58. Ma maladie était une bénédiction de Dieu

Par Xiaojin, Chine

En avril 2017, je suis allé à l’hôpital pour un examen médical et j’ai découvert que j’avais l’hépatite B. Mon taux de transaminases était de 220 U/L, et mon hépatite B était active. L’Église a tenu compte de mon état et a pris des dispositions pour que je rentre chez moi me faire soigner. Pendant que je faisais mes bagages, je regardais les deux frères avec qui j’avais coopéré discuter et rire en parlant du travail. J’ai ressenti une grande désolation et j’ai pensé : « Maintenant que l’œuvre de Dieu touche à sa fin, c’est un moment critique pour nous de faire notre devoir et de préparer de bonnes actions. Mais moi, je rentre chez moi pour me rétablir. Si je reste à la maison pendant un an ou deux sans pouvoir faire les moindres devoirs comment pourrai-je préparer de bonnes actions ? Quand une catastrophe frappera, je serai certainement précipité dedans. Si je meurs, est-ce que ma foi en Dieu n’aura pas été vaine ? » J’ai aussi pensé au fait que j’avais quitté la maison pour faire mon devoir moins d’un an après avoir commencé à croire en Dieu. Quels que soient les devoirs que l’Église m’assignait, je n’étais jamais difficile et j’essayais toujours de les faire mieux. En particulier, au cours des six derniers mois, j’ai fait un devoir de montage. Je me levais souvent tôt et je me couchais tard. Je ne reculais jamais face aux difficultés et je travaillais dur pour apprendre les compétences professionnelles nécessaires. J’avais obtenu des résultats dans mes devoirs. J’avais été si enthousiaste et actif en faisant mon devoir, alors pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas protégé ? Pourquoi m’a-t-Il laissé contracter cette maladie ? Je ne comprenais vraiment pas. Levant la tête pour regarder les deux frères, je les enviais d’avoir une bonne santé et de pouvoir continuer à faire leur devoir ici. Moi, en revanche, j’étais sur le point de quitter l’endroit où je faisais mon devoir pour rentrer chez moi. Je sentais que mon avenir était extrêmement sombre, et j’étais extrêmement abattu, me sentant paralysé et faible de tout mon corps. Quand je pensais que c’était la dernière étape de l’œuvre de Dieu et la seule chance de salut pour l’humanité, et que j’avais eu la chance de vivre à cette époque, j’étais vraiment peu disposé à abandonner comme ça. Je pensais qu’il fallait que je me fasse soigner de toute urgence à mon retour et que je reprendrais mes devoirs dès que ma maladie serait guérie. Ainsi, je préparerais plus de bonnes actions et j’aurais un plus grand espoir d’être sauvé.

Après mon retour, j’ai entendu dire que la médecine chinoise était très efficace, et j’ai immédiatement demandé à mon père de m’apporter de la médecine chinoise. En même temps, j’ai aussi persisté à apprendre les techniques relatives au devoir que j’avais fait, en pensant qu’après la guérison de ma maladie, je pourrais repartir faire mon devoir. Le médecin m’a prescrit un mois de médicaments. Je les ai pris à l’heure, comme le médecin l’avait prescrit, en espérant que j’irais mieux rapidement. Un mois plus tard, je suis allé à l’hôpital pour un contrôle, rempli d’espoir. Après avoir reçu les résultats des analyses, j’ai constaté que mon taux de transaminases n’avait pas baissé du tout. Je ne pouvais tout simplement pas y croire et je me suis dit : « Pourtant, j’ai pris mes médicaments à l’heure tout au long de ce mois. Pourquoi mon état ne s’est-il pas du tout amélioré ? Pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas béni ? » Après un certain temps, vers le mois d’août, une sœur m’a parlé d’une plante appelée céleri sauvage, que certaines personnes utilisaient pour guérir l’hépatite B. J’étais très enthousiaste après avoir entendu ça. Même si la sœur a souligné à plusieurs reprises que cette plante était très toxique et pouvait être mortelle si elle n’était pas préparée correctement, je voulais quand même l’essayer. Je pensais que ça valait la peine de prendre des risques si ça pouvait guérir ma maladie. De façon inattendue, ça n’a eu absolument aucun effet, et je me sentais complètement malheureux. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi ça arrivait. Après ça, j’ai sombré dans la négativité. Je n’avais rien à dire dans mes prières, qui semblaient très sèches ; je mangeais et buvais moins les paroles de Dieu, je n’avais plus envie d’apprendre les techniques que j’avais persisté à étudier auparavant, et je manquais toujours de motivation.

Vers le mois de novembre, un frère m’a apporté une ordonnance, en disant qu’elle était spécifiquement destinée à traiter l’hépatite B. J’avais hâte de l’essayer, mais quand je me suis rappelé l’échec de mon dernier traitement au céleri sauvage, je me suis dit : « Est-ce parce que je me concentre uniquement sur les médicaments et que je prie rarement ? Pendant ce traitement, je dois prier Dieu davantage. Peut-être que lorsque Dieu verra mon cœur “sincère”, Il me bénira et guérira ma maladie. » J’ai rapidement pris l’ordonnance et suis allé chercher les médicaments. Même si les médicaments étaient amers, je les ai endurés et je les ai bus. Pendant cette période, j’ai prié Dieu de nombreuses fois, en Lui disant que je voulais repartir faire mon devoir et poursuivre sincèrement la vérité… J’espérais toucher le cœur de Dieu avec une attitude aussi « sincère », pour qu’Il me bénisse et que je me rétablisse de ma maladie. Un mois plus tard, quand je suis allé chercher les résultats des analyses, le médecin a dit : « Nous vous avons fait deux tests. Votre charge virale est très élevée. Votre taux de transaminases dépasse même les 1 200 ! » Je me suis dit : « Un taux de transaminases supérieur à 200 était déjà très grave au départ. Que peut bien signifier un taux supérieur à mille ? » Je suis resté là, figé, me souvenant que j’avais entendu quelqu’un dire que si l’hépatite B n’était pas correctement contrôlée, elle pouvait entraîner une cirrhose ou même un cancer du foie. Est-ce que j’allais aussi développer un cancer du foie ? Quand j’ai pensé ça, je me suis senti extrêmement effrayé et impuissant. J’ai pensé au fait que j’avais fréquemment prié Dieu de guérir ma maladie au cours du mois dernier, mais maintenant, non seulement mon état ne s’était pas amélioré, mais il avait même empiré. Ce n’était certainement pas une coïncidence si je m’étais heurté à un mur à plusieurs reprises. Pendant tout ce temps, je n’avais voulu que guérir, et je pensais que, parce que je voulais aller mieux pour faire mon devoir, c’était justifié. Cependant, je n’avais jamais réfléchi à si c’était conforme aux intentions de Dieu. J’ai commencé à penser : « L’intention de Dieu se trouve peut-être dans l’aggravation soudaine de mon état. Je ne peux pas continuer à être obstiné et impénitent. Je dois prier, chercher l’intention de Dieu et apprendre ma leçon. » Par conséquent, j’ai crié sincèrement à Dieu dans mon cœur : « Ô Dieu, l’aggravation de mon état a Ta permission. Même si je ne comprends toujours pas pourquoi ça arrive, je sais dans mon cœur que ce que je poursuis n’est absolument pas conforme à Ton intention. Puisses-Tu me conduire à saisir Ton intention et à ne pas me rebeller contre Toi. » J’étais assis, hébété, sur une marche de l’hôpital, invoquant continuellement Dieu dans mon cœur. Soudain, je me suis souvenu de ces paroles de Dieu que j’avais lues auparavant : « Tout ce que Dieu fait est nécessaire et possède une signification extraordinaire, car tout ce qu’Il fait en l’homme concerne Sa gestion et le salut de l’humanité. Naturellement, il en est de même pour l’œuvre que Dieu a faite en Job, même si celui-ci était parfait et droit à Ses yeux » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II). Dieu a autorisé Satan à dépouiller Job de tous ses biens et de ses enfants, et a permis que la maladie s’abatte sur lui. Job a tout perdu et sa chair a également enduré une douleur extrême. Du point de vue des gens du monde, ce qui est arrivé à Job n’était pas une bonne chose, mais une mauvaise chose. Cependant, Job craignait Dieu. Il ne se plaignait pas de Dieu et il s’est soumis. Après que Job eut fait l’expérience des épreuves, il a gagné une certaine compréhension de Dieu, et sa foi et sa crainte de Dieu ont été élevées ; Dieu lui est apparu personnellement. Quelle grande bénédiction ! Quand j’ai réfléchi à ça, j’ai pris conscience que peu importe la gravité de la maladie ou du malheur qui s’abat sur vous, ou la quantité de souffrance que vous devez endurer, si vous pouvez poursuivre la vérité et chercher l’intention de Dieu, vous finirez par y découvrir la vérité et en retirer des bénéfices. Les intentions de Dieu sont bonnes, et Il ne veut pas semer la pagaille. Ayant compris l’intention de Dieu, un sentiment chaleureux est monté du fond de mon cœur, et mon cœur impuissant et craintif a été réchauffé et s’est progressivement calmé. Je devais imiter Job, avoir une attitude de soumission et prier pour chercher l’intention de Dieu. Je croyais que Dieu me guiderait.

L’environnement de l’hôpital était trop bruyant, alors je me suis levé et suis allé dans les bois voisins. En marchant dans les bois, je n’ai pas pu m’empêcher de m’inquiéter à nouveau de mon état. J’ai pensé : « Ce mois-ci, mon taux de transaminases a grimpé à plus de 1 000. S’il continue à croître à ce rythme et que je développe un cancer du foie, ne sera-ce pas la fin pour moi ? Est-ce que Dieu va vraiment m’ôter la vie cette fois-ci ? » Quand j’ai pensé à la mort, j’ai inconsciemment résisté dans mon cœur, en me disant : « Pourquoi Dieu veut-Il que je meure ? Je suis encore jeune ! Est-ce que ma vie va vraiment se terminer alors qu’elle vient à peine de commencer ? Si je n’avais pas cru en Dieu, aurais-je été épargné par ce genre d’épreuve ? Aurais-je été épargné par cette maladie ? Même si je n’aurais pas pu être sauvé, au moins j’aurais pu vivre quelques années de plus ! » À cet instant, mon cœur a fait un bond. Je me suis dit : « Ne suis-je pas en train de me plaindre de Dieu ? » J’ai rapidement prié Dieu : « Ô Dieu, je ne veux pas me plaindre de Toi, mais mon cœur est constamment tourmenté par la pensée de la mort. Puisses-Tu me conduire à traiter cette affaire correctement. » Après avoir prié, je me suis souvenu d’une hymne que j’avais souvent chantée auparavant, intitulée « Un être créé devrait être à la merci de Dieu » :

1  Peu importe ce que Dieu te demande, il suffit que tu essaies de l’accomplir de toute ta force, et J’espère que tu seras capable de t’acquitter de ta loyauté envers Dieu face à Lui en ces derniers jours. Aussi longtemps que tu peux voir le sourire satisfait de Dieu alors qu’Il siège sur Son trône, même si c’est au moment convenu pour ta mort, tu devrais pouvoir rire et sourire quand tu fermeras les yeux. Tu dois, alors que tu es vivant, faire ton dernier devoir pour Dieu.

2  Dans le passé, Pierre a été crucifié la tête en bas pour Dieu ; cependant, tu devrais satisfaire Dieu dans ces derniers jours et épuiser toute ton énergie pour Lui. Que peut faire un être créé pour Dieu ? Tu devrais donc t’offrir à Dieu en avance, afin qu’Il t’orchestre comme bon Lui semble. Tant que Dieu est heureux et satisfait, alors laisse-Le faire ce qu’Il veut avec toi. Quel droit les hommes ont-ils de parler pour se plaindre ?

– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Interprétations des mystères des « paroles de Dieu à l’univers entier », Chapitre 41

Je fredonnais doucement cette hymne, et les larmes me vinrent aux yeux malgré moi. Dieu m’a fait la grâce de m’amener dans Sa maison. J’ai lu beaucoup de Ses paroles et compris quelques vérités. Je sais que les humains ont été créés par Dieu, comment l’humanité a été corrompue par Satan, comment Dieu l’a sauvée pas à pas, et comment Il purifie et transforme les gens dans les derniers jours. J’ai aussi fait l’expérience de l’éclairage et de la direction du Saint-Esprit en faisant mon devoir. J’avais tant reçu de Dieu, mais je ne Lui en étais pas du tout reconnaissant. Maintenant que mon état s’était aggravé, je me plaignais de Dieu et j’ai même pensé à regretter ma foi en Lui. N’était-ce pas trop déchirant pour Dieu ? N’était-ce pas une trahison ? Toute personne vivant dans ce monde tombera malade, et tant de gens qui ne croient pas en Dieu souffrent de maladies graves et de cancers. Et pourtant, je me plaignais encore, pensant que si je n’avais pas cru en Dieu, je n’aurais peut-être pas contracté cette maladie. Ne disais-je pas absolument n’importe quoi ? J’étais complètement déraisonnable ! Même si j’avais contracté cette maladie, j’ai prié Dieu, et Il m’a éclairé et guidé par Ses paroles, m’apportant réconfort et soutien. Avec Dieu comme soutien, je me sentais tellement plus heureux que les non-croyants. De plus, je suis un être créé. Dieu m’a créé, et même s’Il reprenait ma vie, je ne devrais pas me plaindre de Lui, et encore moins regretter d’avoir cru en Dieu. Je devrais me soumettre. J’ai alors fait une prière de soumission à Dieu, et je me suis senti très serein. Je ne m’inquiétais plus de savoir si j’allais mourir.

Lors d’une réunion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu, qui m’a permis d’acquérir une certaine compréhension de mon tempérament corrompu. Dieu dit : « Puisque les gens d’aujourd’hui ne possèdent pas la même humanité que Job, qu’en est-il de leur nature-essence, et de leur attitude envers Dieu ? Le craignent-ils ? S’éloignent-ils du mal ? Ceux qui ne craignent pas Dieu ou ne s’éloignent pas du mal ne peuvent être décrits que par quatre mots : les ennemis de Dieu. Vous les prononcez souvent, sans jamais avoir connu leur véritable signification. Les mots “les ennemis de Dieu” ont de la substance : ils ne disent pas que Dieu voit l’homme comme un ennemi, mais que l’homme voit Dieu comme un ennemi. D’abord, quand l’homme commence à croire en Dieu, lequel d’entre eux n’a pas ses buts, ses motivations et ses ambitions propres ? Même si une partie des hommes croient en l’existence de Dieu et l’ont vue, leur croyance en Lui comporte toujours ces motivations. Leur but ultime, par cette croyance, est de recevoir Ses bénédictions et les choses qu’ils veulent. Dans les expériences de vie des gens, ils se disent souvent : “J’ai abandonné ma famille et ma carrière pour Dieu, et que m’a-t-Il donné ? Je dois en faire l’addition pour le confirmer. Ai-je reçu des bénédictions récemment ? J’ai beaucoup donné pendant ce temps, j’ai couru et couru, et j’ai énormément souffert. Dieu m’a-t-Il fait des promesses en retour ? S’est-Il souvenu de mes bonnes actions ? Quelle sera ma fin ? Puis-je recevoir Ses bénédictions ?…” Chaque personne fait constamment de tels calculs intérieurement et adresse à Dieu des demandes, qui portent leurs motivations, leurs ambitions et une mentalité de marchandage. C’est-à-dire que, dans son cœur, l’homme teste constamment Dieu, concevant tout le temps des projets à Son sujet, plaidant sans cesse la cause de son issue personnelle devant Lui et essayant de Lui extraire une déclaration et de voir si Dieu peut lui donner ce qu’il veut. Alors qu’il poursuit Dieu, l’homme ne traite pas Dieu en tant que Dieu. Il a toujours essayé de transiger avec Dieu, en Lui imposant sans cesse des exigences, et en Le pressant même à chaque étape, essayant de prendre le bras quand on lui donne le petit doigt. En même temps qu’il essaie de marchander avec Dieu, l’homme se dispute aussi avec Lui. Il y a même des gens qui, lorsque les épreuves leur arrivent ou qu’ils se trouvent dans certaines situations, deviennent souvent faibles, négatifs, peu sérieux dans leur travail et n’ont que des doléances concernant Dieu. Dès qu’il a commencé à croire en Lui, l’homme L’a considéré comme une corne d’abondance, un couteau suisse, et il s’est vu comme Son plus grand créancier, comme si c’était son droit et son obligation inhérents d’essayer d’obtenir de Dieu des bénédictions et des promesses, tandis que protéger l’homme, prendre soin de lui et pourvoir à ses besoins étaient les responsabilités dont Dieu devait s’acquitter. Telle est la compréhension de base de la “croyance en Dieu” qu’ont ceux qui croient en Lui et telle est leur compréhension la plus approfondie de ce concept. De la nature-essence de l’homme à sa poursuite subjective, rien ne concerne la crainte de Dieu. Pour l’homme, le but de la croyance en Dieu ne pourrait absolument pas avoir le moindre rapport avec l’adoration de Dieu. C’est-à-dire que l’homme n’a jamais considéré ni compris que croire en Dieu exige de Le craindre et de L’adorer. Compte tenu de ces conditions, l’essence de l’homme est évidente. Et quelle est cette essence ? C’est que le cœur de l’homme est malintentionné, sinistre et fourbe, n’aime pas l’équité, la droiture ni ce qui est positif et il est méprisable et cupide. Le cœur de l’homme ne pourrait pas être plus fermé à Dieu. Il ne le Lui a pas donné du tout. Dieu n’a jamais vu le vrai cœur de l’homme et Il n’a jamais été adoré par l’homme non plus. Quel que soit le prix que Dieu paie, l’ampleur de Son œuvre ou l’importance de Son apport à l’homme, celui-ci reste aveugle et totalement indifférent. Il ne Lui a jamais donné son cœur, il veut seulement s’occuper lui-même de son cœur et prendre ses propres décisions. Cela sous-entend que l’homme ne veut pas suivre la voie de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal, ni se soumettre à Sa souveraineté et à Ses arrangements, ni non plus L’adorer comme Dieu. Tel est l’état de l’homme aujourd’hui » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II). Dieu a exposé les intentions et les méthodes des gens qui croient en Dieu pour essayer de conclure des marchés avec Lui. Dieu condamne ces personnes comme ayant une essence méprisable, cupide, perfide et fourbe. Le ton et le choix des mots de Dieu débordent de haine et de dégoût pour ce genre de personnes, et j’ai ressenti le tempérament juste et l’essence sainte de Dieu. Quand j’ai comparé leur façon de traiter Dieu à la mienne, j’ai vu que je L’avais traité de la même manière. Je me suis rappelé que lorsque j’ai appris que, dans les derniers jours, Dieu était venu œuvrer pour mettre fin à cette ère, et que ceux qui seraient sauvés par Dieu pourraient survivre et entrer dans le royaume pour jouir de bénédictions éternelles, j’ai désespérément voulu obtenir les bénédictions que Dieu donnerait à l’homme, alors j’ai résolument choisi de croire en Dieu. Après avoir commencé à croire en Dieu, j’ai poursuivi avec zèle et, en moins d’un an, j’ai commencé à faire mon devoir à plein temps. Je n’ai pas reculé devant mon devoir de montage malgré de nombreuses difficultés, et j’ai pris l’initiative d’étudier les compétences professionnelles, en y consacrant beaucoup d’efforts. Je pensais que, puisque j’étais si proactif dans l’exécution de mon devoir, Dieu devait m’aimer et m’approuver, et que j’aurais de bonnes chances d’être béni à l’avenir. Quand on m’a diagnostiqué une hépatite B active, je me suis plaint de Dieu dans mon cœur, et j’ai pensé que Dieu n’aurait pas dû me laisser tomber malade parce que j’étais si proactif dans l’exécution de mon devoir. Je pensais que si je rentrais chez moi pour me rétablir, je ne pourrais pas faire mon devoir et que je ne recevrais pas de bénédictions à l’avenir, alors je me sentais complètement malheureux. Après mon retour, j’ai essayé par tous les moyens de guérir ma maladie, et j’espérais que Dieu me bénirait pour que je me rétablisse de ma maladie le plus rapidement possible. Lorsque ma maladie n’était pas guérie après deux traitements, je me suis senti extrêmement angoissé et désespéré. Je ne voulais plus prier, manger et boire les paroles de Dieu, ni apprendre les techniques de montage, et je vivais dans la négativité. Plus tard, j’ai fait des prières hypocrites à Dieu, en disant que mes progrès dans la vie étaient lents parce que je ne faisais pas mon devoir. Mon non dit était en fait de demander à Dieu de m’ôter ma maladie pour que je puisse continuer à faire mon devoir. En réalité, je voulais sortir et faire mon devoir non pas pour satisfaire Dieu, mais pour ma propre destination future. J’avais peur que si je n’étais pas capable de faire mon devoir, je n’aurais pas une bonne destination, mais quand j’ai prié Dieu, j’ai dit que je voulais faire mon devoir pour poursuivre la vérité et Le satisfaire. N’étais-je pas en train d’essayer de tromper Dieu de manière flagrante ? J’ai vu que mon intention en croyant en Dieu et en faisant mon devoir était seulement d’obtenir de Lui des bénédictions et des avantages. Tout ce que j’essayais de faire, c’était de conclure des marchés avec Dieu et de Lui adresser des exigences, et je n’avais aucune sincérité. J’ai été créé par Dieu, et tout ce que j’ai vient de Dieu. Maintenant, j’ai eu la chance d’accepter le salut de Dieu, mais je n’avais aucune gratitude envers Lui. J’ai même essayé de conclure des marchés avec Dieu, de Le tromper et de L’utiliser. J’étais dénué de toute conscience et de toute raison. J’étais si méprisable ! Je n’avais aucune humanité ! Si ma croyance en Dieu était toujours entachée de tentatives de conclure des marchés avec Lui, Il ne m’approuverait jamais, peu importe combien de devoirs j’effectue. Parce que mon tempérament corrompu et intéressé n’avait pas changé du tout, j’étais encore une personne égoïste, vile, malveillante et fourbe. Comment pouvais-je être sauvé alors que j’étais comme ça ? J’ai pensé à la façon dont Paul avait consacré toute une vie à travailler pour le Seigneur, exécutant d’innombrables travaux. Cependant, il ne poursuivait pas du tout la vérité, et son tempérament corrompu n’a pas changé le moins du monde. Il a même utilisé son travail et sa dépense comme capital pour exiger ouvertement une couronne de Dieu, en disant : « La couronne de justice m’est réservée » (2 Timothée 4:8). L’implication était que Dieu serait injuste s’Il ne lui accordait pas de couronne. Paul a ouvertement vociféré contre Dieu, ce qui a offensé le tempérament de Dieu et lui a valu Sa malédiction et Sa punition. Quand j’ai réfléchi à ça, j’ai eu peur, et j’ai pris conscience de la gravité des conséquences qu’entraîne la recherche exclusive de bénédictions dans la foi en Dieu. Ce n’est qu’alors que j’ai compris que la bonne intention de Dieu se trouvait dans cette maladie. J’avais cru en Dieu pendant plusieurs années, mais je n’avais jamais poursuivi la vérité ; je n’avais fait que poursuivre des bénédictions et essayer de conclure des marchés avec Dieu. Dieu ne voulait pas que je continue sur le mauvais chemin et que je sois ruiné, et Il a donc utilisé la maladie pour m’arrêter dans mon élan, révélant mes intentions impures de poursuivre des bénédictions, me forçant à me calmer et à réfléchir profondément sur moi-même afin que je puisse inverser à temps ma perspective erronée derrière ma poursuite. Si je n’avais pas contracté cette maladie, je n’aurais tout simplement pas pu me comprendre du tout. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris l’intention minutieuse de Dieu, et tout à coup, mes incompréhensions et mes plaintes antérieures envers Dieu ont disparu. Au lieu de cela, mon cœur s’est rempli de gratitude envers Lui. Je me suis rendu compte qu’à l’avenir, je ne pourrais plus formuler d’exigences envers Dieu, que ma maladie soit guérie ou non. Au lieu de ça, je devais croire en Dieu correctement et me soumettre à Lui. Quelques jours plus tard, mon père m’a emmené à l’hôpital pour me faire soigner. J’ai prié Dieu : « Ô Dieu, je ne sais pas à quoi je vais être confronté en allant à l’hôpital aujourd’hui. Mais je crois que Tes bonnes intentions sont en toute chose. Peu importe mon état, je suis disposé à me soumettre à Toi. » Le médecin a été surpris quand il a vu les résultats de mes analyses, et il a dit que mon état était assez grave. Mon foie était endommagé et j’avais trop de virus de l’hépatite B, j’avais donc besoin d’un traitement urgent. Après avoir entendu ça, j’étais un peu inquiet, mais je me suis vite rendu compte que la guérison ou non de ma maladie était entre les mains de Dieu. Tout ce que j’avais à faire, c’était de l’accepter en laissant les choses suivre leur cours et de coopérer au traitement. Quant à ce qui se passerait à l’avenir, j’étais disposé à le confier à Dieu. Quand j’ai pensé ça, je me suis senti serein.

Plus tard, je me sentais souvent mal à l’aise, en me disant : « Je reste à la maison tous les jours et je ne peux pas faire mon devoir. Ne vais-je pas finir comme un déchet ? Dieu ne m’approuvera pas si je ne fais pas mon devoir. » J’ai prié Dieu, en cherchant comment vivre cette situation. Un jour, j’ai lu les paroles de Dieu : « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il reçoive des bénédictions ou subisse le malheur. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et il devrait l’accomplir sans chercher de récompenses, et sans conditions ni raisons. Cela seul peut être appelé accomplir son devoir. Recevoir des bénédictions fait référence aux bénédictions dont une personne profite quand elle est perfectionnée après avoir fait l’expérience du jugement. Subir le malheur fait référence à la punition qu’une personne reçoit quand son tempérament ne change pas après avoir traversé le châtiment et le jugement, c’est-à-dire quand elle n’est pas rendue parfaite. Mais qu’ils reçoivent des bénédictions ou subissent le malheur, les êtres créés doivent mener à bien leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins qu’une personne, une personne qui poursuit Dieu, puisse faire » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). « Dans ta foi en Dieu et dans ta poursuite de la vérité, si tu peux dire : “Peu importe la maladie ou l’événement déplaisant que Dieu laisse s’abattre sur moi, peu importe ce que fait Dieu, je dois me soumettre et rester à ma place en tant qu’être créé. Avant toute autre chose, je dois mettre en pratique cet aspect de la vérité, la soumission, je dois le mettre en œuvre et vivre la réalité de la soumission à Dieu. En outre, je ne dois pas laisser de côté la commission que Dieu m’a destinée ni le devoir que je dois accomplir. Je dois rester fidèle à mon devoir jusqu’à mon dernier souffle”, n’est-ce pas porter témoignage ? Quand tu fais montre de ce genre de résolution et d’état, peux-tu encore te plaindre de Dieu ? Non. En un tel moment, tu te diras : “C’est Dieu qui me donne ce souffle, Il a subvenu à mes besoins et m’a protégé durant toutes ces années, Il m’a épargné beaucoup de souffrances et m’a accordé beaucoup de grâce et beaucoup de vérités. J’ai compris des vérités et des mystères que les gens ne comprenaient pas depuis des générations. J’ai tant obtenu de Dieu, je dois donc le Lui rendre ! Avant, ma stature était trop petite, je ne comprenais rien, et tout ce que je faisais était blessant pour Dieu. Je risque de ne pas avoir d’autres possibilités de le Lui rendre à l’avenir. Quel que soit le temps qu’il me reste à vivre, je dois offrir le peu de forces que j’ai encore et faire ce que je peux pour Dieu, afin qu’Il puisse voir que le soutien qu’Il m’a apporté toutes ces années n’a pas été vain mais a porté ses fruits. Il faut que je Le réconforte et que je cesse de Le blesser et de Le décevoir.” Pourquoi ne pas penser ainsi ? Ne te soucie pas de te sauver ou d’y échapper en te disant : “Quand vais-je guérir de cette maladie ? Quand je serai guéri, je ferai de mon mieux pour accomplir mon devoir et être loyal. Comment puis-je être loyal quand je suis malade ? Comment puis-je accomplir le devoir d’un être créé ?” Tant que tu respires, n’es-tu pas capable d’accomplir ton devoir ? Tant que tu respires, es-tu capable de ne pas faire honte à Dieu ? Tant que tu respires, tant que ton esprit est lucide, es-tu capable de ne pas te plaindre de Dieu ? (Oui.) » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seules la lecture fréquente des paroles de Dieu et la contemplation de la vérité permettent d’avancer). Après avoir lu les paroles de Dieu, mon cœur s’est éclairé, et j’ai compris que notre devoir n’a rien à voir avec le fait que l’on soit béni ou que l’on souffre du malheur. Faire notre devoir est notre responsabilité et notre mission en tant qu’êtres créés ; c’est simplement ce que nous devons faire. Dans mes conceptions, j’avais cru que tant que je ferais plus de devoirs, je finirais par recevoir des bénédictions de Dieu. Je pensais que c’était comme quand les non-croyants travaillent pour leur patron : plus ils en font, plus ils sont payés. En fait, Dieu n’a jamais dit que tant que nous ferons nos devoirs et que nous en ferons plus, Il nous approuvera et nous bénira. Mon point de vue était entièrement fondé sur mes propres notions et mon imagination, et n’était pas du tout conforme à la vérité. Faire notre devoir est un moyen pour nous de poursuivre la vérité et d’être sauvés dans notre foi en Dieu. Si nous faisons notre devoir, mais ne poursuivons pas la vérité, si nous prenons le mauvais chemin, et qu’il n’y a aucun changement dans nos tempéraments corrompus, alors, peu importe le nombre de devoirs que nous ferons, Dieu ne nous approuvera jamais. Par exemple, je croyais en Dieu depuis plusieurs années maintenant, et j’avais accompli mon devoir dans l’Église pendant tout ce temps. Cependant, je ne me suis pas du tout concentré sur le fait de manger et de boire les paroles de Dieu pour résoudre mon tempérament corrompu. Mon intention en faisant mon devoir a toujours été de recevoir des bénédictions de Dieu, et mon tempérament corrompu, égoïste et cupide, n’avait pas du tout changé. Quand la maladie s’est abattue sur moi et a menacé ma vie, je n’ai pu m’empêcher de râler et de me plaindre de Dieu. N’était-ce pas là se rebeller contre Dieu et Lui résister ? Si je ne poursuivais toujours pas la vérité, alors finalement mon tempérament ne changerait pas, je ne montrerais aucune véritable soumission à Dieu ni aucune crainte envers Lui et je ne porterais aucun témoignage. Dans ce cas, peu importe les efforts que je déploierais ou le nombre de devoirs que je ferais, tout serait vain et je ne pourrais pas être sauvé. J’ai pensé à Job. À son époque, Dieu n’œuvrait pas beaucoup, et Il ne confiait pas non plus grand-chose à l’homme. La vie de Job consistait principalement à garder des troupeaux, mais il y avait une place pour Dieu dans son cœur ; il avait un cœur qui craignait Dieu. Dans sa vie, il cherchait l’intention de Dieu à chaque instant et ne faisait jamais rien qui puisse offenser Dieu. Même quand des épreuves s’abattirent sur lui et qu’il perdit ses biens et ses enfants, et même quand son corps fut couvert de furoncles d’une douleur insupportable, il ne s’est jamais plaint de Dieu. Il était encore capable de se soumettre à Dieu et de louer Son nom. La vie concrète de Job est devenue un témoignage de la victoire de Dieu sur Satan, et il a reçu l’approbation de Dieu. J’avais toujours peur de ne plus pouvoir faire de devoirs et d’être éliminé. C’était ma notion. En y réfléchissant, les devoirs que je pouvais faire étaient limités à cause de ma maladie. Dieu avait pleinement conscience de ma situation. Par exemple, certains frères et sœurs ne peuvent pas faire leurs devoirs parce qu’ils sont en prison, mais Dieu n’a jamais dit qu’Il ne les approuvait pas. Dieu n’évalue pas les gens en fonction du nombre de devoirs qu’ils accomplissent ; au lieu de cela, Il regarde le chemin qu’ils empruntent et si leurs tempéraments corrompus changent. Maintenant, l’environnement que Dieu avait arrangé était que je fasse l’expérience de Son œuvre à la maison, et je devais accepter et me soumettre, en me concentrant sur le fait de manger et de boire les paroles de Dieu et de poursuivre la vérité. C’est ce que je devais faire. J’ai lu ce passage particulier des paroles de Dieu : « Ne te soucie pas de te sauver ou d’y échapper en te disant : “Quand vais-je guérir de cette maladie ? Quand je serai guéri, je ferai de mon mieux pour accomplir mon devoir et être loyal. Comment puis-je être loyal quand je suis malade ? Comment puis-je accomplir le devoir d’un être créé ?” Tant que tu respires, n’es-tu pas capable d’accomplir ton devoir ? Tant que tu respires, es-tu capable de ne pas faire honte à Dieu ? Tant que tu respires, tant que ton esprit est lucide, es-tu capable de ne pas te plaindre de Dieu ? » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seules la lecture fréquente des paroles de Dieu et la contemplation de la vérité permettent d’avancer). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que lorsque Dieu exige que nous fassions notre devoir, cela se réfère au fait de pratiquer la vérité et de Lui porter témoignage. Il ne veut pas que les gens triment pour Lui. Même si je ne guéris jamais de ma maladie et que je ne peux plus jamais sortir pour faire mon devoir, si je peux renoncer à mon intention d’obtenir des bénédictions, cesser d’essayer de conclure des marchés avec Dieu, et me soumettre volontiers à Lui, que je reçoive des bénédictions ou des malheurs, c’est aussi là un devoir que je dois faire devant Dieu. Peu importe comment ma maladie évoluera à l’avenir, si je pourrai ou non ressortir et faire à nouveau mon devoir, ou quel genre d’environnement Dieu arrange pour moi, je dois continuer à croire sincèrement en Dieu et poursuivre la vérité. Quand j’ai compris cela, mon cœur s’est vraiment éclairé, et je ne me suis plus inquiété de savoir si j’allais guérir de ma maladie. J’éprouvais du soulagement et la légèreté de l’être débarrassé de lourdes chaînes.

Après cela, je me suis fait un programme chaque jour. Je faisais mes dévotions, je mangeais et buvais les paroles de Dieu, je chantais des hymnes et j’apprenais les techniques de montage, menant une vie très épanouissante. Plus tard, je me suis aussi exercé à écrire des sermons pour prêcher l’Évangile. Sans m’en rendre compte, j’avais oublié ma maladie, et parfois, j’oubliais même de prendre mes médicaments en me levant le matin. Bientôt, un mois s’est écoulé, et c’était l’heure d’un nouveau contrôle. Je n’étais plus nerveux, et je n’espérais plus que ma maladie soit guérie ; je savais qu’il y avait des leçons à apprendre, qu’elle soit guérie ou non. J’ai prié Dieu en silence et j’ai passé l’examen calmement. Quand je suis allé chercher les résultats des analyses, j’ai vu que mon taux de transaminases était tombé à 34 U/L ! J’avais peur de l’avoir mal lu, alors je l’ai relu attentivement. C’était vraiment 34 U/L ! Ma fonction hépatique était revenue à la normale, et mon taux de virus de l’hépatite B était également redescendu dans la plage normale. Même en sortant de l’hôpital, je n’arrivais pas à y croire ; c’était comme un rêve. Ce mois-ci était celui où j’avais pris mes médicaments avec le moins de régularité. Parfois, j’avais même oublié de prendre mes médicaments pendant deux jours de suite, mais ma maladie avait guéri sans même que je m’en aperçoive. J’ai senti dans mon cœur que c’était l’œuvre de Dieu ! Je me suis souvenu des paroles de Dieu : « Le cœur et l’esprit de l’homme sont à la portée de Dieu, et tout dans sa vie est contemplé par les yeux de Dieu. Peu importe que tu croies ou non à tout cela, toutes les choses, qu’elles soient vivantes ou mortes, pivoteront, changeront, se renouvelleront et disparaîtront conformément aux pensées de Dieu. Voilà comment Dieu exerce Sa souveraineté sur toutes choses » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu est la source de la vie de l’homme). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu exerce Sa souveraineté sur toutes choses, qu’elles soient vivantes ou mortes, et qu’elles changent toutes conformément aux pensées de Dieu. Elles ne sont affectées par aucun autre facteur. Voilà l’autorité de Dieu. Prenez ma maladie, par exemple. Quand je vivais dans un état incorrect, peu importe comment je traitais ma maladie, elle ne faisait qu’empirer, sans jamais s’améliorer. Cependant, quand j’ai gagné une certaine compréhension de moi-même et que mon état s’est quelque peu inversé, je me suis rétabli rapidement, même si je prenais mes médicaments de façon irrégulière. J’ai senti que Dieu est si tout-puissant, et que Ses actes sont si miraculeux ! J’ai loué Dieu du fond du cœur. Cette maladie avait persisté pendant près d’un an, et j’ai beaucoup souffert pendant cette période. Cependant, grâce à cette expérience, j’ai gagné une certaine compréhension de l’autorité de Dieu et ma foi en Dieu s’est accrue, alors j’ai senti que contracter cette maladie en valait la peine !

À travers cette maladie, j’ai compris mes propres intentions impures de rechercher des bénédictions, et j’ai aussi vu clairement mon propre côté hideux : j’étais égoïste et vil. J’ai vu que tout ce que Dieu faisait était pour me purifier, pour me conduire sur le bon chemin de la foi en Dieu, et pour me faire vivre avec humanité et raison. Si je n’avais pas été modéré par cette maladie, je n’aurais pas compris les impuretés de ma foi en Dieu ; et encore moins aurais-je compris ce que signifie vraiment faire son devoir en tant qu’être créé. C’est à travers cette maladie que Dieu, juste à temps, m’a sauvé et a marqué un tournant dans ma foi en Lui. J’ai finalement fait l’expérience que cette maladie qui s’abattait sur moi était en fait la bénédiction de Dieu qui s’abattait sur moi. Je remercie Dieu du fond du cœur !

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