34. Ce que j’ai gagné après un échec cuisant
En 2013, la police m’a arrêtée grâce à une surveillance téléphonique. Ils m’ont montré des photos des dirigeants supérieurs et m’ont dit de les identifier, et quand j’ai refusé de parler, ils ont essayé de me menacer et de m’intimider, en disant qu’ils me mettraient à l’isolement et me tortureraient. Si je n’ai pas eu peur à ce moment-là, c’était grâce aux soins et à la protection de Dieu, et après, j’ai surmonté chaque interrogatoire de police en priant, et je n’ai pas vendu mes frères et sœurs. Plus tard, j’ai été condamnée à trois ans de prison.
En avril 2014, j’ai été envoyée dans une prison pour femmes pour purger ma peine. Le chef d’unité de la prison m’a dit d’écrire une déclaration de repentance et de jurer de ne plus croire en Dieu, mais j’ai refusé de l’écrire et je leur ai plutôt témoigné de Dieu. Voyant ma posture déterminée, le chef d’unité a fait en sorte que les autres détenues me tourmentent, me frappent et m’insultent, et elle m’ont forcée à rester debout dans une petite pièce pendant douze heures par jour sans bouger. Mes jambes et mes pieds sont devenus engourdis et gonflés à force de rester debout, et chaque minute semblait durer une heure. Les détenues se moquaient de moi quand elles voyaient ma souffrance, en disant : « Pourquoi tu ne demandes pas à ton Dieu de te transformer en aigle pour que tu puisses t’envoler d’ici ! » J’ai prié dans mon cœur, en Lui demandant de me guider pour surmonter cette punition corporelle et ne pas Le trahir, et avec la direction de Dieu, j’ai résisté. Un jour, les agents pénitentiaires m’ont remis dix questions auxquelles répondre, chacune d’entre elles reniait et calomniait Dieu. Ça m’a rendue absolument furieuse : « Ces démons sont vraiment doués pour fabriquer des mensonges ! Je dois témoigner de Dieu et ne pas laisser Son nom être déshonoré. » Alors j’ai profité de cette occasion pour répondre aux questions en utilisant les paroles de Dieu pour réfuter leurs idées fausses. En conséquence, cela a mis en colère les agents pénitentiaires, et ils m’ont privée de déjeuner pendant trois jours. Parfois, j’avais des vertiges à cause de la faim et j’invoquais Dieu dans mon cœur, en Lui demandant de renforcer ma foi et de me faire rester ferme. J’ai pensé aux paroles du Seigneur Jésus : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » (Matthieu 4:4). En méditant sur paroles de Dieu, je ne ressentais plus autant la faim. Six mois avant ma libération, le grand dragon rouge a fait pression sur l’unité pénitentiaire, en disant que j’étais la seule dans le district qui n’avait pas été convertie, et que donc, pour éviter de ternir la réputation de la prison, je devais être convertie. Après ça, ils m’ont soumise à une autre série de punitions corporelles. Par des températures d’environ moins vingt degrés, ils m’ont fait rester debout dans les toilettes et m’ont versé de l’eau dessus, jusque dans les oreilles. Tout mon corps était trempé, mais ils ne m’ont pas permis de me changer. Plus tard, ils m’ont emmenée dans une petite pièce, et ils ont fait venir deux meurtrières pour me forcer à signer les « Trois Déclarations ». Elles ont dit que si je refusais, elles m’emmèneraient dans un couloir sans surveillance, et que si j’étais battue à mort, ça serait enregistré comme une mort naturelle. Mon cœur était dans la tourmente : « Si je signe, ce serait trahir Dieu, mais si je ne signe pas, elles trouveront de nouvelles façons de me torturer. Et si elles me battaient à mort ? » Je me suis rappelée qu’une détenue m’avait dit un jour qu’une prisonnière était morte ici avant, et que son corps avait été traîné comme celui d’un chien mort. Rien que d’y penser, j’étais remplie de peur. Si j’étais battue à mort, je n’aurais plus aucune chance d’être sauvée. J’ai ensuite pensé au fait que deux sœurs dans la même unité pénitentiaire avaient dit qu’elles avaient toutes les deux signé la déclaration de repentance. Je me suis dit : « Elles l’ont déjà signée. Est-ce que je suis juste en train de suivre strictement des règlements ? Dieu regarde le cœur d’une personne, pas juste ses comportements extérieurs. Je ne veux pas vraiment trahir Dieu ; ça serait juste utiliser de la sagesse pour gérer le grand dragon rouge. » Alors, j’ai signé les « Trois Déclarations ». Mais au moment où j’ai signé, mon cœur s’est rempli de ténèbres. Pourtant, je continuais à me réconforter : « Je ne trahis pas vraiment Dieu ; j’utilise juste de la sagesse pour gérer le grand dragon rouge. » Je leur ai même dit : « Je ne signe pas vraiment ça. Je ne fais que suivre vos procédures. »
En juin 2016, j’ai été libérée de prison. Plus tard, j’ai entendu dans un sermon que ceux qui signaient les « Trois Déclarations » avaient reçu la marque de la bête et ouvert les portes de l’enfer. Je me suis sentie soudainement paralysée, comme si le ciel était devenu noir. Je me suis enfin rendu compte à quel point signer les « Trois Déclarations » était grave, et que ça offensait le tempérament de Dieu. Après avoir cru en Dieu pendant tant d’années, je ne m’attendais pas à finir mon chemin de foi par une trahison. La douleur et le désespoir dans mon cœur à ce moment-là étaient au-delà des mots. Bien que mon corps soit libre, mon esprit était dans les ténèbres. Dans ma souffrance extrême, j’ai même pensé à sauter d’un immeuble pour en finir. J’avais l’impression d’avoir perdu mon âme. J’ai pensé aux paroles de Dieu : « Je ne serai plus miséricordieux envers ceux qui ne M’ont montré aucune loyauté pendant les périodes de tribulation, car Ma miséricorde ne s’étend que jusque-là. En outre, Je n’aime pas ceux qui M’ont déjà trahi et J’aime encore moins fréquenter ceux qui trahissent les intérêts de leurs amis. Voilà Mon tempérament, quelle que soit la personne. Je dois vous dire ceci : quiconque brise Mon cœur n’aura pas droit à Ma clémence une seconde fois et quiconque M’a été loyal restera toujours dans Mon cœur » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Prépare suffisamment de bonnes actions pour ta destination). En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai ressenti une douleur aiguë dans mon cœur. Le tempérament de Dieu ne tolère pas qu’on l’offense, et quiconque trahit Dieu ne recevra plus jamais Sa miséricorde. J’avais signé les « Trois Déclarations » et offensé le tempérament de Dieu, et j’avais le sentiment que mon chemin de foi était arrivé à sa fin et que Dieu ne sauverait plus quelqu’un comme moi. En pensant à l’acte malfaisant que j’avais commis, mon cœur éprouvait une souffrance intolérable, et je souhaitais être emprisonnée à nouveau juste pour compenser ma transgression. Pendant ces quelques jours, j’étais comme un cadavre ambulant. Je passais chaque jour dans un état de confusion, et j’avais trop honte pour prier Dieu.
Un jour, j’ai vu un frère avec qui j’avais autrefois coopéré dans un film produit par la maison de Dieu, et je me suis sentie encore plus affligée et coupable. On croyait tous les deux en Dieu, mais lui faisait son devoir pour témoigner de Dieu, alors que moi, j’avais été éliminée et je devais être punie. Je me haïssais encore plus. Par le passé, je n’avais pas poursuivi la vérité, et j’avais le sentiment que je méritais de mourir et que j’étais indigne de vivre. Je voulais juste vivre au jour le jour, et si je mourais un jour, ce serait la justice de Dieu. Je restais allongée dans mon lit la nuit, à me tourner et me retourner, incapable de dormir, et les paroles de Dieu me sont venues à l’esprit : « Quand les gens se rebellent contre Moi, Je les pousse à Me connaître depuis le fond de leur rébellion. À la lumière de l’ancienne nature de l’humanité et à la lumière de Ma miséricorde, plutôt que de mettre les humains à mort, Je leur permets de se repentir et de prendre un nouveau départ » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les paroles de Dieu à l’univers entier, Chapitre 14). « Est-il possible que ton destin ne puisse jamais vraiment changer ? Es-tu prêt à mourir avec de tels regrets ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’essence et l’identité de l’homme). J’ai clairement senti que Dieu ne m’avait pas abandonnée, et qu’Il utilisait toujours Ses paroles pour m’appeler et me permettre de me présenter devant Lui pour me repentir. Les paroles pleines de bonté de Dieu étaient comme un courant chaud et doux qui remplissait mon cœur de chaleur. Dieu ne voulait pas me voir dans la négativité et l’incompréhension, à sombrer dans le désespoir et à renoncer à moi-même. Dieu voulait que je me relève de mon échec et que je réfléchisse à la cause profonde de ma chute. J’ai pensé au fait que Dieu dit que la repentance du peuple de Ninive a gagné Sa miséricorde. Dieu espérait aussi que je puisse me repentir, prendre un nouveau départ et marcher à nouveau sur le chemin de la foi. J’ai ressenti l’amour et le salut de Dieu, et mon cœur était rempli de gratitude envers Lui. Alors je me suis agenouillée et j’ai prié : « Ô Dieu, je T’ai trahi et j’ai brisé Ton cœur. Mais Tu n’as pas renoncé à me sauver et Tu m’as quand même donné une chance de me repentir. Merci ! Ô Dieu, je suis disposée à me repentir. S’il Te plaît, guide-moi pour que je réfléchisse sur moi-même. »
Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Ceux qui sont assaillis par la tribulation n’ont pas l’œuvre du Saint-Esprit ni la direction de Dieu, mais ceux qui ont été vraiment conquis et poursuivent vraiment Dieu tiendront bon en fin de compte ; ce sont ceux qui ont une humanité et qui aiment vraiment Dieu. Peu importe ce que Dieu fait, ces gens victorieux ne seront pas privés des visions et continueront à mettre la vérité en pratique sans faillir dans leur témoignage. Ce sont eux qui émergeront finalement de la grande tribulation. Même si ceux qui pêchent en eau trouble peuvent encore vivre aux dépens des autres aujourd’hui, personne ne peut échapper à la tribulation finale et personne ne peut échapper au test final. Pour ceux qui vainquent, une telle tribulation occasionne un épurement formidable ; mais pour ceux qui pêchent en eau trouble, elle occasionne une élimination totale. Quelle que soit la façon dont ils sont éprouvés, l’allégeance de ceux qui ont Dieu dans leur cœur reste inchangée ; mais pour ceux qui n’ont pas Dieu dans leur cœur, une fois que l’œuvre de Dieu n’est pas avantageuse pour leur chair, ils changent leur point de vue sur Dieu et s’éloignent même de Dieu. Tels sont ceux qui ne tiendront pas ferme à la fin, qui ne cherchent que les bénédictions de Dieu et n’ont aucun désir de se dépenser pour Dieu et de se consacrer à Lui. Des gens aussi vils seront tous expulsés lorsque l’œuvre de Dieu sera achevée et ils sont indignes de toute sympathie. Ceux qui sont sans humanité sont incapables de vraiment aimer Dieu. Lorsque l’environnement est sûr et sans dangers, ou lorsqu’ils peuvent obtenir des profits, ils sont totalement obéissants à Dieu, mais une fois que ce qu’ils désirent est compromis ou définitivement réfuté, ils se révoltent immédiatement. Même dans l’espace d’une seule nuit, ils peuvent passer d’une personne souriante qui a un “bon cœur” à un tueur laid et féroce, traitant soudain leur bienfaiteur d’hier comme leur ennemi mortel, sans rime ni raison. Si ces démons ne sont pas chassés, ces démons qui tueraient en un clin d’œil ne deviendront-ils pas un danger caché ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris que j’avais été une personne égoïste et méprisable. Face à la menace des meurtrières, j’avais eu peur que si j’étais tuée, je ne serais pas sauvée, alors j’avais signé les « Trois Déclarations » et j’avais trahi Dieu. Quand aucun intérêt charnel important n’était en jeu, je disais avec ma bouche et je pensais dans mon cœur que je ne trahirais pas Dieu, peu importe qui d’autre le ferait, et je me considérais même comme quelqu’un qui croyait vraiment en Dieu. Mais quand ma vie avait été en danger, pour me protéger, j’avais sauvé ma peau et j’avais trahi Dieu. En quoi est-ce que j’avais une quelconque humanité ? En quoi est-ce que je croyais vraiment en Dieu ? Seuls ceux qui, pendant les tortures du grand dragon rouge, peuvent endurer toutes les souffrances pour témoigner de Dieu, sont des gens dotés d’humanité, et sont des gens qui croient vraiment en Dieu. J’ai pensé au fait que j’avais été choisie par Dieu dans les derniers jours pour être parmi ceux qui croient en Lui. En lisant les paroles de Dieu, j’ai compris la vérité sur la façon dont l’humanité a été corrompue par Satan, et j’en suis venue à connaître le plan de gestion de 6 000 ans de Dieu pour sauver l’humanité. Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris certaines vérités et j’ai percé à jour beaucoup de choses, et ce sont les paroles de Dieu qui m’ont aidée à traverser les jours les plus difficiles de souffrance en prison. J’avais tant reçu de la part de Dieu, mais quand Dieu avait voulu que je témoigne, je L’avais trahi en signant les « Trois Déclarations » pour me protéger d’une mort sous les coups. J’avais commis un si grand acte de trahison, et je méritais vraiment d’être maudite ! À ce moment-là, j’ai finalement compris que mes années de foi n’avaient pas visé à gagner la vérité et la vie, que j’avais sacrifié ma famille et ma carrière, souffert, payé un prix et fait mes devoirs juste pour recevoir des bénédictions, et que ma relation avec Dieu était clairement transactionnelle, basée sur l’intérêt personnel. J’étais juste de l’ivraie sans vie, alors comment aurais-je pu ne pas tomber ? En prenant conscience de ces choses, j’ai souhaité m’efforcer de m’élever et ne plus être si négative, et je me suis souvent présentée devant Dieu pour prier et me repentir. Peu importe quel serait mon résultat, j’étais disposée à faire mon devoir en tant qu’être créé et à m’efforcer de poursuivre la vérité.
En février 2018, j’ai pris en charge des devoirs textuels et je me sentais très reconnaissante, je voulais faire correctement mon devoir et me racheter de ma transgression passée. En faisant mes devoirs, chaque fois que je pensais à la trahison que j’avais commise, j’avais mal au cœur, comme s’il était transpercé, comme si une épine était coincée dans mon cœur, me causant beaucoup de douleur et de culpabilité. Parfois, je me demandais : « Je pensais que j’utilisais de la sagesse pour gérer la police quand j’ai signé les “Trois Déclarations”, mais comment Dieu voit-Il ça ? » J’ai pensé aux paroles du Seigneur Jésus : « Quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 10:33). Comme j’avais signé les « Trois Déclarations » et renié et trahi Dieu devant Satan, Dieu ne me reconnaissait pas comme quelqu’un qui croit en Lui, et ma « sagesse » ne tiendrait pas devant la vérité et n’était qu’une façon de me tromper moi-même et de tromper les autres. La sagesse est une chose positive qui vient de Dieu, et l’utiliser est une pratique qui protège les intérêts de la maison de Dieu. Mais j’avais utilisé la « sagesse » dans le but de me protéger moi-même. Ceux qui renient et trahissent Dieu devant les hommes sont condamnés par Dieu, et Dieu exècre la trahison des gens envers Lui. Ce que Dieu veut, c’est que les gens témoignent de Lui devant Satan, qu’ils défendent toujours Son nom, et qu’ils ne Le renient jamais. En prenant conscience de ces choses, je me haïssais encore plus, et j’ai secrètement fait le serment dans mon cœur qu’à l’avenir, face à des situations similaires, je resterais ferme dans mon témoignage, et que je ne chercherais plus jamais à sauver ma peau.
Plus tard, il m’arrivait aussi de réfléchir dans mon cœur : « Pourquoi ai-je échoué ? Pourquoi certains frères et sœurs ont-ils pu endurer de graves tortures et rester fermes, même jusqu’à la mort, sans trahir Dieu, alors que moi, je L’ai trahi ? Quelle était la racine de mon échec ? » Après réflexion, j’ai pris conscience que la raison principale était que j’accordais trop d’importance à ma vie. J’avais trahi Dieu par peur de la mort, en perdant mon témoignage. Un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu, et j’en suis venue à comprendre comment faire face à la mort. Dieu Tout-Puissant dit : « Comment ces disciples du Seigneur Jésus sont-ils morts ? Parmi les disciples, certains ont été lapidés, traînés derrière un cheval, crucifiés la tête en bas, démembrés par cinq chevaux ; ils sont morts de toutes sortes de manières. Quelle a été la raison de leur mort ? Ont-ils été légalement exécutés pour leurs crimes ? Non. Ils ont diffusé l’Évangile du Seigneur, mais les gens du monde ne l’ont pas accepté et, au contraire, les ont condamnés, battus et injuriés, et même mis à mort, c’est ainsi qu’ils ont été martyrisés. […] En fait, c’est ainsi qu’a eu lieu leur mort physique et qu’ils sont décédés ; c’est ainsi qu’ils ont quitté le monde des humains, pourtant cela ne signifie pas que leur fin a été la même. Quels qu’aient pu être les moyens de leur mort et de leur départ ou la façon dont cela s’est passé, ce n’est pas ainsi que Dieu a défini le résultat final de ces vies, de ces êtres créés. C’est une chose que tu dois voir clairement. Au contraire, ce sont les moyens dont ils se sont précisément servis pour condamner ce monde et témoigner des actions de Dieu. Ces êtres créés ont utilisé leur vie la plus précieuse, ils ont utilisé le dernier moment de leur vie pour témoigner des actions de Dieu, pour témoigner de la grande puissance de Dieu et pour déclarer à Satan et au monde que les actions de Dieu sont justes, que le Seigneur Jésus est Dieu, qu’Il est le Seigneur, et la chair incarnée de Dieu. Même jusqu’au dernier moment de leur vie, ils n’ont jamais renié le nom du Seigneur Jésus. N’était-ce pas une forme de jugement sur ce monde ? Ils ont utilisé leur vie pour proclamer au monde, pour confirmer aux êtres humains que le Seigneur Jésus est le Seigneur, que le Seigneur Jésus est Christ, qu’Il est la chair incarnée de Dieu, que l’œuvre de rédemption de toute l’humanité qu’Il a accomplie permet à cette humanité de continuer de vivre. Ce fait est à jamais immuable. Ceux qui ont été martyrisés pour avoir répandu l’Évangile du Seigneur Jésus, dans quelle mesure ont-ils accompli leur devoir ? Jusqu’à l’ultime mesure ? Comment l’ultime mesure a-t-elle été manifestée ? (Ils ont offert leur vie.) C’est juste, ils ont payé le prix de leur vie. La famille, la richesse et les possessions matérielles de cette vie sont toutes des choses externes ; la seule chose liée à l’être est la vie. Pour chaque personne vivante, la vie est la chose la plus digne d’être chérie, la chose la plus précieuse, et il se trouve que ces gens ont pu offrir ce qu’ils avaient de plus précieux, la vie, comme une confirmation et un témoignage de l’amour de Dieu pour l’humanité. Jusqu’au jour de leur mort, ils n’ont pas renié le nom de Dieu ni Son œuvre, et ils ont utilisé les derniers instants de leur vie pour témoigner de l’existence de ce fait. N’est-ce pas la plus haute forme de témoignage ? C’est la meilleure façon de faire son devoir ; c’est ce que signifie assumer sa responsabilité. Quand Satan les a menacés et terrorisés, et, à la fin, même quand il leur a fait payer le prix de leur vie, ils n’ont pas abandonné leurs responsabilités. C’est ce que signifie mener à bien son devoir dans la plus grande mesure possible. Qu’est-ce que Je veux dire par là ? Est-ce que Je veux que vous témoigniez de Dieu et répandiez Son Évangile de la même façon ? Tu n’as pas forcément à faire cela, mais tu dois comprendre que c’est ta responsabilité, que si Dieu a besoin que tu le fasses, tu dois l’accepter comme quelque chose que tu es tenu par l’honneur de faire » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Prêcher l’Évangile est le devoir dont tous les croyants sont tenus de s’acquitter). Les paroles de Dieu ont touché mon cœur. Les disciples du Seigneur Jésus ont été livrés au martyre de toutes sortes de façons pour le Seigneur, leurs morts étaient un jugement sur cette génération malfaisante, et ils ont témoigné de Dieu au prix de leur propre vie. C’est la plus grande humiliation pour Satan, et c’est ce que signifie être un véritable être créé. Ils se sont acquittés de la responsabilité des êtres créés, en mourant pour témoigner de Dieu, et bien que leurs corps soient morts, leurs âmes sont retournées vers la présence de Dieu. Ceux qui souhaitent sauver leur propre peau et craignent la mort, même s’ils vivent, sont comme des cadavres ambulants. Comme le Seigneur Jésus a dit : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera » (Matthieu 16:25). Chaque fois que je repensais au fait que j’avais trahi Dieu pour me protéger quand j’avais été confrontée à la menace de mort, mon cœur souffrait de culpabilité, et mon âme était tourmentée. Cette douleur était bien pire que la souffrance corporelle. Grâce à l’exposition des paroles de Dieu, j’ai gagné une certaine connaissance de la mort. J’ai pris conscience que la mort physique n’est pas effrayante, et que ce qui est vraiment terrifiant, c’est le tourment de l’âme. Après la mort, il y a une punition éternelle à endurer, et cette douleur est la vraie souffrance. Être battu à mort n’est qu’une souffrance momentanée, mais l’âme est sereine et apaisée. J’ai aussi compris que le destin d’une personne est entre les mains de Dieu, et que le grand dragon rouge ne peut pas décider de ma vie ou de ma mort. Le jour où ma mort viendra vraiment, ce sera la souveraineté et la prédestination de Dieu, et je devrais me soumettre à l’orchestration et aux arrangements de Dieu. Pouvoir mourir pour satisfaire Dieu est la chose la plus précieuse qui soit.
Une nuit de décembre 2023, j’ai reçu une lettre des dirigeants supérieurs, qui disait qu’ils rassemblaient des informations sur ceux qui avaient signé les « Trois Déclarations ». Quand j’ai vu la lettre, j’ai été frappée de stupeur, et j’ai pensé au fait que j’avais signé les « Trois Déclarations ». Surtout après avoir vu les paroles de Dieu, qui disaient : « Ceux qui signent les “Trois Déclarations” ne sont-ils pas ceux qui ont fait exploser la bombe et qui se sont réduits en miettes eux-mêmes ? » (La Parole, vol. 7 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). J’ai eu l’impression que c’était vraiment la fin pour moi, et que ma vie de foi était terminée. Je me sentais désespérée, en sachant que comme j’avais signé les « Trois Déclarations » et trahi Dieu, j’étais destinée à l’enfer et à la punition. J’avais le sentiment que peu importe comment la maison de Dieu me traiterait, ce serait justifié. Même si j’ai prié avec ferveur, disposée à me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, en acceptant même la mort comme étant méritée pour mon péché, mon cœur s’est effondré dans le désespoir. Cette nuit-là, je n’avais pas l’énergie d’aborder les problèmes dans mon travail, je n’avais absolument aucune force, et je n’ai pas dit un mot de toute la nuit. Au cours des quelques jours suivants, je ne pouvais ni manger ni dormir, et chaque fois que je pensais à ma transgression, j’avais l’impression de n’avoir aucune bonne issue. Je me sentais affligée, et je n’avais envie de rien faire. J’attendais juste que la maison de Dieu m’informe que j’avais été exclue. Dans ma douleur et mon désespoir, je me suis présentée devant Dieu en prière, en Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour comprendre Son intention.
Le lendemain, j’ai vu un passage des paroles de Dieu cité dans une vidéo de témoignage d’expérience : « La plupart des gens ont transgressé et se sont souillés à certains égards. Par exemple, certains ont résisté à Dieu et ont dit des choses blasphématoires. Certains ont rejeté la commission de Dieu, n’ont pas accompli leur devoir et ont été détestés et abandonnés par Dieu. Certains ont trahi Dieu lorsqu’ils étaient confrontés à des tentations. Certains ont trahi Dieu en signant les “trois affirmations” lorsqu’ils étaient en état d’arrestation. Certains ont volé des offrandes. Certains ont gaspillé des offrandes. Certains ont fréquemment perturbé la vie de l’Église et causé du tort au peuple élu de Dieu. Certains ont formé des cliques et traité rudement d’autres personnes, semant la pagaille dans l’Église. Certains ont souvent propagé des notions et la mort, faisant du mal aux frères et sœurs. Enfin, certains se sont livrés à la fornication et à la promiscuité et ont exercé une terrible influence. Qu’il suffise de dire que chacun a ses transgressions et ses souillures. Pourtant, certaines personnes sont capables d’accepter la vérité et de se repentir, tandis que d’autres ne le peuvent pas et mourraient plutôt que de se repentir. Les gens doivent donc être traités selon leur nature-essence et la constance de leur comportement. Ceux qui peuvent se repentir sont ceux qui croient vraiment en Dieu ; quant aux vrais impénitents, ceux qui devraient être exclus et expulsés seront exclus et expulsés. Certaines personnes sont malfaisantes, d’autres sont ignorantes ou stupides, et d’autres encore sont bestiales. Chacun est différent. Certaines personnes malfaisantes sont possédées par les esprits du mal, tandis que d’autres sont les laquais de Satan et des démons. Certains sont par nature particulièrement malintentionné, tandis que d’autres sont particulièrement malhonnêtes. Certains sont surtout cupides quand il s’agit d’argent, et d’autres prennent plaisir à la promiscuité sexuelle. Le comportement de chacun est différent, c’est pour cela que les gens doivent tous être appréhendés de façon globale conformément à leur nature et la constance de leur comportement. […] La façon dont Dieu traite chaque personne est fonction de la situation réelle des circonstances et de l’environnement de cette personne à ce moment-là, ainsi que de ses actions, son comportement, sa nature-essence. Dieu ne fera jamais de tort à personne. C’est là un aspect de la justice de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Alors que je méditais sur les paroles de Dieu, mon cœur a été ému par Son amour. La maison de Dieu traite les gens selon des principes, et le tempérament de Dieu a à la fois un côté de majesté et de colère, et un côté de bonté aimante et de miséricorde. Je ne devrais pas mal comprendre Dieu. J’avais signé les « Trois Déclarations » et commis le péché de blasphème, qui est impardonnable dans cette vie et dans le monde à venir. Après avoir trahi Dieu, mon cœur était sombre, et je m’étais vautrée dans le tourment de la douleur, en vivant comme un cadavre ambulant. C’était là une manifestation du tempérament juste de Dieu. Mais Dieu ne m’a pas abandonnée, et par Ses paroles, Il m’a éclairée et guidée, ce qui m’a permis de sortir de la négativité et de l’incompréhension. J’ai eu le sentiment que dans le tempérament juste de Dieu, il y a aussi la miséricorde et le salut de Dieu. Dieu décide de l’issue des gens en fonction des contextes de leurs actions, de leur nature-essence, et de leur comportement constant, ainsi que de s’ils se sont vraiment repentis ou non. Ainsi que de la question de leur véritable repentance, j’avais fait face au danger de mort, et dans un moment de faiblesse corporelle, j’avais trahi Dieu, et après, j’avais été remplie de regret et de culpabilité. La maison de Dieu a vu que j’avais une certaine compréhension de moi-même et du repentir, et elle m’a donné la chance de faire mon devoir. Depuis lors, j’ai continuellement fait de mon mieux pour mener à bien mon devoir. Par contraste, parmi ceux qui ont signé les « Trois Déclarations », ceux qui ont été exclus faisaient constamment mal leurs devoirs, et après avoir trahi Dieu, ils ne se sont pas vraiment repentis et n’ont pas non plus fait correctement leurs devoirs. De telles personnes sont celles que Dieu révèle et élimine. La parole de Dieu dit que ceux qui signent les « Trois Déclarations » sont réduits en miettes et commettent un péché mortel. Mais Dieu traite les gens en fonction de leur nature-essence et de leur repentance. Après avoir signé les « Trois Déclarations », j’ai ressenti un regret et des remords profonds dans mon cœur. Dieu a utilisé Ses paroles pour me juger et me châtier, en me permettant de comprendre la nature et les conséquences du fait de signer les « Trois Déclarations », de savoir que le tempérament juste de Dieu est intolérant à l’offense, de développer un cœur qui craint Dieu, et d’avoir un vrai repentir. Cela m’a permis de vivre pleinement ce que Dieu disait par les mots : « La miséricorde et la tolérance de Dieu ne sont pas rares – la vraie repentance de l’homme l’est » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II).
J’ai ensuite lu un autre passage des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Les gens croient en Dieu pour être bénis, récompensés, couronnés. Ce désir n’existe-t-il pas dans le cœur de chacun ? C’est un fait qu’il existe. Bien que les gens n’en parlent pas souvent, et qu’ils dissimulent même leur motivation et leur désir d’obtenir des bénédictions, ce désir et cette motivation, au plus profond du cœur des gens, ont toujours été inébranlables. Quels que soient leur compréhension de la théorie spirituelle, leurs connaissances par l’expérience, le devoir qu’ils peuvent accomplir, les souffrances qu’ils endurent ou le prix qu’ils paient, ils n’abandonnent jamais cette motivation d’obtenir des bénédictions qui est cachée au plus profond de leur cœur et ils triment toujours silencieusement à son service. N’est-ce pas la chose la plus profondément enfouie dans le cœur des gens ? Sans cette motivation qui vise à recevoir des bénédictions, comment vous sentiriez-vous ? Quelle serait votre attitude en accomplissant votre devoir et en suivant Dieu ? Qu’adviendrait-il des gens si cette motivation visant à recevoir des bénédictions, qui est cachée dans leur cœur, se trouvait éliminée ? Il est possible que beaucoup de gens deviennent négatifs, tandis que d’autres se montreraient démotivés dans leurs devoirs. Ils se désintéresseraient de leur croyance en Dieu, comme si leur âme avait disparu. Ils donneraient l’impression que leur cœur a été arraché. C’est pourquoi Je dis que la motivation qui vise les bénédictions est quelque chose de profondément caché dans le cœur des gens. Peut-être qu’en accomplissant leur devoir ou en vivant la vie de l’Église, ils sentent qu’ils sont capables d’abandonner leurs familles et de se dépenser avec joie pour Dieu, et peut-être qu’ils croient désormais avoir connaissance de leur motivation visant à recevoir des bénédictions, et avoir mis cette motivation de côté et ne plus être gouvernés ni contraints par elle. Ensuite, ils pensent ne plus avoir la motivation d’être bénis, mais Dieu croit le contraire. Les gens ne voient les choses que superficiellement. En l’absence d’épreuves, ils se sentent bien dans leur peau. Tant qu’ils ne quittent pas l’Église, qu’ils ne renient pas le nom de Dieu et qu’ils persistent à se dépenser pour Dieu, ils croient qu’ils ont changé. Ils ont l’impression que, dans l’accomplissement de leur devoir, ils ne sont plus guidés par un enthousiasme personnel ni par des élans momentanés. Au lieu de cela, ils croient qu’ils peuvent poursuivre la vérité et continuellement chercher et pratiquer la vérité tout en accomplissant leur devoir, afin que leurs tempéraments corrompus soient purifiés et qu’ils réalisent un véritable changement. Cependant, quand surviennent des événements qui sont directement liés à la destination et à la fin des gens, comment se comportent-ils ? La vérité est révélée dans son intégralité » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). Dieu exposait mon état exact. Au cours de ces années, je pensais avoir cessé de poursuivre les bénédictions, mais le désir de bénédictions était caché au fond de mon cœur, et sans la révélation des faits, je penserais encore que j’avais changé à cet égard. Tout au long de ces années, grâce à la miséricorde de Dieu, j’ai fait mes devoirs dans la maison de Dieu, alors je gardais encore un faux espoir, en pensant que Dieu m’avait peut-être pardonnée. J’ai souffert et payé un prix dans mes devoirs, en endurant la maladie pour persister dans mes devoirs, et donc je pensais être loyale envers Dieu. Mais quand j’ai vu que Dieu traite ceux qui signent les « Trois Déclarations » en les envoyant en enfer, j’ai été paralysée, et mes espoirs de bénédictions ont été complètement anéantis. J’ai perdu le désir de faire mes devoirs, et je ne voulais même pas m’occuper de mon travail. Face aux faits, j’ai vu que j’essayais encore de faire des transactions avec Dieu, et que si j’endurais la souffrance en faisant mon devoir, c’était juste pour des bénédictions. J’ai vu à quel point mon intention de gagner des bénédictions était profondément enracinée. J’ai remercié Dieu pour Sa révélation, qui m’a permis de me connaître moi-même et a aussi inspiré ma résolution de poursuivre la vérité. Après ça, j’ai décidé de me confier à Dieu, et je savais que peu importe comment Dieu me traiterait, ce que je devais faire, c’était me soumettre, rester ferme à mon dernier poste, et mener à bien les devoirs qui m’incombaient. J’ai prié : « Dieu, à la lumière de ce que j’ai fait, j’aurais dû être évincée depuis longtemps. Au cours de ces années, j’ai profité gratuitement de tant d’abreuvement et de provision de Tes paroles, et j’ai gagné pas mal de choses. Même si Tu m’expulses maintenant, je Te remercierai quand même. Dieu ! Je souhaite Te suivre pour toujours, et je ne désirerai plus aucune bénédiction. » J’ai pensé aux paroles de Dieu : « Je ne demande pas à recevoir des bénédictions ; tout ce que Je demande, c’est d’être capable de parcourir le chemin que Je dois parcourir conformément aux intentions de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le chemin… (6)). En méditant sur les paroles de Dieu, je n’ai pas pu m’empêcher de fondre en larmes. Mon cœur s’est rempli de gratitude envers Dieu, et j’ai eu le sentiment que mon esprit était libéré comme jamais auparavant.
Ayant abandonné le désir de bénédictions et voulant mener à bien mes devoirs, un jour, j’ai reçu une lettre des dirigeants supérieurs. Compte tenu du contexte de ma signature des « Trois Déclarations » et de mon accomplissement constant de mes devoirs dans ma foi, ils pouvaient me donner une opportunité de me repentir, et ils m’ont dit de faire mes devoirs l’esprit tranquille. Quand j’ai reçu la lettre, j’ai été profondément émue. J’ai eu le sentiment que le tempérament juste de Dieu envers les gens est l’amour et le salut. Peu importe ce que Dieu faisait, tout cela visait à réveiller mon cœur intransigeant et engourdi, pour que je puisse marcher sur le bon chemin de la poursuite de la vérité. À ce moment-là, mes incompréhensions vis-à-vis de Dieu ont été résolues, je détestais ma propre fourberie et mon manque de compréhension des intentions minutieuses de Dieu, et j’ai pris conscience de combien de Son sang et de Son cœur Il avait investi en moi. J’ai ensuite lu les paroles de Dieu : « Aujourd’hui, Dieu vous juge, vous châtie et vous condamne, mais tu dois savoir que le but de ta condamnation est de t’aider à te connaître toi-même. Il condamne, maudit, juge et châtie pour que tu puisses te connaître toi-même, afin que ton tempérament puisse changer et, en plus, pour que tu puisses connaître ta valeur et voir que toutes les actions de Dieu sont justes et conformes à Son tempérament et aux exigences de Son œuvre, qu’Il œuvre en accord avec Son plan de salut pour l’homme, et qu’Il est le Dieu juste qui aime, sauve, juge et châtie l’homme » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Tu devrais mettre de côté les bénédictions du statut et comprendre les intentions de Dieu d’apporter le salut à l’homme). J’avais lu ce passage de la parole de Dieu de nombreuses fois auparavant, mais je ne l’avais jamais véritablement compris. À ce moment là, grâce à mon expérience, j’ai pris conscience que ce que Dieu fait ne contient aucune haine envers les gens. Peu importe la façon dont Dieu œuvre, même si cela implique la condamnation ou la malédiction, c’est pour purifier les gens, pour les libérer des contraintes et de la servitude des tempéraments corrompus, et pour sauver les gens du pouvoir de Satan. Le tempérament juste de Dieu contient un grand salut pour les gens. Je suis disposée à passer ma vie à poursuivre la vérité et à m’efforcer de répondre aux exigences de Dieu. Peu importe mon issue, même si je ne peux que rendre service pour le Créateur, j’y suis disposée et j’en suis satisfaite. Dieu soit loué !