Comment poursuivre la vérité (5)
Certaines personnes ont-elles entendu des rumeurs négatives récemment ? (Oui.) Quelle a été votre réaction lorsque vous avez entendu ces rumeurs ? Avez-vous eu peur ? Cela a-t-il éveillé votre curiosité ? Voulez-vous savoir de quoi parlent ces rumeurs ? (Nous ne voulons pas le savoir, parce que nous savons déjà que le grand dragon rouge invente souvent des rumeurs de toutes pièces. Peu importe ce qu’il dit, c’est faux. Par conséquent, les détails de ces rumeurs ne nous intéressent pas et nous ne voulons pas chercher à comprendre les paroles diaboliques qu’il prononce.) Le grand dragon rouge fabrique toutes sortes de rumeurs pour tromper les gens et les corrompre, et nombreux sont ceux qui, après avoir entendu ces rumeurs, sont induits en erreur. Certaines personnes prennent peur et n’osent pas accepter le vrai chemin. Certaines qui l’ont accepté se mettent aussi à douter et ne veulent plus croire en Dieu. Ces personnes, avant d’entendre les rumeurs du grand dragon rouge, semblaient avoir foi en Dieu sans aucun doute et étaient disposées à suivre Dieu et à faire leur devoir. Mais après avoir entendu ces rumeurs, elles se mettent immédiatement à douter et n’ont plus le cœur de suivre Dieu et de faire leur devoir. En particulier, certaines de celles qui sont arrêtées par le grand dragon rouge, sous la contrainte de ses tortures cruelles, cèdent et renient le nom de Dieu, et certaines d’entre elles signent les « Trois Déclarations » et sont même forcées d’insulter Dieu verbalement. Il y a pas mal de personnes comme ça. Vous avez tous entendu beaucoup de rumeurs et de propagande négative et vous avez vu également qu’après avoir arrêté des croyants en Dieu, le grand dragon rouge leur faisait subir un lavage de cerveau. De nombreuses personnes ont effectivement été induites en erreur. De plus, le grand dragon rouge utilise aussi ceux qui trahissent Dieu pour qu’ils lui rendent service, en leur faisant surveiller l’Église et suivre et filer les croyants en Dieu. Afin d’éradiquer la croyance religieuse et d’éliminer l’Église de Dieu, le grand dragon rouge traite la répression et l’arrestation du peuple élu de Dieu comme un travail national important, comme une mission politique, qu’il mène avec une grande rigueur et de grands efforts. Cela fait que de nombreux croyants en Dieu ont peur, si bien qu’ils n’osent pas croire en Dieu ou faire leur devoir. Surtout après avoir entendu les rumeurs fabriquées par le grand dragon rouge, beaucoup de gens sont induits en erreur. Quant à ces rumeurs, la maison de Dieu les a résumées et discernées depuis longtemps, il n’est donc pas nécessaire d’en discuter ici. Si tu te retrouves vraiment confronté à une arrestation, et que le grand dragon rouge utilise ces rumeurs pour essayer de te faire subir un lavage de cerveau, qu’il te force à prendre position et à signer les « Trois Déclarations », que dois-tu faire ? Vous savez maintenant que les rumeurs fabriquées par le grand dragon rouge sont toutes fausses, qu’elles induisent les gens en erreur et qu’elles sont mensongères. Bien que votre attitude soit de ne pas les écouter, de ne pas les examiner et de ne pas y croire, si ces rumeurs t’étaient présentées et si, de ce fait, tu les entendais, tu les voyais et tu pensais même qu’elles sont factuelles, serais-tu influencé ? Que penserais-tu dans ton cœur ? Voudrais-tu connaître la vérité sur les faits ? Voudrais-tu les vérifier ? Quant au fait que le grand dragon rouge fabrique des rumeurs pour induire les gens en erreur et les intimider, ou qu’il utilise des rumeurs et l’athéisme pour faire subir un lavage de cerveau aux gens et mener un travail idéologique, devons-nous échanger sur la vérité pour vacciner les gens ? Est-ce un aspect du travail nécessaire ? Certaines personnes disent : « Le grand dragon rouge fabrique des rumeurs à notre sujet depuis tant d’années, et en particulier des rumeurs sur Christ, sur l’homme utilisé par le Saint-Esprit, et sur l’Église et le travail de l’Église. Nous ne les avons jamais clarifiées, nous ne nous sommes jamais manifestés pour clarifier notre attitude ou notre point de vue, nous n’avons jamais présenté de défense – est-ce approprié ? » Certaines personnes, depuis qu’elles ont commencé à croire en Dieu jusqu’à maintenant, n’ont jamais été capables de discerner clairement les diverses rumeurs du grand dragon rouge et du monde religieux. Dans leur cœur, elles se sont toujours interrogées à ce sujet. Ces interrogations ne signifient ni une incrédulité totale, ni une croyance totale. Elles signifient plutôt que ces personnes adoptent une position intermédiaire pour considérer ces questions, pensant que ces choses pourraient toutes être des rumeurs fabriquées par le grand dragon rouge, ou qu’elles pourraient être des faits. Ce « pourraient être » reflète-t-il une perspective de recherche de la vérité ? (Non.) Il s’agit d’une perspective qui consiste à croire que les rumeurs doivent être vérifiées et confirmées, ou d’une perspective d’attente et d’observation, en attendant que des personnes informées dévoilent certaines circonstances réelles. Dites-Moi, le fait que des gens aient l’une ou l’autre de ces deux perspectives aura quelles conséquences, selon vous ? De telles personnes sont-elles en danger ? Laquelle de ces deux perspectives peut permettre aux gens de rester fermes ? (Aucune de ces deux perspectives ne peut permettre aux gens de rester fermes. Si quelqu’un a cette pensée du « pourraient être », cela montre qu’il n’est toujours pas certain du vrai chemin et qu’il a encore une part de scepticisme en lui. Dans ce cas, les rumeurs deviennent une grande tentation pour lui. Si les gens ne peuvent pas être certains du vrai chemin, s’ils ne peuvent pas croire en la vérité et qu’ils ne peuvent pas percer à jour l’essence du grand dragon rouge, ils sont en fait en grand danger.) Ces gens, à ce jour, ne sont toujours pas certains du vrai chemin. Quelle est leur essence ? (Par essence, ce sont des incrédules.) Ce sont des incrédules. Y a-t-il beaucoup de gens qui adoptent l’une ou l’autre de ces deux perspectives ? Assurément, il y en a beaucoup. Quand ces gens entendent des rumeurs, ils se mettent à douter de Dieu dans leur cœur et veulent aller au fond des choses en ce qui concerne ces rumeurs, pour déterminer si elles sont vraies ou fausses. Cependant, parce qu’ils ne savent pas comment chercher la vérité pour résoudre ce problème, en fin de compte, ils le laissent simplement en suspens. En fait, ce problème existe encore dans leur cœur et il n’est pas résolu. Quand vous entendez ces rumeurs, cherchez-vous la vérité ? Cherchez-vous la vérité pour disséquer et discerner ces rumeurs, ou examinez-vous les rumeurs une par une pour distinguer si elles sont correctes ou incorrectes, et voir si elles sont réellement vraies ou fausses ? Après avoir entendu ces rumeurs, vous pensez seulement dans votre cœur qu’elles ne sont pas vraies, que c’est purement le grand dragon rouge qui fabrique des rumeurs et mène une campagne de dénigrement, mais vous ne les réfutez pas sur la base de la vérité et des faits, et en réalité, vous avez encore certains doutes dans votre cœur et utilisez simplement ces déclarations doctrinales pour résoudre vos doutes. Penser ainsi peut-il vous permettre de rester fermes ? Est-ce là chercher la vérité ? Est-ce que cela montre que vous comprenez la vérité et que vous avez gagné la vérité ? Le problème a-t-il été résolu à sa racine ? (Non.) Alors, voulez-vous utiliser la vérité pour résoudre ce problème, afin de pouvoir discerner ces rumeurs, afin de ne pas être induits en erreur, de n’avoir absolument aucune question dans votre cœur et d’éliminer complètement vos doutes, vos soupçons et votre méfiance à Mon égard ? Certaines personnes pensent : « Depuis que nous avons commencé à croire en Dieu jusqu’à maintenant, nous avons écouté Tes sermons et nous avons accepté Ton abreuvement et Ta direction, et nous avons fait quelques gains et progrès. Mais nous n’avons pas réellement vécu avec Toi ni eu de contact réel avec Toi en tant que personne. Donc, nous sommes complètement dans l’ignorance et ne savons rien quant au genre de personne que Tu es, quant à quoi ressemblent Ta personnalité et Ton caractère, et quant au genre de vie que Tu mènes. » Autrement dit, en ce qui concerne les diverses manifestations et révélations de l’humanité de cette chair, ainsi que Ma vie, et Mon attitude et Mes manifestations spécifiques dans mes rapports avec les personnes et les situations, les gens se sont toujours interrogés sur ces choses et ils ont toujours nourri des doutes à leur sujet. D’une part, le fait que les gens nourrissent ces doutes vient du fait qu’ils ne sont pas eux-mêmes certains à cent pour cent de l’incarnation de Dieu, et d’autre part, cela vient du fait qu’ils sont influencés par les rumeurs du monde religieux ou du grand dragon rouge parce que leur compréhension de la vérité est trop superficielle. Par conséquent, vous spéculez beaucoup à Mon sujet. Bien sûr, le contenu de ces spéculations n’est certainement pas positif ou approprié ; il contient certainement des aspects sombres et négatifs. Nourrir ces spéculations est-il une bonne ou une mauvaise chose pour vous ? Est-ce une charge, une servitude ou un élan ? Qu’en pensez-vous ? (Si les gens ont ces spéculations négatives dans leur cœur, ce n’est pas une bonne chose, mais une charge. Cela les amènera à se méfier de Dieu, cela n’aidera en rien leur croyance en Dieu.) Quel impact ces choses négatives ont-elles sur vous ? Quelles conséquences causeront-elles ? Dans certains environnements, ces choses sont-elles dangereuses pour toi ? (Oui.) Puisque ces choses sont une charge et non une bonne chose pour toi, devrais-tu utiliser la vérité pour les résoudre ? Ou devrais-tu les mettre de côté, ne pas t’en soucier, et ne pas y penser, en attendant qu’un problème se pose réellement pour t’en occuper ? Quelle est votre attitude ? (Quand j’ai entendu des rumeurs, je les ai effectivement mises de côté et je ne m’en suis pas soucié. Mais à l’instant, grâce à l’échange de Dieu, je me suis rendu compte que lorsque ces problèmes surviennent, ils doivent être résolus avec la vérité. Sinon, on ne peut pas déposer cette charge dans son cœur, et dans certaines situations, cela peut avoir des conséquences néfastes, et même mener au scepticisme envers Dieu et au reniement de Dieu, ce qui est très dangereux.) Bien que vous disiez tout haut que ce sont des rumeurs, si tu ne discernes jamais vraiment ces rumeurs ou si tu n’as pas la bonne attitude à leur égard, et que tu portes toujours ces choses négatives dans ton cœur, alors tu seras souvent contraint par elles. Ces rumeurs seront pour toi une bombe à retardement, prête à exploser à tout moment et en tout lieu. Les conséquences en seront sans aucun doute inimaginables, et tu seras réduit en miettes. Ceux qui signent les « Trois Déclarations » ne sont-ils pas ceux qui ont fait exploser la bombe et qui se sont réduits en miettes eux-mêmes ? Après qu’ils ont signé les « Trois Déclarations », le grand dragon rouge ne les lâche toujours pas. Il exige qu’ils disent verbalement quelques paroles qui insultent Dieu, et c’est seulement alors que l’affaire peut être considérée comme réglée. Bien qu’ils soient réticents dans leur cœur, ils se disent qu’ils n’ont pas le choix, et capitulent devant Satan pour éviter l’emprisonnement. Après avoir verbalement insulté Dieu, ils pensent que leur espoir de recevoir des bénédictions a disparu, que c’est complètement fini pour eux. Ils n’ont plus besoin de se demander si ces rumeurs sont vraies ou fausses, et les inquiétudes, les préoccupations, la timidité et la peur qu’ils ont portées pendant de nombreuses années de croyance en Dieu disparaissent complètement. En même temps, leur espoir de salut est également anéanti. Dites-Moi, même si les gens sont sceptiques à l’égard de Dieu incarné ou de ce courant, devraient-ils insulter Dieu ? (Non.) Quand le grand dragon rouge te dit d’insulter Dieu, pourquoi lui obéis-tu ? Peu importe de qui il s’agit, même si l’on renie le vrai chemin, si l’on renie ce courant, on ne devrait toujours pas insulter Dieu. Quel genre de personnes sont celles qui insultent Dieu ? (Les personnes qui peuvent insulter Dieu sont celles qui ont une humanité malfaisante et aussi celles qui ont une haine particulière pour la vérité et qui se soumettent à l’influence de Satan.) Dites-Moi, si les gens croyaient vraiment dans leur cœur que Dieu existe, s’ils croyaient que Dieu est le Créateur, que l’humanité a été créée par Dieu, que la vie humaine est accordée par Dieu, et que Dieu est souverain sur toutes choses, insulteraient-ils Dieu ? (Non.) Jamais ils ne le feraient. Quelles que soient les circonstances, ils n’insulteraient pas Dieu. Même s’ils sont sceptiques à l’égard du nom de Dieu Tout-Puissant ou de ce courant qui est l’œuvre de Dieu Tout-Puissant, ils n’insulteraient absolument jamais Dieu. Donc, le genre de personne qui peut insulter Dieu non seulement renie ce courant et renie Dieu Tout-Puissant incarné, mais elle renie aussi l’œuvre de Dieu et la vérité exprimée par Dieu. À quelle catégorie les gens de ce type appartiennent-ils, alors ? (Ce sont des démons ; ce sont des gens qui renient Dieu dans leur cœur.) Les gens de ce type font partie de la bande de Satan et des démons. Ils ne sont pas le peuple élu de Dieu, ils ne sont pas les brebis de Dieu : ils sont non-humains. Certaines personnes, après avoir été arrêtées par le grand dragon rouge, parce qu’elles ne comprennent pas la vérité et n’ont pas de discernement, se mettent à douter quand elles entendent des rumeurs. Elles se mettent à douter de Dieu incarné, et sous les menaces, les incitations et la contrainte de tortures cruelles, elles renient le nom de Dieu, elles renient ce courant qui est l’œuvre du Saint-Esprit, et renient l’Église. Cela revient déjà à trahir Dieu. Mais certaines personnes peuvent même insulter Dieu : c’est un manque total de conscience et de raison, c’est impardonnable, et c’est commettre un péché impardonnable. Quand tu insultes les gens, ou que tu les attaques, que tu les juges ou les diffames, en termes juridiques, cela serait tout au plus défini comme un délit de diffamation ou, dans les cas les plus graves, comme une attaque personnelle. Ce n’est pas vraiment grave et n’entraîne pas la mort. Cependant, lorsque quelqu’un peut insulter Dieu, la nature du problème change. Ce n’est plus simplement insulter Dieu, c’est blasphémer contre Dieu ! Que signifie blasphémer ? Cela signifie attaquer, diffamer, insulter ou calomnier directement les choses positives, la vérité ou Dieu – tout cela constitue un blasphème. Dieu est saint, Dieu est suprême, Dieu est souverain sur toute l’humanité, Dieu est Celui qui donne vie à l’humanité, et Dieu est la source de la vie humaine. L’essence, l’identité et le statut de Dieu sont suprêmes. Dieu est parfait, bon et saint, Il est sans défaut et irréprochable. C’est précisément parce que Dieu est saint, parfait et suprême, et parce que Dieu est la source qui donne vie à l’humanité, que toute calomnie, attaque ou insulte dirigée contre Dieu par l’humanité créée constitue un blasphème. Vous devriez comprendre ce qu’est le « blasphème » maintenant, n’est-ce pas ? (Toute attaque, insulte ou calomnie dirigée contre Dieu constitue un blasphème.) S’il faut expliquer le mot « blasphème », cela signifie la calomnie, le jugement ou la condamnation des choses positives, et il s’agit surtout de la calomnie, du jugement ou de la condamnation de la vérité ou de Dieu. Voilà ce qu’on appelle le blasphème. Par conséquent, le mot « blasphème » ne peut être utilisé que pour décrire la calomnie, les insultes, les attaques ou le jugement de l’humanité envers Dieu – c’est relativement approprié. Quand les gens jugent, insultent, attaquent ou condamnent d’autres personnes, si cela ne s’aligne pas sur les faits, c’est, tout au plus, de la diffamation. Si cela s’aligne sur les faits, alors cela ne constitue pas de la diffamation. Cependant, le jugement et la condamnation de Dieu par les gens sont une déformation des faits et une transformation de la vérité en mensonge, cela constitue un blasphème. Quelle est la nature des gens qui osent condamner Dieu ? Dieu commet-Il des péchés ? (Non.) Dieu est saint, Dieu est sans péché, donc toute calomnie, attaque, jugement ou insulte dirigé contre Dieu est appelé blasphème. Ceux qui insultent Dieu pensent : « Tant que je dis quelques paroles qui insultent dieu, je peux être libéré et échapper au danger. Étant donné les circonstances, dieu ne s’en souviendra pas. » D’un point de vue humain, ce ne sont que quelques insultes, ce qui ne semble pas être un gros problème. Mais comment Dieu considère-t-Il cette affaire ? Le fait que tu puisses insulter Dieu montre que tu as déjà renié Dieu dans ton cœur. C’est seulement parce que tu nourris de la haine dans ton cœur envers Dieu que tu peux L’insulter. Que tu insultes Dieu de ta propre initiative ou que tu sois forcé de L’insulter par d’autres, c’est une manifestation du reniement de Dieu et de la haine envers Dieu. Par conséquent, ce genre de comportement et d’action, c’est du blasphème, purement et simplement.
Certaines personnes n’arrivent jamais à abandonner certaines rumeurs, pensant toujours que celles-ci pourraient être vraies. Elles cherchent constamment à vérifier si les rumeurs répandues par le grand dragon rouge, le parti au pouvoir, et par le monde religieux et les non-croyants – en particulier les rumeurs et remarques publiées en ligne – sont vraies. Si Dieu ne devait jamais faire connaître Sa position ou si Sa maison n’apportait aucun éclaircissement, elles croiraient sans réserve que ces rumeurs sont vraies, et elles nieraient Dieu et Le trahiraient. Où est le problème ? Sur quelle base repose leur foi en Dieu, au juste ? Si leur foi repose sur la véracité de ces rumeurs, alors elles commettent une grave erreur. En fait, de nombreuses rumeurs ont déjà été très clairement disséquées et réfutées dans les sermons, les échanges et les films de la maison de Dieu ; il n’est pas nécessaire que Je M’étende sur le sujet ici. Alors, quelles sortes de rumeurs voulez-vous encore vérifier ? Mettons ce sujet à nu aujourd’hui. Si vous voulez vérifier des rumeurs, Je vous dirai ce que J’ai à en dire, afin que certains ne continuent pas à penser : « Est-ce que Tu nous caches quelque chose que Tu ne veux pas que nous sachions ? Nous avons toujours l’impression de ne pas arriver à Te comprendre complètement. Même si nous T’avons suivi et avons entendu tant de vérités, au fond de notre cœur, nous ne savons toujours pas avec certitude si ces rumeurs sont vraies ou fausses, alors nous avons constamment l’idée et la pensée de les vérifier. » Si vous voulez les vérifier, dites-le hardiment. Parlons ouvertement de cette affaire. Je vous dirai ce que J’ai à en dire, il n’y a rien à cacher. Quelqu’un veut-il les vérifier ? (Non.) La raison pour laquelle vous ne voulez pas les vérifier repose-t-elle sur le fait que vous ne croyez pas aux rumeurs du grand dragon rouge, ou est-ce parce que vous avez une attitude qui consiste à dire : « Je ne veux pas m’embêter avec cette affaire, je vais simplement laisser tomber » ? Ou est-ce parce que vous avez peur d’être déçus après vérification et de ne pas pouvoir faire face au résultat, et que vous ne savez pas si vous pouvez rester fermes, et que vous ne voulez pas faire face à de telles conséquences ? Quelle que soit la teneur de ces rumeurs, que vous vouliez ou non les vérifier, que vous vouliez ou non entendre ce que J’ai à dire sur ces rumeurs ou Mon commentaire à leur sujet, et quelle que soit votre attitude, Je n’ai qu’une seule attitude : si vous comprenez la vérité, vous serez naturellement capables de discerner ces rumeurs ; si vous ne comprenez pas la vérité et ne cherchez pas la vérité, alors Je n’ai aucun commentaire à faire. C’est parce que J’ai prononcé tant de paroles exprimant la vérité ; Je n’ai pas besoin de vous expliquer ces rumeurs, ce n’est pas le travail que Je devrais faire. Ne pouvez-vous toujours pas discerner ces rumeurs, même après avoir écouté autant de sermons ? Si vous ne le pouvez pas, cela signifie que vous ne comprenez pas la vérité. Peu importe ce qu’on dit à quelqu’un qui ne comprend pas la vérité, cela ne sert à rien ; c’est comme parler à des non-croyants, peu importe ce que vous dites, ils ne comprendront pas. Par conséquent, concernant n’importe quelle rumeur, Je n’ai aucun commentaire à faire ! Je ne veux rien expliquer, ni rien dire, ni justifier ou défendre quoi que ce soit. Peu importe ce qui se dit dans le monde extérieur, Je n’ai aucun commentaire à faire ! Avez-vous bien entendu ? (Oui.) Dire : « Je n’ai aucun commentaire à faire », c’est une sorte d’attitude. De plus, qu’est-ce que Je veux vous dire à ce sujet ? C’est que, peu importe le moment, l’identité et l’essence de Dieu ne changeront pas, le statut de Dieu ne changera pas, le tempérament de Dieu ne changera pas, l’autorité et la puissance de Dieu ne changeront pas, le fait que Dieu exerce Sa souveraineté sur l’humanité et lui donne la vie ne changera pas, le fait de l’incarnation de Dieu ne changera pas, et le fait que Dieu est la vérité, le chemin et la vie ne changera jamais. Ces paroles suffisent-elles à dissiper vos doutes ? (Oui.) C’est tout ce que J’ai à vous dire à ce sujet. Si vous comprenez, alors acceptez-le. Si vous ne comprenez pas, alors prenez votre temps pour y réfléchir. Si tu as encore des doutes dans le cœur et que ces paroles ne peuvent les dissiper, alors Je ne peux rien faire de plus. Laisse simplement les choses suivre leur cours. C’est tout ce que Je peux dire et faire pour toi. Cette façon de faire est-elle appropriée ? (Oui.) Ces paroles peuvent-elles avoir un certain effet sur les personnes ? Face à diverses affaires complexes, si une fêlure apparaît dans la relation entre toi et Dieu, ou si tu en viens à douter sérieusement de Dieu, et que ces paroles ne peuvent pas résoudre le problème auquel tu es actuellement confronté, alors tu es un incrédule. Ce que tu acceptes, ce n’est pas la vérité, mais les mensonges de Satan et toutes les paroles diaboliques qu’il prononce. C’est exactement comme avec Adam et Ève au commencement. Dieu a dit : « Vous pouvez manger de tous les arbres du jardin, mais de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, vous n’en mangerez pas, car le jour où vous en mangerez, vous mourrez certainement. » Après avoir entendu ces paroles, Adam et Ève les ont gardées dans leur cœur. Mais quand Satan leur a dit : « Dieu a dit que vous ne devez pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, ce n’est pas forcément vrai. Si vous en mangez, vous ne mourrez certainement pas », Adam et Ève se sont aussitôt mis à douter. Ils ont abandonné les paroles de Dieu et cru aux paroles du serpent. Ils ont soupçonné que ce que Dieu avait dit était un mensonge. À cause de ce que le serpent avait dit, ils n’ont plus cru en Dieu et ne Lui ont plus obéi, mais ils ont complètement suivi les mensonges du serpent. Il est aisé de voir quelle en a été la conséquence finale. En croyant et en acceptant ce que le serpent leur disait, ils niaient aussi ce que Dieu avait dit, pensant que Ses paroles étaient un mensonge. Ils ne croyaient plus que les paroles de Dieu étaient vraies, et ils ne croyaient plus en l’identité et en l’essence de Dieu. Au lieu de cela, ils étaient sceptiques à l’égard de Dieu, Le soupçonnant d’avoir des arrière-pensées à leur égard et de les tromper par des mensonges. Inversement, ils ont cru que ce que le serpent disait était vrai et qu’il parlait pour leur bien. La conséquence finale a été qu’ils ont été séduits par le serpent et corrompus par Satan. Ils se sont éloignés de la sollicitude de Dieu, ils ont perdu Sa protection et se sont engagés sur un chemin sans retour.
Le problème des rumeurs a-t-il été résolu pour vous ? S’il ne l’a pas été, digérez-le lentement vous-mêmes. Quant à la manière de traiter les rumeurs, J’ai déjà beaucoup échangé à ce sujet. S’il y a encore des gens qui n’arrivent pas à percer à jour diverses rumeurs et qui ne peuvent pas les discerner, échangez à ce sujet et résolvez-le vous-mêmes. Bien que cette affaire ne soit pas considérée comme majeure, dans la vie quotidienne des gens, c’est quelque chose qui peut souvent perturber leur esprit et leur vie. Même si certaines rumeurs ne vont pas jusqu’à te prendre la vie immédiatement, elles sont aussi une sorte de harcèlement pour toi, comme une mouche agaçante qui ne pique pas les gens, mais qui les dégoûte ; elles surgissent de temps en temps pour te perturber. Surtout quand tu es faible, quand tu fais face à l’échec ou à des revers, ou que tu es négatif, ces rumeurs et paroles diaboliques surgiront pour te perturber, pour te tourmenter dans ton cœur, pour te tirer en arrière, te faisant sombrer petit à petit. C’est précisément de cette manière que certaines personnes se sont retirées et ont cessé de croire. Tu vois, les gens envoyés dans des groupes B ou dans des Églises ordinaires sont en grand danger, mais les gens qui font leur devoir à plein temps ne sont-ils pas en danger ? Certains d’entre eux sont aussi en grand danger. Quel groupe, parmi eux, est en danger ? Le groupe de ceux qui, sans cesse, ne parviennent pas à comprendre la vérité. Peu importe le nombre de paroles de Dieu qu’ils ont entendues, ils ne les comprennent pas. Dans leur cœur, ils doutent toujours : « Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à distinguer quelles paroles de Dieu sont la vérité ? Tout le monde dit que la vérité est le chemin, la vie, pourquoi est-ce que je ne sens pas que c’est la vie ? J’ai aussi entendu beaucoup de paroles de Dieu, mais la vie en moi n’a pas changé ; je suis toujours moi, je n’ai pas changé ! » Ils ne comprennent jamais ce qu’est la vérité, ils ne comprennent jamais l’œuvre de Dieu, et ils restent toujours dans le flou au sujet des visions. De telles personnes sont en danger. Les personnes de ce genre, lorsqu’elles entendent des rumeurs, ne cherchent jamais la vérité pour les discerner ; elles ne savent qu’esquiver et rejeter les rumeurs. Si elles peuvent les esquiver, elles évitent le désastre par chance ; si elles ne le peuvent pas, elles sont capturées par Satan. Dites-Moi, est-ce une coïncidence si de telles personnes peuvent être capturées par Satan ? (Non.) Celles qui ne comprennent jamais la vérité, qui ne comprennent jamais ce qu’est croire en Dieu, sont-elles les brebis de Dieu ? Peuvent-elles comprendre les paroles de Dieu ? (Elles ne le peuvent pas.) Ces gens ne comprennent jamais les paroles de Dieu, et ne cherchent pas non plus la vérité ; et ils se préoccupent toujours de questions telles que : « Quand le jour de Dieu arrivera-t-il ? Quand entrerons-nous dans le royaume des cieux ? » En ce qui concerne les choses que les gens devraient comprendre en croyant en Dieu, ils n’en ont compris aucune. À quel point peuvent-ils avoir l’esprit confus ! Dites-Moi, quand Je parle à ce genre de personne à l’esprit confus, quel sentiment ai-Je dans Mon cœur ? Est-ce de l’honneur ou de la tristesse ? Ou est-ce un sentiment d’indignation ? Voir ces gens M’irrite. Que peuvent gagner ces sots confus en croyant en Dieu ? Une fois que le grand dragon rouge les a arrêtés et leur a fait un lavage de cerveau, ils sont révélés et éliminés. Ces gens ne comprennent pas le moins du monde la vérité, et la maison de Dieu ne veut pas de telles personnes. C’est par le grand dragon rouge qu’ils sont révélés et éliminés. Dites-Moi, n’est-ce pas un manque d’amour ? (Non.) Si de telles personnes n’étaient pas arrêtées par le grand dragon rouge, et sans ces rumeurs pour les induire en erreur, est-ce qu’elles s’accrocheraient toujours à l’Église ? Quelles circonstances peuvent les amener à se retirer ? (C’est précisément par le biais des rumeurs du grand dragon rouge. Après avoir entendu ces rumeurs et y avoir cru, elles se retirent.) C’est précisément par les griffes démoniaques du grand dragon rouge, ce faire-valoir, qu’elles sont capturées et finissent par ne plus croire. En fait, ces gens ne peuvent pas saisir la vérité, ils ne peuvent faire aucun devoir et ne peuvent rendre aucun service. Dans la maison de Dieu, ils ne font que de la figuration, ils vivent en parasites et attendent la mort. Chacun d’eux est dans un état pathétique, pourtant ils prétendent être de ceux qui suivent Dieu, ils prétendent être le peuple élu de Dieu. Ne se couvrent-ils pas de honte ? Ceux qui suivent Dieu doivent au moins être des humains, pas des morts sans esprit, pas des bêtes. Ils doivent être des gens qui peuvent comprendre les paroles que Dieu dit. Seuls ceux qui peuvent comprendre les paroles de Dieu et comprendre la vérité sont les brebis de Dieu. Seules les brebis de Dieu peuvent sincèrement faire leur devoir et suivre Dieu. Ceux qui ne sont pas les brebis de Dieu ne suivent pas Dieu avec sincérité. Ils infiltrent l’Église dans un but, qui est de gagner des bénédictions. Il n’y a pas de Dieu dans leur cœur. Peu importe pendant combien d’années ils croient, ils ne peuvent jamais avoir un cœur qui craint Dieu. Les démons, les Satans, et ceux qui sont possédés par des démons immondes et des esprits malfaisants savent aussi que c’est le vrai chemin, et ils désirent aussi des bénédictions. Mais Dieu veut-Il de telles personnes ? (Il n’en veut pas.) Divers esprits malfaisants et démons immondes possèdent des animaux, et après avoir subi de nombreuses années de cultivation et être devenus des êtres surnaturels, ils veulent toujours se transformer en êtres humains. Ils ne veulent pas rester des démons immondes, des esprits malfaisants ou divers esprits d’animaux ; ils veulent s’élever à un niveau supérieur : être humains. De même, ces sots à l’esprit confus veulent aussi élever leur rang, ils veulent être le peuple élu de Dieu. Dites-Moi, Dieu veut-Il de tels individus ? Il n’en veut pas. Même s’ils infiltrent l’Église, ce sera en vain ; ils doivent être évincés quoi qu’il arrive. Une fois qu’ils auront été évincés, la maison de Dieu sera pure, et l’Église sera pure. Ceux qui restent doivent au moins être des gens qui reconnaissent l’identité et l’essence de Dieu, qui reconnaissent que Dieu est la vérité, le chemin et la vie, et qui peuvent volontairement rendre service à Dieu. Ces sots confus peuvent-ils y parvenir ? Ils sont loin d’y parvenir. Ce sont tous des morts sans esprit, et pourtant ils veulent toujours des bénédictions, ils veulent toujours entrer dans le royaume, ils veulent toujours aller au ciel. Leur ambition et leur désir ne sont pas modestes, mais ils ne regardent même pas ce qu’ils sont : ils se surestiment ! Il est juste que de telles personnes soient éliminées. Trouvez-vous que ce soit dommage ? (Non.) Dès le début, Dieu a dit : « Ce que Je veux chez les gens, c’est la qualité plutôt que la quantité. » Voilà la norme exigée par Dieu pour Son peuple élu, et c’est aussi une exigence et un principe concernant le nombre de personnes dans l’Église. « Ce que Je veux chez les gens, c’est la qualité » : ici, le terme « qualité » fait-il référence aux bons soldats du règne ou aux vainqueurs ? Ni l’un ni l’autre n’est exact. Le terme « qualité », pour le dire avec précision, fait référence à ceux qui possèdent une humanité normale, à ceux qui sont vraiment humains. Dans la maison de Dieu, si tu peux faire les devoirs qu’un être humain devrait faire, si tu peux être utilisé comme un être humain, et si tu peux assumer les responsabilités, les devoirs et les obligations d’un être humain sans que les autres te tirent, te traînent ou te poussent, et que tu n’es pas un déchet inutile, un profiteur, un fainéant, tu peux assumer les responsabilités et les obligations d’un être humain et assumer la mission d’un être humain. C’est seulement cela qui fait de toi un être humain à la hauteur ! Les fainéants et ceux qui ne s’occupent pas de véritables tâches peuvent-ils assumer la mission d’un être humain ? (Non.) Certains individus ne veulent pas assumer de responsabilités ; d’autres ne peuvent pas les assumer : ce sont des déchets inutiles. Ceux qui ne peuvent pas assumer les responsabilités d’un être humain ne peuvent pas être qualifiés d’êtres humains. Regardez les déficients intellectuels, les idiots, les infirmes moteurs cérébraux ou les paralysés physiques : peuvent-ils être qualifiés d’êtres humains standards ? (Non.) Pourquoi ? De telles personnes n’ont aucune capacité à vivre, aucune capacité à survivre et aucune capacité à prendre soin d’elles-mêmes. Elles dépendent entièrement de l’aide et des soins des autres, elles vivent sans pouvoir subvenir à leurs propres besoins et sont incapables d’assumer les responsabilités et les obligations d’un être humain. Celles qui sont incapables d’assumer leur propre devoir dans la maison de Dieu ne sont pas des êtres humains normaux, et Dieu n’en veut pas. Que tu sois un dirigeant ou un ouvrier, ou que tu fasses un travail spécifique qui exige des compétences professionnelles, tu dois être capable d’assumer le travail dont tu es responsable. Au-delà de ta capacité à gérer ta propre vie et ta survie, ton existence ne consiste pas simplement à respirer, à manger, à boire et à t’amuser, mais à être capable d’assumer la mission que Dieu t’a confiée. Seules de telles personnes sont dignes d’être appelées des êtres créés et dignes d’être appelées des êtres humains. Ceux qui, dans la maison de Dieu, veulent toujours vivre aux dépens de l’Église et essaient toujours de s’en tirer par la ruse, espérant se débrouiller jusqu’à la fin pour obtenir des bénédictions, ne peuvent assumer aucun travail ni aucune responsabilité, et encore moins une quelconque mission. De telles personnes doivent être éliminées, et ce n’est pas dommage. C’est parce que ce qui est éliminé n’est pas humain : ces gens ne sont pas qualifiés pour être appelés des êtres humains. Tu peux les appeler des gens inutiles, des fainéants ou des oisifs, en tout cas, ils ne sont pas dignes d’être appelés des êtres humains. Quand tu leur confies un travail, ils ne peuvent pas l’accomplir de manière autonome ; et quand tu leur confies une tâche, ils ne peuvent pas assumer leurs responsabilités ni s’acquitter des obligations qui leur incombent. De telles personnes sont finies. Elles sont indignes de vivre ; elles méritent la mort. Que Dieu épargne leur vie est déjà Sa grâce, c’est une faveur exceptionnelle.
Concernant le sujet des rumeurs, nous en resterons là. Si vous avez encore des problèmes, vous pouvez les soulever et échanger à leur sujet, ou chercher la vérité pour les résoudre vous-mêmes. Nous n’en parlerons plus, d’accord ? Quelqu’un a-t-il des objections ? (Non.) S’il y a des problèmes que Je n’ai pas abordés, alors trouvez vous-mêmes un moyen de les résoudre. En la matière, J’ai assumé Mes responsabilités. Supposons que quelqu’un dise : « Nous n’avons pas encore reçu la réponse que nous voulons ; ces rumeurs sont-elles vraies ou fausses ? S’il Te plaît, donne-nous une réponse claire. » Même si Je vous donne une réponse claire, quel problème cela pourrait-il résoudre ? C’est pourquoi Je dis que vous devriez trouver cette réponse par vous-mêmes. Je n’ai aucun commentaire à faire à ce sujet. Tout dépend si vous avez du discernement. Ceux qui ont obtenu la vérité ne seront jamais induits en erreur. En fait, ces rumeurs ont révélé beaucoup de gens. Ceux qui ont cru en Dieu pendant des années, mais qui n’ont pas obtenu la vérité ont tous été révélés : c’est la sagesse de Dieu. Voilà Ma réponse. Comprenez-vous ? (Oui.) Alors, qu’est-ce que Je veux vous dire ? Ce que Je veux dire se trouve entièrement dans les volumes de La Parole apparaît dans la chair et dans tous les sermons. Ces paroles sont ce que Je veux vous dire. Ne sont-elles pas suffisantes ? (Si.) Si certaines personnes insistent encore, en disant : « Alors, concernant les rumeurs, as-Tu une réponse ? » Je dis non, Je n’ai toujours aucun commentaire à faire. J’ai déjà dit une grande partie de ce que Je voulais dire dans tous les sermons. Si vous êtes disposés à chercher la vérité, et que vous pouvez accepter ces paroles et vous y conformer, alors vos problèmes seront résolus. Si vous n’acceptez pas ces paroles, alors vos problèmes resteront des problèmes à jamais. J’ai assumé Mes responsabilités ; cela n’a plus rien à voir avec Moi. Avez-vous bien entendu ? (Oui.)
Poursuivons notre échange sur le sujet : « Comment poursuivre la vérité ». Ces derniers temps, nous discutons encore du contenu lié à « l’abandon » dans le cadre de ce sujet, et nous abordons le grand thème de « l’abandon des barrières entre les gens et Dieu et de l’hostilité à l’égard de Dieu ». Le premier point de ce thème est l’abandon des notions et des produits de l’imagination que l’on a sur Dieu. Sur ce point, nous avons discuté des notions et de l’imagination des gens quant à l’œuvre de Dieu, ce qui implique une question relativement complexe : les distinctions entre les conditions innées, l’humanité et les tempéraments corrompus. Cela comporte de nombreux détails. Lorsque les gens sont confrontés à des problèmes dans la vie quotidienne, ils confondent toujours les concepts et n’arrivent pas à distinguer clairement à quelle catégorie un certain problème appartient exactement, ni à faire la différence entre les problèmes. Par exemple, concernant certaines manifestations, les gens n’arrivent pas à distinguer si elles relèvent de l’humanité ou des conditions innées. Et pour d’autres manifestations, les gens n’arrivent pas à savoir s’il s’agit de problèmes liés aux tempéraments corrompus ou à l’humanité. Les gens n’arrivent pas à distinguer ces questions. Les gens prennent souvent certains problèmes et défauts liés aux conditions innées pour des tempéraments corrompus, ou ils prennent certains défauts et problèmes de l’humanité pour des tempéraments corrompus. Parfois, même lorsqu’il s’agit de la révélation d’un tempérament corrompu, ils prennent au contraire cela pour la révélation d’une condition innée immuable. Par conséquent, les gens sont souvent très confus quant aux problèmes relatifs aux conditions innées, à l’humanité et aux tempéraments corrompus au cours du processus de croyance en Dieu, et ils n’arrivent pas à distinguer ces problèmes. La dernière fois, nous avons échangé sur une partie de ce sujet et, bien sûr, nous avons donné quelques exemples, mais J’ai l’impression que ce n’était pas assez précis. Aujourd’hui, nous allons prendre les problèmes relevant de ces trois catégories et échanger à leur sujet de manière plus spécifique. Je vais parler de quelques manifestations et exemples particuliers et ensuite, vous discernerez à quelle catégorie ils appartiennent : à la catégorie des conditions innées, de l’humanité ou des tempéraments corrompus. Si vous n’arrivez pas à discerner ces catégories, nous examinerons la question ensemble. Qu’en dites-vous ? (D’accord.) La dernière fois, nous avons un peu plus échangé sur les conditions innées, donc votre discernement à cet égard est, bien sûr, un peu plus clair. Cependant, il y a encore des choses qui se situent à la frontière ou qui sont similaires à des aspects de l’humanité, et les gens n’arrivent toujours pas à distinguer s’il faut les classer dans la catégorie des conditions innées ou dans celle de l’humanité. Je vais proposer certaines manifestations ou certains comportements et actes, et ensuite, vous direz à quel aspect il faut les rattacher. Quel est l’avantage d’échanger de cette manière ? Quand tu sauras de quel aspect relève une manifestation, tu sauras comment aborder et traiter cette manifestation.
Commençons par la première manifestation : être appliqué dans son travail, c’est-à-dire être quelqu’un de très travailleur. De quel aspect cela relève-t-il ? (Il s’agit là d’une manifestation de l’humanité d’une personne.) Alors, est-ce là une qualité ou une imperfection de l’humanité ? (Une qualité de l’humanité.) Être très appliqué et travailleur est une qualité de l’humanité. Aimer l’ordre et la propreté, et avoir une bonne hygiène, de quel genre de manifestation s’agit-il ? (C’est une qualité de l’humanité.) (C’est une bonne habitude de vie, cela relève des conditions innées d’une personne.) Est-ce une condition innée ? N’est-ce pas là une qualité et un point fort de l’humanité d’une personne ? (Si.) À l’instant, quelqu’un a dit que c’était une condition innée ; c’est incorrect. Cela touche à l’humanité d’une personne, ainsi qu’à ses habitudes de vie. Bien entendu, c’est également une qualité et un point fort de l’humanité. Manifestation suivante : certaines personnes sont paresseuses ; elles aiment le confort et détestent le labeur, elles n’aiment pas travailler. Quand elles ne travaillent pas, elles se sentent particulièrement à l’aise, mais quand elles commencent à travailler, leur humeur se dégrade : elles deviennent fébriles, irritées et se mettent en colère. Quand il y a du travail à faire, elles se sentent molles, sans énergie, et n’ont pas envie de travailler. Par contre, dès qu’il s’agit de manger, de boire et de s’amuser, elles débordent d’énergie. La paresse : de quel genre de problème s’agit-il ? (D’une mauvaise humanité.) Tout au moins, c’est une imperfection de l’humanité, un défaut et un problème significatif de l’humanité. Cela n’atteint pas encore le niveau d’une mauvaise humanité. Si de telles personnes aiment donner des ordres aux autres et les exploiter, faisant faire le travail aux autres sans en faire elles-mêmes, de quel genre de problème s’agit-il ? (D’une mauvaise humanité.) Quand on leur demande de faire un travail, elles trouvent toutes sortes de raisons et d’excuses pour s’y soustraire ; elles ne veulent tout simplement pas travailler. Elles ne déclarent pas ouvertement leurs intentions, mais utilisent plutôt diverses méthodes, diverses tactiques, ou le mensonge et la tromperie, pour essayer d’amener les autres à faire le travail, tandis qu’elles se dérobent pour profiter de leurs loisirs. De quel genre de problème s’agit-il ? (D’un tempérament corrompu, d’un tempérament malveillant.) S’agit-il simplement d’un tempérament corrompu ? Les gens qui aiment exploiter les autres et leur donner des ordres ont, tout d’abord, une mauvaise humanité et un caractère vil. Deuxièmement, leurs méthodes rusées pour donner des ordres aux autres exposent leur tempérament fourbe et malveillant. Leurs manifestations qui consistent à aimer exploiter les autres et à aimer leur donner des ordres montrent à la fois qu’ils ont une mauvaise humanité et que leur tempérament corrompu est grave ÷ il est fourbe et malveillant. Tu vois, certaines manifestations ne font que refléter une mauvaise humanité ou un certain défaut de l’humanité d’une personne, et n’atteignent pas le niveau d’un tempérament corrompu. Cependant, certaines manifestations, qui reposent sur une humanité vile, impliquent directement des tempéraments corrompus. Par conséquent, aucune manifestation n’est si simple. Certaines manifestations n’impliquent pas un seul problème, mais deux.
La superficialité : de quel aspect cela relève-t-il ? (Il s’agit d’une imperfection de l’humanité.) C’est exact, c’est une imperfection de l’humanité. S’il s’agit simplement d’aimer se pomponner, se faire belle, et d’aimer recevoir des compliments sur son physique, sa beauté, son charme ou sa jeunesse – de vouloir que les autres aient une haute opinion ou une opinion positive sur son apparence – alors cela se limite à un problème d’humanité. De quel genre de problème d’humanité s’agit-il ? De toute évidence, il ne s’agit pas d’une qualité, mais d’une imperfection. Certains diront peut-être : « Tout le monde aime la beauté, comment pourrait-il s’agir d’une imperfection ? » Alors pourquoi dis-Je que la superficialité est une imperfection de l’humanité ? Puisque la superficialité est une imperfection, ses manifestations ne sont pas légitimes. La superficialité ne consiste pas à avoir une apparence convenable, digne, pieuse ou sérieuse, qui donne aux autres une impression de dignité et de décence ; elle ne se situe pas au niveau d’une apparence convenable, mais elle est bien plus excessive et grave qu’une attention légitime portée à une apparence convenable. Quand les gens sont superficiels, ils accordent une attention particulière au fait de se pomponner et de se mettre en valeur, amenant les autres à se concentrer sur leur image, au point d’être même un peu sans vergogne ; en d’autres termes, ces personnes sont influencées et contraintes par l’apparence en bien des choses. Il s’agit d’une imperfection de l’humanité. Par exemple, certaines personnes se sentent gênées de sortir sans être maquillées. Elles se sentent gênées de rencontrer les autres si elles ne se sont pas parfumées. Elles sont toujours préoccupées par ces questions, elles veulent toujours se pomponner à l’excès pour que les autres aient une haute opinion d’elles et les apprécient. C’est être excessivement superficiel ; à ce stade, cela devient une imperfection. Cette imperfection a déjà dépassé le cadre et les normes requises de l’humanité normale. Être trop superficiel est une imperfection de l’humanité. Voilà qui conclut notre discussion sur cette manifestation.
La manifestation suivante est le fait d’aimer être sous le feu des projecteurs. De quel type de manifestation s’agit-il ? (Il s’agit d’un défaut de l’humanité ; c’est aimer se faire valoir, aimer se mettre en avant.) Alors, y a-t-il un tempérament corrompu là-dedans ? (Oui, parce que si quelqu’un aime être sous le feu des projecteurs, il veut alors se mettre en avant, il veut sortir du lot.) Aimer être sous le feu des projecteurs et vouloir sans cesse se mettre en avant : de quel genre de problème s’agit-il ? Est-ce parce que ces gens ont des capacités de direction, ou parce qu’ils comprennent la vérité et ont un sens du fardeau ? S’ils ont un sens du fardeau et des capacités de travail et s’ils peuvent prendre en charge un aspect du travail, ce n’est pas aimer être sous le feu des projecteurs. Alors, de quel genre de problème s’agit-il quand on aime être sous le feu des projecteurs ? D’une part, il s’agit d’une imperfection de l’humanité d’une personne. Les gens de ce type aiment être sous le feu des projecteurs. Où qu’ils aillent, ils aiment se mettre en avant, de peur de ne pas être vus par les autres. Ils parlent aussi d’une manière assez voyante, exagérée et bruyante. Plus il y a de monde, plus ils sont désireux de parler, voulant toujours avoir une place au sein de la foule. Aimer être sous le feu des projecteurs ne peut pas être considéré comme la manifestation d’une mauvaise humanité. Cela n’implique pas le caractère d’une personne, et c’est simplement une imperfection de l’humanité, une sorte de défaut ou de problème. Pourquoi est-ce que Je dis que c’est un défaut ou un problème de l’humanité ? Parce que c’est la manifestation d’un manque de raison. Ces gens cherchent constamment à être sous le feu des projecteurs, mais sont-ils vraiment capables de prendre en charge le travail ? Pourquoi veulent-ils toujours être sous le feu des projecteurs ? Est-ce parce qu’ils sont motivés par l’ambition et le désir ? Est-ce parce qu’ils aiment le statut, être exaltés et se mettre au centre de l’attention ? Est-ce parce qu’ils aiment avoir du prestige parmi les gens, être supérieurs aux autres, et aiment diriger les autres ? (Oui.) L’humanité de ce genre de personne n’est-elle pas exposée ? De quel genre d’humanité s’agit-il ? Cette humanité manque de raison. N’est-ce pas là une imperfection de l’humanité ? (Si.) D’un côté, c’est une imperfection de l’humanité. D’un autre côté, une personne de ce genre ne se contente pas de se mettre en avant ou de vanter de temps en temps ; mais plutôt, parce qu’elle est motivée par l’ambition et le désir, qu’elle aime le statut, le pouvoir et avoir le dernier mot, elle aime être sous le feu des projecteurs. Alors, est-ce que cela n’implique pas aussi un tempérament corrompu ? (Si.) De quel genre de tempérament corrompu s’agit-il ? (D’un tempérament arrogant.) C’est là de l’arrogance. Qu’est-ce qui leur donne le droit d’être sous le feu des projecteurs ? Qu’est-ce qui leur donne le droit d’avoir le dernier mot et de diriger les autres ? Certains disent : « Je comprends la vérité et j’ai un sens du fardeau. » Même si tu as un sens du fardeau, il faut encore voir si tu peux faire un travail réel. Ce n’est pas parce que tu as un sens du fardeau et que tu veux faire ce travail que tu peux réellement bien le faire. Il n’y a pas de lien logique entre ces deux choses. Vouloir faire ce travail et aimer le faire ne signifie pas que tu peux le faire ou que tu es compétent pour faire un travail de direction. Tu aimes être sous le feu des projecteurs, tu aimes le statut, est-ce que cela veut dire que tout le monde doit t’élire ? Quels sont les principes pour élire les dirigeants d’Église ? (La question est de savoir si la personne a des capacités de travail, si elle est quelqu’un qui poursuit la vérité, et si elle est une personne correcte.) Au minimum, tu dois être une personne correcte. Tu dois avoir une compréhension spirituelle, avoir la capacité de saisir la vérité, et aussi avoir des capacités de travail. C’est seulement alors que tu remplis les conditions pour être cultivé et que tu deviens un candidat apte à être cultivé. Tu dois remplir toutes ces conditions. Si tu ne remplis aucune de ces conditions, est-ce que tout le monde t’élirait dirigeant juste parce que tu aimes être sous le feu des projecteur ? Cela n’arriverait jamais. Donc, si tu aimes être sans cesse sous le feu des projecteurs, si tu aimes toujours te mettre en avant, n’est-ce pas de l’arrogance ? (Si.) C’est de l’arrogance et c’est se surestimer. L’arrogance, du point de vue de l’humanité, est un manque de raison. Si on la mesure à l’aune de la vérité, c’est un tempérament corrompu, et c’est un tempérament satanique. La manifestation qui consiste à aimer être sous le feu des projecteurs est à la fois une imperfection de l’humanité et un tempérament corrompu, ce qui implique également deux problèmes. Bien qu’aimer être sous le feu des projecteurs n’atteigne pas le niveau d’une humanité médiocre ou mauvaise, c’est néanmoins une manifestation spécifique du manque de raison et aussi une manifestation d’un tempérament arrogant. Si une personne aime simplement être sous le feu des projecteurs, et qu’elle ne réprime ni ne tourmente les gens, et qu’elle n’utilise pas les moyens des gens malfaisants pour semer la discorde ou former des cliques, alors ce n’est qu’une imperfection de son humanité. Cependant, si elle présente les manifestations des gens malfaisants ou des antéchrists, et qu’elle commet aussi quelques actes malfaisants, alors cette imperfection de l’humanité s’aggrave. Que devient-elle ? Une humanité médiocre, terrible et malfaisante – ces aspects sont utilisés pour caractériser une telle humanité. De plus, les manifestations des tempéraments corrompus que ces personnes révèlent incluent à la fois l’arrogance et la méchanceté ; bien sûr, il y a aussi des manifestations plus spécifiques. L’humanité de telles personnes doit donc être caractérisée en fonction du degré auquel elles révèlent ces tempéraments corrompus. Si elles aiment simplement être sous le feu des projecteurs, et qu’elles ne montrent pas de manifestations d’une humanité malfaisante – sans réprimer ni tourmenter les gens, sans former de cliques ou établir un royaume indépendant en secret, ou sans utiliser de méthodes peu orthodoxes pour induire les gens en erreur et les faire obéir – alors aimer être sous le feu des projecteurs de cette façon est simplement une imperfection de l’humanité. Mais une fois que de tels actes malfaisants sont commis, il ne s’agit plus simplement d’un défaut de l’humanité. De quel genre de problème s’agit-il alors ? (D’une humanité médiocre, terrible et malfaisante.) Exactement. Ce n’est plus simplement une imperfection de l’humanité, mais plutôt une humanité malfaisante. Aimer être sous le feu des projecteurs est simplement une imperfection de l’humanité. Si une telle personne a une compréhension spirituelle, un certain calibre et des capacités de travail, la choisiriez-vous comme dirigeante ? (Oui.) Pourquoi la choisiriez-vous ? (Parce qu’elle n’est pas une personne malfaisante.) Qu’elle aime être sous le feu des projecteurs est simplement la révélation d’un tempérament corrompu. Il n’y a aucun aspect de la malfaisance dans le fait qu’elle aime être sous le feu des projecteurs, et elle n’est pas une personne malfaisante. Tant qu’elle remplit les conditions pour être dirigeante, elle peut être élue et cultivée davantage. Bien qu’aimer être sous le feu des projecteurs soit la manifestation d’une humanité à la raison médiocre, étant donné que cette personne peut faire le travail, qu’elle a des capacités de travail, une compréhension spirituelle, la capacité de saisir la vérité, et qu’en plus elle est prête à faire un certain travail et à être superviseuse, on peut l’élire. Pourquoi peut-on l’élire ? Parce que son humanité est à la hauteur, tout comme son calibre. Tant qu’elle n’est pas une personne malfaisante ou un antéchrist, qu’elle ne tourmente ni ne réprime les gens, et qu’elle n’essaie pas d’établir un royaume indépendant, on peut l’élire dirigeante. Mais si le fait qu’elle aime être sous le feu des projecteurs renferme des éléments d’une humanité malfaisante, une telle personne doit-elle être élue ? (Non.) Avant même d’être élue dirigeante, elle commence déjà à utiliser des moyens détournés, à former secrètement des cliques et à falsifier les votes. Afin d’atteindre ses objectifs, elle a recours à des manœuvres louches, et elle est même capable de fabriquer des rumeurs et de dire du mal de certaines bonnes personnes qui sont relativement sérieuses dans leur poursuite de la vérité et qui font leurs devoirs. Elle fait beaucoup de choses qui vont à l’encontre de la vérité et de la morale humaine, en commettant quelques actes malfaisants. Pouvez-vous élire dirigeante une telle personne ? (Non.) Pourquoi pas ? (Parce que son humanité est malfaisante.) Pour être précis, c’est parce qu’il s’agit d’une personne malfaisante ; elle ne respecte pas les principes de la maison de Dieu concernant l’utilisation des gens. La maison de Dieu n’utilise pas de gens malfaisants. Quelles sont les conséquences si le peuple élu de Dieu tombe entre les mains de gens malfaisants ? D’une part, il sera tourmenté et réprimé. D’autre part, l’Église se dispersera et deviendra désordonnée. Dans ce cas, tu ne ferais pas ton devoir, mais tu servirais des gens malfaisants, en étant contrôlé par des gens malfaisants et en suivant des gens malfaisants. Quelles en seraient les conséquences ? Ton espoir de gagner le salut serait anéanti. Comprends-tu maintenant ? (Oui.) Alors, si deux personnes aiment toutes les deux être sous le feu des projecteurs et qu’elles ont toutes les deux des tempéraments corrompus et arrogants, sur quelle base en choisirais-tu une pour être dirigeante ? (Sur la base de son humanité.) C’est exact, sur la base de son humanité. Les révélations de divers tempéraments corrompus, comme l’arrogance, la fourberie et l’intransigeance, sont universelles ; tout le monde est pareil à cet égard. Alors, où se situe la distinction ? Dans l’humanité des gens. En apparence, certaines personnes ont moins de retenue, tandis que d’autres sont plus réservées ; certaines sont relativement confuses et négligentes, tandis que d’autres sont relativement astucieuses et méticuleuses. Certaines sont plus extraverties et joyeuses, tandis que d’autres sont plus introverties. Les manifestations extérieures de la personnalité des gens diffèrent, et leur humanité-essence n’est certainement pas la même non plus. Certaines personnes ont des limites en termes de conscience et de morale, tandis que d’autres n’en ont pas. Certaines sont même malfaisantes, impitoyables et méchantes – elles tuent sans ciller et dévorent les gens jusqu’à la moelle. Elles sont capables de tout. Par conséquent, pour les gens malfaisants, tourmenter les autres est chose banale. Si vous tombez entre les mains de gens malfaisants, vos beaux jours seront terminés et vous vivrez désormais dans les ténèbres. Si quelqu’un tombe entre les mains de gens malfaisants, c’est comme tomber entre les mains du grand dragon rouge. Avez-vous fait l’expérience de cela ? (Oui.) Les manifestations les plus importantes et les plus évidentes des gens malfaisants en termes d’humanité sont la malfaisance, la méchanceté, la cruauté, l’absence de limites morales et l’absence de normes en termes de conscience. À en juger par leur attitude envers Dieu et envers la vérité, ils n’ont pas du tout un cœur qui craint Dieu. Ils sont audacieux et téméraires, osent tout faire, sans aucune limite en termes de conscience. En ce qui concerne la vérité, ils ne l’acceptent pas le moins du monde. En apparence, ils peuvent fournir des efforts et endurer des souffrances dans leurs devoirs, et ils peuvent aussi faire l’aumône. Cependant, ils n’ont pas la moindre crainte dans leur façon de traiter Dieu et la vérité. Chaque fois qu’il s’agit de rendre témoignage à Dieu, de rendre témoignage à Dieu incarné, de rendre témoignage à l’identité et à l’essence de Dieu, de rendre témoignage aux actes de Dieu, ou de rendre témoignage à la façon dont Dieu paie un prix pour l’humanité et dont Dieu utilise le sang de Son cœur et Sa vie pour sauver l’humanité, ils n’ont rien à dire et ne veulent pas parler. Dans leur cœur, ils méprisent Dieu. Mais quand ils se rendent témoignage à eux-mêmes, ils ont beaucoup à dire et sont intarissables. Aimer être sous le feu des projecteurs est simplement une imperfection de l’humanité. Si de telles personnes ne commettent pas le mal et ont des limites en termes de conscience et de morale, alors, à condition qu’elles puissent comprendre certaines vérités, elles peuvent généralement évaluer les choses conformément aux limites de leur conscience ; leur conscience fonctionne. Par exemple, si elles trouvent une personne du sexe opposé à leur goût et veulent l’approcher, parce qu’elles ont des limites en termes de conscience dans leur humanité et un sens de l’intégrité et de la honte, elles se restreindront naturellement. Les gens malfaisants, par contre, ne se préoccupent pas de cela. S’ils aiment quelqu’un, ils l’approcheront de force ; si l’autre partie n’y consent pas, ils imagineront toutes sortes de moyens pour la tourmenter et la soumettre, ou pour lui causer des ennuis. Les gens qui ont des limites en termes de conscience sont restreints par leur conscience ; il y a certaines transgressions qu’ils ne commettront pas et certaines limites qu’ils ne franchiront pas, car ils ont un sens de l’intégrité et de la honte. S’ils comprennent la vérité, et que leur acceptation de celle-ci est relativement profonde et forte, ils auront un cœur qui craint Dieu. Parce qu’ils redoutent et craignent Dieu, ils ne franchiront généralement pas certaines limites. Par conséquent, avoir comme dirigeant quelqu’un qui a des limites en termes de conscience est très bénéfique pour vous. Au minimum, ce dirigeant ne te blessera pas, et encore moins ne t’entravera ou ne te nuira, et il pourra aussi vous apporter une certaine provision et une certaine aide. Les gens malfaisants, par contre, sont différents. Ils n’utilisent pas seulement des paroles pour t’induire en erreur ; ils emploient aussi diverses méthodes pour te tourmenter, t’opprimer et te piétiner. Si tu ne leur obéis pas, si tu ne les écoutes pas, ou si tu te disputes avec eux à propos de quelque chose, non seulement ils t’attaqueront, mais ils te condamneront, te mettront dans l’embarras, et chercheront même à te soumettre. De cette façon, tu tomberas complètement entre leurs mains. La plus grande différence entre les êtres humains corrompus ordinaires et les gens malfaisants réside dans le fait de savoir si leur humanité est bonne ou malfaisante, et si leur conscience fonctionne. Les gens malfaisants n’ont pas de conscience, donc ils n’ont pas non plus un sens de l’intégrité ou de la honte et sont capables de commettre n’importe quelle mauvaise action. Les êtres humains corrompus ordinaires, bien que leur humanité ait aussi des imperfections et des défauts, sont restreints par la conscience et la raison, de sorte qu’il y a de nombreuses limites qu’ils sont incapables de franchir. Même s’ils ne croient pas en Dieu, ils ne commettront pas certains actes malfaisants évidents ; ils sont incapables de commettre des actes tels que l’immoralité sexuelle ou le vol, par exemple. Penses-y : avant de croire en Dieu, quand tu étais dans le monde, aurais-tu pu te livrer à la promiscuité si quelqu’un t’avait laissé le faire ? À quoi la promiscuité fait-elle référence ? Elle fait référence au fait d’avoir de multiples partenaires sexuels, voire d’avoir des relations avec plusieurs personnes du sexe opposé en même temps, sans éprouver le moindre sentiment de culpabilité ou de reproche intérieur. Pourriez-vous faire une telle chose ? (Non.) Regardez ces femmes aux mœurs légères, ces prostituées et ces débauchées : elles le peuvent. N’êtes-vous pas différents de ces personnes ? (Si.) Où se situe la différence ? Elle réside dans le fait d’avoir ou non la conscience et la raison de l’humanité. La conscience et la raison te donnent un sens de l’intégrité et de la honte, de sorte que tu ne commettras pas d’actes de promiscuité et que tu auras une norme : « Se conduire de cette façon n’est pas bon ; je ne serai pas ce genre de personne. Je tracerai une limite claire entre moi et ces gens. Même si on me battait à mort, je ne me livrerais pas à la promiscuité. » Si on vendait ce genre de situation à certaines personnes, elles diraient : « Je préférerais mourir plutôt que de devenir ce genre de personne ! » Certaines personnes endurent l’humiliation et l’injustice, s’y pliant à contrecœur, mais elles n’y consentent pas dans leur cœur et saisiront la moindre occasion d’échapper à cette situation. D’autres, cependant, rechercheront ce genre de situation d’elles-mêmes, même si on essaie de les en empêcher. Elles le font même si elles n’en tirent aucun argent ; elles aiment simplement se livrer à la promiscuité, et se fichent complètement que ce soit rentable ou non. Ces deux types de personnes ne sont-ils pas différents ? (Si.) C’est précisément la différence entre l’humanité des gens. La différence d’humanité est cruciale. Si vous pouvez percer à jour les différences dans les manifestations de l’humanité parmi les différents types de personnes, alors vous serez capables de discerner les gens. Par conséquent, on ne peut pas évaluer une personne en se basant entièrement sur son tempérament corrompu ou sur ses manifestations et révélations pendant une courte période ou lors d’un seul incident. Il faut plutôt évaluer le genre de personne qu’elle est vraiment en se basant sur son humanité et sa nature-essence. Voilà qui conclut notre discussion sur la manifestation qui consiste à aimer être sous le feu des projecteurs.
Passons à une autre manifestation. Certaines personnes font les choses méthodiquement, avec une ligne directrice sur le plan mental et de manière ordonnée ; elles peuvent déterminer ce qu’il faut faire en premier et ce qu’il faut faire plus tard par le biais de la réflexion et de l’examen. Elles suivent des étapes et ont des plans plutôt que de faire les choses précipitamment. Quoi qu’elles fassent, elles suivent des étapes, même pour la tâche la plus simple, comme laver le linge. Elles séparent le linge par couleur, lavant les vêtements sombres et clairs séparément ; elles savent quelle quantité d’eau et de lessive utiliser en fonction de la quantité de linge, évitant ainsi le gaspillage. Tout cela est planifié, c’est si organisé, méticuleux et économe. De quel genre de manifestation s’agit-il ? (Il s’agit d’une qualité et d’un point fort de l’humanité.) Alors, cette qualité peut-elle signifier que ce genre de personne a une bonne humanité ? (Non.) Ce n’est qu’une qualité et un point fort de leur humanité. Cela n’atteint pas un niveau qui implique le caractère d’une personne ou les principes quant à la façon de se conduire, et cela n’implique pas non plus un tempérament corrompu. Il s’agit simplement d’une habitude de vie ou d’une attitude envers la vie. Certaines personnes font les choses avec une ligne directrice d’ordre mental, avec un plan ; elles peuvent saisir les tendances, et quand la tâche est terminée, les autres la trouvent satisfaisante. Il s’agit là de gens qui ont un bon calibre. Mais pour ceux qui ont un calibre médiocre, c’est différent : ils font tout de manière désordonnée et chaotique, sans ligne directrice d’ordre mental ni planification, en faisant n’importe comment, ce qui aboutit à un vrai gâchis. De quel genre de problème s’agit-il ? (D’une imperfection de l’humanité.) Qu’est-ce que cette imperfection de l’humanité implique ? (Un calibre extrêmement médiocre.) On fait simplement référence à de telles personnes au calibre extrêmement médiocre en disant qu’elles sont « sans cervelle ». Certaines personnes, quand Je leur dis : « As-tu une cervelle de porc ? Comment peux-tu ne pas comprendre une chose aussi simple ? », répondent : « Je n’ai pas de cervelle. » Que signifie être « sans cervelle » ? Cela signifie n’avoir aucun calibre ou un calibre médiocre ; c’est un problème de calibre. Comment ce problème est-il classé ? Ne s’agit-il pas là d’une condition innée ? (Si.) Si quelqu’un est sans cervelle de façon innée, est-il utile de le former ? De telles personnes abordent tout sans planification ni ligne directrice sur le plan mental. Une tâche simple leur prend toute la journée, retardant les affaires importantes. C’est n’avoir aucun calibre ou avoir un calibre médiocre. Les non-croyants décrivent souvent les gens qui ont une mauvaise humanité comme n’ayant aucun calibre. Par exemple, quand quelqu’un voit une autre personne jeter des détritus sur la voie publique, manquer d’hygiène ou crier fort en public, dérangeant ceux qui étudient ou qui se reposent, il pourrait dire que cette personne n’a aucun calibre. Pour Moi, c’est ne pas comprendre les normes de comportement et manquer d’humanité. Comment peut-on appeler cela n’avoir aucun calibre ? Est-ce que « n’avoir aucun calibre » fait référence à cela ? À quoi le « calibre » fait-il référence ? Il fait référence à l’efficience et à l’efficacité dans l’exécution des tâches. C’est cela qu’on appelle le calibre. Alors, les gens qui font les choses sans ligne directrice sur le plan mental ont-ils un calibre médiocre ? (Oui.) C’est aussi une imperfection de l’humanité. Cette imperfection est-elle innée ? Est-elle facile à changer ? Peut-elle être changée par la formation ? Peut-on amener un cochon à grimper aux arbres ? Un cochon n’est pas fait pour ça, il n’en a pas le calibre. Manquer de ligne directrice sur le plan mental quand on agit est un problème de calibre.
À quel genre de problème se rattache le fait de bien faire les choses au début, mais de les finir piètrement ? (Il s’agit d’une imperfection de l’humanité d’une personne.) C’est là une imperfection de l’humanité d’une personne. Certaines personnes, quand elles se lancent dans une entreprise, la planifient assez bien, lancent quelques mesures imposantes, rassemblent un groupe d’individus, rédigent des rapports, assignent des tâches et font même de grandes déclarations pour montrer leur détermination, mais au fur et à mesure qu’elles avancent, tout cela s’évapore, et elles n’assurent pas le suivi de ce qui se passe, elles ne le supervisent pas ni ne l’inspectent. S’il n’y a personne qui comprenne la vérité pour assurer une supervision et une direction, cette entreprise peut entièrement tomber à l’eau, ou des conséquences indésirables peuvent même émerger, laissant le travail dans un désordre complet. Il y a aussi des personnes qui énoncent des doctrines assez lucidement et clairement, mais qui, lorsqu’il est question d’agir réellement, n’ont aucune idée de la façon de procéder et aucun plan concret. Quand des circonstances particulières ou des situations inattendues se présentent, elles ne savent pas comment les gérer, elles n’échangent pas non plus avec les autres, ne cherchent pas auprès de leurs supérieurs et ne les consultent pas. Quand elles commencent à faire quelque chose, elles semblent assez confiantes et démarrent sur les chapeaux de roue, comme si elles étaient sur le point d’accomplir quelque chose de significatif, mais à mesure qu’elles avancent, elles perdent de leur enthousiasme et s’enfuient, c’est comme si elles se volatilisaient dans la nature. Quand on leur demande : « Sur quoi travailles-tu en ce moment ? Comment cette tâche avance-t-elle ? », elles répondent : « Cela ne va pas aboutir. » Néanmoins, elles ne parviennent pas à signaler dans un délai raisonnable qu’elles sont incapables de faire avancer les choses, elles retardent le travail pendant deux ou trois mois, sans obtenir aucun résultat. N’est-ce pas rageant ? (Si.) De telles personnes sont vraiment détestables ! En plus de bien faire les choses au début, mais de les finir piètrement, les personnes de ce genre ont un autre problème : tout ce qu’elles font devient de plus en plus chaotique au fur et à mesure qu’elles le font. Au début, elles ont peut-être une ligne directrice sur le plan mental, quelques idées et un peu de structure, mais à mesure qu’elles continuent, leurs pensées deviennent confuses. Elles perdent de vue la raison pour laquelle elles ont entamé cette tâche ou les résultats auxquels elles sont censées parvenir. Quand on leur conseille de chercher un peu, elles disent : « Il est inutile de chercher quoi que ce soit. Continuons simplement à faire les choses de cette façon, dans tous les cas, personne ne reste les bras croisés. » Tu vois, elles commencent par agir avec un dynamisme formidable, en fanfare. Mais à mesure qu’elles avancent, les choses s’évanouissent dans le néant. C’est beaucoup de bruit pour rien, il n’y a absolument aucun résultat. Si tu ne poses pas de questions sur cette tâche, si tu n’en assures pas le suivi ou si tu ne l’inspectes pas, elles la laisseront tomber à l’eau sans qu’elle ait été terminée, sans même faire un rapport. Où est passée la détermination qu’elles exprimaient au départ ? Elle a été oubliée. Et qu’en est-il du plan initial qu’elles avaient établi ? Il a disparu sans laisser de traces. Et les idées qu’elles avaient au début ? Elles ont disparu, elles ont été oubliées. C’est exactement le genre de créatures dont il s’agit ! Les personnes de ce type, quand tu vois leur enthousiasme initial, semblent être de vraies femmes ou de vrais hommes d’action. Mais en réalité, ces personnes sont complètement inutiles. Ce ne sont tout simplement pas des personnes qui agissent de manière terre à terre, ce sont des personnes inconstantes. Elles sont seulement disposées à être sous le feu des projecteurs, mais ne veulent pas endurer de souffrances et craignent de prendre des responsabilités. Tout ce qu’elles font reste inachevé. Quel genre d’humanité de telles personnes ont-elles ? (Une piètre humanité.) Dites-Moi, les personnes de ce genre peuvent-elles accomplir quoi que ce soit ? (Non.) Elles font toujours bien les choses au début mais les finissent piètrement, dans le chaos le plus complet, voilà leur style. Peu importe le devoir qu’elles font, elles se lancent de manière très enthousiaste, en écoutant de la musique et en chantonnant, mais au bout d’un moment, elles se désintéressent de ce travail, elles le laissent simplement tomber et démissionnent. Quelle sorte de créatures sont-elles ? De telles personnes ne sont-elles pas détestables ? (Si.) Elles endossent imprudemment des tâches, tout en sachant qu’elles pourraient ne pas être capables de les accomplir, en essayant de faire étalage de leurs compétences, en se vantant et en faisant de grandes déclarations. Ne connaissent-elles pas leurs propres capacités ? Si elles ne peuvent pas faire un travail ni produire de résultats, pourquoi ne le disent-elles pas, tout simplement ? Elles ne devraient pas retarder les choses ! Au lieu de cela, elles restent silencieuses, retardant ton travail tout en essayant de t’embobiner. N’ont-elles pas un caractère médiocre ? (Si.) Leur caractère est bien trop médiocre ! Peut-on confier à de telles personnes la tâche de gérer des choses ? (Non.) Sont-elles dignes de confiance ? (Non.) De telles personnes ne sont pas dignes de confiance. Si elles te donnaient leur parole, oserais-tu les croire ? (Non.) Quel genre de personnes sont-elles ? Ne sont-elles pas des imposteurs ? (Si.) Même si elles ne te trompent pas pour en tirer un gain financier ou dans un but sexuel, leur façon de se conduire et de gérer les choses est vraiment détestable et répugnante. Alors, pour quelle raison profonde ces personnes sont-elles aussi répugnantes ? Elles ont un caractère médiocre, elles ne restent pas à leur place dans leur façon de se conduire, elles aiment fanfaronner, elles aiment faire étalage de toutes les compétences qu’elles croient avoir, elles aiment être sous le feu des projecteurs et se mettre en avant. Elles ne s’en tiennent jamais à quoi que ce soit qu’elles font. En même temps, elles se surestiment et ignorent leur propre stature et le genre de tâches qu’elles sont capables de gérer. Pourtant, elles essaient quand même de faire étalage de leurs compétences, en endossant avec audace n’importe quelle sorte de travail important. Ensuite, même quand elles ne font pas bien ce travail et qu’elles retardent des affaires essentielles, elles restent indifférentes. Tant qu’elles sont sous le feu des projecteurs, tout va bien pour elles. Ne sont-elles pas des personnes abjectes, méprisables ? (Si.) Alors, ces personnes n’ont-elles pas une humanité très médiocre ? (Si.) Si vous rencontriez de telles personnes, oseriez-vous leur confier des choses essentielles ou importantes ? (Non.) Par exemple, si tu dois sortir pour prêcher l’Évangile et que tu as besoin que quelqu’un s’occupe de ton jeune enfant, à quel genre de personne devrais-tu demander de l’aide ? Oserais-tu choisir une personne de ce genre, qui n’a aucun sens des responsabilités, qui est incapable de maintenir le cap et qui n’est pas digne de confiance ? (Non.) Pourquoi ? Parce que cette personne pourrait perdre ton enfant. Si tu lui demandais comment ton enfant s’est perdu, elle dirait : « Je ne sais pas. Je me suis simplement assoupi un instant et l’enfant a disparu. Comment peux-tu m’en tenir responsable ? Cet enfant a des jambes et peut marcher tout seul, nous n’étions pas attachés l’un à l’autre. Tu ne peux pas m’en tenir responsable ! » Ces personnes vont même jusqu’à fuir leurs responsabilités ! Ne sont-elles pas des scélérates effrontées ? (Si.) Les questions de vie ou de mort ne peuvent en aucun cas être confiées à de telles personnes. Dans leur façon de se conduire, elles sont inconstantes et n’ont aucune intégrité ni aucune dignité. Quand des problèmes surviennent, elles ont le culot de recourir à l’effronterie et de nier les choses. Même si bien faire les choses au début, mais les finir piètrement est simplement une imperfection d’humanité, cette imperfection particulière constitue un problème extrêmement grave : il s’agit d’un problème d’intégrité. Certaines personnes aiment être sous le feu des projecteurs, et elles endossent des tâches avec enthousiasme, mais elles n’osent pas prendre des responsabilités. Dès qu’elles font face à des difficultés, elles fuient immédiatement la responsabilité et prennent leurs distances vis-à-vis de cette situation. Elles sont complètement irresponsables. Elles sont également particulièrement inconstantes et sont incapables de s’en tenir à quoi que ce soit qu’elles font. Quand le problème est grave à ce point, il ne s’agit plus simplement d’une imperfection d’humanité, il est question d’un caractère véritablement médiocre et d’une piètre humanité. Pourquoi dis-Je que de telles personnes ont une piètre humanité ? Parce qu’elles ne sont pas dignes de confiance : tu n’oserais pas leur confier quoi que ce soit. Peu importe la tâche que tu leur confies, elles l’acceptent vite, mais dès que tu tournes le dos, elles disparaissent et tu n’as aucune idée de ce qu’elles manigancent. Il pourrait même s’écouler plusieurs jours avant que tu ne les voies à nouveau. Si tu ne leur demandes pas comment cette tâche progresse, elles ne te feront pas de rapport, elles feront comme s’il ne s’était rien passé. Quelle sorte de créatures sont-elles ? Elles sont complètement irresponsables ! Même pour quelque chose d’aussi mineur que cela, elles ne passent pas le test et on ne peut pas leur faire confiance. Que pourraient-elles vraiment accomplir d’autre, selon toi ? (Rien du tout.) Si tu leur confies la garde d’un enfant, des problèmes pourraient survenir à tout moment. L’enfant pourrait tomber et se blesser, manger quelque chose qu’il ne doit pas manger ou, en jouant dehors, se perdre ou être enlevé par de mauvaises personnes : toutes ces choses sont des issues possibles, parce que ces personnes sont irresponsables et qu’elles ont un caractère extrêmement médiocre, qu’elles ne respectent aucune limite issue de leur conscience dans tout ce qu’elles font et qu’elles agissent uniquement pour satisfaire leurs propres désirs égoïstes, en ignorant tout le reste. Quand tu leur confies une tâche, elles se disent que refuser pourrait te faire perdre la face ; par souci de leur propre fierté, et pour satisfaire leur vanité, elles acceptent, mais ensuite, elles ne prennent absolument aucune responsabilité. Elles fanfaronnent, tout en ne parvenant pas à bien effectuer cette tâche. Voilà ce que signifie ne pas être digne de confiance. De telles personnes sont-elles bonnes ? (Non.) Les individus qui font bien les choses au début, mais les finissent piètrement peuvent-ils être élus dirigeants ? (Non.) Pourquoi ? (Ils pourraient nuire au travail de la maison de Dieu.) Exactement. Quand ils parlent et qu’ils font des promesses, ils ont l’air capables, et les gens sont prêts à faire confiance à ceux qui fanfaronnent. Mais quand il s’agit de faire concrètement des choses, leurs actes sont imprévisibles. Même s’ils font des erreurs, ils ne te le diront pas, et si des problèmes surviennent, ils ne t’expliqueront pas ce qui s’est passé. Tu espères ardemment qu’ils géreront bien les choses, mais ils finissent par tout gâcher et sont même complètement indifférents à ce sujet, ne considérant pas du tout ce que tu leur as confié comme une affaire sérieuse. Dans leurs actes, ils ont tendance à être inconstants. Certains d’entre eux n’agissent qu’en se basant sur leurs propres intérêts, leurs passe-temps et leur curiosité. Certains d’entre eux aiment attirer l’attention et n’agissent que dans ce but, et pour être vus. De tels individus sont inconstants et irresponsables, et ils sont incapables d’agir de manière terre à terre. Cela est assez problématique. Cela ne touche pas encore à la question de savoir s’ils ont une compréhension spirituelle, s’ils sont capables d’accepter la vérité, s’ils sont soumis, ou s’ils sont des personnes qui poursuivent la vérité, cela ne touche pas encore à ces aspects. Purement en termes de leur humanité, de tels individus ne sont pas dignes de confiance. Peuvent-ils être élus dirigeants ? (Non.) Les individus dont l’humanité n’est pas à la hauteur n’ont même pas assez de valeur pour être cultivés. Pourquoi ? Parce que leur caractère est trop méprisable, ils n’ont même pas l’intégrité et la dignité les plus élémentaires. Par conséquent, ils ne sont pas qualifiés, que ce soit pour être dirigeants ou pour être cultivés en tant que tels.
Maintenant, discutons de la prudence dans l’action. De quel genre de manifestation s’agit-il là ? (Il s’agit d’un mérite d’humanité.) Être prudent dans l’action, ne pas être irréfléchi, et être capable d’aborder calmement les situations quand elles se présentent et de chercher la vérité : il s’agit là d’un mérite d’humanité. Dans cette société malfaisante, au milieu de divers groupes d’individus aux antécédents complexes, tu dois aborder avec prudence l’émergence de diverses personnes, de divers évènements et de diverses choses. Même quand tu fais ton devoir dans la maison de Dieu, il y a quelques situations complexes parmi les diverses choses que tu rencontres, et tu devrais les aborder avec prudence. Par exemple, quand tu es confronté à des personnes malfaisantes qui provoquent des perturbations pendant que tu fais ton devoir, tu devrais d’abord apprendre le discernement, puis aborder cette situation conformément aux vérités-principes. Voilà l’attitude que tu devrais avoir envers ton devoir. Qu’implique le fait d’être prudent dans l’action ? Cela implique la raison d’une personne. Quand tu es confronté à des questions que tu ne parviens pas à percer à jour, tu dois te montrer prudent. Même si tu comprends certaines vérités, quand, pour autant, tu ne peux pas percer à jour l’essence et la cause profonde sous-jacentes de certaines questions particulières, dois-tu te montrer prudent ? (Oui.) De telles situations exigent encore plus que tu fasses preuve de prudence. Être prudent, ce n’est pas être craintif ni avancer à petits pas, et ce n’est pas non plus ne pas oser agir ou avoir peur de prendre ses responsabilités, cela n’a pas de rapport avec ces choses-là. La prudence dont il est question ici désigne un mérite d’humanité. Quelles sont les manifestations spécifiques de la prudence. C’est quand, lorsque tu fais quelque chose, tu cherches d’abord les vérités-principes, puis que tu cherches les étapes de pratique spécifiques, le chemin de pratique spécifique et les issues escomptées pour cette tâche ou ce travail. Autrement dit, tu abordes les questions importantes et ton propre devoir avec un cœur circonspect et prudent. Bien entendu, certaines personnes sont aussi particulièrement prudentes quand elles abordent divers problèmes auxquels elles sont confrontées dans leur vie quotidienne. Elles ne sont pas négligentes, au contraire, elles sont incroyablement prudentes. Ce n’est pas là une mauvaise chose. On peut également appeler cela un mérite d’humanité, et non un défaut. On peut dire que la prudence est un mérite d’humanité. Avoir une attitude prudente ne peut qu’être bénéfique aux gens et cela ne les contraindra et ne les entravera absolument pas, en aucune manière. Si tu n’oses pas intervenir quand des problèmes se présentent, si tu n’oses rien faire ou que tu n’oses pas interagir avec qui que ce soit, si tu as peur qu’une feuille qui tombe heurte ta tête, alors c’est là être excessivement prudent. Vivre dans ton propre petit monde en permanence, passer ton temps à être excessivement méfiant, est-ce là de la prudence ? (Non.) Avoir peur d’être escroqué si tu sors faire des courses, avoir peur de perdre de l’argent si tu ouvres un magasin, avoir peur, si tu achètes une maison, que celle-ci finisse par être un bien stigmatisé, avoir peur, si tu achètes un ordinateur, que celui-ci ait des virus, être si paralysé par une peur excessive que tu n’oses rien faire et que tu as du mal à faire un seul pas : il ne s’agit assurément pas là des manifestations du genre de prudence dont nous parlons ici. Ces manifestations indiquent qu’une personne est ignorante, bonne à rien et craintive, immature, et dénuée de capacité à vivre de manière autonome. Ce sont là des manifestations d’un calibre médiocre. Autrement dit, quand de tels individus font face à cette société malfaisante et à des groupes de gens complexes, ils ne disposent d’absolument aucune parade. Ils sont constamment inquiets, craintifs, ils ont si peur qu’ils se replient sur eux-mêmes et n’osent pas aller de l’avant. Soit ils ont peur qu’on les dupe ou qu’on les escroque, soit ils ont peur qu’on leur nuise ou qu’on les assassine. Ils n’osent pas interagir avec qui que ce soit ni gérer aucun problème. Quand ils vont travailler, ils ont peur qu’on ne leur verse pas leur salaire. Certaines femmes n’osent même pas travailler de crainte d’être maltraitées. Certaines personnes n’osent même pas sortir de chez elles, craignant de rencontrer de gens malintentionnés, et elles ont peur de se faire détrousser si elles achètent des choses. En bref, elles ont peur de tout. N’est-ce pas là être excessivement prudent ? C’est être trop méfiant. Ces personnes ne sont-elles pas folles ? Certaines ont ce genre de mentalité, elles s’inquiètent toute la journée de ceci et de cela, et le résultat est qu’elles n’osent pas gérer le moindre problème ni aller à la rencontre des autres, elles ne peuvent que rester chez elles. De quel genre de personnes s’agit-il ? (Ces personnes sont folles.) Elles sont folles, elles sont anormales, elles sont non-humaines. Les personnes de ce genre sont dépourvues de toute capacité à porter des jugements, de tout principe ou norme minimale dans tout ce qu’elles font, ce sont des bêtes réincarnées, elles n’ont pas une humanité normale, et ce n’est pas être prudent que d’être trop méfiant. Que signifie la prudence ? Être prudent signifie agir de façon mesurée, méthodique et respectueuse des règles, et, sur la base de ce principe, agir de façon assez rigoureuse et, quand il se passe quelque chose, être calme, ne pas se montrer hâtif, imprudent ou impulsif, et être capable de rechercher les vérités-principes et des méthodes sages. C’est ce que l’on appelle de la prudence, et seule cette prudence est un mérite d’humanité.
Beaucoup de gens aiment fanfaronner et se vanter. C’est là également une tendance de la société malfaisante. Beaucoup de gens parlent en exagérant, ils inventent des choses inconsidérément et parlent pour ne rien dire. Ce qu’ils disent ne s’aligne pas du tout sur les faits et ils lancent beaucoup de paroles en l’air. Ils se croient compétents malgré tout, n’ayant aucun sens de l’intégrité et de la honte. De telles personnes sont-elles dignes de confiance. (Non.) De telles personnes sont-elles intègres et dignes ? (Non.) Ces personnes n’ont ni intégrité ni dignité, elles ne sont pas dignes de respect et ne sont pas dignes de confiance. Peut-on donc leur confier des affaires importantes ? (Non.) Alors, quel genre de problème constitue le fait d’aimer se vanter ? (Il s’agit d’une imperfection de l’humanité d’une personne.) Il s’agit d’une imperfection d’humanité, mais il faut également examiner l’humanité de cette personne et se demander si son humanité est malfaisante et si cette personne peut accepter les choses positives. Si elle est simplement méprisable et que, influencée par sa vie de famille ou son environnement social pendant des années, elle a pris la mauvaise habitude de se vanter et de fanfaronner, en parlant de manière irresponsable et sans tenir compte des conséquences, alors il s’agit là simplement d’une imperfection de son humanité. Ce n’est pas une mauvaise personne, elle est simplement au niveau d’une personne gravement méprisable. Si une telle personne, en plus d’aimer se vanter, agit également de manière assez dominatrice et méchante quand elle interagit avec les autres, et que son but, en fanfaronnant et en se vantant est de réprimer les autres et de donner l’impression que ce dont elle se vante et ce qu’elle exagère est plus élevé, meilleur et très au-dessus de ce que les autres ont fait ou de ce qu’ils possèdent, alors le problème n’est plus que cette personne est méprisable. De quel genre de problème s’agit-il ? (Il s’agit d’un problème d’humanité malfaisante.) C’est le problème de l’humanité malfaisante. Alors, cela implique-t-il un tempérament corrompu ? (Oui.) Quel genre de tempérament corrompu ? (Un tempérament méchant.) Cette personne a un tempérament arrogant, méchant. Certaines personnes aiment se vanter simplement parce qu’elles sont gravement méprisables. C’est dû à leurs habitudes de vie et à leur milieu de vie. Elles ne comprennent tout simplement pas ce que signifie parler sincèrement, parler du fond du cœur, discuter de situations réelles ou parler de la vie et de questions appropriées. Elles n’ont pas cette conscience. Une telle éducation est absente dans leur famille et dans leur environnement scolaire, et encore plus absente une fois qu’elles entrent dans la société. Par conséquent, leur nature méprisable innée est très grave. Elles sont désinvoltes et n’ont pas une attitude convenable, elles aiment simplement fanfaronner et se vanter, et faire en sorte que les autres les tiennent en haute estime. Dans leur cœur, elles n’ont pas d’autres ambitions, d’autres désirs ni d’autres besoins. Si elles ne présentent que ces manifestations, elles sont simplement méprisables. Il s’agit là d’une imperfection de leur humanité. Mais si leur vantardise a un but et qu’en se vantant, elles se présentent elles-mêmes comme étant hautement compétentes et exceptionnellement douées, ainsi que supérieures aux gens ordinaires, différentes d’eux et très au-dessus d’eux, alors le problème n’est plus qu’elles sont méprisables. Leur amour de la vantardise est guidé par une réflexion spécifique, il est motivé par une folle envie de statut, par l’ambition et le désir. Elles utilisent la vantardise comme un moyen de réprimer et d’impressionner les autres, pour qu’ils se sentent inférieurs et moins bons qu’elles, pour qu’ils fassent preuve de déférence à leur égard et qu’ils leur obéissent. Voilà la malfaisance de leur humanité. Leur amour de la vantardise vise à prendre le dessus : « Tout ce que tu as, je l’ai aussi. Tout ce que tu peux faire, je peux le faire aussi. Tout ce que tu sais, je le sais aussi. Tout ce que tu as vu, je l’ai vu aussi. Je ne te suis pas inférieur ! » Il arrive même que, si tu as mangé une nourriture particulière, elles affirment l’avoir fait également, alors qu’elles n’y ont manifestement jamais goûté, et ce n’est pas tout, elles diront qu’elles en ont mangé davantage et que la nourriture qu’elles ont mangée était meilleure que la tienne. Elles se vanteront même de choses qui n’ont tout simplement pas eu lieu. Quel est l’objectif de leur vantardise ? De t’éclipser, de rivaliser avec toi et de t’amener à penser qu’elles valent mieux que toi, qu’elles n’ont rien à t’envier. Elles sont motivées par l’ambition et le désir. Alors, la manifestation d’une humanité motivée par une telle ambition et un tel désir est-elle simplement le fait d’être méprisable, ou est-il question d’une humanité malfaisante ? (Il est question d’une humanité malfaisante.) Cela implique-t-il un tempérament corrompu ? (Oui.) Quand on est motivé par l’ambition et le désir, il s’agit d’un tempérament corrompu. De quel genre de tempérament corrompu s’agit-il ? (Il est question d’arrogance et de méchanceté.) Exactement. Il y a ces deux types de tempérament corrompu : l’arrogance et la méchanceté. De plus, il y a aussi un peu de malveillance. Autrement dit, quoi que tu déclares, elles y réfléchissent toujours dans leur cœur, elles essaient toujours d’en faire quelque chose et elles abordent toujours cela avec des pensées malveillantes et des idées extrêmes. Par exemple, si tu dis : « La voiture de ma famille est une Toyota, c’est une voiture japonaise. » elles disent : « Les voitures japonaises ne valent rien. Les voitures allemandes sont meilleures. La voiture allemande que je conduisais avait non seulement d’excellentes performances, mais elle a également roulé pendant plus de dix ans sans tomber en panne, c’est bien mieux que ta voiture ! » Elles doivent absolument te damer le pion. Si tu dis : « Je ne suis même pas diplômé du secondaire. » elles disent : « Je suis diplômé du secondaire. Tu es jaloux de moi, n’est-ce pas ? » En réalité, elles ne sont même pas sorties diplômées du collège, mais elles veulent quand même te damer le pion. Elles aiment sentir que les autres sont jaloux d’elles et qu’ils les admirent. Tu vois, leur réaction aux informations qu’elles reçoivent de n’importe qui est toujours malveillante et extrême. Elles n’ont pas la pensée de l’humanité normale. Une personne normale, quand elle apprend que quelqu’un d’autre a quelque chose qui est positif, pourrait dire : « C’est formidable que tu aies cette chose. Pourrais-tu me parler de ses caractéristiques et de ses avantages spécifiques ? J’aimerais en savoir davantage là-dessus. » Un individu doté d’une humanité normale réagirait de cette façon, mais les personnes qui aiment se vanter n’ont pas une humanité normale. Elles se disent : « Pourquoi devrais-tu avoir cette chose et pas moi ? Même si je ne l’ai pas, je dois quand même dire que je l’ai, et qui plus est, je dois dire que la mienne est meilleure que la tienne ! » Si tu leur demandes de sortir cette chose et de te la montrer, elles disent : « Je ne te la montrerai pas ! » alors qu’en réalité, elles ne l’ont pas du tout. Cela est-il malveillant ? (Oui.) En d’autres termes, quand il leur arrive quoi que ce soit, ou quand elles voient ou reçoivent la moindre information, leur réaction est toujours extrême, en contradiction avec l’humanité, et malveillante, de sorte qu’il y a également une certaine malveillance dans leur tempérament. Pour dire les choses autrement, quand tu discutes ou échanges avec elles normalement, et que tu n’as pas l’impression d’avoir dit quoi que ce soit qui puisse provoquer une réaction mentale injustifiée, leur esprit est déjà plein d’une multitude de pensées. Elles sont déjà jalouses de toi, et se montrent rebelles et haineuses à ton égard, tout en voulant te réprimer. Leur esprit est consumé par ces choses. Ne dirais-tu pas que c’est malveillant ? (Si.) Les personnes malveillantes ne sont pas pures. La plupart des expressions, des paroles et des actes qu’elles révèlent sont en contradiction avec la conscience et la raison de l’humanité normale. Il est possible qu’il y ait une certaine agressivité dans leurs paroles. Outre le fait d’être agressives, certaines de ces paroles peuvent être fausses, et certaines peuvent être des vantardises. C’est parce qu’elles ont des pensées malveillantes en elles et que, poussées par ces dernières, elles prononcent des paroles qui sont toutes des mensonges, qui émanent toutes de Satan et des démons. De telles personnes n’ont aucune humanité. Elles sont non-humaines. Les personnes qui aiment se vanter et fanfaronner peuvent être classées dans deux catégories. Ces personnes devraient être caractérisées sur la base de l’essence de leur humanité. Autrement dit, on doit examiner si elles sont méprisables et si leur humanité est malfaisante pour juger du problème qu’elles ont. Si elles ont une humanité malfaisante et qu’elles sont gravement méprisables, capables de commettre de nombreux actes malfaisants, alors ce ne sont pas de bonnes personnes et elles devraient être caractérisées comme des personnes malfaisantes. Cependant, si elles se livrent simplement à quelques fanfaronnades et qu’elles sont un peu méprisables, mais qu’elles ne peuvent pas se résoudre à commettre la moindre mauvaise action, qu’elles ont encore une certaine conscience et une certaine raison, et qu’elles peuvent également faire certaines bonnes actions, alors on peut encore les considérer comme des personnes qui ont une bonne humanité. Ce n’est pas là un problème majeur et, si leur calibre est bon, elles peuvent même être élues superviseuses, dirigeantes ou ouvrières. Même si ces deux types de personnes fanfaronnent et qu’elles aiment se vanter, le tout est de savoir si leur humanité est bonne ou malfaisante. Si elles sont simplement méprisables, il s’agit là d’une imperfection de leur humanité et cela n’implique pas un tempérament corrompu. Cependant, si des intentions et de l’ambition se cachent derrière leur vantardise, alors cela indique une humanité malfaisante, et cela implique bien un tempérament corrompu. Pour ce qui est de leur humanité, celle-ci est malfaisante. Les tempéraments corrompus que cela implique sont l’arrogance, la malveillance ou la méchanceté. Cela implique à la fois un caractère médiocre et des tempéraments corrompus, n’est-ce pas ? (En effet.)
Discutons d’une autre manifestation : la négligence. À quel aspect se rattache le fait d’être négligent dans tout ce que l’on fait ? (Il s’agit d’une imperfection de l’humanité d’une personne.) Les personnes de ce genre considèrent toutes choses de façon vague et générale, elles sont incapables de saisir les points clés. Tout ce qu’elles font est bâclé. Elles sont incapables de faire un travail méticuleux, comme du travail textuel ou de la gestion de documents. Elles sont également incapables de gérer des tâches qui nécessitent de la précision. Quand elles confectionnent des vêtements, elles cousent parfois des jambes de pantalons là où il devrait y avoir des manches, elles transforment parfois des manches longues en manches courtes, ou réduisent une taille de 65 à 60 cm. Elles font les vêtements soit trop grands soit trop petits. Peu importe ce qu’elles font, elles sont constamment si négligentes, si imprudentes et si maladroites qu’elles sont incapables de bien faire quoi que ce soit. À quel point exactement peuvent-elles se montrer négligentes ? Quand elles sortent pour s’occuper de quelque chose, elles peuvent même oublier d’apporter ce qu’elles sont censées apporter. Par exemple, quand elles rencontrent un avocat en vue d’un procès, elles oublient d’apporter leur carte d’identité, ainsi que les preuves demandées par l’avocat. Elles oublient de nombreuses choses. Parfois, elles ne savent même pas où elles ont mis leurs possessions importantes et ne font aucun effort pour s’en souvenir. Par conséquent, elles perdent et oublient souvent des choses, et ce qu’elles font est complètement chaotique, à l’instar de leur vie quotidienne. De telles personnes ne sont jamais sérieuses dans leur façon de traiter leur travail ou leur devoir. Tout ce qu’elles font est toujours sommaire et bâclé, elles n’ont toujours qu’une vague impression des problèmes qu’elles observent, elles n’ont toujours qu’une compréhension vague des paroles qu’elles entendent, elles ne parlent toujours qu’en termes vagues et généraux, et ne gardent toujours en mémoire qu’un vague aperçu des choses. Par conséquent, elles sont incapables de gérer un travail important ou confidentiel. Elles ne sont pas faites pour de telles tâches. Si leur négligence ne concerne que leur vie personnelle ou leur hygiène, sans affecter les autres ou les questions importantes, quelles qu’elles soient, alors il s’agit simplement d’une imperfection de leur humanité. Quel que soit le problème qui survient, elles peuvent seulement prendre leurs propres responsabilités, et c’est tout. Cependant, si leur négligence concerne leur devoir, un travail important, le destin et les perspectives de quelqu’un, le fait que quelqu’un reste ou parte, et ainsi de suite, alors de telles personnes ne conviennent pas pour ce qui est de gérer ces questions, parce qu’elles sont trop négligentes. D’une part, elles ne sont pas méticuleuses quant à ces questions. Elles se contentent d’y jeter un vague coup d’œil, étant trop paresseuses pour se servir de leur cerveau ou pour y consacrer leurs pensées et leur énergie afin les gérer. D’autre part, leur style et leur approche pour faire les choses sont invariablement sommaires et bâclés, et elles perdent et oublient souvent des choses. Si cela ne concerne que leur vie personnelle, ce n’est pas un problème majeur. Cependant, si cela concerne un travail important ou des questions confidentielles, elles peuvent semer la pagaille ou même provoquer une catastrophe majeure. Par exemple, supposons qu’une personne ait besoin d’aller à Paris de manière urgente, mais que, du fait de sa négligence, elle achète un billet d’avion pour Rome à la place. La personne en question est même assez contente d’elle, et dit : « Le billet que j’ai acheté aujourd’hui n’était vraiment pas cher ! » D’autres personnes le regardent et disent : « Bien sûr que ce billet n’était pas cher, tu étais censé aller à Paris, pourquoi as-tu acheté un billet pour Rome ? » C’est là être bien trop négligent ! De telles personnes considèrent toutes choses avec une attitude dédaigneuse et superficielle. Elles se contentent de jeter un simple coup d’œil à quelque chose pour s’en faire une vague idée et en restent là. Voilà précisément le genre d’attitude irresponsable dont elles font preuve. Bien entendu, cette attitude est également caractérisée par le fait qu’elles ne veulent mettre tout leur cœur dans rien, et par la paresse : elles sont trop paresseuses pour mettre tout leur cœur dans quoi que ce soit, pour se servir de leur cerveau ou pour réfléchir quand elles gèrent une quelconque affaire. Les personnes négligentes de ce genre ne conviennent pas pour faire un travail important, en particulier quand il s’agit de tâches qui impliquent un travail textuel, la gestion de documents ou un travail faisant appel à des compétences professionnelles confidentielles. Alors, si de telles personnes deviennent dirigeantes, peuvent-elle se montrer à la hauteur ? (Non. Elles ne font jamais leur travail correctement, elles le font toujours sommairement, de façon approximative, et il reste toujours inachevé. Elle sont incapables de faire un travail réel.) De telles personnes ne font pas leur travail de façon minutieuse, elles se montrent toujours sommaires et brouillonnes, elles gèrent les choses de façon superficielle, pour la forme. Ce qu’elles disent est également toujours vague et elles ont tendance à utiliser des termes tels que : « en gros », « peut-être », « sans doute » ou « éventuellement ». De telles personnes ne peuvent rien réaliser. De nombreux aspects du travail dans la maison de Dieu, comme le travail administratif, le travail lié au personnel, le travail lié à la vie d’Église et le travail d’évangélisation impliquent des détails spécifiques. Quand des personnes négligentes font face à un travail minutieux, elles ont mal à la tête et se sentent perdues, elles se sentent oppressées. Elles ne sont pas disposées à se lancer dans un travail aussi minutieux. Elles ont cette attitude paresseuse, de sorte que lorsqu’il s’agit de travailler, elle se disent toujours : « Travailler de façon sommaire, ce n’est rien de grave. Après tout, c’est plus ou moins de ce que disent les arrangements de travail. » Elles conservent toujours cette mentalité du « à peu près ». Est-il possible de bien faire le travail de cette façon ? (Non.) Quand elles évaluent les gens, elles le font également de façon approximative, elles évaluent les dirigeants et les ouvriers grossièrement, et elles évaluent les superviseurs de chaque équipe de la même façon. Quand quelqu’un demande : « Depuis combien de temps ce superviseur croit-il en Dieu ? » elles répondent : « Depuis plus de trois ans, a priori. » Mais il se pourrait qu’un individu qui croit en Dieu depuis trois ans n’ait pas encore établi de fondement. Un tel individu peut-il être fiable en tant que superviseur ? Les personnes négligentes ne peuvent tout simplement pas percer cela à jour. C’est la raison pour laquelle leur discours est émaillé de termes tels que : « en gros », « peut-être », « sans doute » ou « éventuellement » et « a priori ». Elles n’utilisent tout bonnement jamais de termes précis. Quand quelqu’un demande : « Cet individu a-t-il jamais servi en tant que dirigeant tout en croyant en Dieu ? » Elles répondent : « A priori non, parce que je ne l’ai pas entendu en parler. » Tu vois, elles ne traitent jamais rien de façon méticuleuse. Si tu les presses de donner des détails, elles se reposent simplement sur leurs sentiments et leurs impressions. Elles ne diront jamais : « Je vais tout de suite m’en informer et vérifier. » Elles ne traitent tout simplement pas cela de façon méticuleuse. En toutes choses, elles considèrent que tout va bien du moment que c’est « à peu près bon » ou « plus ou moins ça ». Certaines personnes disent : « Pourquoi devrait-on vivre de façon aussi méticuleuse ? » Même si c’est vrai à un égard – on peut se montrer un peu approximatif pour les questions se rapportant à la vie charnelle – quand il s’agit du travail d’Église, on ne peut pas se montrer approximatif. Être approximatif dans le travail affecte les résultats de ce travail. Quel que soit l’aspect du travail concerné, on ne peut jamais obtenir de bons résultats qu’en raison d’une planification, d’arrangements, d’un suivi, d’une supervision et d’incitations spécifiques. Si des tâches sont effectuées de façon sommaire et hâtive, aucun travail ne peut jamais produire de résultats. Par conséquent, la négligence est une imperfection de l’humanité d’une personne et les personnes négligentes de ce genre ne sont pas au niveau pour faire un travail important. En particulier, elles ne sont pas au niveau pour faire le travail des dirigeants et des ouvriers. Quelle que soit la question, de telles personnes n’en ont jamais qu’un vague aperçu, puis elles supposent qu’elles la comprennent. Par exemple, en ce qui concerne le travail consistant à établir des Églises, en ce qui concerne la façon d’établir une Église, le nombre d’individus nécessaires pour établir une Église, le nombre d’Églises qui forment un district, le nombre de districts qui forment une région : les arrangements de travail de la maison de Dieu ont des règles spécifiques pour tout cela, ainsi que des règles spécifiques supplémentaires pour les circonstances particulières. Cependant, les personnes négligentes ne cherchent pas et à s’informer de ces règles et n’essaient pas non plus de le faire. Néanmoins, elles affirment quand même savoir comment procéder. Quand on leur demande de donner des détails, elles répondent : « Il s’agit simplement d’établir des Églises. Une fois qu’il y a un certain nombre d’individus, on en établit une. » Mais quand on leur demande : « Spécifiquement, comment devrait-on établir cette Église ? » elles ne le savent pas et ne peuvent donner aucun détail. Si une personne venait d’être nommée dirigeante et qu’elle ne savait pas encore comment établir une Église, ce serait compréhensible. Le problème est que ces personnes ne le savent pas, mais qu’elles ne sont pas non plus méticuleuses à cet égard, qu’elles n’étudient pas et qu’elles ne cherchent pas non plus. De telles personnes peuvent-elles bien faire le travail de l’Église ? (Non.) À de telles personnes, nous n’avons que deux mots à dire : « Démissionnez ! » Ces personnes ne sont pas au niveau pour faire un travail de direction. Aucun travail n’est plus complexe que celui qui implique les frères et sœurs. Si tu n’as pas un cœur prudent et responsable, que ton travail est sommaire et que tu ne le fais pas de manière méticuleuse, alors peu importe la qualité de ton calibre, tu ne seras pas au niveau pour jouer ce rôle. Être trop négligent, tout faire de façon approximative uniquement, ne se concentrer que sur les grandes lignes, ne s’attacher qu’à agir machinalement, ne pas se concentrer sur les détails, ne pas savoir qu’il faut traiter les choses avec minutie : tout cela signifie que tu n’es absolument pas au niveau pour faire le travail des dirigeants et des ouvriers. C’est compris ? (Oui.)
La négligence est une imperfection d’humanité. Alors, être méticuleux et scrupuleux quand on agit, et être également capable de saisir les points centraux, les points clés, être capable d’identifier où se trouvent les problèmes et de percer à jour l’essence des problèmes est-il un mérite d’humanité ? (Oui.) L’attitude des personnes méticuleuses quand elles agissent est assez appropriée. Elles sont plutôt méticuleuses et sérieuses quand elles agissent, elles sont capables de se calmer et de ne pas être imprudentes. Il s’agit là d’un mérite d’humanité. Bien qu’une personne qui possède ce mérite d’humanité puisse entreprendre un travail à plein temps, si elle est trop lente quand elle agit et que son efficacité au travail n’est pas élevée, alors les résultats ne seront pas très bons. Qu’est-ce que cela implique ? Cela implique le calibre, l’une des conditions innées. Penses-tu que tous ceux qui sont méticuleux peuvent nécessairement faire du bon travail ? Cette opinion est incorrecte. Certaines personnes sont trop méticuleuses quand elles agissent, au point d’être un peu névrosées. Par exemple, quand elles nettoient des légumes, elles lavent l’endroit des feuilles, puis l’envers, elles éliminent toutes les feuilles jaunies, enlèvent chaque trou d’insecte, pour s’assurer que ces légumes sont entièrement propres. Se montrer méticuleux quand on agit est un mérite d’humanité, mais si l’on est excessivement méticuleux, au point d’être dénué de principes, et que l’on fait des choses excessivement futiles, alors tout cela devient inutile et inefficace. C’est l’indication que l’on a un calibre médiocre, que l’on est incapable d’accomplir des choses et incapable d’endosser du travail. Certaines personnes qui sont méticuleuses quand elles agissent saisissent les principes, elles saisissent les points centraux, les points clés, agissent vite et adroitement, en faisant preuve d’un jugement rapide, et elles sont capables de résoudre les problèmes rapidement. C’est là avoir un bon calibre. Être méticuleux quand on agit n’équivaut pas à être efficace et cela ne signifie pas non plus que l’on parvient à de bons résultats quand on agit. Cela veut seulement dire que l’on est capable de rester patiemment concentré, d’être calme, de ne pas être imprudent, de ne pas être ostentatoire et de ne pas être irréfléchi. Tout au plus, il s’agit seulement là d’un mérite d’humanité, et ce n’est pas à la hauteur d’un bon calibre. Certaines personnes sont assez méticuleuses quand elles agissent, elles paraissent assez consciencieuses, elles ne sont ni hâtives ni confuses, et elles sont assez calmes. Cependant, elles sont inefficaces dans la gestion des problèmes, elles sont incapables de classer les choses par ordre de priorité en fonction de leur importance et de leur urgence. Elles s’accrochent à des tâches insignifiantes et y travaillent sans fin, en rendant les autres nerveux et en les exaspérant, au point qu’ils ont terriblement envie de leur donner un bon coup de pied. Elles travaillent trop lentement, sans aucune efficacité, ce sont tout simplement des incapables ! Un individu doté d’une capacité de survie normale travaille dix ou vingt fois plus vite qu’elles. Elles agissent trop lentement et elles ont beau faire, elles ne trouvent aucune méthode, elles ne trouvent pas de principes, elles n’ont pas le coup de main et manquent d’efficacité. Une tâche qui devrait prendre une heure peut leur prendre toute une journée, une tâche qui devrait prendre un jour peut leur en prendre cinq, et une tâche qui devrait prendre cinq jours peut leur en prendre dix, ce qui te met en colère et t’exaspère rien qu’en les regardant. Certaines femmes sont lentes à gérer les affaires. Sachant très bien qu’elles doivent bientôt sortir pour s’occuper de quelque chose, elles insistent quand même pour se laver les cheveux. Quand elles se lavent les cheveux, elles ne parviennent pas à trouver une méthode. Au lieu de se laver entièrement les cheveux d’un seul coup, elles se les lavent mèche par mèche, et au bout d’une demi-heure, elles n’ont toujours pas fini. Ne sont-elles pas folles ? Comme qu’elles se lavent les cheveux, elles finissent par retarder les affaires convenables. Plus les problèmes sont pressants, moins elles éprouvent un sentiment d’urgence, et elles s’attachent même à gérer ces affaires insignifiantes, retardant les affaires importantes sans éprouver d’angoisse ni de nervosité. Si tu les presses, elles ont même tout un tas d’excuses : « Comment pourrais-je me contenter de laisser ces choses convenables inachevées ? » Quand tu vois de telles personnes, que te dis-tu ? Tu as vraiment envie de leur donner des coups de pied. De telles personnes ne le méritent-elles pas ? (Si.) En ce qui concerne les personnes de ce genre, même s’il y a du travail à faire, il est inutile de le leur faire faire. Elles travaillent trop lentement et sont trop ineptes ! Quand vous voyez de telles personnes, qui agissent comme un escargot, cela vous rend-il nerveux ? (Oui.) Elles disent : « Je suis méticuleuse dans mon travail ! » Je dis : « À quoi sert ta méticulosité ? Les autres ne sont pas beaucoup moins méticuleux que toi, mais ils font davantage de travail que toi et ils le font mieux. Ta méticulosité peut-elle produire des résultats ? C’est là l’essentiel. Si tu es méticuleux quand tu agis, que tu es également efficace et que tu obtiens de bons résultats, alors cette méticulosité a de la valeur. Mais si tu es simplement méticuleux quand tu agis et qu’en fin de compte, tu n’obtiens aucun résultat et que tu n’as aucune efficacité, est-ce utile ? C’est inutile ! » Certaines personnes sont extrêmement méticuleuses quand elles confectionnent des vêtements, mais elles se trompent toujours sur leur taille. Elles ne peuvent pas juger avec précision si ces vêtements iront à ceux qui sont censés les porter, elles ne savent pas si les manches sont trop longues ou trop courtes, ou si ces vêtements sont trop serrés ou trop amples, elles ne connaissent pas la largeur standard des poignets de ces vêtements et elles ne savent pas si leur col convient. Les vêtements confectionnés par de telles personnes ne seront assurément pas à la hauteur. Si une personne est méticuleuse et qu’elle a aussi des principes, il s’agit véritablement d’un mérite de son humanité. Mais si une personne est simplement méticuleuse et qu’elle n’a pas de principes, qu’elle est incapable de saisir les points clés, qu’elle fait sans cesse des histoires pour des problèmes sans importance et qu’elle ressasse inutilement ces problèmes, c’est énervant. Le mot « méticuleux » est en général considéré comme un terme positif par la plupart des gens, mais tous les cas de méticulosité ne correspondent pas à des mérites. Tout dépend de la situation. Certaines personnes sont méticuleuses de manière aveugle, sans aucun principe. Ce n’est pas là être méticuleux, mais être névrosé et incapable de saisir les points clés. Cela indique un calibre médiocre et c’est être incapable d’avoir le coup de main pour agir et être incapable de saisir les principes. Par conséquent, à Mon avis, même si la méticulosité en tant que manifestation ou façon d’agir est un mérite d’humanité, il faut également examiner le calibre de la personne. Si l’on ne tient pas compte du calibre, alors avoir une attitude méticuleuse quand on agit est malgré tout une bonne chose. Si l’on a à la fois du calibre et de l’efficacité quand on agit, que l’on est capable de respecter les principes et qu’en plus, on est méticuleux, cette méticulosité est vraiment la cerise sur le gâteau et il s’agit vraiment d’un mérite d’humanité.
Parlons d’une autre manifestation : le fait d’aimer se mettre en avant. À quel genre de problème cela se rattache-t-il ? (Au problème des tempéraments corrompus.) Par exemple, certaines personnes tapent très rapidement à l’ordinateur. Afin de faire savoir aux autres qu’elles ont ce point fort, elles font exprès de taper très bruyamment sur leur clavier, comme pour dire : « Écoute simplement le rythme de ma saisie et tu sauras à quelle vitesse je tape ! » Certaines personnes sont diplômées de l’université, alors elles disent souvent des choses comme : « à l’époque où nous étions à l’université… », « nos professeurs à l’université… », « notre campus à l’université… », et ainsi de suite. De quel genre de manifestation s’agit-il ? (C’est se mettre en avant.) C’est ce que l’on appelle se mettre en avant. Certaines personnes achètent une nouvelle voiture et ont peur que les autres ne sachent pas qu’il s’agit d’une célèbre marque de voitures haut de gamme. Après être sorties de leur voiture, ces personnes ne partent pas. Au lieu de cela, à un moment donné, elles regardent s’il y a des traces de doigts sur les vitres et l’instant d’après, elles vérifient s’il y a des éraflures sur la peinture. Pourquoi continuent-elles à traîner autour de la voiture ? C’est simplement pour faire savoir aux autres que cette voiture leur appartient. De quel genre de manifestation s’agit-il ? (Du fait de se mettre en avant.) Certaines personnes ont un téléphone haut de gamme. Pour le faire savoir aux autres, même si leur téléphone n’a plus de batterie, elles font quand même semblant de recevoir un appel. Comment appelle-t-on cela ? (C’est se mettre en avant.) Pourquoi ces personnes se mettent-elles en avant ? N’est-ce pas leur vanité qui est en jeu, ici ? Certaines personnes portent des manteaux de vison, et même après être entrées dans une pièce où il fait très chaud, elles n’enlèvent pas leur manteau. Quand on leur demande : « N’as-tu pas chaud ? » elles répondent : « Non. Je porte du vison, c’est très chaud ! » Elles présupposent que les autres n’y connaissent rien ! Quand elles enlèvent leur manteau, elles s’assurent de bien montrer son étiquette, elles en font étalage devant les gens : « Non seulement c’est un manteau de vison, mais il est de telle ou telle marque haut de gamme. Tu ne la connais même pas ! » Si les autres ne le savent pas, alors que mets-tu en avant ? N’est-ce pas là se mettre en avant pour rien ? Certaines personnes vont jusqu’à parader devant Moi, en disant : « Tu portes une veste en duvet de canard ? Tu devrais porter un manteau de vison, c’est très chaud ! » Je réponds : « C’est chaud, mais ce manteau est très lourd ! » Elles portent un manteau de vison et en font étalage devant Moi. Dis-Moi, de telles personnes qui aiment se mettre en avant ne sont-elles pas superficielles ? Pour ce qui est de leur humanité, elles ont deux problèmes. Le premier problème est qu’elles sont particulièrement superficielles. Quand il s’agit de leurs biens et de choses matérielles, comme la nourriture qu’elles mangent, les vêtements qu’elles portent et les objets qu’elles utilisent, elles veulent faire étalage de tout cela. Elles ne peuvent pas réprimer leur désir de se mettre en avant et veulent sans cesse faire étalage de ces choses devant les autres, en leur faisant savoir que les vêtements qu’elles portent et les objets qu’elles utilisent sont tous haut de gamme et exceptionnels. Quelle importance si les autres le savent ? Même si les autres le voient et qu’ils ne tiennent pas ces personnes en haute estime, elles en font étalage. N’est-ce pas superficiel ? (Si.) Elles sont superficielles et puériles, voilà l’autre problème qu’ont les personnes qui aiment se mettre en avant. Dites-Moi, qu’est-ce que ces personnes ont à gagner en se mettant en avant de cette façon ? Est-ce simplement pour qu’on remarque leur présence ? Est-ce nécessaire ? N’est-ce pas superflu ? (Si.) Dans les années 1980 et 1990, si les semelles des chaussures en cuir de quelqu’un s’usaient de manière inégale, la personne clouait des talonnettes en fer sur ses semelles, ce qui faisait beaucoup de bruit quand elle marchait. Certaines personnes clouaient des talonnettes en fer sur leurs chaussures en cuir toutes neuves avant même de les porter, simplement pour faire savoir aux autres qu’elles avaient une paire de chaussure en cuir. Cela leur donnait de l’assurance et leur faisait éprouver un sentiment de satisfaction. Leur croyance était la suivante : « Attirer l’attention des autres est une bonne chose. Cela prouve que j’ai du charme et mon existence se trouve validée. Je dois donc partager avec tout le monde mes atouts, mes points forts et les bonnes choses qui m’appartiennent. » Est-ce vraiment là partager ? C’est ce que l’on appelle s’afficher. N’y a-t-il pas beaucoup de personnes dans ce monde qui aiment s’afficher ? (Si.) Les gens pensent tous que c’est assez normal, n’est-ce pas ? Personne ne traite avec dédain de tels individus et personne ne les observe non plus en les regardant étrangement, parce que le monde est plein de personnes de ce genre qui sont obsédées par toutes sortes de plaisirs matériels et financiers, et par les plaisirs du statut. Par conséquent, ce monde glorifie ces choses. Dans la maison de Dieu, de telles personnes amènent les autres à se sentir révoltés et pleins de dédain. Pourquoi ? Parce que ceux qui croient en Dieu, depuis le début, lorsqu’ils établissent un fondement puis en viennent progressivement à comprendre la vérité ainsi que la valeur et le sens qu’il y a à être humain, se mettent à moins se soucier des plaisirs matériels et de certaines choses superficielles du monde. La pulsion intérieure qui les pousse à poursuivre les biens matériels s’atténue, les objectifs et la direction de leur poursuite changent, et les besoins de leur monde intérieur deviennent différents. Ils se mettent à avoir un point de vue différent sur les besoins matériels, ils ont l’impression que de telles choses sont toutes vides de sens et qu’elles ne peuvent pas satisfaire les besoins de leur cœur. Par conséquent, leur tendance à se mettre en avant et à faire étalage de toutes sortes de choses diminue. Quelles sont les choses que les croyants en Dieu pourraient tout au plus mettre en avant ou exhiber ? Ils pourraient faire étalage de choses telles que leurs compétences ou leurs points forts. Par exemple, certaines personnes qui aiment chanter veulent sans cesse que les autres entendent leur voix. Elles disent : « Écoute à quel point j’ai une belle voix ! » Elles craignent que les autres ne sachent pas qu’elles chantent bien et elles veulent constamment se mettre en avant à cet égard. Bref, aimer se mettre en avant est une imperfection d’humanité. C’est une manifestation d’immaturité, de puérilité et de superficialité au sein de l’humanité d’une personne. Quand les gens ne comprennent que certaines formules et doctrines et qu’ils n’ont pas vraiment gagné la vérité ou qu’ils ne sont pas vraiment entrés dans la vérité-réalité, ils sont très susceptibles de présenter le défaut consistant à aimer se mettre en avant, et cette imperfection d’humanité n’est pas facile à surmonter. La raison en est qu’avant que les gens aient gagné la vérité, les choses qu’ils peuvent mettre en avant et dont ils peuvent faire étalage constituent leur capital et leur aplomb pour vivre. Tu as de l’aplomb dans ta façon de te conduire et tu es motivé quand tu agis entièrement parce que tu te reposes sur des choses telles que l’apparence, l’allure, les points forts, le niveau d’éducation, les qualifications ou les compétences professionnelles pour vivre. Par conséquent, la plupart des gens, à des degrés divers, ont le défaut d’aimer se mettre en avant, et il n’est pas facile de surmonter cela, il n’est pas facile de se rebeller contre cela. Quand les gens comprennent la vérité et entrent dans la vérité-réalité, qu’ils ont une certaine stature et qu’ils se soucient moins de ce qui est sans rapport avec la vérité, ils en viennent à voir qu’il est inutile de se mettre en avant ou de se montrer, et que ces choses ne signifient pas qu’une personne a de l’humanité, ni qu’elle a une stature. Et bien entendu, cela signifie encore moins qu’une personne a été sauvée ou qu’elle est capable de se soumettre à la vérité et à Dieu. Donc, en ce qui concerne certaines personnes qui aiment se mettre en avant, quand celles-ci comprennent la vérité et entrent dans la vérité-réalité, ce désir s’estompe peu à peu, et elles surmontent inconsciemment cette imperfection de leur humanité, qui disparaît. Prenez par exemple le cas d’une personne qui porte un t-shirt assez coûteux. Quand ce t-shirt se trouve un peu sali accidentellement, la personne devient très nerveuse. Quelqu’un lui dit : « Pourquoi t’inquiètes-tu autant ? Tout ira bien si tu le laves, n’est-ce pas ? » Elle répond : « Sais-tu que ce t-shirt coute 200 yuans ? » Elle persiste à en évoquer le prix pour le faire savoir aux autres. C’est seulement alors qu’elle est satisfaite. Si cette personne comprend la vérité, elle pourra aborder de telles questions correctement quand celles-ci se présenteront à nouveau à elle. Elle ne parlera pas du prix et, à ce stade, sa vanité se trouvera restreinte dans une certaine mesure. Cela ne montrera-t-il pas que son humanité est devenue relativement mûre, qu’elle n’est plus aussi superficielle ni puérile ? (Si.) Le fait que cette personne aime se mettre en avant, et cette imperfection de son humanité, seront ainsi surmontés.
La manifestation suivante est le fait de mépriser les pauvres et de favoriser les riches. Certaines personnes, quand elles voient un individu aisé, s’attirent immédiatement ses bonnes grâces, en disant par exemple : « Tu as une jolie peau. Tu es superbe. Tu es si noble, même tes crachats valent davantage que nous autres, pauvres gens ! » Quand elles parlent à des gens riches et à ceux qui ont standing et statut, elles sont particulièrement gentilles, mais quand elles voient un agriculteur, elles ont toujours envie de s’en moquer, et leurs paroles, directement ou indirectement, le rabaissent. Elles ont une attitude complètement différente envers les pauvres et envers les riches. Elles sont prêtes à satisfaire les besoins des riches, au point même de devenir leur esclave de leur plein gré. Mais avec les pauvres, c’est une autre histoire : quand des pauvres font face à des difficultés et demandent de l’aide, elles les ignorent. La façon dont elles traitent les gens qui ont un standing et un statut social inférieurs est entièrement différente de la manière dont elles traitent ceux qui ont un statut social élevé. C’est là mépriser les pauvres et favoriser les riches. De quel genre de problème s’agit-il ? (Il s’agit d’une imperfection d’humanité.) S’agit-il d’une imperfection d’humanité ? De quel genre de problème au sein de l’humanité s’agit-il ? (Celui d’avoir un piètre caractère.) Il est question d’un problème de caractère au sein de l’humanité, du fait d’avoir un piètre caractère. Quand ces personnes voient des gens riches, elles deviennent des sous-fifres soumis, qui agissent de façon excessivement servile. Quand elles voient des gens pauvres, elles veulent agir comme si elles étaient leur maître. Quelle sorte de créatures sont-elles ? Traiter les gens de cette façon montre qu’elles n’ont aucun principe ! Les gens pauvres sont simplement un peu à court d’argent et leurs conditions de vie sont légèrement pires, en quoi t’ont-ils offensé ? Les gens pauvres ont-ils forcément une mauvaise humanité ? Les gens riches ont-ils forcément une bonne humanité ? Les personnes qui méprisent les pauvres et favorisent les riches évaluent-elles et considèrent-elles les autres en se basant sur les vérités-principes ? Ce n’est clairement pas le cas. Ces personnes croient que tous ceux qui ont de l’argent sont nobles et éminents et que tous ceux qui sont pauvres sont vils et inférieurs. Leur norme pour évaluer les gens est l’argent. De telles personnes sont-elles de bonnes personnes ? Comment décrire leur humanité ? (Leur humanité est mauvaise.) Quand elles voient un riche individu, elles arborent un sourire servile. Quand elles voient un individu pauvre, leur visage s’assombrit immédiatement ; leur visage change si rapidement ! Elles sont même prêtes à porter un pot de chambre pour quelqu’un qui est riche, mais pas à verser un verre d’eau à quelqu’un qui est pauvre. Quel genre de créatures sont-elles ? N’ont-elles pas un piètre caractère ? (Si.) Est-il bon que de telles personnes soient dirigeantes ? (Non.) Pourquoi ? En quoi sont-elles inaptes à jouer un rôle de dirigeantes ? (Elles n’ont aucun principe dans leur façon de traiter les gens et leur façon de sélectionner et d’utiliser les gens n’est pas basée sur les vérités-principes, mais sur le fait que quelqu’un a ou non un statut social et de l’argent. Si elles deviennent dirigeantes, elles promouvront ceux qui ont un statut et de l’argent. Si ces individus qui sont promus sont des personnes malfaisantes, alors des personnes malfaisantes détiendront le pouvoir dans l’Église et ce sera une catastrophe.) De telles personnes ne sont pas aptes à être dirigeantes. D’une part, elles ont un piètre caractère et aucune norme de conscience dans ce qu’elles font. D’autre part, si on les nommait dirigeantes, elles transformeraient l’Église en quelque chose qui ressemble à la société, l’Église qu’elles dirigeraient deviendrait un groupe social. Elles promouvraient ceux qui sont fortunés et influents, qui ont standing, statut et relations, qui prospèrent en société, elles feraient d’eux des chefs d’équipe et des superviseurs, tout en piétinant les agriculteurs, les gens pauvres, ceux qui sont peu éduqués et qui ne sont pas doués pour prononcer des paroles agréables, qui ont une bonne humanité, un calibre, et qui poursuivent la vérité, mais qui ont un statut social inférieur. Cela ne rendrait-il pas l’Église exactement comme la société ? Quelle différence y aurait-il ? Au sein de la société, ne sont-ce pas ceux qui sont fortunés et qui ont un statut qui détiennent le pouvoir ? Ne sont-ce pas ceux qui ont du standing, des relations, du pouvoir et de l’influence qui ont un statut et qui sont sous le feu des projecteurs à tous les niveaux, dans tous les domaines et dans tous les groupes au sein de la société ? Si la maison de Dieu était comme la société, serait-elle encore la maison de Dieu ? Elle ne serait plus la maison de Dieu et elle ne pourrait plus être qualifiée d’Église, ce serait un groupe social. Voilà exactement la conséquence quand des gens qui méprisent les pauvres et favorisent les riches deviennent dirigeants. De telles personnes deviennent les laquais de tous ceux qui ont un statut. Dites-Moi, les personnes qui agissent comme des laquais ont-elles des principes ? Ont-elles des limites dans leur façon de se conduire ? (Non.) De telles personnes n’ont aucun principe, aucune limite dans leur façon de se conduire. Quand elles sont confrontées à un environnement dangereux, elles pourraient se transformer en Judas. Si leur pays devait s’effondrer, elles deviendraient des traîtres. Si elles devenaient chef de gouvernement, elles deviendraient des traîtres à leur nation. Voilà exactement le genre de créatures qu’elles sont ! Par conséquent, elles ne sont pas aptes à être dirigeantes. La raison en est qu’elles ne feraient pas de travail réel et nuiraient aux frères et sœurs, qu’elles piétineraient tous ceux qui poursuivent sincèrement la vérité et qui ont de l’humanité, tout en promouvant ceux qui ont une humanité malfaisante, qui ont un statut et qui sont importants et influents au sein de la société. C’est en contradiction directe avec les principes de la maison de Dieu concernant la promotion des gens. Si de telles personnes devaient régner et détenir le pouvoir dans la maison de Dieu, le travail de l’Église pourrait-il se poursuivre sans heurts et sans obstacles ? (Non.) Le travail de l’Église et le peuple élu de Dieu se trouveraient anéantis à cause de ces personnes. Ces personnes s’entendraient entre elles, elles s’utiliseraient les unes les autres et se soutiendraient. Les frères et sœurs qui poursuivent la vérité seraient marginalisés et écartés, ils pourraient même être tous affectés à des groupes B ou exclus, et ils se retrouveraient dos au mur. Cela ne pourrait-il pas arriver ? (Si.) À quoi ressemblent les relations entre ces personnes ? Quand elles se rassemblent, elles font les bons copains, se donnent l’accolade et se vantent de leur passé glorieux au sein de la société, elles parlent de ce qu’elles peuvent faire les unes pour les autres, puis demandent aux autres ce qu’ils peuvent faire pour elles, elles s’utilisent mutuellement. En quoi ces personnes sont-elles différentes des gens au sein de la société ? Quand elles sont ensemble, elles ne mangent pas et ne boivent pas la parole de Dieu, elles n’échangent pas sur la vérité, elles n’échangent pas sur leur compréhension personnelle par l’expérience, elles ne parlent pas de se connaître elles-mêmes, et elles ne dissèquent pas leurs tempéraments corrompus. Au lieu de cela, elles ne parlent que des succès qu’elles ont rencontrés au sein de la société, des choses qu’elles ont faites qui les ont mises sous le feu des projecteurs, de leur passé glorieux, des officiels avec lesquels elles ont été au restaurant, des officiels dont elles se sont attiré les bonnes grâces ; elles ne parlent que de ces choses-là. Ces personnes croient-elles en Dieu ? Elles rivalisent les unes avec les autres quant au statut, aux antécédents, aux capacités et aux moyens, tout en s’entendant entre elles et en s’utilisant les unes les autres ; voilà comment sont leurs relations. Si tu es une personne ordinaire ou un agriculteur qui ne peut rien faire pour elles, elles te considèrent comme quelqu’un qui est dépourvu de valeur, qui ne mérite vraiment pas qu’elles le remarquent, et elles te rejettent. De quoi parlent-elles quand elles sont ensemble ? Elles parlent de la marque de vêtements qui a sorti un nouveau produit, de la nouvelle voiture qui a été lancée sur le marché, de qui a acheté un diamant de plusieurs carats, qui a vu ses biens être mis aux enchères, qui a vu ses actions baisser ou augmenter, qui a vu son entreprise devenir publique, qui s’est attiré les bonnes grâces des représentants du gouvernement, qui s’est entendu avec quel gang, qui a donné combien de cadeaux et dépensé combien d’argent pour faire aboutir quelque chose, elles discutent de tout cela. Dites-Moi, n’est-ce pas répugnant ? Si elles parlaient sans cesse de ces choses dans l’Église, la vie d’Église et le travail de l’Église ne s’en trouveraient-ils pas perturbés et anéantis par ces personnes ? Dites-Moi, de telles personnes peuvent-elles être choisies comme dirigeantes ? (Non.) Ce sont des opportunistes. Quand vous découvrez de telles personnes dans l’Église, vous devriez les exposer et les évincer, la maison de Dieu ne garde pas de telles personnes en son sein. Les opportunistes dans la maison de Dieu ne sont là que pour faire dans l’à-peu-près et soutirer des bénédictions. Ils n’acceptent pas du tout la vérité et ils n’acceptent pas la moindre chose positive. En outre, ces personnes font leur devoir sans aucune sincérité. Elles ne veulent pas du tout se dépenser, elles veulent seulement obtenir des avantages. S’il n’y a pas d’avantages à obtenir, elles ne font rien. Tandis que les frères et sœurs se concentrent sur l’exécution de leur devoir et sur le fait de travailler avec application, elles mettent leurs devoirs de côté et se consacrent à des questions personnelles, elles se complaisent même dans la nourriture, la boisson et les divertissements. Elles vont également souvent sur Internet et passent beaucoup de temps à faire des recherches sur les sujets qu’elles aiment le plus ou sur ce qu’elles désirent le plus, comme la mode, la beauté, la coiffure et les produits de santé haut de gamme. Où qu’elles aillent, elles se pavanent et trompent les autres. Elles recherchent les gens comme elles, et quand elles trouvent quelqu’un qui leur ressemble, elles sympathisent immédiatement avec cet individu. Elles ne parviennent pas à bien s’entendre avec les véritables frères et sœurs et, au sein de l’Église, elles sont marginales et non-humaines. Quand vous voyez de telles personnes, vous devez les éviter. De plus, si la plupart des gens, ou vos dirigeants, ne font preuve d’aucun discernement et qu’ils les considèrent malgré tout comme des frères et sœurs qui croient réellement, vous devez intervenir pour les exposer et les évincer. Comprenez-vous à présent ? Pourquoi de telles personnes doivent-elles être évincées ? (Parce qu’elles provoquent facilement des perturbations dans l’Église, qu’elles engendrent une atmosphère négative et qu’elles peuvent influencer les autres quand ils font leur devoir et poursuivent la vérité.) Exactement, elles ruinent l’atmosphère qui règne dans l’Église. Elles-mêmes ne poursuivent pas la vérité et elles influencent les autres, elles sont un frein pour eux. Pour faire un travail qui vaut un dollar, elles exigent d’être payées dix dollars. Utiliser de telles personnes n’est même pas aussi utile qu’élever un chien. Au moins, un chien peut monter la garde et se montrer loyal envers son maître ! Il ne manœuvre pas de façon louche en coulisses et tu n’as pas à t’inquiéter qu’il cause des problèmes par la suite. Quelles seraient les conséquences si l’Église autorisait la présence de personnes qui méprisent les pauvres et favorisent les riches ? Ces personnes pourraient-elles aider le peuple élu de Dieu ? Pourraient-elles être bénéfiques aux autres ? (Non.) Une fois que les autres les révèlent et les percent à jour, elles devraient être évincées. Si on les autorise à rester, elles ne feront que perturber et interrompre le travail, elles ne feront que créer des problèmes et elles ne feront qu’apporter des calamités à l’’Église. Si l’on attendait qu’elles provoquent un désastre majeur et que l’on se contentait de réparer les dégâts qu’elles ont causés, ce serait très problématique. Nous ne voulons pas d’ennuis, nous préférons nous épargner ce souci. Il existe nombre de tâches et de devoirs que les gens devraient faire, il ne faut pas inviter ces problèmes.
Il y a des personnes d’un autre type : celles qui aiment se faire bien voir des gens qui ont du pouvoir. Les personnes qui cherchent à se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir sont-elles de bonnes ou de mauvaises personnes ? (Ce sont de mauvaises personnes.) En quoi sont-elles de mauvaises personnes ? Les personnes de ce genre sont profondément snobs. Quand elles voient que quelqu’un a un statut, elles font constamment tous les efforts possibles pour se faire bien voir de lui. Elles prennent l’initiative de parler à cet individu et de s’ouvrir à lui, elles lui servent à manger, elles lavent ses vêtements et font le ménage pour lui. Il n’y a rien qu’elles ne soient pas disposées à faire. Si tu n’as aucun statut, elles font semblant de ne pas te voir, et si tu prends l’initiative de les aborder, leur expression s’aigrit immédiatement. Sont-elles de bonnes personnes ? À quel aspect ce genre de problème se rattache-t-il ? (Les personnes de ce genre ont un piètre caractère et une humanité médiocre.) Elles ont une mauvaise humanité et un piètre caractère. Dans quelle mesure leur humanité est-elle mauvaise ? (Elles n’ont ni intégrité ni dignité.) Les personnes qui cherchent activement à se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir sont-elles de bonnes personnes ? (Non.) Alors, quel genre de personnes sont-elles ? À quoi ressemble le caractère des personnes qui aiment se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir ? Elles ont deux visages différents quand elles font face au même individu. Elles n’ont pas peur d’être percées à jour par les autres et montrent même librement ces aspects d’elles-mêmes. Ces personnes ont-elles le moindre sens de l’intégrité ou de la honte ? (Non.) Ces personnes qui n’ont aucun sens de l’intégrité ni de la honte peuvent-elles être classées comme des personnes malfaisantes ? (Oui.) Pourquoi peuvent-elles être classées comme des personnes malfaisantes ? Elles présentent deux visages différents dans leur façon de traiter les autres. Analysons la racine de ces deux visages différents. Ces personnes aiment particulièrement le statut et elles aiment les gens qui ont standing et pouvoir. Quand elles voient des gens qui ont un statut, elles sont tout sourire et se montrent entièrement obéissantes. Elles leur lèchent les bottes et cherchent à se faire bien voir d’eux, sans aucun scrupule, et elles les flattent sans vergogne. Que leur but soit de se faire bien voir de ces gens ou que leur arrière-pensée soit d’être appréciées et promues, leur attitude envers les autres est problématique et viole les vérités-principes. Alors, pourquoi ont-elles ce genre d’attitude vis-à-vis des gens qui ont un statut ? (C’est par souci de leurs propres intérêts.) Cela prouve qu’elles aiment particulièrement le statut. Elles-mêmes manquent de capacités, ou bien elles n’ont ni les qualifications, ni les conditions, ni les occasions nécessaires pour acquérir un statut. Cependant, en se faisant bien voir de ceux qui ont un statut et en se rapprochant d’eux, elles sont à même de satisfaire leur désir de statut. Par conséquent, elles peuvent chercher à se faire bien voir des autres et les flatter sans aucun scrupule ni aucune honte. Leur caractère est assez médiocre. Elles se moquent de savoir quel genre d’individu est celui qui a un statut, pas plus qu’elles ne discernent si l’humanité de cet individu est bonne ou mauvaise, ou si cet individu est malfaisant. Dès lors que cet individu a un statut ou de l’argent, et même s’il s’agit d’un individu malfaisant, elles essaieront quand même de se faire bien voir de lui. Ne sont-elles pas entièrement dépourvues de principes ? (Si.) Pour elles, tout ce que disent les gens qui ont un statut est correct et bon, et quelle que soit leur façon de parler, elles trouvent cela acceptable. Tant que quelqu’un a un statut, elles se montrent bienveillantes avec lui. Elles manquent complètement de principes et elles se montrent anormalement bienveillantes avec cet individu. Elles n’ont vraiment aucun sens de l’intégrité ou de la honte digne d’être mentionné. Elles ne se soucient pas de la façon dont les autres les considèrent ou les évaluent. Ce que les autres pensent d’elles leur importe peu. Elles se disent : « J’aime simplement les gens qui ont un statut. Je veux simplement me montrer bienveillante avec eux. Quel mal y a-t-il à avoir un statut ? Vous autres, qui n’avez aucun statut, n’êtes pas dignes de ma bonté ! » Les personnes de ce genre n’ont ni principes ni dignité. Elles ne se soucient pas de la façon dont les autres les voient, ni de la façon dont Dieu les évalue. Ces personnes ont un piètre caractère. Quand elles agissent ainsi, leur conscience ne ressent rien et leur raison n’a aucune norme pour ce qui est de porter des jugements. Elles n’ont aucune norme minimale et elles sont veules dans leur façon de se conduire. Quand elles rencontrent quelqu’un qui a un statut, elles se ratatinent, se mettent à ramper et deviennent comme des esclaves, elles adoptent une position de sous-fifre soumis face à cet individu. Quiconque a un statut devient leur maître. De telles personnes ont-elles de l’intégrité ou de la dignité ? (Non.) Elles sont même capables de s’adonner à la flatterie la plus répugnante envers les gens qui ont un statut, et elles osent le faire devant un grand nombre d’individus. Elles ne se soucient pas de l’opinion des autres ni de la façon dont ces derniers les voient et elles ont seulement pour but de satisfaire leurs propres désirs. C’est ainsi qu’elles agissent face aux gens qui ont un statut. Mais que se passe-t-il quand un individu qui a un statut vient à le perdre ? Elles changent alors de visage. Comment traitent-elles cet individu ? (Elles se mettent immédiatement à l’ignorer.) Leur visage s’assombrit immédiatement et leur attitude change complètement : « Tu as perdu ton statut, et tu veux quand même que je sois bienveillant à ton égard ? Tu peux toujours rêver ! » Si un individu qui a perdu son statut leur demande un verre d’eau, elles l’ignorent. S’il leur demande un coup de main, elles l’ignorent. S’il veut discuter à cœur ouvert avec elles, elles disent : « En es-tu digne ? Es-tu qualifié pour parler avec moi ? Pour qui te prends-tu ? » Comme leur tempérament est méchant ! Est-ce un crime que de ne pas avoir de statut ? Un individu change-t-il une fois qu’il a été démis de son poste officiel ? Ne reste-t-il pas le même individu ? Pour quelle raison cet individu est-il désormais indigne de parler avec de telles personnes ? Pourquoi de telles personnes ne peuvent-elles pas lui donner un coup de main ? Même s’il s’agissait d’un animal en difficulté qui a besoin de l’aide d’un être humain, les gens, par sens de la conscience, devraient malgré tout l’aider, s’en occuper avec douceur et en prendre soin, alors ils devraient le faire à plus forte raison s’il s’agissait d’un être humain, n’est-ce pas ? Pourtant, ces personnes n’ont même pas cette parcelle de bonté humaine. En plus de présenter ces manifestations, certaines personnes vont même plus loin. Elles se disent : « Précédemment, je me suis montré bienveillant à ton égard parce que tu avais un statut. Maintenant que tu as perdu ton statut, tu t’attends malgré tout à ce que je te respecte et à ce que je te permette de sauver la face, à ce que j’évite de te mettre dans une position embarrassante au cours des conversations, et à ce que j’obéisse à tes ordres comme avant ? Tu rêves ! Tu devrais être reconnaissant que je ne te piétine pas ! » Quelle sorte de créatures sont-elles, au juste ? Quand quelqu’un est en difficulté, non seulement elles ignorent cet individu, mais elles le piétinent en catimini, elles cherchent l’occasion de le tyranniser et de le réprimer. Quel genre de personnes sont-elles ? (Ce sont des personnes malfaisantes.) Leur vrai visage de personnes malfaisantes émerge de cette façon, n’est-ce pas ? Vis-à-vis des gens qui ont un statut, elles se comportent comme des sous-fifres soumis, elles sont d’une politesse méticuleuse, elles les saluent avec le sourire. Elles excellent pour ce qui est d’être servilement d’accord avec les autres. Si un certain officiel dit qu’on peut faire pousser des pommes de terre sur la Lune, elles ajouteront : « Les pommes de terre cultivées sur la Lune sont vraiment délicieuses ! » Mais quand ce fonctionnaire perd son statut, leur attitude change du tout au tout. Peu importe ce que cet officiel dit à présent, même si c’est exact, elles ne l’écouteront pas. Même si cet ancien officiel a une véritable compréhension, elles ignorent cela et refusent de l’accepter, elles le trouvent seulement déplaisant. Dans leur cœur, elles se disent : « Tu n’as aucun statut, alors rien de ce que tu dis n’a d’importance. Même si ce que tu dis est correct, à quoi cela sert-il ? Même si tu as la vérité-réalité, je ne t’aime toujours pas. J’aime simplement piétiner les gens qui n’ont pas de statut ; si je ne le fais pas, c’est une occasion manquée ! » Quelle sorte de créatures sont-elles ? Si tu n’as aucun statut, elles te trouvent déplaisant. Peu importe à quel point tu te montres bienveillant à leur égard, cela ne sert à rien. Tu as beau les mettre sur un pied d’égalité avec toi et les traiter conformément aux principes, cela ne peut pas changer leur attitude à ton égard. De telles personnes ont-elles de l’humanité ? (Non.) Quelle est la manifestation de leur manque d’humanité ? N’est-ce pas la méchanceté ? (Si.) Le tempérament des personnes qui aiment se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir est extrêmement méchant et Je trouve de telles personnes tout simplement répugnantes. Aux yeux de telles personnes, quand tu as un statut, tes défauts et imperfections sont tous vus comme des mérites et des points forts. Mais quand tu n’as aucun statut, tes points forts et tes mérites sont tous vus comme des défauts et des imperfections. Rien de ce que tu dis n’a la moindre importance et elles trouvent déplaisant tout ce qui te concerne. Elles veulent sans cesse te tyranniser, te piétiner et te réprimer. Elles ont un tempérament méchant, n’est-ce pas ? (En effet.) Elles tyrannisent ceux qui n’ont pas de statut comme elles l’entendent. Elles estiment que ne pas tyranniser les gens humbles est un péché. Même si tu ne les provoques pas, elles te critiqueront activement, elles te tyranniseront et te piétineront, en te prenant de haut, avec un immense mépris. C’est comme si ne pas avoir de statut était un péché, qui te rendait indigne de vivre ou de te trouver en leur présence, comme si tu ne devais tes ennuis qu’à toi-même et que tu méritais ton malheur en n’ayant aucun statut. Quelle sorte de créatures sont-elles ? Devrait-on autoriser de telles personnes à rester dans l’Église ? (Non.) Les personnes qui aiment particulièrement se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir peuvent-elles être élues dirigeantes ? (Non.) Pourquoi ? Parce que c’est exactement leur façon de se comporter vis-à-vis des gens qui ont un statut : si elles-mêmes devaient gagner un statut, ne deviendraient-elles pas autoritaires ? Ne s’érigeraient-elles pas comme des chefs suprêmes ? Ce serait désastreux ! Elles ne respecteraient ni les arrangements de travail de la maison de Dieu, ni les décrets administratifs de l’Église, ni les suggestions des frères et sœurs, et elles iraient jusqu’à réprimer ceux qui n’ont pas de statut, quoi qu’ils disent ou fassent. L’Église serait anéantie par ces personnes. Les personnes de ce genre ont un très fort désir de pouvoir et, une fois qu’elles obtiennent ce qu’elles veulent, les conséquences en sont inimaginables. Les personnes qui cherchent à se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir sont particulièrement méchantes et ont un caractère particulièrement médiocre. Quelles sont les principales caractéristiques de leur tempérament corrompu ? (La méchanceté.) La malveillance, la méchanceté et le fait d’avoir de l’aversion pour la vérité. Ce qui est particulièrement malveillant, c’est leur façon de présenter deux visages complètement différents quand elles font face à la même personne, en changeant extrêmement vite. N’est-ce pas malveillant ? (Si.) Même si des individus sans statut ne les provoquent pas, elles prendront l’initiative de les attaquer, de les tyranniser et de les piétiner. N’est-ce pas méchant ? (Si.) Que leur interlocuteur ait ou non un statut, elles ne peuvent pas agir conformément aux principes ni le traiter équitablement. Quand tu leur dis : « Dans la maison de Dieu, la vérité détient le pouvoir, et les gens sont traités équitablement », l’acceptent-elles ? (Non.) Cela entre simplement par une oreille et sort par l’autre, et elles pensent : « Quelle équité ? Les gens sont simplement soit supérieurs, soit inférieurs, soit nobles, soit vils. Ceux qui ont un statut sont nobles, ceux qui n’en ont pas sont des rebuts sans valeur ! » Voilà leur logique et leur principe pour ce qui est de considérer et de traiter les gens. Elles n’acceptent pas les vérités-principes et énoncent quand même leur raisonnement tordu. N’ont-elles pas de l’aversion pour la vérité ? (Si.) Elles abordent le statut et le pouvoir en utilisant leur propre logique et leurs propres principes quant aux relations mondaines, leurs propres points de vue sur les relations mondaines, et elles utilisent leurs propres principes et méthodes quant aux relations mondaines pour gérer ces questions, au lieu des exigences et des principes de la maison de Dieu pour ce qui est de la façon de traiter les gens. N’est-ce pas là ne pas accepter la vérité, s’opposer ouvertement à la vérité ? Dans leur cœur, elles pensent : « Si tu as un statut, alors tu es le patron dans mon cœur. » Dieu et la vérité n’ont aucune place dans leur cœur. Quel genre de tempérament est-ce là ? Être aussi autoritaire et aussi stupidement obstiné, n’est-ce pas là ne pas accepter la vérité ? N’est-ce pas là avoir de l’aversion pour la vérité ? (Si.) Il s’agit précisément d’un tel tempérament. Rien qu’en termes de leur humanité, de telles personnes ont un piètre caractère, elles sont tout à fait répugnantes et ne valent pas la peine qu’on les fréquente. Mais en termes de leur tempérament, la question n’est pas simplement de savoir si elles valent la peine d’être fréquentées. Ces personnes ont des tempéraments méchants, malveillants, et elles ne sont pas destinées au salut. Elles seront toutes punies et mourront. Leurs actes équivalent à un crime capital. Ces personnes cherchent aveuglément à se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir et elles ont l’attitude servile de petits toutous, ce qui est répugnant. À des postes de dirigeantes d’Église, ces personnes sont un danger. Si vous choisissez de telles personnes comme dirigeantes d’Église, vous irez droit au désastre. Certains dirigeants de district, étant stupides et incapables de percer les gens à jours, désignent même les personnes de ce type comme candidates à des postes de dirigeants d’Église, ce qui fait que les frères et sœurs dans l’Église sont dupés. Les personnes de ce type, qui sont douées pour lécher les bottes des autres et se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir, et qui, en apparence, sont très zélées et obéissent aux moindres paroles des dirigeants, sont facilement choisies comme candidates. La raison en est que certains dirigeants et ouvriers aiment les personnes qui leur lèchent les bottes et qui sont obséquieuses, et qu’ils sont incapables de percer à jour les conséquences qu’auront les actes des personnes hypocrites de ce type sur l’Église une fois ces personnes devenues dirigeantes. Souvent, une fois que de telles personnes ont été sélectionnées et qu’elles gagnent un statut, leur côté malintentionné apparaît immédiatement et elles se mettent à perturber l’Église. Les dirigeants qui les ont sélectionnées le regrettent quand ils voient que les personnes qu’ils ont choisies sont malfaisantes, mais ils ne peuvent pas remédier aux conséquences que les actes de ces personnes ont entraînées pour l’Église. Tout cela est entièrement la répercussion du fait que les dirigeants et les ouvriers ont des tempéraments corrompus et qu’ils agissent sans principes. Les personnes qui révèrent le statut et le pouvoir ne sont pas des personnes qui aiment la vérité. Elles cherchent à se faire bien voir de tous ceux qui ont un statut et elles arborent un sourire servile chaque fois qu’elles voient des dirigeants et des ouvriers. Certains dirigeants ne peuvent pas résister à la tentation, ils sont fous de joie en voyant des personnes avec un sourire servile et ils veulent les promouvoir pour mettre en avant leurs propres capacités. En fait, quand ces personnes les flattent et leur adressent des sourires serviles, elles ont des motivations sinistres, mais les dirigeants pensent que ces personnes sont réellement bonnes. Une fois que ces personnes deviennent dirigeantes, elles ne se soumettent à personne, et elles ignorent les dirigeants mêmes qui les ont promues. Ce n’est qu’alors que ces dirigeants se rendent compte que ces personnes ne sont pas bonnes et qu’ils ont promu les mauvaises personnes. Dans une telle situation, que faut-il faire ? Ne faut-il pas remédier à cette situation ? (Si.) Comment faut-il y remédier ? (Ces personnes devraient être immédiatement exposées, puis renvoyées.) Ces personnes ne peuvent pas faire un travail réel, ce sont simplement des personnes à l’esprit confus, qui savent seulement se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir et leur lécher les bottes. Les dirigeants devraient les renvoyer immédiatement et regretter d’avoir été aveugles des yeux comme du cœur à ce moment-là et incapables de discerner ces personnes, d’avoir choisi les mauvaises personnes. Actuellement, il est encore temps de remédier immédiatement à la situation. Êtes-vous à présent capables de percer à jour de telles personnes qui cherchent à se faire bien voir de ceux qui ont du pouvoir ? (Oui.) De telles personnes ne sont bonnes à rien.
Maintenant, parlons des manifestations impliquant les conditions innées. Avoir une mémoire exceptionnelle : de quel aspect cette manifestation relève-t-elle ? (Il s’agit d’une condition innée.) Avoir une mémoire particulièrement bonne, se souvenir des choses avec précision, mémoriser des articles, des passages des paroles de Dieu, des hymnes ou un arrangement de travail, tout cela particulièrement clairement et précisément : à quel aspect cela devrait-il se rapporter ? (Au fait d’avoir un bon calibre, une condition innée.) Il s’agit là d’une condition innée. Quant à savoir à quel aspect spécifique des conditions innées cela se rapporte, Je pense que cela ne devrait pas relever du calibre. S’il est simplement question d’avoir une bonne mémoire, d’être capable de se souvenir des choses, de se souvenir de beaucoup de choses, de se souvenir des choses avec précision et de se souvenir des choses de manière ferme, tout au plus, cela tombe dans la catégorie des points forts, des talents et des capacités innés. Quant à savoir si le calibre de quelqu’un est bon ou non, cela dépend de la capacité de compréhension de cet individu. Si un individu a une mémoire exceptionnelle, qu’il est capable de mémoriser des paroles de chansons, des pans de connaissances et de doctrine, ou une compétence professionnelle, et ce, particulièrement bien, particulièrement rapidement et particulièrement fermement, mais qu’il ne mémorise que certaines choses normatives et rigides, qui n’impliquent pas les vérités-principes et qui ne peuvent pas être appliquées ou mises en œuvre dans la vie réelle ou le travail réel, si cet individu a simplement une bonne mémoire, alors il s’agit seulement là d’un point fort et d’une capacité dans le cadre des conditions innées, cela n’atteint pas un niveau impliquant son calibre. Comme nous en avons déjà parlé précédemment, qu’est-ce que le calibre ? (L’efficience et l’efficacité quand on agit.) Si tu as une bonne mémoire et que tu as aussi un bon calibre, quel genre de manifestations et de caractéristiques devrais-tu avoir ? Ce sont les suivantes : en ce qui concerne ce que tu entends, et sur la base du fait que tu es capable de te souvenir des choses avec précision, tu dois également être capable de saisir les points clés, de trouver les principes, de trouver un chemin de pratique et un plan de mise en œuvre, puis être capable d’appliquer concrètement cela dans la vie réelle et le travail réel, en agissant avec efficience et efficacité. Cela signifie que les paroles de Dieu et les vérités-principes que tu as mémorisées ne restent pas à un niveau théorique, mais qu’elles sont mises en œuvre dans l’accomplissement de ton devoir et qu’elles deviennent ta vérité-réalité, produisant dans le travail des résultats visibles pour les gens et améliorant l’efficience du travail. Ce n’est pas seulement là avoir une bonne mémoire, mais aussi avoir un bon calibre. On ne peut pas dire qu’avoir une bonne mémoire équivaut à avoir un bon calibre. Au contraire, avoir une capacité de compréhension, être capable de chercher la vérité et de trouver les principes de pratique de la vérité quand quelque chose t’arrive, mettre en œuvre le travail sans écarts, et le faire avec précision, rapidement et efficacement, cela seul équivaut à avoir un bon calibre. Avoir un bon calibre ne veut pas dire comprendre certaines doctrines, puis être capable d’en débiter un grand nombre. Au contraire, cela veut dire comprendre et saisir certaines vérités-principes, puis être capable de les appliquer avec souplesse dans ton travail et ton devoir, en en faisant une part de ta vie réelle, et en les transformant pour les faire passer de la théorie à la réalité, ce qui permet aux vérités-principes d’avoir un effet sur les gens et de produire des résultats en eux, en leur apportant des bénéfices et des avantages. Voilà ce que signifie avoir du calibre. Si tu restes bloqué au niveau de la compréhension des formules et des doctrines et que tu ne peux pas mettre en œuvre le travail, que tu ne peux pas trouver les principes ou les moyens, autrement dit, si cet aspect de la vérité-principe ne reste toujours qu’une théorie pour toi, et que tu n’as aucune voie, aucune méthode et aucun chemin pour le transformer en réalité, voilà ce que signifie n’avoir aucun calibre ou avoir un calibre médiocre. Peu importe à quel point tu as une bonne mémoire, même si celle-ci surpasse celle de gens ordinaires au point d’être presque une capacité extraordinaire, cela ne signifie pas que tu as un bon calibre. À quoi fait référence le fait d’avoir un bon calibre ? Comment mesure-t-on le calibre ? (On en juge selon qu’une personne peut ou non comprendre les principes de travail et mettre en œuvre ces principes correctement pour obtenir des résultats.) On en juge selon son efficience et son efficacité, n’est-ce pas ? (En effet.) Certaines personnes peuvent se souvenir des arrangements de travail rapidement et avec précision, et elles peuvent également les comprendre sur le plan théorique. Cependant, quand il s’agit de mise en œuvre, si quelqu’un leur demande : « Comment doit-on faire ce travail ? Avez-vous des idées, suivez-vous des plans ou des étapes ? » elles répondent : « Non, je ne sais pas comment faire ce travail. » Ce n’est pas là avoir du calibre. Tout au plus, il s’agit là simplement d’un point fort dans un domaine donné. Je me souviens que lorsque nous avons échangé sur ce sujet pour la première fois, nous avons discuté de ce problème. Vous avez peut-être oublié, et cette fois-ci, vous avez à nouveau rangé le fait d’avoir une mémoire exceptionnelle dans la catégorie du calibre. Se méprendre constamment sur les points forts et les talents d’une personne et ranger constamment un certain point fort ou un certain talent dans la catégorie du bon calibre est une erreur grave. Si ce problème est résolu et que vous comprenez ce qu’est un point fort, ce qu’est le talent ou ce que sont les capacités, et ce qu’est un véritable calibre, cela vous sera bénéfique pour ce qui est de discerner les gens et pour votre propre croissance dans la vie. À tout le moins, cela peut vous aider à freiner un peu votre tempérament arrogant, de sorte que vous ne croyez plus à tort avoir un excellent calibre simplement parce vous pouvez bien chanter ou bien danser. Alors, pouvez-vous encore évaluer cette question de cette façon, maintenant ? (Non.) Alors, que doivent réellement posséder les gens qui savent chanter pour avoir un bon calibre ? (Ils doivent avoir une capacité de compréhension, ils doivent savoir quelle façon de chanter est conforme aux principes, et également avoir de la perspicacité.) La perspicacité est tout à fait essentielle. Tu vois, tous ces gens ont certaines connaissances en matière de théorie musicale, mais l’effet de leur chant varie. Certaines personnes peuvent se faire une idée d’un chemin pour chanter et chercher ce chemin. Elles écoutent diverses chansons, diverses mélodies et différents styles de chant auprès de divers individus, et sont à l’écoute des techniques de chant qui sont émouvantes et plaisantes. Elles trouvent un certain sentiment grâce à ce processus, puis continuent à explorer et à se former en se basant sur ce sentiment. Au bout d’un moment, elles sentent que leur chant s’est amélioré, et les autres sont prêts à les écouter. Peu à peu, elles comparent cela aux théories et vérifient que ce chemin de pratique est correct. Elles sont capables de découvrir un chemin de pratique pour changer leur façon de chanter et corriger les méthodes de chant incorrectes qu’elles suivaient précédemment. Elles peuvent ensuite davantage mettre en œuvre et en pratique les éléments positifs, corrects et bons qu’elles ont trouvés dans leur propre façon de chanter. Elles peuvent percevoir quelle façon de chanter est correcte et quelle façon est incorrecte, quelle façon de chanter produit de bonnes sensations et quelle façon produit de mauvaises sensations. C’est là avoir un bon calibre. Si elles ont seulement des connaissances théoriques, mais qu’elles ne sont pas capables d’intégrer cette théorie dans leur chant effectif, et que leur compréhension est déformée, alors leur calibre n’est pas bon. Observez certaines personnes qui chantent : quand les autres leur signalent qu’elles utilisent une voix factice, elles peuvent l’accepter, et après un ou deux ans de formation, elles corrigent cela. Même si elles ne sont pas encore très compétentes en matière de chant, elles chantent déjà avec un timbre et une voix authentiques. En revanche, certaines personnes chantent avec une voix factice, et tous ceux qui les entendent le savent clairement, mais ces personnes pensent malgré tout qu’elles chantent avec leur vraie voix, avec un timbre et une voix authentiques, elles sont incapables de faire la différence. Cela montre une absence de calibre et une absence de perspicacité, une incapacité à percevoir les choses. Voilà la différence entre le calibre et un point fort. Si tu es doué pour le chant, c’est là ton point fort. Il s’agit d’une condition innée. Cependant, ta capacité à bien chanter et à percevoir l’essence, les principes et les fondamentaux dans ce domaine, dans cette profession, est une question de calibre. Si tu peux percevoir l’essence, les fondamentaux et les principes, alors tu peux devenir chanteur ou chanteuse, devenir un maître-vocaliste. Si tu aimes chanter, que tu apprends à chanter rapidement et que tu maîtrises avec précision mélodie, rythme et ton, on peut seulement appeler cela un point fort inné et être doué pour cette compétence professionnelle particulière. Cependant, du fait de ton calibre très moyen et limité, tu ne dépasseras jamais le fait d’être simplement doué pour cela. Tu seras incapable d’atteindre le niveau auquel on maîtrise les fondamentaux et tu seras incapable de devenir un vrai chanteur, une vraie chanteuse et un maître-vocaliste. Il s’agit là d’une limitation imposée par ton calibre. Les gens qui ont un bon calibre ont un potentiel et une marge de développement, tandis que ceux qui ont un calibre moyen ou médiocre n’ont ni potentiel ni marge de développement. Donc, peu importe dans quel domaine se situent tes points forts, si ton calibre est médiocre, tu seras inévitablement limité par ton calibre. Quelle que soit la mesure de ton talent dans un certain domaine, peu importe à quel point tu aimes ce domaine, et quel que soit l’intérêt que tu lui portes, tu n’auras aucune marge de développement du fait de ton calibre médiocre, parce que tu ne peux pas surpasser ton calibre. Comprends-tu ? (Oui.) Maintenant que J’ai dit cela, allez-vous perdre confiance dans le chant ? Je parle simplement de la question qui nous occupe, en utilisant l’un de vos points forts comme exemple pour échanger sur la distinction entre le calibre et les points forts. Cependant, la maison de Dieu n’exige pas de vous que vous deveniez de véritables maîtres-vocalistes, que vous chantiez avec un certain haut degré de précision, que vous développiez un style de chant particulier ou que vous ayez beaucoup de succès en chantant. Rien de tout cela n’est exigé. Faites simplement bon usage de votre calibre et de vos points forts existants, c’est tout à fait convenable. Tant que vous exprimez de véritables sentiments et que vous êtes sincères, c’est suffisant. Alors, ne vous sentez pas découragés pas et ne renoncez pas simplement parce que J’ai dit que certains d’entre vous avaient un calibre médiocre ou un calibre très moyen avec peu de marge de développement. Ce n’est pas nécessaire. Allez-vous vous sentir découragés ? (Non.) Vous devez envisager cette question correctement. Si Je n’utilisais pas votre situation comme exemple, vous pourriez ne pas comprendre, vous pourriez ne pas avoir de compréhension approfondie et, quoi que je dise, vous ne le prendriez pas à cœur. Pour vous aider à comprendre de manière approfondie, Il fallait que Je donne quelques exemples, afin que tout le monde puisse avoir une meilleure compréhension. De cette façon, votre compréhension de la distinction entre calibre et points forts deviendra également plus précise. Cette façon d’échanger vous dérange-t-elle ? (Non, elle ne nous dérange pas.) C’est une bonne chose que cela ne vous dérange pas. Considérez cela correctement. Pratiquez comme vous devriez le faire. Y mettre tout ton cœur et pratiquer en vue d’un bon objectif et dans une bonne direction vaudra toujours mieux que de ne pas faire de progrès ou de rester coincé dans tes vieilles habitudes. Même si ton calibre est limité ou médiocre, tu dois quand même faire l’effort de pratiquer, et t’efforcer d’atteindre le maximum de ce qui t’est possible dans le cadre de ton calibre limité. Nous devons y consacrer tout notre cœur et tous nos efforts, en faisant ce devoir et en effectuant ce travail avec une attitude responsable et loyale. Voilà le principe de pratique que tu devrais suivre. Tu ne dois pas devenir négatif ni renoncer simplement parce que ton point fort n’a pas de potentiel de développement et que tu ne pourras pas être sous le feu des projecteurs à l’avenir. Ce n’est pas acceptable et ce n’est clairement pas la vérité-principe que tu devrais suivre quand tu traites cette question. Comprends-tu ? (Oui.)
Dans chacun de ces trois domaines – les conditions innées, l’humanité et les tempéraments corrompus – il y a de nombreux détails spécifiques qui doivent être compris. Est-il nécessaire que nous échangions sur ces questions ? (Oui.) Concernant de nombreux aspects, les gens n’en ont qu’une compréhension superficielle et ils ne peuvent pas les expliquer clairement. Il se peut qu’ils aient certains points forts et qu’ils pensent alors avoir un noble caractère, qu’ils se croient honorables et exempts de tempéraments corrompus, doués d’une bonne humanité et d’un calibre élevé. Tout cela découle de l’incapacité des gens à discerner clairement ces divers problèmes. Plus ce genre de problèmes implique des détails, plus il y a matière à échanger. On ne peut pas couvrir le sujet en une ou deux séances seulement, cela nécessite de multiples échanges. Bien, nous allons clore cet échange ici pour aujourd’hui. Au revoir !
Le 14 octobre 2023