge ce travail ? » Ou Je dirai encore plus directement : « Prends simplement ce travail en charge. » Je parle franchement, dans un langage simple. Dès lors que tu es humain, tu peux comprendre. Tu n’as pas besoin de gaspiller tes cellules grises à réfléchir et à essayer de comprendre ce que Mes paroles signifient réellement ou pourquoi Je les ai prononcées. Je ne t’amènerai pas à te creuser la tête pour comprendre le sens de Mes paroles ; Je te dirai les choses directement. Quel que soit le sens littéral de Mes paroles, c’est ce qu’elles signifient. De plus, pourquoi est-ce que Je te demande de faire ce travail ? C’est parce que tu es une personne qui fait son devoir dans la maison de Dieu et que tu es disposé à faire ton devoir dans la maison de Dieu. Tu as donc l’obligation d’entreprendre tout travail dans la maison de Dieu qui exige que tu fasses ta part. Quels que soient le travail ou les tâches que Je te confie, Je te les confie entièrement parce que Je te considère comme un croyant en Dieu. Tu dois les accepter comme ta responsabilité, ton obligation et ton devoir ; faire cela est correct. Qu’il s’agisse de te confier un travail ou de t’assigner des tâches, tout cela a pour but de te permettre de mener à bien le devoir d’un être créé, mais aussi de chercher et de gagner la vérité en faisant son devoir. Il n’y a ici aucune relation transactionnelle, et Je ne suis pas non plus en train de t’amadouer ni de te tromper. Toutes ces paroles prononcées et toutes ces tâches assignées sont positives et ouvertes ; il n’y a pas de secrets. Cela n’implique pas de relations d’argent, de choses matérielles ni d’intérêts, et il n’y a pas non plus de relation consistant à exploiter ou à être exploité. Il ne s’agit absolument pas d’utiliser tes points forts, tes compétences et tes connaissances professionnelles pour que la maison de Dieu en tire profit ; la maison de Dieu ne ferait absolument pas cela. Faire son devoir découle entièrement du fait d’être prêt et disposé à le faire ; la maison de Dieu ne force jamais personne. Accepter ce devoir, c’est ce que tu devrais faire en tant qu’être créé. Faire ce devoir est également le chemin qui te permettra de faire l’expérience de l’œuvre de Dieu et d’atteindre le salut. En faisant ton devoir, tu apprends à te soumettre à Dieu, tu gagnes la vérité et tu reçois ainsi l’acceptation et la reconnaissance de Dieu, ainsi que le fait qu’Il Se souvienne de toi. Voilà ce que tu devrais récolter à partir de ce que tu as consacré. Par conséquent, tu dois accepter ce travail comme ton devoir, sans aucun doute ni suspicion. Tout ce que Je veux que tu fasses, Je te le dirai sincèrement. J’aime parler franchement. Je n’ai pas besoin de t’amadouer comme un enfant de trois ans, de tourner autour du pot, de parler de manière détournée et de te dire des choses gentilles. Je ne ferai pas cela. Si tu sais chanter ou danser, et que tu as ces conditions innées, alors quand on prend des dispositions pour que tu fasses ce devoir, tu devrais l’accepter. Si tu dis : « D’après mes conditions innées, je ne suis pas tout à fait qualifié pour ce devoir. Est-ce que je peux ne pas le faire ? », c’est acceptable. C’est ta liberté, je ne te forcerai pas.

Peu importe ce que Je dis ou ce que Je vous demande de faire, cela n’implique pas de complots. Lorsque Je M’entretiens avec les dirigeants et les ouvriers, Je leur demande : « Comment se déroule la vie d’Église ces derniers temps ? Les nouveaux venus ont commencé à vivre la vie d’Église ; quels problèmes rencontrent-ils encore ? Ont-ils été résolus ? Que pensent-ils après avoir regardé des films ou des témoignages d’expérience de la maison de Dieu ? » Certains dirigeants et ouvriers ne savent pas quoi répondre. Ils se demandent dans leur cœur : « Essayes-Tu de me piéger pour que je révèle ma situation réelle ? Es-tu en train de vérifier si j’ai fait un quelconque travail concret ? Je dois répondre soigneusement et ne pas être imprudent ! Je peux parler du travail qui a été bien fait, mais si un travail n’a pas été fait ou n’a pas été bien effectué, je ne dois absolument pas en parler. Si j’en parle, cela exposera le problème ! » Ainsi, lorsqu’ils rendent compte de leur travail, ils sont toujours réticents à ajouter une parole et ont très peur d’exposer des problèmes. Ces personnes ont un esprit compliqué. Lorsque Je leur pose une question, les paroles sont en réalité sur le bout de leur langue, mais ils ne les prononcent pas directement. Ils doivent y réfléchir et les analyser dans leur esprit : « Pourquoi me demandes-Tu cela ? Comment puis-je répondre de manière appropriée afin que, d’une part, Tu ne sois pas au fait de la situation réelle et que, d’autre part, Tu sois satisfait ? » En réalité, Je ne passe pas une seule parole que Je prononce à travers un filtre mental. Quel est Mon état lorsque Je pose des questions ? Lorsque Je vois quelqu’un et que Je sais de quel travail il est responsable, Je pense immédiatement aux tâches spécifiques qu’il peut faire, aux problèmes qu’il est susceptible de rencontrer dans son travail et aux difficultés auxquelles il pourrait être confronté. En ayant ces choses à l’esprit, Je lui demande directement : « Comment se passe la vie d’Église ces derniers temps dans les Églises dont tu es responsable ? Les dirigeants d’Église et les diacres sont-ils tous compétents ? Les frères et sœurs savent-ils comment manger et boire les paroles de Dieu ? La plupart d’entre eux se consacrent-ils à la dévotion spirituelle ? Apprennent-ils des hymnes et des danses pendant leur temps libre ? Comment progresse le travail d’évangélisation ? » Toutes les questions que Je pose sont directes et sans détour, elles ne visent pas à tester et sont dénuées d’arrière-pensée. Je considère simplement le travail et l’entrée dans la vie des gens. Peu importe la façon dont tu réponds, tu ne te retrouveras pas à être testé, et Je ne garderai rien comme moyen de pression contre toi ; il n’y a pas de risque que tu te trahisses ou que quelque chose soit utilisé comme moyen de pression contre toi. Je cherche simplement à en savoir plus sur le travail, Je ne M’informe pas délibérément sur la situation de quiconque et Je ne vise personne en particulier pour le traiter ou le renvoyer. L’Église ne se livre pas à des luttes de classe ou à des disputes entre factions, elle fait du travail concret. Parfois, lorsque Je vois des frères et sœurs ou des dirigeants et des ouvriers, J’ai simplement envie de discuter de manière informelle, de dire quelques paroles sincères et de parler de choses quotidiennes. Parfois, Je demande aussi quels sont les problèmes qui subsistent dans le travail de l’Église. Tout ce que Je dis relève du langage courant, ce sont des paroles sincères. Par exemple, Je vous demande : « Comment se passe la vie de l’Église ces derniers temps ? Les frères et sœurs peuvent-ils tirer profit de chaque réunion ? La vie de l’Église peut-elle aider à résoudre les problèmes concrets ? » Certaines personnes répondent : « La vie de l’Église n’est pas très bonne ces derniers temps. Même si nous nous réunissons, nous n’en tirons pas beaucoup de gains et les problèmes fondamentaux ne peuvent pas être résolus. » Je demande alors : « Où se situe le problème ? » La plupart des gens ne savent pas quoi répondre. Dites-Moi, Ma question est-elle un piège ? Cache-t-elle un complot ? Pas du tout. Je pose simplement cette question pour en savoir plus sur le travail et saisir la situation, afin de pouvoir échanger sur la vérité avec vous et résoudre les problèmes. Peu importe la façon dont vous répondez, vous ne vous retrouverez pas à être testés. Certaines personnes relativement simples peuvent parler sincèrement. Elles disent : « Les frères et sœurs viennent d’accepter l’œuvre de Dieu et n’ont pas encore beaucoup d’expérience. Ils n’ont rien à dire pendant les réunions. S’ils lisent trop de paroles de Dieu, ils ne peuvent pas les saisir, et ils deviennent somnolents et n’arrivent pas à les assimiler. Nous ne savons pas comment résoudre ce problème. » Je réponds : « C’est facile à résoudre. Tout le monde peut commencer par chanter un hymne, puis danser un peu, puis lire quelques paroles de Dieu. Ceux qui ont de la compréhension peuvent en parler, et ceux qui ont de l’expérience peuvent en parler. Ceux qui n’ont ni compréhension ni expérience peuvent également évoquer leurs difficultés concrètes et laisser les frères et sœurs qui ont de l’expérience les aider à les résoudre. Les réunions ne seront-elles pas fructueuses de cette manière ? Ceux qui ont une petite stature pourront également être édifiés. » Tu vois, cela ne résout-il pas le problème ? Lorsque Je discute avec les gens, en leur posant parfois quelques questions, certaines personnes à l’esprit compliqué réfléchissent : « Ta question est assez directe. Je ne sais pas ce que Tu veux dire en posant cette question. Je dois faire attention à ma réponse ! » Je dis que tu te trompes. Peu importe avec qui Je discute ou quelles questions Je pose, le but ultime est toujours de découvrir et de résoudre des problèmes, de t’assister et de te guider, et de t’aider à résoudre des problèmes. Premièrement, ce n’est pas pour te mettre à nu et te faire paraître stupide. Deuxièmement, ce n’est pas pour tester si tu dis la vérité ou si tu es une personne candide. Troisièmement, ce n’est pas pour t’inciter par la ruse à révéler ta situation réelle. Quatrièmement, c’est encore moins pour tester si tu es compétent pour faire le travail ou si tu es capable de faire du travail concret. En fait, quelle que soit la manière dont Je discute avec toi, c’est uniquement pour t’aider et te guider afin que tu puisses mener à bien ton devoir, bien faire le travail et résoudre des problèmes. Certaines personnes suranalysent Mes questions simples, craignant fortement qu’elles aient une signification cachée. Certaines soupçonnent même que Je complote contre elles. Je souhaite clairement t’aider à résoudre des problèmes, mais tu penses à tort que Je complote contre toi. N’est-ce pas M’accuser à tort ? (Si.) Alors, quel est le problème ici ? Le cœur humain est fourbe ! Même si les gens peuvent dire à haute voix : « Tu es Dieu, je dois Te dire la vérité et être candide avec Toi. Je Te suis, je crois en Toi ! », au fond d’eux-mêmes, ils ne pensent pas de cette façon. Peu importe à quel point Mes questions sont ordinaires et simples, elles sont souvent interprétées de manière excessivement sensible par les gens. À travers leurs conjectures, puis leur examen, ils passent par de nombreux méandres et semblent trouver la réponse finale, mais en réalité, celle-ci est loin de l’intention originale de Mes paroles. C’est clairement une question très simple, mais ils la suranalysent. Ces individus ne sont-ils pas trop sensibles ? Peu importe ce que Je demande, leur cœur s’agite après l’avoir entendu : « Pourquoi poses-Tu cette question ? Comment puis-je répondre de manière à Te satisfaire sans révéler aucun défaut ? Que dois-je dire en premier, et que dois-je dire dans un second temps ? » En trois à cinq secondes, les paroles sortent, sans aucun délai. Leur esprit est plus rapide qu’un ordinateur. Pourquoi sont-ils si rapides ? En fait, ce processus est déjà une seconde nature pour eux ; c’est leur astuce et leur style habituels pour traiter avec les gens et gérer les affaires. Ils complotent contre tout le monde. Ainsi, aussi simples que soient Mes questions, ils les suranalysent, croyant que J’ai un motif ou un objectif. Ils se demandent dans leur cœur : « Si je réponds sincèrement, ne vais-je pas exposer ma véritable situation ? Cela reviendrait à me trahir. Je ne peux pas Te laisser découvrir ma véritable situation. Alors, comment répondre de manière appropriée ? Comment faire pour que Tu sois heureux et satisfait, que Tu aies une bonne impression de moi et que Tu continues à m’utiliser ? » Voyez comme ces individus sont fourbes ! Leur esprit est trop compliqué. Peu importe la manière dont Je leur parle, ils doutent et scrutent. De telles personnes peuvent-elles pratiquer la vérité ? Peuvent-elles être aptes à être utilisées par Dieu ? Absolument pas. La raison en est que l’esprit de ces individus est trop complexe, et pas du tout simple ; quiconque est en contact avec eux depuis longtemps peut le constater. Les gens sont particulièrement doués pour comploter, pourtant, ai-Je jamais comploté contre vous en vous parlant et en communiquant avec vous ? (Non.) Que Je cherche à Me renseigner sur ton état personnel ou sur ta situation professionnelle, c’est toujours pour t’aider, pour résoudre des problèmes dans le travail. Même si tu commets des erreurs et que tu subis un émondage ou un renvoi, Je ne comploterai pas contre toi et Je ne te tourmenterai pas. Une fois le problème résolu, c’est terminé. La maison de Dieu ne complotera pas contre toi et ne te tourmentera pas, et Je M’abstiendrai d’autant plus de M’accrocher à tes fautes pour faire pression sur toi en refusant de lâcher prise, ou de réfléchir à des moyens de te discréditer et d’amener tout le monde à t’isoler et à te rejeter, te plongeant dans le désespoir afin que tu démissionnes de toi-même. Je ne ferai absolument pas cela. Si tu n’es pas apte à être un dirigeant ou un ouvrier, Je dirai tout au plus : « Ton calibre est trop médiocre et tu manques de compréhension spirituelle. Tu n’es pas apte à être un dirigeant ou un ouvrier. Même si tu étais élu en tant que dirigeant ou en tant qu’ouvrier, tu ne serais pas en mesure de faire du travail concret. » En aucun cas la maison de Dieu ne te tourmentera ni ne complotera contre toi pour cette raison.

Il existe des principes qui régissent le type de personnes que la maison de Dieu promeut et utilise, ainsi que le type de personnes qu’elle n’utilise pas, les personnes qu’elle cultive et celles qu’elle ne cultive pas ; tout cela repose sur les besoins du travail de la maison de Dieu. Peu importe qui est promu et utilisé, l’objectif est de cultiver ces gens afin qu’ils puissent bien faire leur devoir, savoir comment faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, et afin qu’ils puissent assumer du travail et agir selon les vérités-principes. Quel que soit le problème à résoudre, l’objectif est de leur permettre de comprendre davantage de la vérité, et d’apprendre à tirer des leçons et à gagner en discernement à partir des diverses personnes, des divers événements et des diverses choses auxquels ils sont confrontés. De cette manière, il leur est plus facile d’entrer dans la vérité-réalité sous tous ses aspects. Il ne s’agit pas de t’exploiter pour que tu rendes service, et encore moins de t’exploiter pour pourvoir un poste vacant parce qu’aucune personne appropriée ne peut être trouvée, pour te chasser ensuite lorsque quelqu’un de convenable se présente. Ce n’est pas ainsi que cela se passe. En réalité, cela te donne l’occasion de te former. Si tu poursuis la vérité, tu resteras ferme ; si tu ne poursuis pas la vérité, tu ne seras toujours pas capable de rester ferme. Il n’est absolument pas question que, parce que la maison de Dieu te trouve déplaisant, elle trouve un moyen de pression sur toi et cherche une occasion de t’éliminer. Lorsque la maison de Dieu dit qu’elle va te cultiver et te promouvoir, elle va véritablement te cultiver. Ce qui compte, ce sont les efforts que tu déploies pour atteindre la vérité. Si tu n’acceptes pas du tout la vérité, alors la maison de Dieu renoncera à toi et ne te cultivera plus. Certaines personnes, après une période de cultivation, sont renvoyées parce que leur calibre est médiocre et qu’elles sont incapables de faire un travail concret. D’autres, pendant leur période de cultivation, n’acceptent pas du tout la vérité, agissent de manière obstinée, interrompent et perturbent le travail de la maison de Dieu, et sont renvoyées. D’autres encore ne poursuivent pas du tout la vérité, suivent le chemin des antéchrists, travaillent toujours pour la gloire, le gain et le statut, et sont renvoyées et éliminées. Toutes ces situations sont traitées selon les principes de la maison de Dieu pour l’utilisation des personnes. La maison de Dieu continuera à cultiver ceux qui sont capables d’accepter la vérité et qui s’efforcent de l’atteindre, même s’ils commettent des transgressions en faisant quelques erreurs. Si une personne n’est pas capable d’accepter la vérité et qu’elle n’accepte pas la vérité lorsqu’elle reçoit l’émondage, alors elle doit être directement renvoyée et éliminée. Certains disent : « N’est-ce pas comme saigner quelqu’un à blanc et le jeter ensuite ? N’est-ce pas exploiter les gens ? » Dites-Moi, est-ce qu’il est déjà arrivé que quelqu’un soit renvoyé, éliminé, ou ne soit plus cultivé par la maison de Dieu parce qu’il n’avait plus aucune valeur à exploiter ? Cela s’est-il déjà produit ? (Non.) Alors, dans quelles circonstances la maison de Dieu renvoie-t-elle ou élimine-t-elle des personnes ? (La maison de Dieu ne renvoie ou n’élimine quelqu’un que lorsqu’il ne peut pas endosser le travail, ou lorsqu’il cause des interruptions et des perturbations et fait le mal.) Personne n’est renvoyé sans raison. Certaines personnes ont un piètre calibre et sont incapables de faire un travail concret. D’autres possèdent un certain calibre, mais ne font pas de travail concret et ne protègent pas les intérêts de la maison de Dieu ; elles ne font pas le travail dont elles sont capables, elles sont peu disposées à se préoccuper du travail de l’Église et à se fatiguer pour le faire, à souffrir et à payer un prix et à offenser les gens. Les personnes de ce type ne peuvent pas faire de travail concret, elles doivent donc être éliminées ; il n’est plus approprié qu’elles occupent cette position. Non seulement elles entravent le travail de l’Église, mais elles affectent également l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Dans une telle situation, elles doivent faire preuve de conscience d’elles-mêmes et démissionner rapidement, en laissant ceux qui sont capables de faire un travail concret se charger de ce travail. Certaines personnes ne font pas de travail concret, mais profitent tout de même des avantages de leur statut et peuvent même causer des interruptions et des perturbations. Elles craignent constamment que le Supérieur ne découvre leurs problèmes et ne les renvoie, alors quand vient le moment de rendre compte de leur travail, elles font semblant de soulever certaines questions pour chercher la vérité et paraissent particulièrement proactives, souhaitant donner une bonne impression au Supérieur et prouver qu’elles sont des personnes qui cherchent la vérité et peuvent faire un travail concret. Le Supérieur promeut et utilise les personnes non pas en fonction de leur éloquence, de leur aptitude à soulever des questions ou de leur vivacité d’esprit, mais il les sélectionne et les cultive plutôt en fonction de leur amour de la vérité, du fait qu’elles la poursuivent ou non, et en fonction de leur capacité à faire leur devoir avec dévouement. Il y a aussi certaines personnes qui non seulement ne font pas de travail concret et ne protègent pas les intérêts de la maison de Dieu, mais qui causent également des interruptions et des perturbations et trahissent les intérêts de la maison de Dieu. Les arrangements de travail de la maison de Dieu stipulent clairement ce qu’il n’est pas permis de faire et ce qui doit être fait, mais ces personnes n’appliquent aucun de ces points et commettent même des méfaits imprudents. Il y a eu beaucoup de personnes de ce genre, et elles ont toutes été renvoyées. Quelle que soit la situation, lorsque la maison de Dieu promeut ces personnes, c’est toujours pour les cultiver et les conduire vers la vérité-réalité, en espérant qu’elles puissent bien accomplir le travail de l’Église et mener à bien les devoirs qui leur incombent. Même si tu ne sais pas comment faire une partie du travail parce que tu es stupide et que tu manques de perspicacité ou parce que ton calibre est médiocre, tant que tu t’efforces d’atteindre les vérités-principes, que tu as ce sens des responsabilités, que tu es disposé à bien faire ce travail et que tu peux protéger le travail de l’Église, la maison de Dieu continuera à te cultiver, même si tu as fait des choses stupides dans le passé. Certains individus, même si leur calibre est un peu médiocre, peuvent tout de même faire quelques travaux simples. Même s’ils ne peuvent pas obtenir de bons résultats en échangeant sur la vérité pour résoudre des problèmes, ils peuvent protéger le travail de l’Église. Quel que soit l’aspect de la vérité qui fait l’objet d’un échange à chaque réunion, ils sont capables de l’accepter et d’être obéissants et soumis. Si un quelconque travail n’est pas bien fait, ils peuvent en tirer des leçons. Bien que leur calibre soit un peu médiocre, leur cœur peut s’efforcer d’atteindre la vérité. Après avoir travaillé quelque temps, ils progressent et leurs résultats s’améliorent de plus en plus. À Mes yeux, ces personnes ont une chance de gagner le salut. La plupart des gens croient que ceux qui ont un bon calibre gagneront probablement le salut. Selon Moi, ce n’est pas nécessairement le cas. L’essentiel est que les gens doivent poursuivre la vérité afin de gagner l’œuvre du Saint-Esprit, de se débarrasser de leurs tempéraments corrompus et de gagner le salut. Certaines personnes ont un calibre moyen et les résultats de leur devoir sont également moyens, mais après des années d’abreuvement et d’approvisionnement de la part de la maison de Dieu, elles commencent à prendre la vérité à cœur et finissent effectivement par comprendre certaines vérités. Elles gagnent également quelques expériences concrètes, sont capables de percer à jour certaines choses et de résoudre certains problèmes, et font de plus en plus de progrès dans le travail de l’Église. C’est une très bonne chose ; les personnes de ce genre méritent d’être cultivées. Même si tu n’es peut-être pas tout à fait compétent pour ce travail, à tout le moins, le Supérieur, dans une certaine mesure, t’encourage à faire ce travail. Dis-Moi, est-ce que prendre des dispositions pour que les gens fassent un devoir revient à les exploiter ? (Non.) Peu importe la quantité de travail que tu es capable d’effectuer ou ton calibre, te promouvoir et t’utiliser n’est pas t’exploiter. L’intention est plutôt de saisir cette occasion pour te permettre de te former en faisant le travail et de te perfectionner à travers ta poursuite de la vérité et à travers le fait de travailler dur et d’endosser de lourds fardeaux. D’une part, cela te perfectionne personnellement ; d’autre part, cela réalise également le travail de la maison de Dieu. Tu as à la fois préparé de bonnes actions et réalisé des gains dans ton entrée dans la vie personnelle. C’est formidable ! Voilà deux bons résultats en une seule action. Certains de ceux qui ont été révélés et éliminés ont dit un jour : « Essayez-vous de m’exploiter pour que je rende service à la maison de Dieu ? Pas question ! Je ne suis pas stupide à ce point ! » Ils sont même capables de prononcer de telles paroles. Croient-ils vraiment en Dieu ? De telles personnes comprennent-elles la vérité ? En quoi prendre des dispositions pour que les gens fassent un petit devoir revient-il à les exploiter ? Si tu es vraiment quelqu’un qui comprend la vérité, tu devrais comprendre les intentions du Créateur et mener à bien le devoir d’un être créé. C’est s’acquitter de sa responsabilité et de son obligation en tant qu’être humain. Si tu n’as même pas cette conscience et cette raison, mérites-tu d’être appelé un être créé ? Si tu as vraiment une conscience et de la raison, tu devrais traiter ton devoir correctement. Si tu as le calibre pour, tu devrais t’efforcer d’atteindre la vérité. Si tu es disposé à faire ta part de manière proactive, la maison de Dieu prendra des dispositions pour que tu fasses un certain travail, pour que tu endosses un fardeau. Il ne s’agit pas de comploter contre toi ni de t’exploiter, mais de te promouvoir, de te cultiver, de te permettre de te former et de te conduire vers la vérité-réalité. C’est aussi simple que cela. Certaines personnes disent : « Je suis âgé maintenant, je ne suis pas suffisamment dynamique et ma force physique décline. Je ne veux plus endosser ce fardeau. Puis-je me retirer ? » Je réponds que c’est acceptable, mais avant de te retirer, tu dois y réfléchir attentivement. Si ce n’est pas vraiment pour des raisons physiques, mais parce que tes pensées personnelles ont changé, que tu doutes, que tu as peur de souffrir, peur de te fatiguer, peur de t’élever davantage au risque de tomber de haut, que tu as toujours la pensée et le point de vue selon lesquels on se sent seul au sommet, alors tu dois être prudent. Ne refuse pas ce mandat, ce devoir spécial ; tu dois y réfléchir attentivement. De telles occasions ne sont pas légion : elles sont rares, n’est-ce pas ? Tu insisteras peut-être : « Inutile de me persuader. J’y ai longuement réfléchi et j’ai déjà pris ma décision. Tu ne peux pas me persuader ; je ne veux tout simplement plus endurer cette fatigue. Tous les autres vivent confortablement, pourquoi devrais-je être le seul à être si fatigué ? Suis-je destiné à souffrir ? Je ne suis pas disposé à endurer de telles souffrances ! Je ne suis pas disposé à me résigner à mon sort ! L’Église ne devrait pas comploter contre moi ; je ne suis pas l’esclave de l’Église et je ne me suis pas non plus vendu à l’Église ! » Tu ne devrais pas continuer à prononcer ces paroles désagréables ; en dire davantage te conduira à commettre trop de péchés, et tu dois répondre des paroles que tu as prononcées et des choix que tu as faits. Premièrement, tu crois en Dieu pour gagner des bénédictions ; tu ne t’es pas vendu à la maison de Dieu. Deuxièmement, si tu voulais te vendre à la maison de Dieu, celle-ci devrait tout de même examiner attentivement si tu as cette valeur, si t’acheter lui serait utile. Alors, si tu penses que la maison de Dieu complote contre toi et veut t’exploiter pour que tu rendes service, ta pensée est erronée, car les critères selon lesquels la maison de Dieu examine les gens sont de savoir si ceux-ci croient sincèrement en Dieu, s’ils aiment la vérité et s’ils peuvent obéir aux paroles de Dieu et se soumettre à Lui. La maison de Dieu sélectionne et cultive les gens en fonction de ces critères. Si tu as une opinion si négative de la maison de Dieu, alors tu n’as ni conscience ni raison, et tu es totalement inutile. Non seulement la maison de Dieu ne t’utilisera pas pour faire ton devoir, mais elle devra également t’éliminer rapidement, toi qui es un incrédule. Si ta croyance en Dieu n’est pas sincère, tu devrais quitter rapidement la maison de Dieu ; ne t’y attarde pas. Tu n’appartiens pas à la maison de Dieu ; la maison de Dieu n’a pas besoin de telles personnes. Dépêche-toi de partir.

Que Je discute ou que J’échange et que Je prêche de manière formelle, Mon objectif avec chaque parole que Je prononce, chaque question que J’aborde et chaque aspect de la vérité sur lequel J’échange est de vous permettre de connaître vos propres états corrompus, de reconnaître vos défauts, vos lacunes, vos insuffisances et vos difficultés, et surtout, de connaître vos propres tempéraments corrompus et les révélations de votre corruption dans divers contextes et environnements. Une fois que vous connaîtrez vos tempéraments corrompus, vous aurez une compréhension plus profonde de vous-mêmes, vous saurez ce que vous valez, vous deviendrez un peu plus raisonnables. De plus, vous vous comparerez aux paroles de Dieu et vous trouverez dans les paroles de Dieu les principes de pratique et les chemins de pratique pertinents pour résoudre vos propres difficultés, qu’il s’agisse de résoudre les tempéraments corrompus que vous révélez dans la vie quotidienne ou vos insuffisances en matière d’humanité. Peu à peu, vous vous débarrasserez de ces tempéraments corrompus et des diverses pensées et opinions sataniques que Dieu déteste, et en acceptant la vérité, vous parviendrez à de véritables changements dans votre façon de voir les choses et dans vos tempéraments-vies. C’est la seule voie qui soit conforme aux intentions de Dieu. Dans toutes ces paroles que Je prononce, que ce soit en discutant avec vous dans la vie quotidienne ou en échangeant et en prêchant de manière formelle, chaque parole est prononcée en fonction de votre situation concrète. Je prononce ces paroles parce que J’ai observé vos besoins. Bien que les faits que J’énumère aient pu faire l’objet d’un traitement simple, ces exemples sont des cas représentatifs choisis à partir des faits de vos révélations de corruption et de vos actions. En utilisant ces faits et ces exemples, J’expose les tempéraments corrompus et la nature-essence de l’humanité afin que les gens puissent réfléchir sur eux-mêmes, et cela produit de bons résultats. Par conséquent, quel que soit le sujet sur lequel Je M’exprime, premièrement, il n’y a pas de pièges ; deuxièmement, il n’y a pas de complots ; et troisièmement, il n’y a pas de tests. Tout cela vise à vous permettre de mieux comprendre les intentions et les exigences de Dieu, de parvenir à considérer les personnes et les choses et à vous conduire et à agir selon les vérités-principes, et, finalement, de vous présenter devant Dieu et d’avoir de la soumission et de la crainte envers Lui. Ce sont là autant de faits. Ainsi, lorsque Je communique ou discute avec vous de certaines questions qui se présentent dans la vie quotidienne ou que Je M’engage dans des dialogues et des questions formels liés au travail, peu importe le nombre d’années qui passent, lorsque tu y repenses, vois-tu de quelconques intrigues ou pièges dans Mes paroles ? (Non.) Y a-t-il une quelconque intention de t’exploiter ? Y a-t-il une quelconque intention de t’extorquer quelque chose ? (Non.) En es-tu certain ? (Oui.) Par exemple, quelqu’un est responsable de l’élevage des animaux dans une ferme. Je lui demande combien de jours il faut à une poule pour pondre un œuf, et il réfléchit : « Que veux-Tu dire par cette question ? Essayes-Tu de vérifier si je nourris bien les poules ? Alors, quelle est la réponse appropriée ? Si je dis qu’elles pondent un œuf par jour, ce n’est pas vraiment réaliste ; ce serait mentir. Si je dis qu’elles pondent un œuf tous les deux ou trois jours, vas-Tu penser que je ne nourris pas bien les poules et que je ne leur ai pas donné une alimentation nutritive ? Alors, quelle est la réponse appropriée ? » Il continue à réfléchir dans son cœur et ne donne jamais de réponse. En réalité, Je n’ai aucune autre intention en posant cette question ; Je souhaite simplement me renseigner sur la manière dont les poules sont élevées. Cependant, dès que Je pose la question, il y lit trop de choses et ne cesse d’essayer de deviner ce que Je veux dire en posant cette question. Dites-Moi, est-il difficile de traiter avec de telles personnes ? Est-il seulement possible de communiquer normalement lorsqu’on est en contact avec de telles personnes ? Il devient impossible de communiquer. J’ai une habitude : J’aime toujours Me promener et vérifier les choses. Parfois, Je découvre quelques problèmes. S’il s’agit d’un problème de propreté de l’environnement, il convient alors de remettre les choses en ordre. S’il s’agit d’un problème de personnel, il convient alors d’effectuer des ajustements. S’il s’agit d’un problème lié aux compétences professionnelles, une consultation et un apprentissage s’imposent alors. Lorsque des problèmes sont découverts, ils doivent être corrigés. De nombreux problèmes ont été découverts fortuitement et résolus lors de conversations quotidiennes ; certains problèmes réels ont été facilement résolus. Il n’y a donc pas lieu d’être nerveux lorsque l’on entre en contact et que l’on interagit avec Moi. De nombreux problèmes sont découverts au contact des gens et sont facilement résolus. Il est vraiment nécessaire d’entrer en contact avec les gens et de discuter avec eux ; il ne s’agit pas seulement de se renseigner sur la situation et de découvrir les problèmes, mais aussi de les résoudre dans le même temps. N’est-ce pas un gain ? (Si.) Lorsque Je discute avec les gens, certains parlent avec sincérité, tandis que d’autres ont des raisonnements très compliqués et n’osent pas parler sincèrement, se demandant toujours si Mes paroles ont un sens caché ou si J’essaie de comploter contre quelqu’un. Ainsi, dès que Je leur pose une question, ils deviennent nerveux et leur front se couvre de sueur. Je leur dis : « Il ne fait pas chaud, pourquoi transpires-tu ? » Ils répondent : « Tu n’as peut-être pas chaud, mais moi oui ! Ce que Tu as dit m’a tant effrayé que mon cœur a fait un bond dans ma poitrine. Maintenant, j’ai les paumes et la plante des pieds moites, j’ai le cœur qui bat la chamade et je ne sais pas quoi faire. » Je leur réponds : « Tu n’as pas besoin d’être nerveux. Je ne fais que discuter de manière informelle, Je ne fais que bavarder. S’il y a vraiment un problème, nous le résoudrons, tout simplement. Ne Me considère pas comme quelqu’un de si terrifiant, comme si découvrir un problème signifiait que J’allais exécuter toute ta famille élargie. Je ne “résous” pas les gens, Je résous des problèmes. Résoudre les problèmes est essentiel. » Quel type de foi devrais-tu avoir ? D’une part, J’agis assurément selon des principes, de manière absolument juste. Je n’agis pas sous le coup de l’émotion, de l’entêtement ou de manière arbitraire : Je ne vais pas te trouver déplaisant, puis te critiquer, chercher la petite bête ou chercher des défauts, puis te chasser et trouver quelqu’un que Je trouve agréable pour faire le travail. D’autre part, Je traite chacun en fonction de la situation réelle et du problème réel ; il y a des principes. Les gens ont le droit de faire des erreurs, d’être stupides, faibles et négatifs. Mais une chose n’est pas permise : si tu fais des difficultés et que tu interromps et perturbes intentionnellement le travail de l’Église, alors tu dois réfléchir sur toi-même. Si tu ne protèges pas les intérêts de la maison de Dieu, si tu les trahis toujours, alors l’Église n’a pas besoin de toi pour accomplir ton devoir ; la maison de Dieu devra trouver une personne appropriée pour te remplacer. C’est agir selon des principes. La façon dont Je résous les problèmes, dont Je gère les questions et dont Je traite les gens, tout cela est fait selon des principes. Tu n’as pas à craindre que Je Me débarrasse de toi si Je découvre un problème te concernant ; cela dépendra du problème en question, et la situation sera traitée en fonction de la nature du problème. Si la nature de ton problème n’est pas très grave, si tu ne l’as pas causé intentionnellement, mais par une négligence ou une sottise momentanée, alors il sera résolu à travers l’échange sur la vérité. Tires-en une leçon et ne refais pas la même erreur. Parfois, c’est parce que les gens manquent de connaissances et d’expérience et ne comprennent pas certaines compétences professionnelles ; dans ce cas, apprends vite les compétences professionnelles et ne sois pas paresseux. Mais si c’est délibéré et intentionnel, si tu ne veux pas accomplir cette tâche et que tu nuis même intentionnellement aux biens de la maison de Dieu, alors cela doit être traité sérieusement. Ceux qui doivent être renvoyés seront renvoyés, et ceux qui doivent être écartés le seront ; inutile d’avoir peur. Si vous avez cette foi, alors lorsque Je vous parlerai et traiterai des questions avec vous, vous vous sentirez beaucoup plus à l’aise. Lorsque Je te parle ou que Je discute de questions professionnelles ou liées au travail, tu dois savoir te détendre, savoir que Dieu ne complotera contre personne et qu’Il ne complotera pas non plus contre toi ; tu peux être rassuré. Si tu n’as même pas cette foi, si tu ne crois pas que Dieu est bon et juste, alors quand tu dis que tu crois en Dieu, que tu suis Dieu incarné, que tu suis Christ, où est ta foi ? Comment peux-tu arriver à être candide avec Lui ? Si tu te méfies de Lui à chaque instant, que tu émets des conjectures à Son sujet, que tu te méfies de Lui et que tu Le scrutes, alors tu n’as pas une véritable foi en Lui. Si tu n’as pas une confiance sincère, une foi sincère en cette personne, alors dans quelle mesure peux-tu croire en Mes paroles ? Y a-t-il une seule déclaration que tu puisses vraiment croire, vraiment accepter ? Il n’y en a pratiquement aucune, n’est-ce pas ? (En effet.)

Une fois, Je Me suis rendu dans une Église pour observer la situation. Quand Je suis entré dans la pièce, J’ai commencé par saluer tout le monde. Quelques personnes se sont approchées, M’ont rapidement proposé une chaise pour que Je M’asseye, puis M’ont dit qu’elles étaient en train de parler de quelque chose. Pendant qu’elles discutaient, J’ai soudain remarqué que, à peine quelques instants auparavant, il y avait quatre ou cinq personnes dans la pièce, mais qu’il n’en restait à présent plus que deux. Je Me suis dit qu’elles étaient peut-être retournées dans leurs chambres pour se recoiffer et se rafraîchir et qu’elles reviendraient bientôt, mais Je suis resté un bon moment et elles ne sont pas revenues. C’est alors que J’ai compris : Je n’étais pas Le bienvenu à leurs yeux ; J’étais venu à un moment inopportun. J’étais un invité indésirable. Mon arrivée leur donnait le sentiment d’être contraintes et mal à l’aise. Elles se demandaient : « Ta visite a-t-elle un objectif particulier ? » Elles avaient peur de tomber dans un piège, peur d’être trompées, peur d’une quelconque intrigue, alors elles ont refusé de Me rencontrer face à face et ont refusé de communiquer ou d’interagir avec Moi. Ce n’est pas une exagération et Je n’ai pas non plus enjolivé la chose. Je ne raconte pas une histoire, cela s’est vraiment passé. Ce n’est peut-être que quand J’ai ouvert la porte et que Je suis parti que ces personnes ont enfin poussé un soupir de soulagement en disant : « Enfin, Il est parti ! Oh, ça m’a terrifié ! » Je Me suis dit : « Ai-Je un si grand “charisme” que Je peux effrayer les gens à ce point ? » Dites-Moi, quel problème cela indique-t-il lorsque les gens présentent ces manifestations ? Je n’ai vraiment jamais vu des gens croire en Dieu de cette manière. Les personnes de ce type aiment vivre dans des coins sombres ; elles n’aiment pas vivre en pleine lumière et elles n’aiment pas vivre de manière ouverte et honnête. Dites-Moi, lorsque Je suis en contact avec vous, vous sentez-vous mal à l’aise et nerveux en n’ayant pas envie de communiquer avec Moi ? Ou est-ce que vous êtes disposés à entrer en contact avec Moi, désireux de gagner la vérité, et que cela ne vous dérange pas même si cela vous rend un peu nerveux ? Quel est votre état d’esprit ? (Même si nous nous sentons un peu nerveux, ce n’est pas grave tant que nous pouvons comprendre la vérité et gagner quelque bénéfice.) La plupart des gens, après être entrés en contact avec Moi et avoir communiqué avec Moi pendant deux ou trois heures, trouvent que beaucoup de paroles dans Mon échange sont très importantes, que ce sont des choses qu’ils n’ont jamais entendues auparavant, alors ils estiment que cela valait vraiment la peine d’écouter ces paroles ce jour-là, et ils deviennent particulièrement disposés à écouter Mon échange. Si Je Me lance occasionnellement dans une conversation informelle, ils se sentent un peu déçus et ne sont satisfaits que s’ils peuvent gagner quelque chose grâce à Mes paroles. Pour ce type de personnes, Je suis disposé à échanger sur quelques vérités, en intégrant des questions de la vie réelle, afin que tous puissent en tirer profit. Il y a des personnes qui, lorsqu’elles Me voient, craignent toujours que Je leur pose des questions sur certaines situations, et qu’elles ne sachent pas comment répondre et paraissent très maladroites. L’esprit de ces personnes est trop compliqué ; elles ne sont pas simples. D’autres sont disposées à chercher la vérité, partageant ouvertement toutes leurs difficultés sans craindre que l’on se moque d’elles : c’est la bonne approche. Le principe de notre communication et de notre dialogue est d’ouvrir notre cœur et de dire tout ce que nous avons à l’esprit, de parler sincèrement. Je parle et interagis avec vous dans le cadre de l’humanité normale. En raison de Mon identité et de Mon statut, J’en sais plus que vous, donc bien entendu, Je dois parler davantage. Si vous êtes disposés à écouter, vous pouvez gagner quelque chose ; si vous n’êtes pas disposés à écouter, Je ne vous y forcerai pas. Sur les thèmes que nous abordons, si vous avez de la perspicacité, des idées, de l’expérience, des compréhensions ou des connaissances, vous pouvez également les partager. C’est ce que l’on appelle l’interaction ; c’est l’humanité normale. Si tu as le sentiment que ce que Je dis est très important, alors tu devrais écouter attentivement. Si tu ne peux pas assimiler ce que Je dis, alors Je cesserai de parler et Je te laisserai parler. Si tu n’as rien à dire, Je te poserai des questions et Je te guiderai. Par exemple, Je pourrais te demander : « Comment se passe ta vie d’Église ces derniers temps ? Rencontres-tu des difficultés pour faire ton devoir ? » Si tu as des difficultés, tu devrais en parler sincèrement, et Je t’aiderai à les résoudre. C’est ce que l’on appelle l’interaction, et c’est quelque chose qui devrait exister dans l’humanité normale. N’est-ce pas quelque chose que tout le monde apprécie ? (Si.) Si tu possèdes une conscience et une raison, ton humanité est normale, et nos conversations et nos discussions peuvent être fondées sur une base de franchise, de confiance et de respect, nous permettant de nous ouvrir et d’exprimer ce que nous avons sur le cœur. Si tu n’as ni conscience ni raison et que tu ne veux pas chercher la vérité, alors il n’y a qu’une seule voie à pratiquer pour toi : à partir de maintenant, apprends à ne pas scruter, à ne pas essayer de lire dans Mon esprit à partir de Mes paroles et de Mes expressions, à ne pas être contraint et à ne pas prononcer de paroles de test. Certains diront peut-être : « Je ne peux pas parvenir à ces choses. » Dans ce cas, garde simplement le silence. Si on te demande de te taire, mais que tu penses que Je complote contre toi et que Je te contrains, c’est également facile à gérer : tu peux simplement t’en aller. Je n’exige rien de quiconque Je rencontre et Je ne contrains jamais les gens. Si quelqu’un trouve toujours quelque chose à redire à Mon sujet, et que, peu importe si Je lui parle ou non, cela ne lui convient jamais, alors Je ne peux que rester à l’écart d’une telle personne et éviter tout contact avec elle. Si certaines personnes ont toujours peur d’être en contact avec Moi, pensant toujours que Je vais comploter contre elles, mais qu’elles veulent quand même être en contact avec Moi pour gagner quelque vérité, Je dis qu’avec une telle mentalité, tu ne peux pas gagner la vérité ; tu n’es pas une personne qui aime la vérité. Tu as toujours les pires pensées à l’égard d’autrui, tu as la conviction que personne n’est aussi bon que toi. Peu importe ce que Je te dis, tu penses toujours que Je suis sûrement en train de comploter contre toi. Tu ne Me crois pas et tu n’as absolument aucune confiance en Moi. Dans ce cas-là, il nous est impossible de vivre en harmonie ; à tout le moins, nous ne sommes pas en phase en termes d’humanité. Nous n’avons pas de passe-temps ni de centres d’intérêt en commun, pas de buts communs à poursuivre ou auxquels aspirer. En termes d’humanité, le chemin que tu suis, ton bonheur, ta colère, ta tristesse et ta joie, ainsi que tes goûts et tes centres d’intérêt sont différents des Miens. Tout ce que tu aimes est négatif, tandis que les thèmes dont Je souhaite parler concernent tous des choses positives. Tu essaies toujours de Me scruter. Quelle que soit la vérité sur laquelle J’échange, tu te demandes toujours s’il y a une intrigue derrière, si Je complote, si tu risques de subir une perte ou d’être trompé. Si tu réfléchis toujours à ces choses, quel genre de situation se présenterait alors quand nous parlerions et interagirions ? (Une situation embarrassante.) Dans cette situation, Je Me sentirais mal à l’aise avec toi, et tu te sentirais mal à l’aise avec Moi ; nous nous sentirions tous les deux mal à l’aise. Nous côtoyer dans ces conditions ne serait-il pas simplement nous tourmenter mutuellement ? Y trouverions-nous un quelconque bonheur ? Il n’y aurait là aucun bonheur. Si tu aimais entendre ce que Je dis, si tu étais disposé à écouter, si les thèmes dont Je parle étaient ceux auxquels tu aspires, ce que tu chéris dans ton cœur, ce que tu poursuis, et s’ils pouvaient répondre aux besoins de ton humanité, il n’y aurait aucune aversion ni aucune résistance dans nos cœurs, même si nous restions simplement assis là en silence. Nous pourrions interagir et, en vivant ensemble, nous pourrions atteindre l’harmonie. Mais imaginons que tu n’aimes pas entendre les paroles que Je prononce et que tu ressentes même de l’aversion et de la résistance dans ton cœur, même si ces paroles sont toutes très concrètes et bénéfiques pour les gens. Imaginons que tu ne sois vraiment pas en mesure d’assimiler les choses positives dont Je parle, ni les paroles d’échange sur la vérité que Je prononce pour résoudre les problèmes, en particulier les thèmes concernant la résolution des tempéraments corrompus, et que tu aies même l’impression que Je te lave le cerveau, que Je te trompe, que J’essaie de t’utiliser pour prêcher l’Évangile et gagner davantage de personnes afin d’étendre l’influence de la maison de Dieu. Dans ce cas-là, c’est toi qui es dans l’erreur. Tu penses toujours de manière déformée, tu veux toujours déformer les faits, qualifier le noir de blanc, et même décrire les choses positives qui sont conformes à la vérité comme des choses négatives et malveillantes qui ne sont pas conformes aux tendances sociales. Peu importe ce que Je dis, tu ne crois pas que ce soit la vérité, que ce soit une chose positive. Alors nous ne pouvons pas communiquer ; comme nous n’avons pas de langage commun, nous ne pouvons pas vivre en harmonie. Nous ne pouvons pas manger à la même table ; nous ne parvenons pas à être d’un seul cœur et d’un seul esprit. Alors, quel genre de personne es-tu ? Pour être précis, tu ne fais pas partie de la maison de Dieu ; tu es un non-croyant. Peu importe la pertinence des sujets dont Je parle, ou la pertinence des chemins de pratique et des principes de pratique, tu y lis toujours autre chose. Tu les vois, les comprends et les interprètes toujours à travers un prisme malveillant et à partir d’une position et d’un point de vue malveillants ; tu n’acceptes pas les chemins et les principes de pratique corrects dont Je parle. Par conséquent, M’écouter parler te met mal à l’aise. Pourquoi cela te met-il mal à l’aise ? Parce que ce ne sont pas là les besoins de ton humanité. De quoi as-tu besoin ? De poursuivre la liberté, de faire fortune, de manger, de boire et de t’amuser. Tes devises dans la vie sont « La vie ne consiste qu’à bien manger et à s’habiller élégamment » et « Profite tant que tu le peux ». Qu’est-ce que tu aimes ? Tu aimes les tendances malfaisantes, les vêtements extravagants, les célébrités et les personnes de renom, ainsi que le caractère extraordinaire et la grandeur de l’homme. Cela étant, ta croyance en Dieu n’est pas sincère, tu ne fais pas partie de la maison de Dieu ; ton humanité n’a pas besoin de choses positives. Lorsque Je M’adresse aux gens, peu importe ce que Je dis, ce que Je fais ou comment Je le fais, pour ceux qui n’ont pas la conscience, la raison ou les besoins de l’humanité normale, tout cela n’est qu’une théorie, un dicton, une méthode. Certains se disent même : « Quand Tu parles, Tu vas si loin dans les détails et Tu donnes même des exemples. N’est-ce pas simplement une tentative pour implanter profondément Tes pensées et Tes opinions dans le cœur des gens ? N’est-ce pas simplement une tentative pour amener les gens à accepter Tes pensées et Tes opinions, pour leur faire un lavage de cerveau et, avec le temps, les rendre insensibles avec Tes diverses pensées et opinions ? » Si tu penses vraiment ainsi, si tu crois que ces paroles ne sont pas la vérité ni le vrai chemin que les gens devraient accepter et pratiquer, ni les principes auxquels les gens devraient se conformer, alors tu peux refuser de les accepter, c’est ta liberté. Tu peux également quitter l’Église. Tu as le droit de choisir par toi-même, et aussi le droit de refuser d’accepter la vérité. Toutefois, ne déforme pas les faits et ne qualifie pas le noir de blanc. La vérité est vérité à tous les instants ; elle ne peut cesser d’être la vérité parce que quelques démons et Satans la nient et la condamnent, et elle peut encore moins cesser d’être la vérité parce que beaucoup de gens ne l’aiment pas et ne peuvent l’accepter. La vérité existe pour toujours ; elle est éternellement immuable. Peu importe combien de personnes peuvent l’accepter, la vérité est éternellement vérité. Mes conversations, Mes communications et Mes interactions avec vous sont entièrement fondées sur la confiance que vous M’accordez ; c’est l’un des principes les plus fondamentaux. Pour atteindre la confiance, le plus important est que vous confirmiez tous dans votre cœur qu’aucune parole que Je prononce, aucune question que Je pose ni aucun sujet dont Je parle ne contient de complot, d’intrigue, de piège ni, assurément, de test à votre égard. Vous pouvez donc être rassurés : lorsque Je parle avec vous, vous devriez vous sentir complètement libres et détendus. Si vous avez l’impression que discuter avec Moi n’est pas libérateur et n’est pas source de détente, que vous vous sentez soit contraints, soit très mal à l’aise, ou encore que vous restez toujours sur vos gardes dans votre cœur, alors Je dis que ce n’est vraiment pas Mon problème, mais le vôtre. Dans quel aspect votre problème réside-t-il ? Vous devriez vous-mêmes être au clair quant aux problèmes que vous avez et à ce que vous pensez dans votre cœur ; ensuite, résolvez les problèmes spécifiques de manière spécifique. Quels que soient les problèmes que vous puissiez découvrir, résolvez-les. Si vous découvrez de nombreux problèmes, notez-les, puis résolvez-les un par un. Si tous les problèmes ne peuvent pas être résolus en même temps, résolvez-les un par un, lentement. Lorsque ces choses se produisent, tu devrais les examiner et y réfléchir, voir ce que tu pensais vraiment à ce moment-là, sur quelles questions tu penses de cette façon, et quels points de vue tu adoptes sur quelles questions ; ensuite, résous ces choses progressivement. Un jour, quand tu auras abandonné ces pensées et ces points de vue dans ton cœur, que ces problèmes seront tous résolus et que tu comprendras vraiment la vérité et verras la valeur de la vérité, alors tu Me feras confiance. Tu croiras que Je peux traiter toute personne et tout problème selon les vérités-principes et que Je ne comploterai absolument pas contre toi. En conséquence, nos interactions peuvent devenir détendues et joyeuses, nous pouvons vivre en harmonie, et le bonheur peut alors naître de cette harmonie entre nous. Avoir le bonheur, le délice, la paix et la joie, n’est-ce pas une bonne chose ? (Si, c’en est une.)

Il M’arrive parfois de demander aux gens depuis combien d’années ils croient en Dieu lorsque Je les rencontre. Quelqu’un répond qu’il ne croit que depuis trois ans et se sent gêné. Dans son cœur, il pense qu’il ne croit en Dieu que depuis peu de temps et qu’il a une petite stature, alors quand il se compare à ceux qui croient depuis dix, vingt ou trente ans, il se sent toujours inférieur, un cran en dessous d’eux. Il se dit : « Me demandes-Tu cela pour me rappeler que je crois en Dieu depuis peu de temps, que je suis de petite stature et que la maison de Dieu a fait une exception en me promouvant, et pour que je me sente profondément reconnaissant envers la maison de Dieu ? » Pourquoi une telle question le met-elle si mal à l’aise ? C’est parce qu’il complique trop Ma question, pensant qu’il y a une intrigue dans Mes paroles et que J’essaie de comploter contre lui. Il voit plusieurs niveaux de signification dans une question aussi simple. Après avoir dit qu’il croyait depuis trois ans, il a le sentiment d’être dans une situation difficile. N’est-il pas mécontent de Ma question dans son cœur ? En réalité, Je pose cette question sans intention particulière, et Je ne M’attends pas à ce qu’elle te place dans une situation difficile. Alors pourquoi as-tu le sentiment d’être dans une situation difficile ? C’est parce que ton esprit est trop compliqué. Y a-t-il quelque chose qui cloche dans Ma question ? (Non.) Je la pose simplement, comme ça. Si Je te demandais combien de partenaires amoureux tu as eus, cela pourrait être inapproprié, car cela reviendrait à Me mêler de tes affaires privées. Mais ce sur quoi Je te questionne concerne ta foi en Dieu : Je te demande depuis combien d’années tu crois en Dieu. N’est-ce pas approprié ? (Si.) Alors pourquoi n’oses-tu pas répondre ? Ce n’est vraiment pas Mon problème, c’est le tien. Ton esprit est trop compliqué. Quel est le problème avec ton esprit compliqué ? N’est-ce pas que ton tempérament est malveillant et fourbe ? (Si.) Pourquoi est-ce que Je te demande depuis combien d’années tu crois en Dieu ? Je te pose cette question pour Me renseigner sur ta stature, sur les vérités que tu comprends, pour savoir si tu as établi une base, quelles difficultés tu rencontres, si tu es capable de faire un devoir et si tu as fait l’expérience de quelconques épreuves. Sur la base de ces éléments, Je détermine ce sur quoi Je vais échanger avec toi, quelles incitations Je vais te proposer, et c’est tout. Tu interprètes à tort cette pensée si simple de Ma part comme si J’avais des arrière-pensées, ce qui fait que tu ressens de l’aversion à Mon égard. Dites-Moi, ne suis-Je pas tout simplement en train de récolter des ennuis en échange de Mes bonnes intentions ? (Si.) Lorsque Je te demande depuis combien d’années tu crois en Dieu, y a-t-il une partie de Moi qui cherche à te rabaisser ? (Non.) Y a-t-il de la malignité ? Y a-t-il une quelconque intention de te mettre mal à l’aise et de te faire passer pour quelqu’un de mauvais ? (Non.) Que tu croies en Dieu depuis quelques mois ou depuis un ou deux ans, Mon intention est simplement de t’aider. Voyant que tu es très sérieux dans ta poursuite, très enthousiaste, voyant que tu souffres tant, que tu paies un tel prix et que tu renonces à tant de choses, Je souhaite discuter avec toi afin que tu puisses gagner quelque chose que tu n’obtiendrais pas normalement. Demander depuis combien d’années tu crois vient, d’une part, du souci que Je Me fais pour toi et, d’autre part, du fait que Je te chéris. Y a-t-il une quelconque malveillance en cela ? (Non.) C’est une question si appropriée, et pourtant, en quoi cette personne l’a-t-elle déformée ? « Tu veux que tout le monde sache que je ne crois en Dieu que depuis peu, que ma stature est petite et que je ne comprends aucune vérité, que je suis pire que les autres, que je suis inférieur, et Tu veux m’embarrasser. » Si tu raisonnes de cette façon, pouvons-nous encore interagir ? (Non.) Par conséquent, pour que nous parvenions à interagir et que nous vivions en harmonie, la première chose est que vous devez Me faire confiance et ne pas douter de Moi ni émettre de conjectures à Mon sujet. S’il n’y a pas d’interaction entre nous, où se situe le problème ? Il se situe chez les gens, c’est-à-dire que les gens ont toutes sortes de difficultés. Et d’où proviennent ces diverses difficultés ? Elles proviennent des diverses pensées et opinions erronées des gens. Alors, quelles sont les pensées et les opinions erronées de l’individu que Je viens de mentionner ? Il pense qu’avoir cru en Dieu pendant trois ans fait de lui un nouveau croyant dans l’Église, que le fait d’avoir cru pendant seulement une courte période est quelque chose de honteux et le rend inférieur, et qu’il comprend trop peu de la vérité et ne peut toujours pas partager de témoignages d’expérience. Ainsi, il se considère comme un « citoyen de seconde zone », méprisé par les autres, et trouve qu’il est embarrassant et humiliant d’en parler. D’un autre côté, d’autres croient en Dieu depuis dix ou vingt ans, alors que lui ne croit que depuis trois ans, et il craint donc que les autres lui disent : « Que faisais-tu durant toutes ces années ? Pourquoi ne t’es-tu pas converti plus tôt ? As-tu un passé honteux ? » Aux yeux des personnes mondaines, les qualifications, les expériences et les antécédents revêtent une grande importance, et elles les utilisent pour classer les gens selon des rangs différents. Quel est donc le point de vue de cette personne ? Elle accorde également une grande importance aux antécédents et à l’expérience des gens, de sorte que dans son cœur, il existe des rangs différents selon que l’on croit en Dieu depuis trois, cinq, dix, vingt ou trente ans. Ce classement lui donne l’impression que ses trois années de foi sont en quelque sorte une chose déshonorante au sein de l’Église, comme si elle était un « citoyen de seconde zone ». Pour elle, c’est une marque de honte, une humiliation. Elle considère que le nombre d’années pendant lesquelles on a cru en Dieu est très important, et il se trouve justement qu’elle ne croit que depuis trois ans. Si un zéro était ajouté après le trois, ce qui donnerait trente années de foi, cette personne trouverait cela glorieux. Elle dirait : « J’ai été parmi les premiers à accepter l’œuvre de Dieu. J’ai suivi Dieu dès qu’Il a commencé à apparaître et à œuvrer. Toutes ces années, j’ai prêché l’Évangile et témoigné de Dieu partout, en me battant aux côtés de Dieu pour bâtir Son royaume ! Je suis un vétéran dans la maison de Dieu, une figure fondatrice ! » Elle trouverait cela particulièrement glorieux. Certaines personnes, qui viennent d’accepter l’œuvre de Dieu, voient que Dieu a exprimé tant de vérités et qu’il y a tant de témoignages d’expérience dans la maison de Dieu, et elles ont le sentiment d’avoir commencé à croire en Dieu trop tard. Si elles disent qu’elles croient depuis une à trois années, elles ont du mal à s’exprimer et se demandent en elles-mêmes : « Pourquoi n’ai-je pas cru pendant toutes ces années ? Dieu a exprimé tant de vérités, pourquoi ne me suis-je pas renseignée ? Qui m’a empêché de croire en Dieu ? Qui m’a causé une souffrance si amère ? Ce sont ces pasteurs religieux ; ces personnes sont vraiment des démons et des Satans qui dévorent l’âme des gens. Si je ne peux pas entrer dans le royaume des cieux, je devrai régler mes comptes avec eux ! » Puis elles réfléchissent à nouveau : « Argh, c’est mon triste sort, voilà tout, je n’ai pas cette bénédiction. » Mais ensuite, elles pensent : « Non, ce n’est pas juste. Dieu est tout-puissant, pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas ramenée plus tôt dans Sa maison, moi, cette petite brebis égarée ? » Et ainsi, elles rejettent la faute sur Dieu. En réalité, peu importe ce qu’elles pensent, en premier lieu, leur point de vue sur le fait de croire depuis trois ans plutôt que depuis trente ans est incorrect. Ces personnes utilisent le nombre d’années de foi pour hiérarchiser les gens, croyant qu’une courte période de foi rend une personne inférieure. Ayant adopté ce point de vue, lorsque Je leur demande depuis combien d’années elles croient, elles ont honte de s’exprimer. Dire « trois ans » les rend très mal à l’aise, très gênées, très honteuses, comme si leur valeur et leur rang étaient instantanément exposés. Elles considèrent cela comme très important ; c’est ce point de vue qui influence leur attitude envers Ma question. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Imaginons que leur point de vue soit le suivant : « Je crois en Dieu depuis trois ans, c’est un fait, et avec seulement trois ans de foi, ma stature est en effet modeste. En ce qui concerne de nombreuses vérités, je ne suis même pas capable d’expliquer clairement les doctrines. Puisque Dieu me demande depuis combien d’années je crois, je vais simplement dire la vérité. Il n’y a pas de quoi avoir honte. Devant Dieu, tout est ouvert, tout est mis à nu. Je répondrai à toute question de Dieu. » Si elles pensaient ainsi, ce serait simple. Cela n’impliquerait ni identité, ni statut, ni valeur, ni rang. Elles ne seraient pas restreintes, influencées, contrôlées ni manipulées par quelques pensée ou opinion erronées que ce soit, et finalement, elles pourraient dire facilement et honnêtement : « Je crois en Dieu depuis trois ans. » Je poursuivrais alors en demandant : « Tu crois en Dieu depuis trois ans ; as-tu les idées claires sur les vérités concernant les visions ? » Si c’était une personne à l’esprit compliqué, elle penserait : « Si je dis que je n’ai pas les idées claires à ce sujet, cela ne signifierait-il pas que je ne me suis pas acquitté du travail qui m’incombe dans ma foi ? Comme je crois depuis trois ans et que je n’ai toujours pas les idées claires sur les vérités concernant les visions, cela ne signifie-t-il pas que je n’ai pas mangé et bu diligemment les paroles de Dieu ? À l’inverse, si je dis que j’ai les idées claires, alors Dieu n’échangera pas sur ce thème, et je manquerai cette occasion. Si je dis que je n’ai pas les idées claires, se pourrait-il qu’Il échange un peu plus avec moi, qu’Il ajoute une petite chose ? Si je dis que j’ai les idées claires, Il n’ajoutera rien de plus pour moi, mais peut-être qu’Il aura une haute opinion de moi ? » Tu vois, cette personne a de nouveau une façon de penser tortueuse, n’est-ce pas ? L’esprit d’une telle personne n’est-il pas trop compliqué ? (Si.) De telles personnes sont en effet problématiques. Peu importe à qui elles s’adressent, elles calculent toujours comment répondre sans perdre la face ni voir leurs intérêts compromis de quelque manière que ce soit. De plus, elles observent constamment l’attitude des autres à leur égard, calculant toujours comment amener les autres à les tenir en haute estime et comment élever leur propre statut. Elles calculent toujours ces choses, il leur est donc difficile de s’ouvrir dans l’échange et d’exprimer ce qu’elles ont sur le cœur. Quand Je leur demande : « Dans ta foi en Dieu, as-tu les idées claires sur les vérités concernant les visions ? », cette question a-t-elle un sens caché ? (Non.) Pourquoi est-ce que Je pose cette question directement ? En général, ceux qui croient depuis un à trois ans ont encore besoin que l’on échange avec eux sur les vérités concernant les visions ; c’est courant. S’ils ont les idées claires à propos des visions, alors il n’est pas nécessaire d’échanger dessus, et nous pouvons parler d’autres sujets. S’ils disent : « Je n’ai pas encore les idées très claires sur les vérités concernant les visions, en particulier sur la vérité concernant l’œuvre de jugement de Dieu pour sauver l’homme, qui est trop profonde et que je ne comprends toujours pas. Peux-Tu échanger là-dessus ? », nous aurons alors trouvé un thème commun et j’échangerai dessus. Si chacun en entend parler une fois de plus, il en tirera un petit gain supplémentaire, n’est-ce pas ? (Oui.) Certaines personnes ne comprennent pas, mais font semblant de comprendre. Pourquoi fais-tu semblant ? Tu continues à faire semblant, ce qui laisse à penser que tu comprends tout et qu’il serait superflu que J’en dise plus. Dans ce cas, Je ne dirai rien et tu ne gagneras rien. Ainsi, quelle que soit la situation, si tu peux parler sincèrement, sans suspicion, sans surinterpréter Mes paroles, nos conversations et notre communication peuvent atteindre le niveau d’une interaction animée. Nous pouvons communiquer, parler et interagir dans le cadre de l’humanité normale, en discutant de thèmes que nous aimons tous. N’est-ce pas une bonne chose ? (Si.) De cette façon, vous y gagnerez. Certains individus sont très calculateurs. Lorsque Je leur demande s’ils comprennent clairement les vérités concernant les visions, ils réfléchissent dans leur cœur : « Que veux-Tu dire par cette question ? Essaies-Tu de voir si je suis certain du vrai chemin, si j’ai établi une fondation, essaies-Tu de voir quel est mon calibre, de tester mon calibre ? Dans ce cas, je dois dire que j’ai les idées claires. » Ils disent donc : « Ces trois dernières années, j’ai constamment mangé et bu les paroles de Dieu, j’ai regardé de nombreux films de la maison de Dieu, j’écoute souvent des sermons et des échanges, et je partage souvent ma propre compréhension par l’expérience lors de réunions. J’ai les idées claires sur toutes ces vérités concernant les visions. » Quel est leur objectif en disant cela ? Ils veulent Me laisser une bonne impression, Me donner le sentiment que leur calibre est très bon et faire en sorte que Je les tienne en haute estime. Penses-tu que Je les tiendrais en haute estime simplement parce qu’ils prononcent ces quelques paroles ? (Non.) Est-ce que Je tiendrais quelqu’un en haute estime aussi facilement ? Absolument pas ; ils ont mal évalué cette question. Si tu dis que tu as les idées claires sur toutes les vérités concernant les visions, alors laisse-Moi te tester. Je vais te tester sur celles que tu lis souvent. Pourquoi Dieu fait-Il l’œuvre du châtiment et du jugement ? Quel est le principal effet que le châtiment et le jugement sont censés produire ? Au cours de ces trois années de foi, as-tu fait l’expérience de l’œuvre du châtiment et du jugement dans une quelconque mesure ? As-tu fait l’expérience du châtiment et du jugement ne serait-ce qu’une seule fois ? Lorsque tu as fait l’expérience du châtiment et du jugement, as-tu saisi les vérités-principes ? Savais-tu quelles étaient les intentions de Dieu ? Peux-tu partager une expérience spécifique ? La plupart des gens se contentent de débiter quelques doctrines et sont incapables de partager la moindre compréhension par l’expérience concrète. Il manque trop de choses aux gens, donc lorsque nous discutons, il y a beaucoup de thèmes à aborder. Mais quel que soit le thème abordé, il faut échanger sur tout ce que tu connais. Si tu ne sais pas quelque chose, dis simplement que tu ne sais pas. Ne pense pas de manière déformée. Quelle que soit la question qui t’est posée, contente-toi d’y répondre. Dis ce que tu penses dans ton cœur à ce moment-là. Quelle que soit la situation réelle, parles-en sincèrement. Ne tourne pas autour du pot, n’enjolive pas les choses, ne dis pas des choses qui créent une fausse impression juste pour te mettre en valeur et te présenter sous un jour favorable, ne mens pas et ne trompe pas. Ce sont toutes des choses que tu ne dois pas faire. Donc, quels que soient la question que Je te pose ou le thème sur lequel J’échange avec toi, dis tout ce que tu sais. Si Je constate que tu ne comprends pas un certain aspect de la vérité, ou que ta compréhension est doctrinale, ou qu’elle est déformée et que tu as des pensées et des opinions erronées, Je te corrigerai, te guiderai et t’aiderai rapidement, afin que tu puisses comprendre cet aspect de la vérité, avoir une compréhension pure et un chemin de pratique précis. De cette façon, notre échange sera efficace. Aussi, le principe pour échanger sur un thème repose sur le fondement de la sincérité, sur le fondement de l’échange et des discussions ou des dialogues communs sur la vérité et les choses positives, afin que les gens puissent avoir les idées plus claires sur le thème positif qui fait l’objet de l’échange, le comprendre plus précisément et avoir un chemin de pratique plus clair. Il ne doit pas reposer sur la suspicion, le complot et la tromperie.

Pensez-vous qu’il est bon d’échanger sur des thèmes tels que la normalité de Dieu incarné et Son aspect concret ? (C’est une bonne chose.) Et en quoi est-ce une bonne chose ? (Nous croyons que cela peut résoudre nos notions et notre imagination concernant Dieu incarné.) Certaines personnes disent : « Tu nous as révélé Ton vrai visage, et nous savons désormais quel genre de personne Tu es. C’est trop naïf de Ta part de dire la vérité pure et simple ! Tu as certes ces manifestations qui consistent à être normal et concret, mais comment peux-Tu dire la vérité pure et simple ? Tu dois faire en sorte que les gens Te trouvent mystérieux, insondable, noble et impénétrable. Même si Tu ne complotes pas contre les gens, Tu dois dire que Tu en es capable. Tu dois prétendre que Tu as l’art de manipuler les gens et de les utiliser, que Tu connais les Trente-six stratagèmes et que Tu es capable d’exploiter toutes sortes de personnes pour qu’elles Te rendent service. Ce n’est qu’en parlant ainsi que les gens T’idolâtreront ; Tu ne peux exprimer la vérité pure et simple. Du fait que Tu exprimes ce genre de vérité pure et simple, comment se fait-il que je ne Te trouve pas du tout mystérieux ou insondable ? Que Tu ne sois pas comme Dieu ? Regarde ces grandes personnalités mondaines, celles qui s’engagent dans des affaires militaires ou politiques, et les monarques des siècles passés. Laquelle de ces grandes personnalités, de ces personnes exceptionnelles, a jamais exprimé la vérité pure et simple ? L’une d’entre elles a-t-elle jamais dit qu’elle était normale, concrète et ordinaire, une simple personne quelconque ? Elles veulent désespérément que les gens pensent qu’elles sont différentes des autres, qu’elles ont été envoyées du ciel, et que même si elles sont désormais devenues des personnes quelconques, elles demeurent mystérieuses et insondables, et qu’elles sont impénétrables pour les gens ordinaires – ce n’est qu’alors qu’il est facile de gouverner les gens ! » Ces monarques possédaient tous l’art du règne impérial, et leurs conseillers et les gens ordinaires ne pouvaient pas percer à jour le genre de personnes qu’ils étaient. Comment dit-on déjà ? « La volonté de l’empereur est difficile à comprendre, et l’on ne peut désobéir à ses ordres. » Les officiels du monde non-croyant ont tous ce genre de mentalité ; même un petit chef de division, de section ou un petit directeur a cette mentalité. Ils ne veulent pas que les gens percent à jour leur véritable envergure, les imperfections de leur humanité, les erreurs qu’ils ont commises ni les failles de leurs actes. Une fois leurs manquements découverts, ils font tout leur possible pour les maquiller et les dissimuler, et si leurs mauvaises actions sont exposées et révélées au grand jour, ils trouvent alors un bouc émissaire. Leur objectif en faisant cela est de dissimuler la vérité de l’affaire afin que les gens continuent à les admirer et à les idolâtrer. Peu importe ce qu’une telle personne fait, elle le fait avec préméditation et planification pour atteindre ses propres objectifs, afin que tout le monde ait le sentiment qu’elle n’est pas une personne ordinaire, qu’elle peut contrôler la situation, qu’elle est celle qui tire les ficelles. Elle ne laisserait jamais les gens savoir qu’elle est une personne normale, concrète et ordinaire. En réalité, ce ne sont que des êtres humains corrompus ordinaires, avec beaucoup plus de stratagèmes retors que la moyenne, et ils sont doués pour les conspirations et les intrigues. Comment pourraient-ils laisser les gens découvrir à quel point leur humanité est sinistre et malintentionnée ? Cela ne ternirait-il pas leur image ? Les êtres humains corrompus ont tous ce genre de mentalité, et ils sont tous aussi hypocrites que les pharisiens, avec un cœur sinistre et malintentionné. Même s’ils reconnaissent dans leur cœur que Dieu peut Se faire chair, comment pourraient-ils croire que Dieu incarné serait une personne ordinaire et normale ? Ils croient dans leur cœur que si Dieu Se faisait vraiment chair, les gens devraient à tout le moins être capables de voir, dans Sa chair, Son aura divine et divers signes de l’identité et de l’essence de Dieu. Ils croient également fermement ceci : « En considérant tous les hommes, Dieu incarné doit avoir la perspective et l’attitude de regarder de haut les masses grouillantes, mais je ne vois pas ces choses en Toi. Tu dis aussi toujours que Tu Te conduis dans le respect des règles et que Tu fais les choses conformément à Ta juste place. Cela ne révèle-t-il pas complètement que Tu es en réalité une personne ordinaire ? L’image noble, mystérieuse et insondable de Dieu incarné dans le cœur des gens ne serait-elle pas complètement détruite ? » Pensez-vous que cette destruction soit une bonne chose ? (Oui, c’est une bonne chose. Elle détruit nos notions et les produits de notre imagination.) Je prononce ces paroles précisément pour détruire vos rêves, vos notions et les produits de votre imagination, afin que vous ne viviez plus dans un songe, mais dans la réalité. Cela s’aligne parfaitement sur les vérités-principes que J’exige que vous observiez : que vous vous conduisiez dans le respect des règles, que vous agissiez conformément à votre juste place et que vous soyez des personnes ordinaires occupant la position d’êtres créés, car J’agis Moi-même de cette manière. Lorsque Je discute avec vous ainsi que dans Ma vie personnelle, Je ne parle jamais de manière fanfaronne ou creuse, et jamais Je ne Me mets en valeur ni ne Me vante. C’est quelque chose que vous pouvez tous voir et ressentir. De plus, Je ne complote jamais contre qui que ce soit, lorsque J’agis, Je ne suis pas fuyant, Je ne relâche jamais Mes efforts et Je Me conduis dans le respect des règles. Cette norme minimale de conscience doit être respectée. Certaines personnes ont recours à des stratagèmes lorsqu’elles s’expriment et agissent, en disant aux autres des choses agréables à entendre, puis en essayant par tous les moyens de les amener à tomber dans leurs pièges, à les servir et à leur rendre service. Je ne fais pas ce genre de choses. Si Je souhaite que quelqu’un M’aide pour quelque chose, Je le lui demande directement. Certaines personnes disent : « Tu as cette identité et ce statut, alors ne Te suffit-il pas de prononcer un mot pour que quelqu’un fasse quelque chose ? » Même s’il suffit de prononcer un mot, Je dois tout de même procéder dans le respect des règles, et Je ne peux pas forcer les gens, encore moins les obliger à faire des choses qu’ils ne souhaitent pas faire. Si tu es disposé à les faire, alors fais-les ; si tu n’y es pas disposé, tu peux refuser. Toutefois, si Je te demande de faire quelque chose, Je te dirai toujours la vérité pure et simple. Je ne tournerai absolument pas autour du pot ni ne parlerai par énigmes pour te tromper ou t’appâter afin que tu mordes à l’hameçon, pour ensuite faire en sorte que tu Me serves de ton plein gré et Me rendes service, puis, après avoir comploté contre toi, aller jusqu’à te faire dire que tu l’as fait de ton plein gré et te donner l’impression que Je ne te dois rien. Je ne ferais absolument jamais cela. Il n’existe chez Moi aucune de ces pratiques, qu’il s’agisse de ce que les gens appellent l’art d’utiliser les autres, les règles du jeu, les tactiques pour jouer avec les gens ou les stratégies impériales pour manipuler les autres. Je ne Me joue pas des gens, d’autres le font peut-être, mais Moi, Je ne le fais pas, et Je ne les imite pas ni ne M’inspire d’eux. Je n’ai jamais lu des choses comme L’Art de la guerre ou Les Trente-six stratagèmes et Je ne me livrerai absolument pas à des feintes ni au fait de qualifier le noir de blanc lorsque Je M’exprime. Quand Je parle et que J’agis, J’appelle un chat un chat. La seule exception, c’est quand, en raison de circonstances particulières, Je peux faire preuve de sagesse dans Ma formulation des choses, mais c’est simplement par égard pour les faiblesses et les difficultés des gens, ainsi que pour leur petite stature. C’est pour les protéger et les chérir, et il n’y a là aucune malice, cela ne revient donc pas non plus à comploter. Certaines personnes pourraient être très déçues, en pensant : « Il s’avère donc que Ton cœur et Ton esprit ne contiennent pas les divers complots des personnes célèbres et importantes de ce monde. Il s’avère donc que Tu es aussi simple que cela ! » N’est-il pas une bonne chose que d’être aussi simple que cela ? Ne pas comploter ne signifie pas que Je sois incapable de percer à jour les gens ; cela ne signifie pas que Je sois incapable de percer à jour la substance et l’essence des choses ; cela ne signifie pas que Je ne sache pas comment gérer toutes sortes de personnes, d’événements et de choses. Sans comploter, Je peux tout de même appliquer des principes pour gérer toutes sortes de personnes, d’événements et de choses de manière appropriée et précise en fonction de l’environnement et du contexte, en les amenant à jouer naturellement leur rôle et à vivre selon leurs règles et leurs lois sous la souveraineté et les arrangements de Dieu, plutôt que d’utiliser des tactiques, de Me livrer à la tromperie ou de jouer avec les gens pour les tromper. Les principes selon lesquels J’agis, les principes selon lesquels Je gère divers problèmes et les principes selon lesquels Je traite toutes sortes de personnes, d’événements et de choses ont tous été abordés dans Mes échanges et Mes sermons au fil des ans. Lorsque Je parle de ces choses, Je ne crie pas des slogans ; ces choses proviennent de Mes pensées et de Mon humanité-essence, et J’applique également Mes pensées et Mes opinions pour gérer toutes sortes de personnes, d’événements et de choses. Ainsi, lorsque J’applique Mes pensées et Mes opinions pour gérer toutes sortes de personnes, d’événements et de choses, ou lorsque Je les gère selon ces principes, diriez-vous que le résultat final est de suivre la voie de Dieu ou de se rebeller contre elle ? (C’est de suivre la voie de Dieu.) Par conséquent, aussi normal, concret et ordinaire – et nullement mystérieux – que Je puisse paraître aux yeux des gens, cela n’affectera en rien votre compréhension de la vérité, pas plus que Je ne vous égarerai. Au contraire, c’est précisément parce que J’ai Moi-même des principes dans Ma façon de Me conduire et d’agir que, si vous êtes en mesure de poursuivre la vérité, de vous conduire et d’agir de manière obéissante et respectueuse des règles selon les principes dont Je parle, et de pratiquer selon la direction et les buts que J’indique, alors tôt ou tard, vous obtiendrez le salut, vous atteindrez la soumission à Dieu et deviendrez une personne qui craint Dieu et s’éloigne du mal. C’est une certitude. Être capable d’atteindre le salut, n’est-ce pas là le but que poursuivent ceux qui croient sincèrement en Dieu ? Que cherchez-vous d’autre, alors ? Quant à savoir si Je suis mystérieux et insondable, noble ou différent des autres, ou si J’ai quelques capacités spéciales que vous ne pouvez pas imaginer ou que vous ne possédez pas, cela n’a pas d’importance. De plus, il importe peu que vous Me trouviez normal et concret et que vous ne Me considériez pas comme digne d’être idolâtré ou admiré. Qu’est-ce qui importe ? C’est que les paroles que Je prononce, Moi, cette personne insignifiante, ordinaire et normale, vous amèneront à coup sûr devant Dieu et vous permettront à coup sûr d’atteindre le salut. Il y a une autre chose qui est certaine : si vous pratiquez les choses et en faites l’expérience selon les paroles que J’ai prononcées, il est certain qu’un jour, vos pensées, vos opinions et vos tempéraments-vies seront tous transformés, et que vous deviendrez un nouvel être humain. Vous pouvez devenir membres de la nouvelle humanité, de cela Je suis certain. L’êtes-vous ? (Oui.)

Avez-vous maintenant quelque nouvelle compréhension des manifestations de la normalité et de l’aspect concret de Dieu incarné ? (Oui.) Si vous constatez que la façon dont Je Me conduis et dont J’agis, ainsi que Mes pensées et Mes points de vue, entrent tous dans le cadre de la normalité et de l’aspect concret, et si Mes principes pour agir, Mes pensées et Mes points de vue peuvent vous influencer à tout moment et que vous les acceptez volontiers, alors Je dirai une chose avec certitude : puisque vous aimez la vérité de cette manière, que vous êtes capables de chercher la vérité à partir des manifestations normales et concrètes de Dieu incarné, et que vous pouvez également accepter les principes selon lesquels Dieu incarné Se conduit, ainsi que Ses pensées et Ses points de vue à divers égards, alors vos poursuites et la direction de votre conduite évolueront naturellement dans une direction positive. En d’autres termes, à mesure que vous continuerez à croire, vous posséderez de plus en plus une humanité normale et manifesterez de plus en plus une ressemblance humaine, et vous vous rapprocherez également de plus en plus des exigences de Dieu, gagnant finalement le salut. Le fait que vous obteniez de tels gains est directement lié à l’abreuvement et à la provision de Dieu incarné, cette personne ordinaire et normale. Si vous pouvez accepter et également aimer ces essences et ces manifestations de la normalité et de l’aspect concret de Dieu incarné, ainsi que la manière dont Il Se conduit et Ses crédos à cet égard, alors vos manifestations et votre humanité s’amélioreront de plus en plus. Que signifie le fait qu’elles s’amélioreront de plus en plus ? Dire que tu deviendras de plus en plus semblable à une bonne personne pourrait être un peu creux. Cette expression, « s’améliorer de plus en plus », signifie que ta conscience et ta rationalité se développeront dans une direction positive. Toutefois, si tu éprouves du mépris et de la répugnance pour la normalité, l’aspect concret et le caractère ordinaire de Dieu incarné, ou même si tu discrimines cela, que tu ne l’acceptes pas, que tu te sens réfractaire à cet égard et que tu le tournes en ridicule, alors il te sera très difficile d’accepter l’ensemble des vérités qu’Il exprime, et difficile de comprendre la signification concrète et l’influence de l’humanité normale qu’Il possède. Au contraire, tu auras même de l’aversion pour l’ensemble des vérités exprimées par Dieu dans Son humanité normale et tu les haïras. De cette façon, il te sera très difficile de manifester la ressemblance d’une personne normale et de devenir quelqu’un dont Dieu est satisfait, car les choses que tu vénères ne sont pas des choses positives, mais des choses négatives. Les célébrités et les stars de la société, ainsi que les tendances sociales, sont ce à quoi tu aspires et ce que tu vénères. Dans ce cas, le chemin que tu suis est un chemin erroné, et en ce qui concerne la direction de ta poursuite et de ton développement, une chose est certaine : tu ne te développeras pas dans une direction positive, mais dans une direction maligne. Par exemple, Je déclare que Je ne complote pas contre les gens, et certaines personnes disent : « Si Tu ne complotes pas contre les gens, comment peux-Tu faire une œuvre aussi formidable ? Lorsque Tu interagis et traites avec les gens, Tu dois comploter. Si Tu ne sais pas comploter, Tu ne peux pas te jouer des gens et Tu ne seras pas à la hauteur de la tâche. » Je réponds que si tu peux dire de telles choses, c’en est fini de toi. Tes pensées et tes opinions sont non seulement déformées, mais plus encore, elles sont malveillantes. Il est impossible que tu t’engages sur le bon chemin, car ton humanité est dénuée de l’amour de la vérité et des choses positives. Il est impossible que tu t’engages sur le chemin du salut.

Lorsque Je converse avec des gens normaux, le problème du manque de fluidité dans la conversation revient souvent. Qu’est-ce que J’entends par « manque de fluidité » ? Parfois, lorsque Je discute et bavarde avec quelqu’un de manière tout à fait normale, cette personne complique excessivement les choses ou réfléchit trop, et la conversation ne peut tout simplement pas continuer. Si elle ne peut pas continuer, que fais-Je ? Je cesse simplement de discuter avec cette personne. Je trouve quelqu’un qui sait discuter avec les autres, qui sait communiquer et converser, qui a la pensée de l’humanité normale, et Je discute et interagis avec cette personne à la place. Dans Mes contacts avec vous, la situation la plus courante que Je constate est que les gens ont le sentiment suivant : « Ton identité et Ton statut ont une trop grande influence lorsque Tu parles et communiques avec les gens. Tu es Dieu incarné, et nous sommes des êtres créés. Si nous disons quelque chose de mal, nous risquons de nous mettre sur un pied d’égalité et d’offenser le tempérament de Dieu. De plus, en tant que Dieu incarné, Ton travail consiste à sauver l’humanité, et Tu représentes Dieu Lui-même, donc Ta responsabilité et le travail que Tu entreprends ne peuvent être que d’exprimer la vérité pour aborder la question du salut de l’humanité corrompue. Tu ne devrais parler que de travail ou de thèmes qui découlent de la divinité. Tu ne peux pas parler de la vie humaine normale, des questions de nourriture, d’habillement, de logement et de transport, ni parler de comment va telle ou telle personne. Si Tu parles de comment elle va, Tu la juges ou tu as des arrière-pensées. » Comme les gens ont ces notions, ils classent Dieu incarné comme un être non humain. Ainsi, lorsque Je M’adresse à des personnes qui n’ont ni pensée normale ni humanité normale et que Je parle un peu de questions quotidiennes ou de besoins quotidiens, certaines érigent une barrière mentale en pensant : « À quoi bon parler de cela ? Ce n’est pas spirituel ! Et puis, as-Tu des arrière-pensées en abordant ce sujet ? » Si Je discute de la situation d’un individu, certains se demandent : « Es-Tu en train de juger les gens ou de comploter dans leur dos ? Leur réserves-Tu quelque chose ? Vas-Tu les promouvoir ou les éliminer ? Vas-Tu continuer à les utiliser ou les renvoyer ? » Si Je parle des problèmes de quelqu’un, certains pensent : « Cette personne Te déplaît-elle ou T’inspire-t-elle de la répulsion ? A-t-elle fait quelque chose qui T’a blessé ? A-t-elle dit ou fait quelque chose qui T’a offensé ? » En particulier lorsque l’on aborde des thèmes sensibles concernant des dirigeants et des ouvriers, certains craignent encore plus de discuter, en disant : « Tu parles de ces choses pour le travail, mais nous n’en discuterons pas avec Toi. Ce sont des thèmes sensibles. Si nous disons quelque chose d’inexact, Tu nous exposeras et nous émonderas, Tu verras la révélation de nos corruptions et cela Te laissera une mauvaise impression de nous, ce qui serait inapproprié. » Il M’arrive également d’aborder certains thèmes, par exemple en demandant : « Qui dans votre famille croit en Dieu ? » En Chine continentale, ce thème est sensible. Cependant, à l’intérieur du pays, il n’est pas considéré comme indiscret de poser cette question à certaines personnes que l’on côtoie depuis relativement longtemps et que l’on connaît plutôt bien, et encore moins à l’étranger. Mais lorsque Je pose cette question, certaines personnes n’osent même pas répondre. Elles se demandent : « Essaies-Tu de fouiller dans mon passé en me demandant qui croit dans ma famille ? » Si Je demande : « Combien de personnes y a-t-il dans votre église locale ? Qui est le dirigeant d’Église ? », elles se disent : « Oh non, essaies-Tu de Te renseigner sur l’Église ? Je ne peux pas parler de cela avec Toi. Si Je dis quelque chose et que le dirigeant d’Église l’apprend, il va y avoir des problèmes. » Vous voyez, ces personnes sont réservées même lorsqu’elles parlent de questions relatives à l’Église, et elles ont peur de s’exprimer. Beaucoup n’osent pas aborder des thèmes liés aux dirigeants et au travail de l’Église, ni dire librement ce qu’elles pensent. L’une des principales raisons à cela est la crainte d’exposer la situation de l’Église et d’offenser les dirigeants et les ouvriers, et dans le même temps, la crainte de révéler involontairement leurs propres pensées et opinions et d’être émondées ou exposées. C’est quelque chose qu’elles ne souhaitent pas voir se produire. Ainsi, lorsque Je discute avec de nombreuses personnes, même une communication ordinaire ne peut pas être fluide. Lorsque Je discute et traite des choses avec des non-croyants dont l’esprit et les antécédents sont compliqués, une fois que J’ai terminé de traiter les choses, Je pars rapidement : Je ne peux pas trop Me rapprocher ni nouer des relations profondes. Mais lorsque Je suis en contact avec des frères et sœurs, Je constate que la plupart des gens sont également comme cela : Je ne peux pas trop Me rapprocher ni établir de relations profondes. Ce n’est pas que Je Me considère comme supérieur et que Je sois réticent à discuter avec la plupart des gens ; c’est plutôt que lorsque J’essaie de les approcher ou d’entrer en contact avec eux, ils se détournent inconsciemment ou M’évitent. Pourquoi M’évites-tu ? Si tu dis quelque chose de mal, Je ne te condamnerai pas et Je n’en ferai pas toute une histoire. Si tu es un dirigeant ou un ouvrier, nous pouvons échanger sur la vérité et discuter de tout aspect que tu ne comprends pas. Si tu es un frère ou une sœur ordinaire et que tu dis vraiment quelque chose de mal ou que tu as des pensées et des opinions erronées, alors cela dépendra de Ma volonté de t’en parler. Si Je vois que ton calibre est médiocre, que tu manques de capacité de compréhension et que tu ne peux rien percer à jour, alors Je ne souhaite pas discuter avec toi, et même si nous en discutions, cela ne donnerait aucun résultat. Toutefois, si tu as un bon calibre, que tu as une bonne capacité de compréhension et que tu peux percer certaines choses à jour, alors discuter avec toi peut produire des résultats et ce ne sera pas perdre sa salive. Peu importe avec qui Je discute de manière informelle ou les problèmes que Je découvre, dans Mon cœur, premièrement, Je ne les condamnerai pas, deuxièmement, Je ne les maudirai pas, et troisièmement, Je ne déterminerai pas leur issue. Agir ainsi serait dénué de fondement, et Je ne fais pas de choses stupides. En termes d’humanité normale, parfois, lorsque Je croise quelqu’un que Je connais, J’ai simplement envie de discuter un peu et de bavarder. Si tu y es disposé, Je discuterai avec toi. Sinon, Je ne t’y forcerai pas. Certaines personnes ont peur de discuter avec Moi. Peu importe ce que Je dis, elles se méfient de Moi et n’expriment pas leurs opinions, craignant de dire quelque chose de mal et de Me donner matière à leur en vouloir. Si Je vois que tu n’es pas disposé à dire ce que tu as sur le cœur, Je M’arrêterai au moment opportun. Si tu es toujours méfiant à Mon égard, craignant toujours que Je complote contre toi, alors Je ne serai pas enclin à parler avec toi. Dis-Moi, cette rationalité dont Je fais preuve est-elle normale ? (Oui.) Lorsque Je parle et communique avec quelqu’un, il y a toujours un certain contexte. Par exemple, si tu es responsable de l’élevage des animaux dans une ferme, nous parlerons d’élevage. Si tu es dirigeant d’Église, nous discuterons des affaires de l’Église, des affaires relatives aux frères et sœurs, des états actuels des frères et sœurs ou de comment se passe la vie d’Église. Si tu es prédicateur de l’Évangile, nous parlerons alors du travail d’évangélisation. Voilà ce que c’est que d’interagir avec les gens dans le cadre de l’humanité normale, et cela fait également partie de Mon œuvre. Certaines affaires ne concernent pas le travail de l’Église, mais relèvent tout de même des affaires générales de la maison de Dieu. Il est normal de discuter de ces choses lorsque nous nous rencontrons. Tu t’occupes de certaines affaires et tu fais ton devoir dans la maison de Dieu, donc lorsque nous nous rencontrons, Je dois te saluer et discuter avec toi, et voir si tu rencontres des difficultés. Parfois, lors de discussions informelles, Je pose des questions comme : « La température a baissé ces deux dernières nuits, a-t-il fait froid chez vous ? » Certains ne veulent pas entendre cela, pensant : « Nous sommes des adultes, avons-nous besoin que Tu T’inquiètes pour nous ? » Les bonnes intentions ne sont pas reconnues, n’est-ce pas ? D’autres fois, lorsque Je vais à la cuisine, Je demande : « Comment sont les légumes cette année ? Y en a-t-il assez à manger ? Quels légumes ou aliments aimez-vous ? » Ce sont des choses tout à fait normales, n’est-ce pas ? (Oui.) Mais le cœur des gens est trop compliqué, et dans certains cas, même lorsque J’interagis avec eux de manière normale, la communication n’est pas fluide. Pourquoi ? Cela arrive parce que les gens ont toujours peur d’exposer leurs problèmes et leur situation réelle. Et de quoi les autres ont-ils peur ? Voici ce qu’ils craignent : « Si je révèle ma situation réelle, Tu vas m’exposer dans Tes sermons lors des réunions, en me prenant pour cible. » Pourquoi ne peux-tu pas être une cible ? Lorsque J’échange avec toi sur la vérité concernant tes problèmes, cela les résout. N’est-ce pas un gain supplémentaire pour toi ? N’est-ce pas une chance pour toi ? C’est une bonne chose. Cela prouve que Je te prends au sérieux et que J’ai une certaine considération pour toi. Est-ce exact ? Si Je ne faisais pas attention à toi, si tu n’étais pas dans Mon cœur, et si Je découvrais des problèmes chez toi, mais n’y prêtais aucune attention et ne te donnais pas de direction et n’échangeais pas avec toi, pourrais-tu alors comprendre la vérité et résoudre tes problèmes ? Cela te satisferait-il ? Si tu t’en satisfaisais, en te disant : « Aucun des problèmes que Dieu expose ne me concerne, cela prouve donc que je n’ai aucun problème », si tu faisais l’expérience de l’œuvre de Dieu de cette manière, tu ne serais pas quelqu’un qui poursuit la vérité. Certaines personnes, après des années de foi, n’ont pas été émondées du tout, elles n’ont pas même une seule fois servi de faire-valoir, pourtant elles se sentent fières et chanceuses, pensant qu’elles sont très bonnes, qu’elles n’ont aucun problème et qu’elles seront assurément sauvées. N’est-ce pas très problématique ? Une telle personne ne peut assurément pas gagner le salut.

Les personnes dotées de la pensée de l’humanité normale, lorsqu’elles communiquent et interagissent avec d’autres personnes dans le cadre de l’humanité normale, suivent le sens de la conscience et de la raison de l’humanité normale. Grâce à lui, elles ont des normes et des principes minimaux dans leur façon de traiter les autres. Lorsque tu discutes et interagis avec des personnes dotées de la pensée de l’humanité normale, d’une part, les gens peuvent percevoir que tu as une sensibilité vis-à-vis de la conscience de l’humanité. D’autre part, tu agis avec tact, de sorte que tu n’es pas déplaisant pour autrui. Et un autre point important est que lorsque tu communiques et interagis avec les autres, ils tirent profit des paroles que tu communiques et gagnent certaines choses dont l’humanité a besoin. C’est ce que nous appelons interagir et communiquer avec les gens. Qu’entend-on par « communiquer » ? En termes simples, il s’agit d’avoir une conversation informelle. La plupart des gens ne savent pas comment avoir une conversation informelle ; dès qu’ils parlent, ils ont tendance à se disputer et à se quereller verbalement, ou bien ils se mettent en valeur et font la leçon aux autres pour qu’ils leur obéissent. Ceux qui ont un peu d’éloquence veulent prêcher aux autres et se comporter en professeurs dès qu’ils ouvrent la bouche. Ces manifestations sont toutes des révélations de tempéraments corrompus. Les personnes qui ont des tempéraments corrompus ne peuvent pas bavarder avec les autres de manière normale et informelle. Même si elles parlent normalement pendant un certain temps, cela ne peut pas durer. À un moment donné, elles commencent à se disputer, rougissent et se laissent complètement emporter. Ce n’est pas une conversation informelle normale. Une conversation informelle normale ne consiste assurément pas à débattre du bien et du mal, ni à se quereller et à se disputer, et encore moins à juger et à condamner les gens. Définissons ce qu’est une conversation informelle. Il s’agit d’échanger et de partager des informations, c’est ce que l’on appelle une conversation informelle. Cette définition est-elle exacte ? (Elle l’est.) En quoi est-elle exacte ? L’échange et le partage d’informations reposent sur le fondement de la conscience et de la rationalité de l’humanité normale. Comment donc les personnes dotées de conscience et de raison discutent-elles et communiquent-elles ? Elles ne se disputent pas et sont capables de se respecter mutuellement, ce qui profite à leur interlocuteur. Après avoir écouté ce que ce dernier a partagé, elles gagnent de nouvelles informations. Ensuite, elles lui transmettent à leur tour certaines informations qu’elles connaissent, afin qu’il en tire également profit et qu’il gagne, dans le cadre de son humanité, de l’expérience, de la perspicacité et des connaissances. Partager les informations qu’elles connaissent avec leur interlocuteur en se basant sur les principes du respect de ce dernier et de l’entente harmonieuse sur un pied d’égalité, puis recevoir les informations que leur interlocuteur leur communique, n’est-ce pas de l’entraide ? Cela repose sur les fondements de l’égalité, de l’entraide, de l’harmonie et de l’équité. C’est ce que l’on entend par communication et conversation informelle. Dites-Moi, Ma définition est-elle exacte ? (Elle l’est.) Pratiquer le fait de bavarder et de communiquer en se basant sur ce principe est correct. Si les communications et les conversations sont pleines de stratagèmes, de disputes, de luttes, d’intrigues, de ruses, de pièges et de tests, et si tout ce qui est révélé n’est que des tempéraments corrompus, si tout n’est que répression mutuelle, où chacun se met en valeur, fait concurrence aux autres, rivalise pour voir qui parle le plus pompeusement ou qui en dit le plus, alors ce n’est pas une communication normale. Ce n’est pas une communication qui relève de la conscience et de la rationalité de l’humanité normale. Cette communication ne consiste pas en un échange et en un partage d’informations, mais plutôt en des luttes ouvertes et cachées et en des disputes verbales. N’est-ce pas le cas ? (Si, en effet.)

Pour atteindre la communication sans complot avec autrui, tu dois apprendre à communiquer dans le cadre de la conscience et de la rationalité de l’humanité normale. L’objectif de la communication est d’aider les autres et aussi de recevoir leur aide et leurs bienfaits. Voilà ce qu’est la communication normale, et de cette manière, on peut atteindre la communication sans complot. Observez la communication et les conversations des non-croyants ; peuvent-elles produire l’effet d’une communication normale ? (Non.) Lorsque des personnes corrompues communiquent et discutent, le contenu, les motivations et le ton de leur communication sont-ils normaux ? (Non.) Leur communication ressemble simplement à un combat de coqs ou de chiens. Leur communication peut-elle se dérouler sans heurts ? (Non.) Ils ne parviennent même pas à s’abstenir de comploter contre les autres ou de se disputer avec eux. Afin de se dérouler sans heurts, la communication nécessite un cœur aimant, un désir de s’entraider et une disposition à apprendre des forces les uns des autres pour compenser les faiblesses. Lorsque Je communique et discute avec vous, il n’est pas suffisant que Je ne complote pas ; vous devez également pratiquer selon ce principe, en ne complotant pas et en ne faisant pas preuve de suspicion. Si Je ne complote pas, mais que vous complotez constamment, et que non seulement vous complotez vous-mêmes, mais que vous soupçonnez également que Je fais de même, alors notre communication ne peut pas se dérouler sans heurts et nous ne pouvons pas non plus parvenir à une interaction authentique et bénéfique ni nous entendre harmonieusement. Certaines personnes, lorsqu’elles Me voient arriver, trouvent rapidement un endroit où se cacher. Si elles ne peuvent vraiment pas M’éviter, elles Me saluent avec réticence, mais dans leur cœur, elles ne veulent pas Me rencontrer et se disent : « Quelle plaie ! Tu es là pour Te renseigner à nouveau sur notre situation réelle. Après cela, Tu vas à nouveau échanger sur les vérités-principes et nous mettre dans l’embarras. Que devrions-nous faire ? » Si tu n’es pas disposé à Me rencontrer et à interagir avec Moi, si tu te sens épuisé intérieurement lorsque tu interagis avec Moi et que tu as toujours l’impression que J’essaie de comploter contre toi, alors tu peux M’éviter lorsque tu Me vois approcher. Si tu as le sentiment que lorsque tu interagis avec Moi, Je ne complote pas et que cela t’apporte du soulagement, de la joie, de la liberté et de la détente, alors rencontrons-nous, discutons et faisons le point sur la façon dont les choses se sont passées dernièrement. Si tu Me demandes : « Comment vas-Tu ces derniers temps ? », Je te répondrai honnêtement. Si Je te demande : « Comment se sont passées les choses dernièrement ? As-tu fait de quelconques progrès dans ta vie ? As-tu gagné quoi que ce soit en faisant ton devoir ? » et que tu peux également répondre honnêtement, c’est très bien. Chaque rencontre peut se dérouler dans une atmosphère agréable. S’il n’est pas correct que les gens se cachent toujours de Moi lorsqu’ils Me voient, est-il correct de toujours se livrer à des flatteries hypocrites pour tenter intentionnellement de se faire bien voir de Moi ? (Non.) Pourquoi n’est-ce pas correct ? (Aimer se faire bien voir relève de la fausseté et de la fourberie. Il vaut mieux parler de manière plus authentique, et nous devons simplement traiter Dieu avec une mentalité normale. D’une part, nous devons être francs avec Lui. D’autre part, nous ne devons pas chercher à nous faire bien voir, essayer délibérément de nous attirer les bonnes grâces de Dieu ou essayer délibérément de nous mettre dans Ses petits papiers.) Avec Moi, il n’y a qu’une seule exigence : lorsque Je vous vois, ne vous cachez pas de Moi, et lorsque Je ne suis pas à votre recherche, ne M’importunez pas. Faites ce que vous devez faire et agissez normalement. Je ne vous gênerai pas dans l’accomplissement de votre devoir, et vous ne devriez pas Me gêner. Se cacher de Moi et Me gêner ne sont pas des principes que les gens devraient suivre lorsqu’ils sont en contact avec Moi et qu’ils interagissent avec Moi. Quel est donc le principe ? C’est de communiquer dans le cadre de la conscience et de la raison de l’humanité normale, et d’être capable de converser franchement et de dire la vérité sans détour ; quoi que Je demande, vous devriez répondre honnêtement. Pourquoi les gens ne parviennent-ils pas à dire la vérité sans détour ? Par exemple, supposons que Je te demande : « Combien de personnes as-tu gagnées en prêchant l’Évangile ce mois-ci ? » et que tu ne veuilles pas répondre. Si Je vois que tu es mal à l’aise, Je n’insisterai pas. Je ne souhaite pas mettre les gens dans une situation difficile, et Je ne force jamais personne à parler. Certaines personnes, peu importe ce qu’on leur demande, se posent toujours la question suivante : « Que veut-il dire en posant cette question ? » Elles ne souhaitent pas répondre directement, car elles ont très peur de répondre de manière incorrecte et de s’attirer des problèmes. Si tu es toujours en train de faire des conjectures et de comploter de cette manière, alors nous ne pouvons pas communiquer. Tu n’as pas besoin de scruter sans cesse le sens de Mes questions, ni de comploter contre Moi. Si tu peux faire preuve de simplicité et t’ouvrir pour parler de ce que tu as sur le cœur, alors nous pourrons communiquer. Est-ce facile ou non ? (C’est facile.) C’est facile à dire, mais cela peut s’avérer un peu difficile à faire. Ce n’est pas aussi facile qu’il y paraît. Par exemple, il se peut que Je t’aie posé une question un jour et que tu n’aies pas dit la vérité à ce moment-là, que tu aies menti. Ce contact et cette communication ont échoué. Après cet échec, que dois-tu faire ? Efforce-toi d’être assez courageux pour l’admettre la prochaine fois que nous nous verrons : « J’ai menti la dernière fois. À partir de maintenant, je dirai la vérité sans détour. » Alors, Je t’encouragerai, Je t’applaudirai et Je te féliciterai : tu auras réussi à pratiquer la vérité et à être une personne honnête. N’est-ce pas formidable ? (Si.)

Lorsqu’il s’agit d’échanger sur ce thème – ne pas comploter –, peu importe le nombre d’exemples donnés, ce qui vous est enseigné est un seul principe. Savez-vous quel est ce principe ? (Ne pas utiliser la perspective de l’humanité corrompue pour évaluer Dieu ni être soupçonneux envers Lui.) C’est exact. Ne traitez pas Dieu avec la perspective de l’humanité corrompue. Alors, quel principe faut-il suivre ? (Celui de traiter Dieu comme Dieu.) N’est-il pas acceptable de Le traiter comme un être humain ? N’est-il pas acceptable de Le traiter comme une personne normale et ordinaire ? Que tu Le traites comme Dieu ou comme un être humain, le principe le plus important dans les relations interpersonnelles est d’être francs les uns avec les autres. Lorsque Je parle et fais des choses avec toi, Je ne complote pas contre toi, et tu dois également être franc avec Moi. Donc, si quelqu’un complote contre toi, devrais-tu également comploter contre lui ? (Non.) Si quelqu’un complote contre toi, tu dois également le traiter selon les principes. Telle est la bonne voie. Il ne suffit pas que tu sois franc avec Moi, sans comploter ni être soupçonneux parce que Je ne complote pas contre toi. En fait, même si d’autres complotent contre toi, tu dois quand même pouvoir agir et gérer les choses selon les vérités-principes. C’est cela, respecter les principes. Certaines personnes disent : « Untel a comploté contre moi, comment pourrais-je ne pas exercer de représailles ? Si je ne lui montre pas de quel bois je me chauffe et que je le laisse m’intimider comme ça, ne serai-je pas perdant ? Est-il si facile de me malmener ? » Dites-Moi, leur raisonnement est-il logique ? Œil pour œil, dent pour dent – cela a du sens parmi les gens du monde. Mais si l’on évalue cela à l’aune de la vérité, cette affirmation est erronée. Le fait que cet individu ait comploté contre toi est un acte malfaisant. Si tu exerces des représailles à ton tour en utilisant la même méthode pour comploter contre lui, aux yeux de Dieu, l’essence est la même : ce sont tous deux des actes malfaisants. Dieu ne dira pas que, parce que cet individu a comploté contre toi, le fait que tu ripostes est tout à fait justifié et conforme aux principes, et qu’il ne s’agit pas d’un acte malfaisant. Dieu ne regarde pas pourquoi tu as comploté contre lui ; Il regarde si ton acte est en soi un complot, s’il s’agit d’un acte malfaisant et si tu traites cette affaire en l’évaluant à l’aune de la vérité ou selon les conceptions morales humaines. Si l’affaire est évaluée à l’aune des conceptions morales humaines, alors « œil pour œil, dent pour dent » sera considéré comme approprié. C’est lui qui a commencé à comploter contre toi, il est donc raisonnable que tu exerces des représailles et que tu complotes contre lui en utilisant les mêmes moyens, et il devrait accepter de telles conséquences. Si l’on évalue cela d’un point de vue humain, en utilisant les valeurs morales humaines, ce n’est pas incorrect. Et si l’on évalue cela d’un point de vue juridique, ce n’est peut-être pas illégal. Mais aux yeux de Dieu, cela va à l’encontre de la vérité. Tout ce qui va à l’encontre de la vérité est un acte malfaisant et est condamné aux yeux de Dieu. Même s’il est légitime que tu ripostes, Dieu ne S’abstiendra pas de te condamner simplement parce que ta riposte est raisonnable et moralement justifiée. Dieu examinera la manière dont tu traites cet individu après qu’il a comploté contre toi. Si tu le traites de la même manière, Dieu te condamnera. Mais si tu le traites conformément aux vérités-principes et que tu le traites de manière équitable et juste, comme Dieu te l’a enseigné, alors même si, moralement, les gens peuvent avoir des notions et te condamner, et que, juridiquement, tu peux être condamné, Dieu dit qu’à Ses yeux tu as agi conformément au principe dans cette affaire et que ce n’est pas un acte malfaisant – Il ne te condamnera pas. Si tu peux traiter les gens selon les vérités-principes, cela revient à pratiquer la vérité. Tu ne dois pas traiter Christ selon tes notions et ton imagination ou en te basant sur ton tempérament corrompu, ni utiliser des intrigues et des ruses contre Lui. Il devrait en être de même dans la manière dont tu traites les gens. Si tu es capable de traiter Christ, cette personne ordinaire, correctement, alors tu peux de la même manière traiter les autres correctement. Peu importe de qui il s’agit, tu dois adopter la juste attitude dans la manière dont tu traites cette personne. De cette façon, tes principes et tes méthodes pour traiter les gens seront corrects. Si tu commets une erreur dans ton attitude envers les gens ou dans tes pensées et tes points de vue quant à la manière de les traiter, tu réfléchiras rapidement sur toi-même selon les paroles de Dieu et tu corrigeras tes pensées et tes points de vue tout en ajustant constamment ton comportement, et progressivement, tes pensées et tes points de vue quant à la manière de traiter les gens et tes principes de conduite et d’action seront de plus en plus conformes à la vérité. Lorsque les vérités-principes seront devenues ta vie, tu te seras débarrassé de ton tempérament corrompu et il aura été transformé, et tu seras capable de traiter les gens de façon équitable et juste, d’une manière qui soit conforme aux intentions de Dieu. S’ils ne complotent pas contre toi, tu penses qu’il est juste de ne pas comploter contre eux. Mais s’ils complotent contre toi et que tu peux t’abstenir de comploter contre eux, en cherchant plutôt la vérité et en les traitant selon les vérités-principes, n’est-ce pas un progrès ? N’est-ce pas une transformation ? (Si.) S’ils complotent contre toi et que tu complotes aussi contre eux, ne suis-tu pas le même chemin que celui qui complote contre toi ? Dans ce cas, quelle différence y a-t-il entre toi et les gens du monde ? Tes opinions sur les gens, sur les choses et sur la façon de te conduire et d’agir n’ont pas changé. Elles ne sont pas basées sur les paroles de Dieu ni sur les vérités-principes, mais sur les principes des gens du monde : quiconque complote contre toi, tu complotes contre lui, œil pour œil, dent pour dent. Tu n’es pas différent des gens du monde, des non-croyants. Si, indépendamment du fait que quelqu’un complote contre toi ou non, tu ne complotes jamais contre lui mais le traites plutôt selon les paroles de Dieu et selon les vérités-principes, alors cette position et cette perspective sont correctes ; c’est pratiquer la vérité. À l’ère de la Grâce, qu’a dit le Seigneur Jésus aux gens ? Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, que dois-tu faire ? (Le Seigneur Jésus a dit : « Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l’autre » [Matthieu 5:39].) Certains disent : « Si quelqu’un me frappe, je le frapperai en retour ! S’il me frappe sur la joue gauche, je le frapperai sur la joue gauche. S’il me frappe sur la joue droite, je le frapperai sur la joue droite. Cela n’est pas condamné, ni moralement ni juridiquement. » Dieu dit : « C’est faux. Si quelqu’un te frappe sur la joue gauche, présente-lui aussi la joue droite. Ne riposte pas. » En es-tu capable ? Que l’exigence de Dieu soit acceptable ou non aux yeux des hommes – peut-être que pour certaines personnes, c’est un dicton stupide, une pratique ridicule – c’est ce que Dieu exige de toi. En es-tu capable ? Tu dis : « Je n’en suis pas capable. Si l’on me frappe sur la joue gauche, je dois riposter, sans quoi ma fierté et ma dignité seront perdues, et j’aurai totalement perdu la face. » Peu importe que cette déclaration soit acceptable ou non aux yeux de l’humanité corrompue, si aux yeux de Dieu, ta déclaration, ton opinion et ton comportement sont erronés, alors ton comportement est condamné aux yeux de Dieu. Pour quelle raison est-il condamné ? C’est parce que tu n’as pas écouté les paroles de Dieu, tu n’as pas suivi la voie de Dieu. Dieu t’a dit que si quelqu’un te frappait sur la joue gauche, tu devais lui présenter aussi la joue droite. L’as-tu fait ? Dieu te demande simplement : as-tu écouté les paroles de Dieu ? As-tu pratiqué conformément à ce que Dieu t’a enseigné ? Si tu n’as pas pratiqué de cette manière, alors tu n’as pas suivi la voie de Dieu et tu es une personne qui se rebelle contre Dieu ; tu n’es pas une personne qui pratique la vérité, ni une personne qui considère les choses et se conduit conformément aux paroles de Dieu. Dans ce cas, Dieu ne t’aime pas, tu n’es pas une personne que Dieu accepte, et aux yeux de Dieu, cette gifle que tu as rendue est un acte malfaisant. Peut-être penseras-tu toujours que c’est tout à fait justifié, que c’est un moyen nécessaire pour protéger ta dignité et tes droits. Mais aux yeux de Dieu, cette gifle signifie que tu n’as pas suivi la voie de Dieu, que tu ne veux pas la suivre, que tu n’écoutes pas les paroles de Dieu et qu’à tes yeux, les paroles de Dieu ne sont que de la doctrine, des paroles creuses. Tu ne fais que prêcher les paroles de Dieu, mais tu ne les pratiques jamais. Dieu te caractérisera comme une personne qui ne suit pas Sa voie. Peux-tu alors encore gagner Son acceptation ? Si tu ne suis pas Sa voie, Ses paroles ne pourront jamais devenir ta vie. Peu importe combien tu défends ton propre raisonnement auprès de Dieu, Il ne t’écoutera pas. Dieu ne dira pas : « Quelqu’un t’a frappé sur la joue gauche sans raison et tu es tout à fait pitoyable. Pour préserver ta dignité, tu peux riposter. Après avoir riposté, tu peux prier et confesser ton péché, et Dieu te pardonnera et ne te condamnera pas. » Dieu n’a pas dit cela. Dieu a dit que si quelqu’un te frappait sur la joue gauche, tu devais lui présenter aussi la joue droite. Si tu en es capable, tu es une personne qui suit la voie de Dieu. Si tu n’en es pas capable, aux yeux de Dieu, tu es une personne qui se rebelle contre Dieu, une personne qui ne pratique pas les paroles de Dieu et ne suit pas la voie de Dieu, une personne malfaisante. Quelle est l’attitude de Dieu envers les personnes malfaisantes ? Dieu dit : « Éloignez-vous de Moi ! Je ne vous connais pas. » Dieu ne veut pas de ce genre de personnes. Vous comprenez ? (Oui.) Il en va de même pour les complots. Tu dis : « Untel a comploté contre moi, alors pourquoi ne comploterais-je pas contre lui ? » Si tu complotes contre les gens, c’est tout simplement une mauvaise chose. En quoi est-ce une mauvaise chose ? C’est mal parce que comploter est en soi un acte malfaisant et non une bonne action. Alors, quand ils complotent contre les gens, Dieu les condamne. Si tu fais de même, Dieu te condamnera de la même manière. Tu dois agir sans comploter, d’une manière que Dieu accepte. Ton devoir est de pratiquer conformément au chemin et aux principes de pratique que Dieu t’a enseignés, et non de défendre ton propre raisonnement ni de préserver ta dignité ou ton image personnelle. Ton image, ton statut et ta dignité personnels n’ont pas d’importance. Qu’est-ce qui est important ? Ce qui importe, c’est de savoir si les paroles de Dieu sont mises en œuvre en toi, si les paroles de Dieu sont devenues ta vie, si tu as manifesté les paroles de Dieu et si les paroles de Dieu ont été réalisées en toi. Est-ce compris ? (Oui.) Certaines personnes disent : « Untel m’a insulté, alors je vais l’insulter en retour. » Est-il correct de dire cela ? (Non.) D’autres disent : « Untel se montre toujours mesquin envers moi, alors pourquoi ne puis-je pas être mesquin envers lui ? Si je ne le fais pas, n’aurai-je pas l’air ridicule ? » La façon dont les autres te perçoivent a-t-elle de l’importance ? (Non.) Les gens font toujours grand cas de leur image, craignant toujours que les autres les trouvent ridicules et stupides. En réalité, la façon dont les autres te perçoivent est sans importance. Qu’est-ce qui est important ? Quand ils te considèrent comme idiot, comme stupide, quand ils se moquent de toi, comment réagis-tu ? Réagis-tu avec impétuosité, avec des méthodes et des moyens humains, ou selon les principes que Dieu t’a donnés ? As-tu pratiqué conformément aux paroles de Dieu ? As-tu tenu bon dans ton devoir ? Simplement parce qu’ils se moquent de toi et te traitent d’idiot, tu fais une crise et abandonnes ton travail : « Tu me considères comme un idiot, alors j’arrête ! » Ce n’est pas pour eux que tu fais ton devoir. Si tu l’abandonnais, que dirait Dieu ? « Parce que quelqu’un t’a qualifié d’idiot, tu as abandonné le devoir que Je t’avais confié. Tu n’as aucune loyauté ! » C’est ainsi que Dieu verra les choses. Si tu as vraiment Dieu dans ton cœur, si tu es vraiment loyal envers Dieu, alors si quelqu’un se moque de toi et te traite d’idiot, tu devrais d’abord réfléchir : « Tu dis que je suis idiot, tu dis que je suis stupide, et tu te moques de moi derrière mon dos. Je ne vais pas me disputer avec toi et je ne vais pas t’en vouloir. Je suis stupide et mon calibre est médiocre, mais Dieu m’a exalté et ne me méprise pas. Ce devoir ne m’a pas été confié par toi, il m’a été confié par Dieu : c’est le mandat que Dieu m’a confié. Peu importe que tu aies une haute opinion de moi ou non. Je ne fais pas mon devoir pour que tu le voies. Faire mon devoir est ma vocation. Je dois bien faire mon devoir et être loyal envers Dieu. Je dois chérir ce devoir et être à la hauteur de l’exaltation et de la confiance que Dieu m’accorde. Je dois être dévoué à mon devoir. Je ne peux pas abandonner mon devoir et décevoir Dieu parce que tu m’as qualifié d’idiot. Cela ferait véritablement de moi un idiot. » Cette façon de penser n’est-elle pas conforme aux principes ? N’est-ce pas là abandonner l’impétuosité ? Voilà ce que c’est que de ne pas réagir avec impétuosité. Lorsque tu seras capable d’agir de cette manière, tu auras véritablement changé et tu auras de la stature. Tu ne seras pas contraint par les personnes, les événements et les choses. Quelles que soient les circonstances, tu garderas fermement à l’esprit les paroles de Dieu et les vérités-principes, et tu ne traiteras aucune question avec impétuosité, ni avec des émotions, des humeurs, des préférences personnelles, des désirs ou des ambitions. Les paroles de Dieu seront les choses les plus élevées et les plus grandes dans ton cœur, et quand quelque chose se produira, tu chercheras d’abord les paroles de Dieu : « Les paroles de Dieu disent ceci, alors je m’y tiendrai fermement. Peu importe que les autres me trouvent ridicule. Ce qui compte, c’est le regard que Dieu porte sur moi. Même si je suis stupide et que mon calibre est médiocre, Dieu m’a quand même confié un devoir à faire. J’ai profité d’une si grande exaltation de la part de Dieu ! C’est une bénédiction ! » Si tu es capable de traiter les choses auxquelles tu es confronté selon les paroles de Dieu, tu sauras comment pratiquer conformément aux vérités-principes.

Continuons à discuter de cette question : ne pas comploter. Dans la vie quotidienne, les gens sont souvent victimes de complots de la part d’autres personnes dans diverses choses qui leur arrivent. Certains rivalisent avec toi pour la gloire et le gain, d’autres débattent avec toi sur le bien et le mal, d’autres encore se disputent avec toi à propos d’un simple mot, d’autres te jugent et te dénigrent dans ton dos, et certains te tendent des pièges et agissent de manière déraisonnable à ton égard. Lorsque tu es confronté aux complots de diverses personnes, comment les gères-tu ? Il te faut adhérer fermement à un principe : « Peu importe les complots que les autres trament contre moi, je ne comploterai pas contre eux ; je me tiendrai éloigné d’eux ! Je dois comprendre quelles sont les intentions de Dieu et quelle leçon Il veut que j’apprenne. Je dois rester ferme dans ma position, pratiquer les paroles de Dieu et faire mon devoir. Agir selon les principes des paroles de Dieu ne sera jamais erroné et ne mènera jamais à une perte. Peu importe l’estime que les autres ont pour moi, il ne s’agit pas là d’une couronne ni d’une récompense, mais d’une calamité ! » Si tu adhères à un tel principe, cela peut t’empêcher de faire le mal et d’être condamné par Dieu. Si, tout au long de ta vie, tu peux rester ferme dans la position d’un être créé, mener à bien le devoir d’un être créé et accomplir le travail que Dieu t’a confié en y mettant tout ton cœur et tout ton esprit, si tu consacres toutes tes pensées à faire ton devoir – que tu sois absorbé au point d’en oublier de manger et de dormir ou que tu te fatigues l’esprit – et si tu fais bien le travail que Dieu t’a confié en parvenant à faire ton devoir d’une manière qui est à la hauteur, alors tu mèneras une vie qui a de la valeur. Dans cette vie, nous ne devons pas chercher à faire de grandes choses, à réaliser de quelconques entreprises ou à créer de quelconques miracles. Nous ne sommes que des personnes insignifiantes et nous devons lire davantage de paroles de Dieu, chercher à comprendre la vérité dans les choses qui nous arrivent, nous acquitter de nos responsabilités et faire correctement ce qu’il nous incombe de faire. Nous devons nous assurer que nous pouvons nous conformer aux vérités-principes dans tous les domaines, que le devoir que nous faisons est conforme aux principes requis par les arrangements de travail, et que lorsque nous examinons attentivement la motivation, l’objectif et les principes de chaque chose que nous faisons, ces choses sont toutes conformes aux exigences des paroles de Dieu et peuvent supporter l’examen minutieux et l’inspection de Dieu. Chaque jour, tu dois faire ton devoir normalement, dans la paix et la joie, en vivant toujours devant Dieu. Lorsque tu as quelque chose à dire à Dieu dans ton cœur, tu Le pries ; lorsque tu n’as aucune parole à dire en prière, tu peux toujours t’approcher de Dieu dans ton cœur, et lorsque tu pries, tu reçois l’éclairage et la direction de Dieu et tu es ému par Lui. Tu es également capable d’être loyal envers Dieu en faisant son devoir et de te conduire de manière ouverte et droite. Comme c’est merveilleux ! Dans ta manière de traiter les gens, d’interagir et de communiquer avec eux, tu as dans l’ensemble de moins en moins de défauts et de transgressions. Peu importe la façon dont les autres complotent contre toi, tu ne réagis pas avec impétuosité. Chaque fois que tu te sens incapable de surmonter ton impétuosité, tu pries Dieu. Quand tu es faible, tu pries également Dieu. Lorsque le Saint-Esprit te touche un peu, tu gagnes la force de surmonter cela et tu franchis l’obstacle d’un bond. Chaque fois que tu es confronté aux complots des gens, à leurs attaques, à leurs représailles, et ainsi de suite, c’est comme franchir un obstacle, comme surmonter une difficulté. Finalement, tu es capable de surmonter tous ces complots, de surmonter les attaques, les représailles et les luttes des gens à ton encontre, en ne réagissant pas à partir de ton impétuosité ni de ton tempérament corrompu, mais en étant capable d’adhérer aux principes. Tu es alors véritablement un vainqueur. Comme c’est merveilleux ! Cependant, imaginons que tu vives dans l’impétuosité et les tempéraments corrompus toute la journée. Lorsque quelqu’un complote contre toi ou dit quelque chose de désagréable, tu le prends à cœur, cela te dérange énormément, tu deviens agité, tes yeux brillent de colère et tu entres dans une rage folle. Ou bien, après avoir entendu des paroles désagréables, tu te sens mal à l’aise dans ton cœur, des aphtes apparaissent dans ta bouche, tu perds l’appétit et tu ne peux pas dormir la nuit. Tu t’éloignes alors de Dieu. Tu vis soit dans l’impétuosité, soit dans les émotions, passant chaque jour dans le malheur, incapable de manger et de boire normalement les paroles de Dieu, incapable de faire normalement ton devoir, le cœur préoccupé et empêtré dans ces questions de bien et de mal. Une fois empêtré, il t’est très difficile de te libérer, et parfois, tu passes plusieurs mois sans y parvenir. S’il s’agit d’une question importante, comme le mariage ou un procès, alors les complots sont encore plus graves, et une fois que tu es empêtré dans ces choses, les mois, voire les années, passent en un clin d’œil, gaspillant les meilleures années de ta vie. Finalement, toute ta vie est gâchée : tu n’auras pas bien fait ton devoir et tu n’auras pas gagné la vérité. Cela ne signifie-t-il pas que tu es complètement perdu ? Si tu vis constamment dans les disputes, les complots, les luttes et la mesquinerie, peux-tu encore bien faire ton devoir ? Non seulement tu ne feras pas bien ton devoir, mais en complotant et en luttant, tu accumuleras également de nombreux actes malfaisants. En vivant dans les complots et les luttes entre les gens, combien de mauvaises choses feras-tu, combien de paroles prétentieuses, rebelles, qui violent la vérité et résistent à Dieu prononceras-tu ? Toutes ces paroles sont classées comme des paroles de démons. Même si certaines paroles ne sont pas prononcées à haute voix, elles te traversent l’esprit ; tu hais, insultes et maudis les gens dans ton cœur. Toutes ces choses sont claires comme le jour aux yeux de Dieu. Dieu voit quels sont tes desseins, comment tu planifies et comment tu pratiques lorsque des choses t’arrivent. En vivant dans ces complots et ces luttes, tu ne sais jamais réfléchir sur toi-même, te repentir et confesser tes péchés à Dieu, ni chercher la vérité dans ces questions, mais au lieu de cela, tu en « jouis » aveuglément. Même si tu es épuisé physiquement et mentalement, tu ne réfléchis jamais sur toi-même ni ne pries Dieu et n’acceptes Sa discipline et Sa direction, tu n’acceptes pas les paroles de Dieu dans ton cœur et tu ne laisses pas Dieu régner. Tu ne te résous jamais à pratiquer les paroles de Dieu. Cela prouve que tu n’es pas une personne qui croit sincèrement en Dieu et qui poursuit la vérité. Ceux qui croient sincèrement en Dieu et poursuivent la vérité se concentrent sur la façon de pratiquer la vérité et de manifester une ressemblance humaine dans leur cœur, en accordant plus d’importance à l’approbation de Dieu qu’à toute autre chose. Cela leur permet d’éviter les luttes et les complots ; leur cœur peut souvent se rapprocher de Dieu et ils peuvent vivre devant Dieu. En conséquence, leurs devoirs portent toujours plus de fruits, ils ont le sentiment que vivre ainsi a de la valeur et apporte une certaine contribution à l’humanité, et ils ont donc une paix et une joie véritables dans leur cœur. Comme ils sont capables de mener à bien le devoir d’un être créé, chaque jour qu’ils vivent a une valeur et un sens véritables. En revanche, si tu vis dans diverses luttes et divers complots, tu accumules des péchés chaque jour de ta vie. Non seulement tu ne parviens pas à manifester la valeur et le sens qu’un être créé devrait avoir, mais tu accumules également des péchés pour ton avenir. Dans Son cœur, Dieu te déteste et t’abandonne de plus en plus, et Il est de plus en plus déçu de toi. Si Dieu voyait que Son attention et Ses attentes à ton égard étaient sur le point d’être réduites à néant, que ressentirait-Il à ton égard ? Si tes actions déçoivent de plus en plus Dieu, le découragent de plus en plus, jusqu’à ce qu’un jour tu ne te repentes vraiment pas et que Dieu veuille renoncer à toi, alors dis-Moi, quelle valeur et quel sens ont ta vie et ta foi en Dieu ? Quel espoir reste-t-il dans ta vie ? Tu te laisses entraîner dans des conflits avec les gens et tu retardes tes affaires légitimes simplement parce que d’autres complotent contre toi et te jugent, afin de défendre ta fierté et de reconquérir ta propre image et ta dignité. Parfois, simplement parce que quelqu’un dit quelque chose de désagréable ou te jette un certain regard qui t’offense, te faisant perdre la face et blessant ton estime de soi, tu en viens même à nourrir de la rancune dans ton cœur et à t’empêtrer sans fin dans des disputes avec cette personne. Et que se passe-t-il en fin de compte ? Tu perds tout ton temps précieux dans ces querelles, ruinant tes chances d’atteindre le salut et sans gagner la moindre vérité. En conséquence, Dieu te déteste et t’abandonne, Il ne t’accorde plus la moindre attention, et tu es complètement perdu. Alors, qu’est-ce que J’essaie de vous dire en échangeant sur ces choses avec vous ? Il est très important de choisir comment se conduire, de choisir quelle conduite adopter. En vivant parmi les gens, chacun est souvent confronté à des complots, à des luttes, à des gains et à des pertes dans ses intérêts personnels, ainsi qu’à diverses voix qui s’élèvent pour louer, critiquer, juger et condamner ; tout le monde sera confronté à ces choses. J’ai Moi-même vécu dans ce monde jusqu’à cette ère, et qui plus est, Je ne vis pas en vase clos. Moi aussi, Je suis confronté à ces choses, mais Mon cœur ne complote pas. Regardez-Moi : comment ai-Je vécu ? Ces choses n’affectent en rien Ma vie ni Mon œuvre. Chaque jour, Je M’attache uniquement à faire Mon œuvre. En vivant jusqu’à présent, Je n’ai pas été affecté par l’environnement extérieur. Mon identité et Mon statut, Ma valeur aux yeux des gens, rien de tout cela n’a été affecté. Non seulement cela, mais Je crains même que vous ne pensiez à tort que Je suis très noble, très extraordinaire et très différent des autres, alors Je dois donner des exemples concrets de Ma normalité, de Mon aspect concret et de Mon caractère ordinaire de manière plus spécifique afin que vous ne M’idolâtriez pas et n’ayez pas d’imagination ni de notions irréalistes à Mon sujet. Ce n’est qu’après que J’ai dit cela que certains voient que Je ne suis qu’une personne ordinaire et normale, et qu’ils deviennent alors indifférents à Mon égard. Je ne Me soucie pas de ces choses. Du moment que tu es capable d’accepter ces paroles que Je prononce, c’est suffisant ; Je n’ai pas d’autres exigences. Si vous passiez toute la journée à Me regarder fixement, à Me scruter, à lire Mon expression, cela Me mettrait mal à l’aise. Je n’aime pas que les gens M’idolâtrent ni qu’ils Me flattent, et J’aime encore moins qu’ils se pressent constamment autour de Moi. J’aime le calme. Tu vois, n’ai-Je pas très bien vécu ces dernières années ? Alors pourquoi n’essaies-tu pas de vivre de la même manière ? Vois si tu es capable de survivre sans rivaliser pour la gloire et le gain, sans rivaliser pour le statut, sans préserver ta propre dignité, sans être en compétition pour une quelconque autorité par les paroles. Regarde comment sera ta vie si tu agis, que tu vis, que tu te conduis, que tu fais les choses et que tu accomplis ton devoir selon les paroles et les exigences de Dieu, regarde si tu gagneras la joie et si tu auras la paix dans ton cœur. Essaie une autre façon de vivre, pratique selon les vérités-principes, aie des buts clairs, et tu verras alors un avenir radieux s’ouvrir devant toi. Si tu passes ton temps à tenir le compte de ceux qui complotent contre toi, qui nuisent à ton statut, qui ont une meilleure réputation que toi, qui parlent de toi dans ton dos, et ainsi de suite, si tu vis au milieu de tout cela, alors il n’y a pas de chemin devant toi, seulement les ténèbres. Tu seras toujours perdu, en ayant le sentiment suivant : « Ma vie est fatigante, il n’y a pas de bonheur, je n’ai pas de bénédictions ! » Tu ne profites pas des bénédictions que Dieu te donne, mais tu continues à t’enfoncer dans l’enfer. Dis-Moi, peux-tu avoir des bénédictions ? Peux-tu avoir de la joie et de la paix ?

Quel est votre sentiment quant au fait d’échanger sur ces thèmes ? (C’est une bonne chose.) En quoi est-ce une bonne chose ? (Nous avons le sentiment que cela peut résoudre les difficultés auxquelles nous sommes confrontés dans la vie réelle et les tempéraments corrompus que nous révélons. Dieu nous a également indiqué certains chemins spécifiques : comment éviter de lutter et de comploter contre les autres, et comment nous émanciper des contraintes des personnes, des événements et des choses et vivre dans la lumière.) Quel est l’objectif principal de l’échange sur ces principes ? Ce n’est pas seulement de t’aider à échapper à une vie de lutte avec les autres ; l’essentiel est de te permettre de vivre dans le cadre de l’humanité normale et de mener une vie d’humanité normale. Si tu agis selon les paroles de Dieu, tu peux atteindre la soumission à Dieu, faire de Ses paroles et de la vérité ta vie, atteindre le salut, craindre Dieu et t’éloigner du mal : tu peux devenir une telle personne. Est-ce compris ? (Oui.) Il ne s’agit pas seulement d’échapper à une vie de complots et de luttes avec les autres ; si l’objectif se limitait à cela, tu ne gagnerais pas la vérité. Dis-Moi, si elle ne gagne pas la vérité, quel est le but de la pratique d’une personne ? Sa pratique ne serait-elle pas encore vide de sens ? En vivant dans cette société, parmi les gens, tu auras toujours tes propres pensées et opinions lorsque des choses t’arriveront ; il est impossible de n’avoir aucune pensée ni aucune opinion, comme si tu vivais en vase clos. Une telle situation n’existe pas. Lorsque personne ne complote contre toi ni ne lutte contre toi, tu peux réussir à ne pas comploter contre les autres et à ne pas lutter contre eux. Mais lorsque quelqu’un complote contre toi ou lutte contre toi, que fais-tu ? Le simple fait de crier des slogans tels que « Je ne me battrai pas contre eux, je ne comploterai pas contre eux » résout-il le problème ? (Non.) Alors, comment faut-il résoudre le problème ? Certaines personnes crient des slogans en disant : « Ne suis-je pas trop vieux pour continuer à comploter ? L’œuvre de Dieu a tant avancé, et je continue pourtant à comploter ? À quoi bon comploter pour ces choses ? » Ces paroles peuvent-elles résoudre le problème ? (Non.) Lorsque des événements surviennent, la plupart des gens ne parviennent toujours pas à lâcher prise dans leur cœur et continuent de comploter et de lutter contre les autres. Comment ce problème devrait-il donc être résolu ? Il devrait être résolu en réglant les problèmes liés aux pensées et aux opinions des gens, ainsi qu’à leurs tempéraments corrompus, conformément aux paroles de Dieu et aux vérités-principes. Une fois que tu auras reçu une pensée ou une opinion correcte, ta perspective, ton attitude et ta position sur de telles questions changeront. Tes sentiments à leur égard seront différents, tu sentiras que lutter contre les autres n’a aucun sens, que cela gaspille ton énergie, entrave le travail, provoque un malaise intérieur et qu’il n’y a ni joie ni paix en cela. Ensuite, lorsque tu liras la condamnation de ces questions dans les paroles de Dieu, le point de vue sur ces questions dans ton cœur changera complètement, ton état émotionnel sera différent, ton envie irrépressible de lutter avec les autres diminuera, ta colère s’atténuera et ton impétuosité disparaîtra. Si d’autres se disputent avec toi, te provoquant sans relâche, tu ne seras pas affecté, estimant que ce n’est pas grave et qu’il n’y a pas lieu de lutter contre eux. Même des spectateurs ne pourraient supporter de regarder cela, disant : « Ils te traitent comme ça, comment peux-tu ne rien ressentir ? Es-tu stupide ? » Tu réponds : « Avant, je prenais ce genre de choses très au sérieux, j’aurais eu l’impression que le ciel me tombait sur la tête. Si je ne mettais pas les choses au clair avec eux, ou s’ils ne me donnaient pas d’explication, je n’aurais assurément pas laissé passer cela facilement. Mais maintenant, c’est différent. Je ne complote plus et je ne me bats plus avec les autres, non pas parce que je suis plus âgé, mais parce que dans les paroles de Dieu, j’ai percé à jour l’essence corrompue de l’humanité. Leur comportement correspond aux révélations et aux manifestations typiques d’une personne malfaisante, d’un antéchrist, d’un Satan, telles qu’elles sont exposées dans les paroles de Dieu. Avant, j’avais moi aussi ces manifestations, mais maintenant, dans les paroles de Dieu, je vois que ce genre de vrai visage, ce genre de tempérament, est trop laid et répugnant, Dieu le déteste ! Maintenant, moi-même je le déteste, et dans mon cœur, je ne suis pas disposé à vivre dans ce tempérament corrompu. Alors quand ils luttent à nouveau avec moi, je me sens simplement exaspéré et dégoûté par eux, et je n’ai aucun intérêt à lutter ni aucun désir de lutter. Dans les paroles de Dieu, j’ai également trouvé les principes de pratique, et je sais comment traiter de telles personnes. » Que disent les paroles de Dieu ? D’une part, les paroles de Dieu exposent et caractérisent les personnes de ce type ; d’autre part, Dieu dit aux gens que le principe pour traiter les autres est de les traiter équitablement. S’ils sont de véritables frères et sœurs et qu’ils révèlent des tempéraments corrompus, nous devons les traiter avec amour, en échangeant sur la vérité pour résoudre leurs transgressions et leurs tempéraments corrompus, afin qu’ils ne résistent plus à Dieu et ne transgressent plus. Peut-être que de l’aide permettra de résoudre leurs problèmes. S’ils n’acceptent pas l’aide, qu’ils sont incapables d’accepter la vérité, mais qu’ils peuvent faire leur devoir et ne causent pas de perturbation dans le travail de l’Église, alors ils doivent être autorisés à rester faire leur devoir dans l’Église. S’ils ne font pas correctement leur devoir et continuent à lutter et à comploter avec les autres, en provoquant des perturbations, alors ils doivent être évincés conformément aux décrets administratifs de la maison de Dieu et aux principes de la maison de Dieu pour traiter les gens. Notre cœur ne serait-il pas alors en paix ? La maison de Dieu a des principes et des chemins pour gérer la mauvaise graine. Comment discerner et gérer ces personnes, comment les traiter : il y a des principes et des chemins dans les paroles de Dieu pour tout cela. Si les gens pratiquent selon les paroles de Dieu, cela sera géré facilement et joyeusement, ils ne trouveront pas que c’est une situation difficile, leur cœur ne sera pas du tout perturbé et cela sera résolu très naturellement. S’ils avaient été confrontés à de telles situations quelques années auparavant, ils n’auraient pas pu les surmonter, ils n’auraient pas su comment les résoudre. Mais maintenant, avec quelques années d’expérience de vie, cette situation ne constitue plus une difficulté pour eux, ils sont capables de la résoudre. Soudain, ils constatent que leur stature s’est développée et qu’ils ont véritablement changé. Comment la plupart de ces personnes se sentent-elles alors ? « Auparavant, j’avais toujours l’impression d’avoir un calibre médiocre et, souvent, je me rebellais contre Dieu et Lui résistais, comme si j’étais irrécupérable. Maintenant, en gérant cette situation, j’ai le sentiment de n’avoir aucune difficulté, de pouvoir résoudre les problèmes et d’avoir de l’espoir. » Quel espoir ? (L’espoir de gagner le salut.) Lorsque tu vois l’espoir de gagner le salut, vois-tu de la lumière ou des ténèbres devant toi ? (De la lumière.) Cela réalise le dicton : La lumière m’appelle. N’est-ce pas ? (En effet.) Lorsque ta stature pourra atteindre ce niveau, tu auras vraiment le sentiment que pratiquer la vérité ne nécessite pas en fait de crier des slogans ; c’est aussi simple et joyeux que cela. Du moment que tu acceptes les paroles de Dieu, du moment que tu acceptes les vérités-principes qui viennent de Dieu, pratiquer la vérité est aussi facile que cela, et ta stature grandit sans que tu t’en rendes compte. Lorsque tu auras le sentiment que ta stature a grandi, que tu as changé, que tes années de croyance en Dieu ont porté leurs fruits et n’ont pas été vaines, si quelqu’un tient alors des propos présomptueux, en disant : « Qu’ai-je gagné à croire en Dieu ? Au cours des vingt années où j’ai cru en Dieu, je n’ai fait que souffrir et fournir des efforts, j’ai renoncé à tant de choses et je me suis tant dépensé, sans profiter pour autant d’une seule bénédiction, je n’ai connu qu’une fatigue sans fin ! », tu le mépriseras dans ton cœur : « Cet individu n’a pas de conscience et ne prononce que des paroles diaboliques ! À en juger par son allure pathétique, il n’a vraiment rien gagné : tout ce qu’il sait faire, c’est être déraisonnable et obstructionniste, et tout ce qu’il sait dire, ce sont des paroles présomptueuses ! » Il répète sans cesse : « Qu’ai-je gagné à croire en Dieu ? » Alors, qu’espères-tu gagner exactement en croyant en Dieu ? Espères-tu obtenir une grâce et des bénédictions matérielles, ou espères-tu gagner la vérité et atteindre le salut ? C’est cela, le chemin que l’on devrait choisir en croyant en Dieu. Quel chemin suis-tu réellement ? Si tu es une personne qui poursuit la vérité, si tu mets en pratique toutes les vérités que tu comprends et que tu en fais ta réalité, alors tu auras gagné la vie éternelle, et ayant fait l’expérience de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours, tu n’auras pas cru en vain. Si tu te concentres uniquement sur le fait de profiter de la grâce, mais que tu ne gagnes pas la vérité et la vie, et que tu te plains de Dieu en disant : « Qu’ai-je gagné ? », cela prouve que tu n’es pas une personne qui poursuit la vérité. Peu importe à quel point tu jouis de la grâce, si tu n’as pas gagné un peu de vérité, alors ta foi est trop pitoyable, cela montre que tu es aveugle. À présent, Dieu exprime la vérité pour fournir la vie aux gens, prononçant chaque jour de nouvelles paroles, en si grand nombre que les gens peuvent les manger, les boire et en profiter pour l’éternité. Il y a trop de vérités qui devraient être pratiquées et dans lesquelles il faudrait entrer ; pour nombre d’entre elles, on ne peut pas en faire l’expérience, même en une vie entière. Ceux qui croient en Dieu depuis de nombreuses années et poursuivent la vérité ont tellement gagné, et en telle abondance. À l’inverse, si les gens ne poursuivent pas la vérité, n’aiment pas la vérité et ne pratiquent pas la vérité, ils auront toujours le sentiment de n’avoir rien gagné. Ceux qui profitent de la vérité ont le sentiment d’être vraiment comblés à profusion par ces paroles. En fait, que ce soit en termes de vérité ou de bénédictions matérielles, ce que Dieu accorde aux gens est abondant ; on peut dire que la maison de Dieu est une terre où coulent le lait et le miel. Les paroles de Dieu mangées et bues lors des réunions sont si abondantes, les témoignages d’expérience, les films, les hymnes, les danses, toutes ces choses sont là, en abondance. Les choses matérielles, la nourriture, les vêtements et les produits de première nécessité sont également disponibles en abondance. En outre, le service rendu par le grand dragon rouge que Dieu a mis en place, les accomplissements des antéchrists et des faux dirigeants et l’exposition quotidienne de divers types de choses négatives devant les gens permettent à ces derniers de tirer des leçons et de développer leur discernement. Si tu ne peux pas apprendre toute une leçon d’un seul coup, Dieu continuera à mettre en place des environnements, des personnes, des événements et des choses pour toi, et Il ne les supprimera que lorsque tu auras suffisamment appris. Par conséquent, si tu es capable d’accepter l’œuvre de Dieu, si tu es une personne qui aime la vérité, tu participes à un banquet somptueux. Quelques années de foi t’apporteront de grands progrès et un changement réel. Dieu a personnellement guidé, abreuvé et conduit Son peuple élu pendant toutes ces années. Tous ceux qui sont capables d’accepter la vérité peuvent sentir qu’ils ont énormément gagné et qu’ils ont connu de véritables changements. En particulier, ceux qui font leur devoir à plein temps ont encore plus changé. Tu peux sentir que lorsque tu suis Dieu, le chemin devient de plus en plus lumineux et que tu as une foi véritable dans le fait de gagner le salut et d’entrer dans le royaume des cieux. En revanche, si tu refuses toujours d’accepter la vérité et que tu n’es pas disposé à la pratiquer dans ton cœur, tu ne pourras pas avoir le sentiment que tu as un espoir de salut. Tu continueras à demander à ton entourage : « Penses-tu que j’ai une compréhension spirituelle ? » Si quelqu’un te répond : « Tu ne sembles pas avoir de compréhension spirituelle », tu te diras : « C’est fini, je n’ai aucun espoir ! » En vérité, ce n’est pas que tu n’as aucun espoir, c’est que tu ne poursuis pas la vérité. Si tu comprends la vérité et que tu peux également la pratiquer, tu gagneras progressivement en compréhension spirituelle. Une fois que tu auras une compréhension spirituelle, tu comprendras de plus en plus de vérités et tu seras en mesure de partager des témoignages d’expérience dans tous les aspects. Tu te sentiras enrichi et très épanoui intérieurement, et tu auras le sentiment d’avoir énormément gagné en suivant Dieu. N’est-ce pas ? (Oui.) Si une personne ne pratique pas la vérité et ne l’accepte pas comme sa vie, elle se sentira toujours perdue et sans but dans son cœur, sans véritable foi. Elle demandera toujours à son entourage si elle a un quelconque espoir de gagner le salut. Certains demandent aussi constamment aux autres s’ils ont une compréhension spirituelle, considérant le fait d’avoir ou non une compréhension spirituelle comme l’indicateur qu’ils ont ou non de l’espoir. Dis-Moi, ces personnes sont-elles stupides ? (Elles sont stupides.) Que tu aies ou non une compréhension spirituelle, tu dois t’efforcer d’atteindre la vérité, et non seulement t’efforcer de la comprendre, mais aussi t’efforcer de la pratiquer. Une fois que tu pourras comprendre la vérité et la pratiquer, n’y aura-t-il pas alors un espoir d’atteindre le salut ? N’est-ce pas le cas ? (Si.) Vous devriez réfléchir à cette question.

C’est tout pour notre échange d’aujourd’hui. Au revoir !

Le 7 Septembre 2024

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