Comment poursuivre la vérité (6)

Lors de la dernière réunion, nous avons échangé sur un sujet majeur concernant la poursuite de la vérité : « Abandonner les barrières qui se dressent entre soi et Dieu, et abandonner son hostilité envers Dieu ». Dans le cadre de ce sujet majeur, nous avons discuté de l’abandon des notions et de l’imagination humaines concernant l’œuvre de Dieu, ce qui a impliqué des sujets portant sur les conditions innées, l’humanité et les tempéraments corrompus, et dans le cadre de ces sujets, des problèmes se rapportant au calibre ont été mentionnés. La dernière fois, nous avons un peu échangé sur les problèmes se rapportant au calibre, en résolvant une partie des notions des gens. Ayant entendu cela, disposez-vous d’une définition précise de ce qu’est le calibre ? Qu’est-ce que le calibre, exactement ? Comment faut-il comprendre ce terme ? Comment peut-on juger si le calibre d’une personne est bon, moyen ou médiocre ? Sur quels aspects devrait-on se baser pour juger ce calibre ? Avez-vous fait des recherches sur ces questions et les avez-vous envisagées ? (Je les ai un peu envisagées. Lors de la dernière réunion, Dieu a échangé sur le fait que, pour évaluer le calibre d’une personne, nous devons examiner son efficience et son efficacité quand elle agit. Auparavant, je n’avais guère de compréhension à cet égard et je confondais même les points forts et le calibre. Par exemple, quand je voyais quelqu’un obtenir des résultats universitaires particulièrement bons ou parler plusieurs langues, je pensais que cela indiquait qu’il avait un bon calibre. Ce n’est qu’en écoutant l’échange de Dieu que j’ai gagné un jugement clair quant à ce qu’est un calibre véritablement bon et ce qui constitue seulement certains points forts. Si, en apparence, quelqu’un est assez malin, mais que son efficience est très faible quand il fait son devoir, et qu’il n’est jamais capable de saisir les vérités-principes, son calibre est relativement médiocre.) Évaluer le calibre d’une personne en fonction de son efficience et de son efficacité quand elle agit : c’est là une façon générale de présenter les choses. Outre examiner son efficience et son efficacité quand elle agit, il y a des normes spécifiques pour évaluer le calibre d’une personne : premièrement, sa capacité d’apprentissage. Deuxièmement, sa capacité à comprendre les choses. Troisièmement, sa capacité de compréhension. Quatrièmement, sa capacité à accepter les choses. Cinquièmement, sa capacité cognitive. Sixièmement, sa capacité à porter des jugements. Septièmement, sa capacité à identifier les choses. Huitièmement, sa capacité à réagir aux choses. Neuvièmement, sa capacité à prendre des décisions, que l’on peut également appeler sa capacité d’exécution. Dixièmement, sa capacité à évaluer et à apprécier les choses. Onzièmement, sa capacité à innover.) Avez-vous gardé ces capacités à l’esprit ? (Oui.) Combien y en a-t-il en tout ? (Onze.) Lisez-les à haute voix. (Un, la capacité d’apprentissage. Deux, la capacité à comprendre les choses. Trois, la capacité de compréhension. Quatre, la capacité à accepter les choses. Cinq, la capacité cognitive. Six, la capacité à porter des jugements. Sept, la capacité à identifier les choses. Huit, la capacité à réagir aux choses. Neuf, la capacité à prendre des décisions. Dix, la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Onze, la capacité à innover.) Pour juger du calibre d’une personne, en règle générale, il faut examiner ces deux aspects : son efficience et son efficacité quand elle agit. Spécifiquement, pour évaluer son efficience et son efficacité quand elle agit, il faut procéder à une détermination complète, en se basant sur ces onze normes. De cette façon, on peut juger avec précision le véritable calibre d’une personne. Bien entendu, pour évaluer le calibre d’une personne, la première étape consiste à examiner ses capacités globales à divers égards, puis son efficience et son efficacité quand elle agit. Si elle a un calibre et des capacités à divers égards, alors elle agira certainement à la fois avec efficience et efficacité. Si l’efficience d’une personne quand elle agit est élevée, et que son efficacité est bonne, alors quand tu évalueras ses capacités dans chaque domaine en fonction des onze normes, elles seront certainement bonnes, elles aussi. Prise individuellement, aucune de ces onze capacités ne peut entièrement déterminer si le calibre d’une personne est bon ou non, il faut juger de ce calibre de manière exhaustive. Bien entendu, parmi ces onze capacités, lesquelles sont les plus importantes ? Les plus importantes sont la capacité à porter des jugements, la capacité à identifier les choses, la capacité à réagir aux choses et la capacité à prendre des décisions : tout cela concerne la capacité d’une personne à agir après avoir compris une certaine théorie. Les capacités restantes se rapportent à la compréhension et à l’apprentissage, ce qui concerne l’esprit humain. À présent, nous allons échanger sur ces onze capacités, les unes après les autres.

La première capacité est la capacité d’apprentissage. La capacité d’apprentissage ne fait pas seulement référence à l’apprentissage de certaines connaissances, cela inclut également l’apprentissage d’une langue, d’une compétence technique spécifique, l’apprentissage et l’acceptation d’une chose nouvelle, et ainsi de suite. Tout cela relève de la capacité d’apprentissage. Par exemple, quand une personne acquière une compétence technique, dans des circonstances normales, elle peut la maîtriser pour l’essentiel en six mois, puis l’exercer de manière autonome. Si, toi aussi, tu peux la maîtriser et l’exercer de manière autonome au bout de six mois d’apprentissage, on considère que tu as une capacité d’apprentissage. S’il te faut deux fois plus longtemps que la personne moyenne pour apprendre, si, au bout de six mois, tu n’as toujours pas maîtrisé cette compétence et qu’il te faut encore six mois pour l’acquérir, cela indique un calibre médiocre. Autrement dit, en ce qui concerne la capacité d’apprentissage, si tu peux maîtriser une compétence technique ou une connaissance dans le délai normal, cela signifie que ton calibre est moyen ou supérieur à la moyenne. Cependant, si tu dépasses ce délai et qu’il te faut deux ou même trois fois plus de temps que les autres pour acquérir cette compétence ou cette connaissance, alors ton calibre est médiocre. Si tu y passes deux ou trois fois plus de temps que la personne moyenne et que tu ne parviens toujours pas l’acquérir, et que tu n’as pas de capacité d’apprentissage, qu’est-ce que cela indique à propos de ton calibre ? Sans capacité d’apprentissage, tu ne satisfais même pas à la norme générale pour ce qui est d’avoir un calibre humain normal. C’est pire que d’avoir un calibre médiocre, tu n’as absolument aucun calibre. À quelle catégorie appartient-on quand on n’a aucun calibre ? N’avoir aucun calibre signifie que l’on tombe dans la catégorie des déficients mentaux et des idiots, des personnes qui n’ont pas la moindre capacité d’apprentissage. Voilà ce qu’implique la capacité d’apprentissage.

La seconde capacité est la capacité à comprendre les choses. La capacité à comprendre les choses fait référence à la capacité d’une personne à comprendre les principes et les techniques au sein d’une chose qu’elle voit ou à laquelle elle est souvent confrontée. Par exemple, quand tu acquières une compétence professionnelle, si tu écoutes des instructions théoriques et que tu observes des démonstrations pratiques, et que, dans un délai normal, tu peux trouver les techniques et les principes concernés par cette compétence, on considère que tu as un bon calibre et une certaine capacité à comprendre les choses. Si tu ne peux pas comprendre immédiatement et que, même quand quelqu’un échange à nouveau avec toi à ce sujet, tu ne comprends toujours pas, et que, même quand on te donne des pistes répétées, tu ne peux toujours pas comprendre quelles sont les techniques pour faire cette chose et quels sont les principes concernés, alors ta capacité à comprendre les choses est médiocre. Il se peut qu’au bout d’un moment tu puisses apprendre un peu en tâtonnant lentement, par le biais de la pratique concrète, mais ta capacité se limite à cela. Si, quel que soit le temps que tu y passes, que ce soit trois ou cinq ans, ce que tu peux comprendre reste confiné à un cadre limité et que, quand tu agis, tu n’adhères qu’à certains règlements et à certaines règles, sans être capable de comprendre les principes de base concernés et de les appliquer à une pratique concrète, cela signifie que ta capacité à comprendre les choses est médiocre. Les personnes de ce type ont un calibre médiocre. Par exemple, certaines personnes accomplissent un travail d’Église et, une fois que tu as échangé avec elles sur les vérités-principes, elles ont le sentiment que tout ce que tu as dit est correct et elles n’ont aucun doute sur ce que tu as échangé. Cependant, elles ne peuvent tout simplement pas comprendre pourquoi les choses doivent être faites de cette façon et elles sont incapables de saisir les principes concernés. Surtout, quand elles font face à divers problèmes ou à des situations particulières dans la vie réelle, ou quand elles font leur devoir, elles ne savent pas comment appliquer les principes ni comment aborder et gérer les problèmes qu’elles rencontrent conformément aux principes. Cela indique un manque de capacité à comprendre les choses. Après avoir entendu un échange sur la vérité, les personnes qui n’ont pas la capacité de comprendre les choses ne comprennent pas, et elles demandent toujours des choses comme : « Peux-tu donner un autre exemple ? » ou : « Peux-tu expliquer cela plus en détail ? » C’est seulement après que tu as donné un exemple et expliqué les choses plus en détail qu’elles comprennent un peu. Mais si tu échanges sur quelque chose de plus profond, elles ne peuvent à nouveau pas comprendre et elles te demanderont de donner un nouvel exemple. Pourquoi te demandent-elles à plusieurs reprises de donner des exemples ? C’est pour que tu expliques des situations similaires dans la vie réelle par le biais d’exemples, afin qu’elles puissent simplement se souvenir d’une certaine approche ou d’un certain règlement. Pourquoi font-elles cela ? C’est parce que leur capacité à comprendre les choses est très médiocre. Tu pourrais également dire qu’elles ont n’ont aucune capacité à comprendre les choses. Elles ne savent pas comment appliquer les principes dans la vie réelle ou quand elles font leur devoir. Quelle que soit ta façon d’échanger avec elles, quel que soit le nombre d’exemples spécifiques que tu leur donnes et le nombre de principes que tu leur expliques clairement, même en abordant les principes concernant la façon de gérer les situations particulières, elles peuvent écouter à longueur de temps et ne toujours pas comprendre. Elles ont l’impression que ce que tu dis est simplement théorique et elles ne savent toujours pas comment gérer les divers problèmes auxquels elles sont confrontées dans la vie réelle. Cela indique un manque de capacité à comprendre les choses. Quelle que soit la façon dont les autres les leur expliquent, les personnes qui n’ont pas la capacité de comprendre les choses ne peuvent pas les saisir, c’est là avoir un calibre médiocre. Les personnes qui ont un calibre médiocre ont-elles également une efficience et une efficacité médiocre quand elles agissent ? (Oui.) Si la capacité d’une personne à comprendre les choses est médiocre, alors son efficience et son efficacité dans ses actions seront certainement médiocres. Elle ne saura pas quels principes sont concernés quand elle est confrontée à quelque chose et elle ne saura pas comment appliquer les principes dans la vie réelle. Cela indique un calibre médiocre. Il y a des personnes d’un autre type, dont l’esprit devient d’autant plus confus que l’échange des autres est détaillé et spécifique, et qui sont incapables de le comprendre. Par exemple, quand la maison de Dieu échange sur le fait de discerner les faux dirigeants et les antéchrists, elles écoutent, puis disent : « Pourquoi est-ce que je ne comprends pas cela ? Il y a un échange sur les principes, des exemples sont donnés et des situations particulières sont énumérées, mais tout cela me semble si confus. De quoi parle-t-on exactement ici ? Quel genre de personnes sommes-nous censés gérer ? Devons-nous gérer les faux dirigeants ou les antéchrists ? Notre dirigeant d’Église est-il un antéchrist ? Cet individu semble un peu malfaisant : ses manifestations sont-elles dues à un tempérament corrompu ou à une mauvaise humanité ? Qu’est-il au juste, un faux dirigeant ou un antéchrist ? Je ne comprends toujours pas. » Ces personnes ne comprennent même pas ce que sont les vérités-principes sur lesquelles tu échanges. Plus elles écoutent, plus leur esprit devient confus. Non seulement elles ne parviennent pas à relier ces vérités à des situations concrètes, mais leur esprit devient également si confus qu’elles ne savent même pas quel est le thème de ton discours. Cela ne montre-t-il pas un manque de capacité à comprendre les choses? (Si.) Par exemple, imagine une situation dans laquelle tout le monde s’est réuni pour échanger sur un thème unique, chaque personne partageant ses réflexions. Tu échanges sur ta compréhension, j’exprime ce que j’en saisis. Une personne soulève une question, une autre soulève une question différente, toutes centrées sur ce thème. Les personnes dépourvues de calibre écoutent ce genre de discussion et ne parviennent pas à en saisir le sens. Dans leur cœur, elles se disent : « De quoi parlez-vous ? Pourquoi est-ce que je ne le comprends pas ? » Leur esprit devient confus. Elles ne comprennent pas la logique qui sous-tend les questions raisonnables soulevées par les autres ni les raisons pour lesquelles ces questions sont soulevées, elles n’en comprennent pas les raisons sous-jacentes. Elles sont encore pires que des spectateurs. Les personnes qui ont un calibre, même en observant simplement de l’extérieur peuvent dire qui a raison et qui a tort, la raison pour laquelle quelqu’un pose une certaine question, si les questions sont profondes ou superficielles, la manière dont on y répond, mais les personnes sans calibre ne peuvent rien comprendre de tout cela et elles n’en comprennent pas la logique sous-jacente. Cela montre qu’elles n’ont pas la capacité de comprendre les choses. Quand les autres échangent sur quelque chose, elles ne peuvent pas discerner de quoi il s’agit après avoir écouté. Elles ne savent pas si ce qui a été dit est honnête et objectif, pas plus qu’elles ne peuvent percer à jour le contexte et l’essence du sujet, elles sont complètement perdues. Quant à la raison pour laquelle ce thème fait l’objet de discussions, la raison pour laquelle les principes impliqués par ce thème doivent être soulignés à maintes reprises, et quant à savoir qui pose des questions pertinentes au sujet de ces principes et qui pose des questions qui ne le sont pas, elles ne peuvent ni comprendre ni trouver le moindre sens à tout cela. En continuant à écouter, elles se mettent à somnoler. Elles commencent à se considérer comme de simples spectatrices de cet échange, et leur cœur s’obscurcit. Pour d’autres personnes, plus les vérités-principes font l’objet d’échanges, plus leur esprit s’éclaircit et devient lucide. Mais en ce qui concerne les personnes dépourvues de calibre, plus elles écoutent, plus leur esprit devient confus, et plus leurs pensées s’obscurcissent. Cela indique un manque de capacité à comprendre les choses. Cela n’indique-t-il pas un calibre extrêmement médiocre ? On peut également dire de telles personnes qu’elles n’ont aucun calibre. Quel type de personnes sont celles qui n’ont aucun calibre ? (Ce sont des personnes mentalement déficientes.) Les déficient mentaux, les idiots, les personnes stupides : il s’agit là de la catégorie à laquelle appartiennent les personnes qui ont le calibre le plus médiocre. Voilà le second aspect : la capacité à comprendre les choses.

Le troisième aspect est la capacité de compréhension. La capacité de compréhension est similaire à la capacité à comprendre les choses, mais va un peu plus loin. Quelle est la différence entre les deux ? La capacité de compréhension concerne davantage la façon d’aligner les principes de la vérité et les chemins de pratique sur les divers problèmes de la vie réelle, puis de les mettre en œuvre dans le travail réel, après que l’on a compris et maîtrisé ces principes et chemins. C’est là que réside la différence. Les personnes qui ont une capacité de compréhension, après avoir compris les fondamentaux et les principes de quelque chose, ont un chemin de pratique dans leur cœur, et un cadre précis, une direction et un objectif. Elles savent comment appliquer ces fondamentaux et ces principes, et elles connaissent également les principes de pratique que certaines situations particulières impliquent. Supposons qu’une personne puisse reconnaître l’essence de certains problèmes après avoir entendu un échange sur certaines vérités-principes, puis qu’elle puisse utiliser la vérité pour résoudre certains problèmes concrets de la vie réelle. Autrement dit, une fois qu’elle a entendu ces principes, elle comprend immédiatement comment elle aurait dû pratiquer en réaction à une situation antérieure, et quand des situations se présentent à nouveau, elle sait également comment appliquer les principes pour les aborder, et elle a immédiatement un chemin de pratique dans son cœur. Sa compréhension des principes et des fondamentaux fait office de lumière directrice et lui permet de savoir rapidement comment gérer divers problèmes dans la vie ou dans le travail, d’avoir un chemin, une direction et des principes de pratique. Dans ce cas, une telle personne a une capacité de compréhension, ce qui, bien entendu, est la manifestation d’un bon calibre. Disons qu’une personne, après avoir entendu des échanges sur les vérités-principes, sait comment elle devrait pratiquer et gérer les choses de sa vie concrète qui sont communes et universelles, ou dont elle a fait l’expérience. Cependant, elle ne sait pas comment appliquer ces vérités-principes à des situations particulières, complexes, inattendues, ou à des problèmes et à des phénomènes peu communs dont elle n’a pas fait l’expérience, et elle a encore besoin de chercher et de s’informer pour obtenir une réponse précise ou un plan de pratique spécifique avant de savoir comment gérer et résoudre tout cela. Sans quoi, même après avoir entendu les vérités-principes, elle ne sait toujours pas comment gérer de telles questions ou de tels problèmes. Cela indique qu’elle a une capacité de compréhension moyenne. On pourrait également dire qu’une telle personne est de calibre moyen. Certaines personnes ont travaillé pendant dix ou vingt ans, et du fait d’une certaine expérience professionnelle associée à un échange clair sur les vérités-principes émanant de la maison de Dieu, ces personnes savent comment gérer des situations courantes et elles ont reçu la confirmation que les gérer de cette façon était correct. Cependant, quand ces personnes sont confrontées à certains problèmes peu communs, particuliers, complexes, dont elles n’ont jamais fait l’expérience dans leur travail, elles ne savent pas comment les gérer et doivent obtenir une réponse claire en s’informant avant de pouvoir commencer à les gérer. Si la situation change et devient plus complexe qu’elles ne l’avaient imaginé, ou plus complexe que les circonstances qu’elles connaissent, elles sont perdues et ne savent pas comment y faire face, et elles savent encore moins comment elles devraient pratiquer et gérer cette situation conformément aux principes. Quand elles ne savent pas comment pratiquer, qu’elles agissent en se basant sur leur imagination, leurs ambitions et leurs désirs, ou qu’elles laissent simplement de côté cette situation et qu’elles l’ignorent – quelle que soit leur façon d’agir – le fait qu’elles soient perdues face à une telle situation et qu’elles ne sachent pas comment appliquer les principes pour la gérer, prouve que leur calibre est très moyen. Si l’on peut gérer des situations générales, mais que l’on ne sait pas gérer des situations particulières, cela indique un calibre moyen. Si être confronté à certaines situations particulières désoriente tellement ces personnes qu’elles ne peuvent même pas gérer des problèmes qu’elles seraient normalement capables de gérer, cela indique un calibre médiocre. Une personne qui a un calibre médiocre a également une capacité de compréhension médiocre. Y a-t-il une différence entre quelqu’un qui a une capacité de compréhension médiocre et quelqu’un qui a une capacité de compréhension satisfaisante ? (Oui.)

Certaines personnes, quelle que soit la façon dont les autres échangent avec elles, ne peuvent pas saisir les principes. Elles ne comprennent que les doctrines et les règlements, et elles peuvent crier quelques slogans, mais elles ne savent pas comment faire un travail réel et résoudre des problèmes. Tu vois, après avoir écouté un échange, elles parlent avec beaucoup de clarté et de façon très structurée, comme si elles le comprenaient vraiment, mais en réalité, elles n’ont absolument pas compris ce qui a été dit. Quand il s’agit de faire un travail concret, elles sont perdues et ne savent pas par quoi commencer. Quand elles sont confrontées à des problèmes, elles ne savent pas comment les résoudre. Elles ne peuvent toujours pas faire de travail concret. Dans leur façon de traiter les gens et les questions, elles manquent encore de principes. Dans leur cœur, elles se disent : « J’ai compris les vérités-principes en écoutant des sermons, pourquoi ne puis-je pas les appliquer dans des environnements de la vie réelle ? Comment se fait-il que ce que je comprends et ce dont je parle souvent ne marche pas ? » Cela les rend perplexes à nouveau. Les personnes qui ont un calibre médiocre savent seulement parler de doctrines et adhérer aux règlements, mais quand elles sont confrontées à des situations, elles ne les voient pas clairement, et les doctrines qu’elles peuvent énoncer sont complètement inutiles, elles ne peuvent même pas adhérer aux règlements, et elles ne peuvent résoudre aucun problème. Elles ne savent pas comment pratiquer quand des difficultés se présentent. Par exemple, quand quelqu’un interrompt et perturbe le travail de l’Église, en disant des choses absurdes, elles ne peuvent pas discerner la nature de ce problème. Elles ne savent pas quelles choses sont considérées comme des interruptions et des perturbations, ni quelle est la nature de ces choses. Elles savent donc encore moins comment le problème devrait être résolu. Quelqu’un leur demande : « Ne sais-tu pas comment discerner les personnes malfaisantes ? Pourquoi n’as-tu pas de principes quand il s’agit de s’occuper des personnes malfaisantes ? » Elles répondent : « Je comprends ces doctrines, mais je ne sais pas quels problèmes elles permettent de résoudre ni à quelles personnes elles peuvent s’appliquer. » Cela indique un manque de capacité de compréhension, n’est-ce pas ? (En effet.) Tu vois, après avoir entendu les principes, elles ont pu les résumer parfaitement un à un, selon leur sens littéral, en s’en souvenant plutôt précisément et en les récitant même avec facilité, sans oublier un seul mot. Mais malheureusement, dans la vie réelle, quand il s’agit de porter un regard sur les gens et les choses, et de leur façon de se conduire et d’agir, elles n’ont absolument aucun chemin de pratique, elles ne savent que crier des slogans, discuter de doctrines et adhérer à des règlements. Que ce soit dans la vie réelle ou quand elles font leur devoir, peu importe à quoi elles sont confrontées, elles ne savent pas chercher la vérité ni pratiquer conformément aux principes. Cela indique un manque de capacité de compréhension. Même si les personnes qui n’ont pas de capacité de compréhension lisent souvent les paroles de Dieu, elles ne peuvent pas comprendre ce qu’est la vérité dans ces paroles ni ce que sont les principes. Par conséquent, quand un événement survient, elles ne peuvent pas trouver les paroles de Dieu pertinentes pour discerner et résoudre cet événement, et elles doivent demander à d’autres de trouver pour elles les paroles de Dieu pertinentes. Sur quoi se focalisent-elles toujours quand elles lisent les paroles de Dieu ? Elles cherchent s’il y a des exemples spécifiques pour expliquer le problème. S’il n’y a pas d’exemples, elles ne peuvent pas comprendre le sens des paroles de Dieu. Par exemple, en ce qui concerne les paroles de Dieu qui exposent la nature-essence des gens, si aucun exemple n’est fourni, elles ne peuvent pas comprendre ces paroles. Elles ne peuvent pas pratiquer le discernement en comparant leurs propres états aux paroles de Dieu. C’est seulement si quelqu’un échange sur la vérité, et discerne et dissèque ces paroles en fonction de leurs états concrets, qu’elles peuvent comprendre ces paroles. Sans un tel échange, elles ne peuvent pas comprendre les paroles de Dieu. De telles personnes se plaignent toujours quand elles lisent les paroles de Dieu, en disant : « Pourquoi n’y a-t-il pas d’exemples spécifiques ? Comment suis-je censé faire le lien avec moi-même ? Ces paroles sont trop difficiles à comprendre. J’ai beau les lire, je ne peux pas les faire correspondre à mon propre cas ! » Cela montre qu’elles ne peuvent pas comprendre les paroles de Dieu, et encore moins comprendre la vérité ou appliquer les paroles de Dieu dans la vie réelle. Elles ne comprennent que de simples doctrines et règlements, mais ces doctrines et ces règlements sont inutiles dans la vie réelle. Quand il se passe quelque chose, elles n’ont toujours pas de chemin de pratique. Cela indique qu’elles n’ont pas de capacité de compréhension. Les personnes dépourvues de capacité de compréhension ont-elles un calibre médiocre ? (Oui.) Les personnes au calibre le plus médiocre sont celles qui n’ont absolument aucun calibre. De telles personnes ne parviennent pas à comprendre les divers principes qu’elles entendent. Elles ne savent pas pourquoi tel ou tel exemple est donné, pourquoi certaines choses sont dites ou pourquoi les gens présentent certaines manifestations : elles ne comprennent pas de telles choses, ces choses les dépassent. Même si on leur donne quelques exemples, elles ont le sentiment qu’on leur raconte simplement des histoires ou des plaisanteries, comme si elles étaient des enfants qui écoutent une histoire et la trouvent intéressante et amusante. Si quelqu’un leur demande si elles ont compris ce qu’elles ont entendu, elles disent que oui, et elles peuvent même imiter l’humour des paroles des autres ou la façon dont ils ont réprimandé les gens. Si tu leur demandes : « Connais-tu les principes pertinents auxquels les gens devraient adhérer ? » Elles répondent : « Hein ? Il y a des principes ? Je ne l’avais pas compris. » De telles personnes ont-elles une capacité de compréhension ? (Non.) Elles n’ont pas de capacité de compréhension et ne peuvent pas comprendre les paroles de Dieu. Les personnes qui n’ont pas de capacité de compréhension mangent et boivent quelques passages des paroles de Dieu chaque jour, de façon routinière et à heure fixe, elles apprennent des hymnes et assistent à des réunions à heures fixes également. Mais une fois qu’elles referment leur livre ou qu’elles cessent d’écouter leurs enregistrements d’hymnes, de tout ce qu’elles ont mangé et bu, elles ne retiennent que quelques phrases spirituelles et certaines paroles creuses, comme ces expressions que les gens utilisent souvent : « Dieu est souverain sur toutes choses » et : « Soumettez-vous à Dieu en toutes chose » ou : « Le destin de l’homme est ordonné par Dieu » et : « Contentez-vous de pratiquer l’amour de Dieu. » Dans des situations de souffrance concrètes, elles peuvent seulement dire des phrases pseudo-spirituelles, comme : « Je souffre à cause des sentiments » ou : « Je souffre à cause de la chair. » Quant aux principes se rapportant à la façon de se conduire, à la vie quotidienne, au travail, et quant à divers autres principes de la vérité, elles n’en connaissent ni n’en comprennent aucun. Ces choses sont absentes de leur cœur et ne peuvent être accueillies en elles. Pourquoi ces choses ne peuvent-elles pas être accueillies en elles ? Parce que, étant donné leur calibre, de telles personnes ne peuvent tout simplement pas comprendre ces vérités-principes, et que ces vérités-principes les dépassent. Et de fait, ces choses ne peuvent pas s’enraciner dans leur cœur. Ce qu’une personne possède intérieurement, et ce qu’elle est capable d’accepter, atteste de ce qu’elle peut comprendre et de ce qui ne la dépasse pas. Si une personne n’a absolument aucun calibre, qu’elle n’a pas de capacité de compréhension et qu’elle ne peut pas comprendre le sens précis des paroles de Dieu, même si elle était au ciel ou au troisième ciel, pourrait-elle comprendre les paroles de Dieu ? Pourrait-elle mettre la vérité en pratique ? Pourrait-elle se soumettre à Dieu ? (Non.) Elle resterait exactement comme elle est. Son calibre resterait le même qu’il a toujours été. Les personnes qui ont un calibre médiocre peuvent seulement comprendre un éventail de choses très réduit. Celles qui ont un bon calibre peuvent comprendre davantage de choses, avec une plus grande profondeur et à un niveau plus élevé. Les personnes qui ont un calibre moyen comprennent bien moins les choses que celles qui ont un bon calibre. Ce qu’elles comprennent reste confiné dans un cadre moyen, et ne peut dépasser ce cadre, parce qu’elles sont limitées par leur calibre. Les pires personnes sont celles qui n’ont absolument aucun calibre. De telles personnes, simplement du point de vue de leur calibre, n’ont absolument aucune capacité de compréhension. Par conséquent, leur manifestation, dans la vie réelle et quand elles font leur devoir, est qu’elles ne comprennent rien. Qu’elles aient cru en Dieu pendant dix ans, vingt ans, ou même jusque dans leurs vieux jours, les doctrines concernant la croyance en Dieu et les expressions spirituelles dont elles parlent restent les mêmes vieilles choses qu’elles ont comprises quand elles ont commencé à croire. Peu importe pendant combien d’années elles croient, elles ne font aucun progrès. Pourquoi ne font-elles pas de progrès ? Parce qu’elles n’ont aucune capacité de compréhension, et elles ont beau croire en Dieu pendant des années, elles ne sont capables d’assimiler que ces paroles sans vie. Même après de nombreuses années de croyance, leur capacité d’apprentissage, leur capacité à comprendre les choses, leur capacité de compréhension et leurs autres capacités ne s’améliorent pas. Quel type de personnes sont-elles ? Ce sont des personnes au calibre extrêmement médiocre. Parce que leur calibre est médiocre et que leurs diverses capacités ne s’améliorent pas, même si ces personnes atteignent l’âge de quarante, cinquante, soixante ou soixante-dix ans, leur capacité à prendre soin d’elles-mêmes restera très faible. En observant leur capacité de survie et leur capacité à prendre soin d’elles-mêmes, on peut estimer le calibre de ce genre de personnes. Les personnes de ce type sont mentalement déficientes, idiotes et stupides, et leur capacité à prendre soin d’elles-mêmes est très médiocre. Pourquoi dis-Je que leur capacité à prendre soin d’elles-mêmes est très médiocre ? Parce que leur capacité d’apprentissage, leur capacité à comprendre les choses et leur capacité de compréhension sont toutes médiocres, parce que l’expérience, le bon sens, les façons d’agir et les techniques pour agir qu’elles acquièrent dans la vie sont très limités. Même à soixante ou soixante-dix ans, elles restent les mêmes. Quand les personnes qui ont un bon calibre atteignent la trentaine, elles ont déjà acquis une certaine connaissance des divers problèmes auxquels elles font face dans la vie et le long de leur chemin de vie, elles ont gagné une certaine compréhension, une certaine perspicacité et une certaine expérience dans ces domaines. Par le biais de cette expérience, elles savent quoi faire quand elles sont confrontées à divers problèmes pour pouvoir mieux vivre et se protéger plus efficacement. Cependant, en ce qui concerne les personnes qui ont un calibre médiocre, comme leurs capacités à tous égards sont faibles, quel que soit l’âge qu’elles atteignent, leur capacité de survie reste très médiocre. Médiocre à quel point ? Médiocre au point qu’elles n’ont pas la capacité de vivre de manière autonome. Certains disent : « Écoute, elles mangent avec appétit, elles dorment à poings fermés et sont en bonne santé, comment peux-Tu dire qu’elles n’ont pas la capacité de vivre de manière autonome ? » La capacité de survie dont nous parlons ne fait pas référence au fait qu’une personne puisse manger ou dormir. Si une personne ne sait même pas qu’il faut manger quand c’est l’heure du repas, ce n’est pas une personne normale, mais quelqu’un qui a un handicap mental. Il est encore moins nécessaire d’examiner le calibre de telles personnes. Le cadre de notre évaluation du calibre des personnes comprend principalement celles qui sont considérées comme normales, en apparence. Ce cadre n’inclut pas les personnes qui ont un handicap physique, un handicap mental, ni celles qui n’ont pas la capacité de prendre soin d’elles-mêmes. Nous voyons souvent des personnes qui ne parviennent même pas à identifier les schémas, les principes ou les techniques pour agir en ce qui concerne la gestion de leur nourriture, de leurs vêtements, de leur logement et de leur transport. Peu importe l’âge qu’elles atteignent, elles ne savent pas comment gérer ces aspects de la vie d’une façon qui soit alignée sur les principes et l’humanité. Par exemple, elles ne savent pas quels vêtements sont adaptés aux différentes saisons et elles font simplement comme les autres. Quand il fait froid dehors, elles portent des vêtements trop légers et attrapent froid, mais elles ne comprennent pas pourquoi. Ou bien elles tombent malades après avoir consommé des aliments impropres à la consommation, mais elles ne savent pas à quoi cela est dû. Elles sont incapables de tirer les moindres conclusions de ces expériences. Ne sont-elles pas mentalement déficientes ? Ne sont-elles pas dépourvues de la capacité à vivre de façon autonome ? (Si.) Peu importe leur âge, elles ne savent pas comment vivre et se contentent d’avancer à tâtons dans la vie, en étant désorientées. Une personne normale, quand elle a son premier enfant, peut manquer d’expérience, mais quand elle a un deuxième enfant, elle aura gagné une certaine expérience quant à la façon de prendre soin de son enfant et de le nourrir. Certaines personnes, cependant, même après avoir eu deux ou trois enfants, n’ont toujours aucune expérience. Quand on leur demande comment elles s’occupent de leurs enfants, elles répondent : « Je ne sais pas, je me débrouille tant bien que mal. De toute façon, quand les enfants ont faim, je les nourris, et une fois qu’ils sont rassasiés, j’arrête. » Tout enfant confié à leurs soins aurait de la chance de survivre. Étant donné le niveau de leur capacité de survie, pas un seul enfant à leur charge ne resterait en vie. Certaines personnes ne comprennent pas comment gérer les divers problèmes qui se présentent dans la vie ou en situation de survie. De telles personnes n’ont pas de capacité de survie. Par exemple, quand deux problèmes se présentent en même temps, elles sont perdues et ne savent pas ce qu’elles doivent faire, ni quel problème gérer en premier. Elles deviennent confuses, nerveuses et inquiètes, et elles se plaignent, en disant : « Pourquoi ces deux problèmes sont-ils apparus en même temps ? Que devrais-je faire, maintenant ? » Elles deviennent si angoissées qu’elles ne peuvent plus dormir ou manger. Elles sont comme ça quand elles ont une trentaine d’années, et leur stature reste inchangée même quand elles ont une soixantaine d’années. Quand des situations se présentent et qu’elles ne trouvent pas de solution, elles se mettent à pleurer. Les autres leur disent : « Pourquoi tu pleures ? Ce n’est pas grave, ces problèmes sont parmi les plus courants. Il faut juste que tu les classes par ordre de priorité et que tu les gères selon leur importance. » Si une personne ne peut pas s’occuper de ces problèmes et qu’ils lui font sauter des repas et perdre le sommeil, où même qu’elle envisage de mettre fin à sa vie, n’est-elle pas extrêmement veule ? Elle va jusqu’à se plaindre : « Pourquoi n’est-ce pas arrivé à quelqu’un d’autre ? Pourquoi cela m’est-il arrivé à moi ? » Cela t’est arrivé, alors gère-le. Si tu ne peux pas le gérer, demande à quelqu’un de ton entourage qui comprend ces problèmes. Une fois que tu les auras clarifiés, ne sauras-tu pas alors comment y faire face ? Quand il ne se passe rien, de telles personnes sont assez douées pour ce qui est de parler, en présentant une série de doctrines après l’autre. Mais quand il se passe quelque chose, elles paniquent, elles sont perdues, elles se mettent à pleurnicher, leur esprit se vide et leurs pensées s’embrouillent, elles ne savent pas ce qu’elles doivent faire. Si une personne est jeune, qu’elle n’a pas vécu grand-chose dans la vie et manque d’expérience, il est normal qu’elle soit nerveuse et effrayée quand il se passe quelque chose. Cependant, quand elle atteint la trentaine ou la quarantaine, après avoir vécu de nombreuses choses dans le monde et gagné en expérience, elle devient relativement mûre et expérimentée, elle gère les problèmes avec davantage de stabilité et d’assurance. Les jeunes gens qui voient cela sont impressionnés et pensent qu’ils peuvent compter sur de telles personnes. Si une personne n’a ni calibre ni capacité de survie, elle n’a pas non plus la capacité de prendre soin d’elle-même. Sans adultes ou individus expérimentés autour d’elle pour l’aider et superviser les choses pour elle, tout ce qu’elle gère vire au désordre complet. De telles personnes ont un calibre extrêmement médiocre. À quel point le calibre de certaines personne est-il médiocre ? Prenons certaines femmes au foyer, par exemple, qui ne savent pas quelle quantité de riz ou combien de plats sont nécessaires pour le repas d’une famille de plusieurs personnes. Certaines cuisinent depuis vingt ou trente ans, mais elles ne savent toujours pas quelle quantité de nourriture préparer pour chaque repas ou à quel point il faut saler les plats, et parfois, elles ne parviennent même pas à déterminer avec précision si les aliments sont convenablement cuits. Leur calibre est médiocre à ce point. De telles personnes ne sont-elles pas dépourvues d’un cerveau opérationnel ? Elles ont le cerveau d’un cochon ! De telles personnes n’ont pas la capacité de vivre de manière autonome. Elles n’ont aucun chemin pour faire quoi que ce soit et commettent facilement des erreurs. Quand il se passe quelque chose, s’il n’y a personne pour superviser la situation pour elles, tout ce qu’elles font vire au chaos total, et tout vire au désordre complet. Elles sont idiotes et mentalement déficientes. Les personnes de ce type, qui ont la pire capacité de compréhension, ne comprennent que des doctrines, peu importe la quantité d’échanges qu’elles entendent sur les vérités-principes. Dans la vie réelle, elles ne savent toujours pas comment appliquer ces principes. Autrement dit, les doctrines qu’elles comprennent ne peuvent leur fournir aucun objectif, aucune direction, aucun chemin dans la vie réelle. Voilà les personnes qui ont la capacité de compréhension la plus médiocre. Ceci conclut notre échange sur la troisième capacité, la capacité de compréhension.

Quelle est la quatrième capacité ? La capacité à accepter les choses. La capacité à accepter les choses présente certaines différences par rapport à la capacité à comprendre les choses et à la capacité de compréhension. La capacité à accepter les choses relève de ton aptitude, lorsque de nouvelles choses apparaissent, à discerner si elles sont positives ou négatives, et en quoi elles bénéficient ou nuisent à ta vie, à ton travail et à ta survie, et cela relève aussi de la façon dont tu considères, dont tu traites et dont tu appliques ces choses. Si tu es de bon calibre, quand de nouvelles choses apparaîtront, tu seras alors particulièrement sensible et particulièrement perspicace. Après avoir reçu rapidement des informations sur une nouvelle chose, tu seras capable d’identifier en quoi cette chose bénéficie ou nuit aux gens, ou quels inconvénients elle présente. Si elle a un effet bénéfique sur un certain problème dans ta vie réelle, tu peux immédiatement mettre en œuvre ses points forts. Si elle est nuisible, tu peux aussi éviter ses effets néfastes ou ses inconvénients pour les gens. Autrement dit, tu as un certain degré d’acceptation quant aux choses nouvelles et tu peux rapidement percer à jour celles qui sont négatives, qui nuisent aux gens et qui présentent des inconvénients : c’est là avoir une capacité à accepter les choses. Voilà où réside la différence entre la capacité à accepter les choses, d’une part, et la capacité à comprendre les choses et la capacité de compréhension, d’autre part. La capacité à accepter les choses fait principalement référence à la sensibilité d’une personne aux choses nouvelles et à sa capacité à les discerner. Si tu discernes les nouvelles choses rapidement, que tu es capable d’accepter rapidement leurs points forts et leurs avantages, et d’appliquer ces derniers à la vie réelle pour servir ta vie ou ton travail, puis que tu es capable d’abandonner ou d’éliminer les choses anciennes que ces nouvelles choses ont remplacées, cela signifie que tu as une capacité à accepter les choses et que tu es une personne de bon calibre. Ensuite, il y a les personnes de calibre moyen. De telles personnes sont particulièrement lentes à accepter certaines nouvelles choses qui ont déjà remplacé des choses anciennes, et elles sont également lentes à accepter les nouvelles opinions et les nouvelles technologies. À quoi cette « lenteur » fait-elle référence ? Au fait que c’est seulement lorsqu’une nouvelle chose est déjà devenue répandue, qu’elle est très largement utilisée, et que le terme pour la désigner est devenu d’un usage tout à fait courant, que ces personnes peuvent l’accepter. Ces personnes ne font preuve d’aucune perspicacité quant aux choses nouvelles et elles ne peuvent pas discerner s’il s’agit de choses positives ou négatives. Même quand de nouvelles choses positives apparaissent, elles y sont réfractaires et elles les méprisent dans leur cœur. Elles ont toujours leurs propres notions et leurs propres attitudes, et s’alignent toujours sur les tendances mondaines, elles sont fermées aux choses nouvelles et elles ne les acceptent pas, elles les rejettent. C’est seulement quand une nouvelle chose se diffuse largement, quand de nombreux individus ont fait l’expérience de ses avantages, qu’ils se sont rendu compte de ces avantages, et que les gens en ont bénéficié, que ces personnes commencent à accepter et à appliquer cette chose. C’est là avoir un calibre moyen. La façon dont de telles personnes acceptent les nouvelles choses est très passive. Il ne s’agit pas d’une acceptation active. La raison en est que, d’une part, elles n’ont aucune sensibilité aux choses nouvelles, qu’elles sont insensibles, rétrogrades et fermées. D’autre part, cela tient aussi au fait qu'elles ont certaines notions et opinions sur les choses nouvelles, qu'elles considèrent avec mépris et dédain. La raison subjective en est que leur calibre est moyen et que leur capacité à accepter les choses est moyenne, ce qui les rend très insensibles. Quand de nouvelles choses apparaissent devant elles, elles n’en sont pas conscientes, elles n’ont aucun sentiment et n’ont pas une attitude consistant à les accepter activement. De plus, ces personnes sont, de façon inhérente, particulièrement rétrogrades, particulièrement insensibles et lentes d’esprit. Ces deux raisons font qu’elles sont lentes à accepter les choses nouvelles. C’est seulement quand beaucoup de gens se servent déjà d’une certaine chose, qu’ils parlent de ses avantages, de ses côtés pratiques, de l’impact qu’elle a sur les gens, et des bénéfices que les gens peuvent en tirer, et quand ces personnes ont vu tout cela de leurs propres yeux et qu’elles ont également vu les gens autour d’elles en faire personnellement l’expérience dans une certaine mesure, qu’elles l’acceptent lentement dans leur cœur et qu’elles se mettent à l’utiliser. Quel genre de calibre cela indique-t-il ? La capacité de telles personnes à accepter les choses est moyenne. Avoir une capacité moyenne à accepter les choses signifie que l’on a un calibre moyen. Par exemple, quand certains frères et certaines sœurs prêchent l’Évangile, ou quand ils font un certain travail spécialisé, ils sont les premiers à tester et à appliquer une nouvelle méthode ou une nouvelle technique professionnelle. Ils ont rapidement l’impression qu’il est vraiment bénéfique d’utiliser cette technique professionnelle, car, grâce à elle, leur efficacité quand ils font leur devoir est très élevée et leur efficience augmente également. Ils promeuvent alors rapidement cette nouvelle technique ou cette nouvelle méthode, en encourageant les autres frères et sœurs à l’apprendre et à l’appliquer. Les personnes qui ont un bon calibre sont douées pour chercher de nouvelles techniques et méthodes quand elles font leur devoir. Très rapidement, elles peuvent clairement percevoir et évaluer avec précision une nouvelle chose, et saisir cette occasion, et elles peuvent accepter pleinement une nouvelle technique ou méthode, et l’appliquer au travail dans la vie réelle. En ce qui concerne les points forts et les points faibles de cette nouvelle chose, et les résultats qu’elle peut produire, ces personnes peuvent continuellement en tirer des conclusions, puis procéder à des ajustements. Par le biais d’une période d’exploration, elles saisissent peu à peu les aspects de cette profession technique ou de cette information qui peuvent être appliqués dans le travail d’Église, et ceux qui ne peuvent pas être appliqués. Ensuite, elles améliorent peu à peu cette nouvelle chose dans leur travail, conformément aux principes et aux exigences de la maison de Dieu. Plus elles améliorent cette nouvelle chose, plus celle-ci devient performante, et elle porte finalement ses fruits. C’est là la manifestation d’un bon calibre. Cependant, certaines personnes, quand elles prêchent l’Évangile, s’accrochent encore de façon rigide à la méthode d’origine, en prêchant soit en tête à tête soit en binôme, ou en misant purement sur le nombre. Elles sont insensibles et lentes d’esprit, et lentes à accepter la méthode améliorée. Même si elles reconnaissent verbalement que la méthode améliorée semble assez bonne et réalisable, dans leur cœur, elles ont constamment des doutes. Elles craignent que, si elles appliquent cette méthode, celle-ci donne des résultats médiocres, alors elles n’osent pas essayer. Les autres les persuadent, en disant : « Tu n’as pas à t’inquiéter de tout cela. Nous avons déjà testé cette méthode. Pratiquer de cette façon donne des résultats particulièrement bons. » Mais elles n’osent toujours pas essayer et continuent à s’accrocher à la méthode d’origine. C’est seulement quand beaucoup de gens utilisent la nouvelle méthode pour prêcher l’Évangile, en gagnant davantage de gens chaque mois et en augmentant leur efficience, qu’elles décident à contrecœur d’essayer, mais elles se contentent quand même d’y aller petit à petit et n’osent pas changer complètement leurs plans et leurs stratégies. C’est là être trop lent à accepter les nouvelles choses. C’est être de calibre moyen. Quant aux personnes de calibre médiocre, leur capacité à accepter les choses est encore pire. Elles ne peuvent pas percevoir clairement une nouvelle chose, elles ne peuvent pas la juger, et elles ne savent pas comment la traiter. Dans leur cœur, elles sont réfractaires, et pensent que les gens qui croient en Dieu ne devraient pas accepter les nouvelles choses, ni les nouvelles informations et les nouvelles technologies. Tu vois, elles sont assez fermées. Il y a des personnes de certaines confessions qui, encore aujourd’hui, n’utilisent pas l’électricité, ne regardent pas la télévision, n’utilisent pas d’ordinateurs ou tout autre appareil électronique. Quand elles sortent, elles n’utilisent pas les moyens de transport modernes. Elles ne se déplacent même pas à vélo. Comment se déplacent-elles ? En charrette à bœufs ou en calèche, en soulevant des nuages de poussière sur leur passage. Certains leur demandent : « Pourquoi ne te déplaces-tu pas à vélo ou en voiture ? » Elles répondent : « Ces choses sont créées par l’homme. Si nous les utilisions, nous aurions peur que Dieu n’aime pas cela. » C’est là avoir une capacité médiocre à accepter les choses. Les personnes qui ont une capacité médiocre à accepter les choses considèrent nombre de choses de façon incorrecte. Elles sont figées dans leurs vieilles habitudes, s’accrochent à leurs propres points de vue, en étant réfractaires à tout ce qui est nouveau. Qu’elles soient réfractaires est en soi un problème posé par leur réflexion et leur esprit. Qu’indique le fait d’avoir un tel problème ? Pour dire les choses prudemment, cela montre que le calibre de ces personnes est excessivement moyen. Si, invariablement, elles ne peuvent pas accepter les nouvelles choses, alors leur calibre est médiocre, et elles sont rigides d’esprit. Elles croient que l’œuvre de Dieu est immuable et que, quelles que soient les paroles que Dieu a prononcées, Il ne prononcera à jamais que ces mêmes paroles et que, quelle que soit l’œuvre que Dieu a faite, Il ne fera à jamais que cette même œuvre. Quant à cette humanité et à cette ère, elles croient que ce qu’elles ont vu et vécu initialement restera immuable à jamais et qu’il en sera toujours ainsi. Par exemple, il y a vingt ou trente ans, les gens avaient une certaine notion quant à leur compréhension des vêtements. Ils croyaient que les tissus en coton étaient purement naturels et que tous les textiles en coton étaient bons. Qu’il s’agisse de vestes matelassées en coton, de t-shirts ou de sous-vêtements, du moment qu’ils étaient en coton, ils valaient mieux que les vêtements en fibres synthétiques. Ces gens s’accrochaient fermement à cette croyance, tout simplement. Cependant, vingt ou trente ans plus tard, l’industrie textile s’est développée, et de nombreux tissus comparables au coton sont apparus, ainsi que divers vêtements en fibres synthétiques. Nombre de textiles valent mieux que les tissus en coton. Ils sont plus respirants, ils évacuent la chaleur plus vite, absorbent l’humidité plus rapidement, et ne se déforment pas, ne rétrécissent pas ou ne déteignent pas, quelle que soit la façon dont on les lave. En outre, ils sont particulièrement confortables et légers à porter, ils n’irritent pas du tout la peau. Mais certaines personnes ne peuvent toujours pas accepter les fibres synthétiques. Elles croient encore que seuls les textiles en coton sont bons, parce que le coton pousse dans le sol, qu’il est créé par Dieu, et qu’il est naturel, alors que les fibres synthétiques sont créées par l’homme. Ces personnes ne se rendent pas compte que, même si le coton a été préparé par Dieu et qu’il est ce qu’il y a de mieux, la terre a été polluée, et que le ver du cotonnier qui infeste le coton est devenu plus résistant à chaque génération. Les pesticides ordinaires ne peuvent pas résoudre ce problème. En fin de compte, le coton doit subir des traitements de désinfection spéciaux pour ne pas provoquer de démangeaisons quand on en porte. Si le coton est bien traité, le coût des vêtements en coton devient élevé, le coton nécessite des prix de vente extrêmement élevés. Si le coton n’est pas bien traité, alors il n’est pas aussi bon à porter que les vêtements en fibres synthétiques. Tu vois, la qualité des vêtements en fibres synthétiques est particulièrement bonne de nos jours, de nombreux athlètes professionnels en portent, et tous les retours sont assez positifs. Mais certaines personnes, après avoir entendu cela, ne l’acceptent toujours pas et restent convaincues que les textiles en coton sont meilleurs. De telles personnes ne sont-elles pas ignorantes et têtues ? (Si.) Cette ignorance et cet entêtement sont un problème de leur humanité. Alors, quel est leur calibre ? (Leur calibre n’est pas bon.) Quand une nouvelle chose apparaît devant une personne, son attitude, pour ce qui est de juger si cette chose est correcte ou incorrecte, pour ce qui est de décider de l’accepter ou de la rejeter, dépend de son calibre. Si la plupart des gens pensent que cette nouvelle chose est correcte, et que cette personne suit la foule et l’accepte passivement, alors une telle personne est, au mieux, de calibre moyen. Quand cette personne ne peut pas discerner si une nouvelle chose est correcte ou incorrecte, si elle bénéficie aux gens, et ce que sont ses points forts et ses désavantages par rapport aux choses anciennes auxquelles la personne croyait fermement auparavant, en étant incapable de discerner et de distinguer les différences entre les choses nouvelles et anciennes, si elle ne peut rien juger de tout cela, alors cela prouve qu’elle n’a aucune capacité à accepter les nouvelles choses. Autrement dit, elle n’a aucune capacité de compréhension. Les personnes de ce type sont de calibre médiocre. Initialement, quand quelque chose de nouveau apparaît, il leur manque un certain degré de perspicacité. Quand elles entendent parler de cette chose, elles n’ont pas non plus la moindre capacité à l’accepter. En fin de compte, même si elles acceptent à contrecœur cette nouvelle chose, c’est seulement grâce à l’aide et à la persuasion des autres, qui doivent même comparer les avantages et les points forts de cette nouvelle chose avec ceux des choses anciennes, permettant à ces personnes de voir de leurs propres yeux qu’il y a des différences claires entre les nouvelles choses et les anciennes, et que la nouvelle chose est manifestement supérieure à l’ancienne, avant que ces personnes puissent l’accepter. Cependant, dans leur cœur, ces personnes ne peuvent toujours pas voir clairement ce que de nombreuses autres nouvelles choses ont de bon et elles se disent encore que les choses anciennes sont bonnes et qu’elles méritent qu’on s’y accroche. C’est seulement dans des circonstances où elles n’ont pas le choix qu’elles acceptent les nouvelles choses, à contrecœur et passivement. Ces personnes sont de calibre médiocre. Une personne de calibre moyen est une personne qui, avec quelques conseils, comprend immédiatement, qui se rend compte qu’elle considérait les choses de façon déformée et dépassée. C’est là avoir un calibre moyen. Une personne de calibre médiocre, en revanche, a besoin de conseils et d’instructions répétés, et de la persuasion collective de tout le monde, ainsi que de quelques faits et exemples concrets montrant en quoi cette nouvelle chose bénéficie aux gens après son adoption généralisée, avant qu’elle l’accepte et l’utilise à contrecœur. Cependant, en privé, cette personne continue de choisir l’ancienne chose. Il s’agit là d’une personne de calibre très médiocre. Avoir un calibre médiocre signifie qu’invariablement, cette personne ne parvient pas à reconnaître les effets positifs que l’apparition de nouvelles choses a sur les gens, et qu’elle ne peut pas trouver la différence entre les choses nouvelles et les anciennes, et qu’invariablement, elle ne parvient pas à découvrir ou à mettre au jour les avantages et les avancées des nouvelles choses et les inconvénients et l’arriération des choses anciennes, et aussi qu’elle s’accroche toujours à ses vieilles réflexions et opinions. Par conséquent, sa capacité à accepter les choses est très médiocre. Les personnes qui ont une capacité médiocre à accepter les choses sont de calibre médiocre. Les personnes qui ont un calibre médiocre ne peuvent pas percer à jour l’essence ou la cause profonde des problèmes, quelle que soit la façon dont tu leur expliques les choses. On ne peut même pas dire que cette partie des personnes qui ont le calibre le plus médiocre aient la moindre capacité à accepter les choses : quand elles sont confrontées à de nouvelles choses, la question n’est pas de savoir si elles sont subjectivement prêtes à les apprendre et à les accepter. Le problème est plutôt qu’elles n’ont absolument pas la moindre perspicacité vis-à-vis de ces nouvelles choses. Que ce soit dans la vie réelle ou quand elles font leur devoir, quelles que soient les nouvelles choses qui apparaissent, les choses qui progressent ou les choses qui s’améliorent, elles ne les perçoivent pas et n’en ont aucune conscience. Leur ignorance de ces choses est-elle due au fait qu’elles ne lisent pas les nouvelles ou les journaux ? Non, c’est simplement parce que leur calibre est dépourvu de la capacité à accepter les choses. C’est comme si elles n’avaient aucune réceptivité. En ce qui concerne l’apparition de nouvelles choses, quelles qu’elles soient, ces personnes sont insensibles, lentes d’esprit, et elles manquent de perspicacité. Même si elles vivent dans une ville animée, c’est comme si elles vivaient dans un village de montagne reculé. Elles ne sont absolument pas conscientes des événements mineurs ou majeurs, quels qu’ils soient, qui se produisent dans la vie humaine. Par conséquent, dans le cadre de leur vie, il n’y a aucune nouvelle chose qui puisse influencer la façon dont elles mangent, se vêtissent, se logent ou se déplacent. Elles sont exactement comme des animaux. Leur champ de pensée se limite à un petit éventail de choses au sein de leur sphère d’existence, à celles qu’elles connaissent depuis l’âge où elles apprenaient à considérer diverses choses dans le monde. À part cela, tout ce qui vient du monde extérieur n’a absolument aucune influence sur elles et elles ne s’y intéressent pas. De quel genre de personnes s’agit-il ? Sont-elles mentalement déficientes ? (Oui.) Bien entendu, les questions dont nous parlons ici sont des aspects minimes, sans importance, de la vie quotidienne. Nous ne faisons pas référence aux affaires nationales ou aux actualités mondiales majeures. Même l’apparition d’une toute petite nouvelle chose leur échappe complètement, et elles ne font pas preuve de la moindre once d'acceptation. Cette « acceptation » fait référence à la façon dont l’apparition d’une nouvelle chose change leurs pensées et leurs opinions, apporte des améliorations à leur vie – notamment à leur mode de vie, à leur connaissance élémentaire de la vie, et ainsi de suite – et mène à certaines améliorations et à certains progrès quant à leur capacité à gérer les problèmes dans la vie. Les personnes qui n’ont aucune capacité à accepter les choses s’en tiennent toujours à leur routine, à leur façon de vivre d’origine. Par exemple, autrefois, les gens disaient souvent que le tofu mijoté avec des épinards était une bonne chose, que cela apportait à la fois du fer et du calcium à l’organisme, et qu’en manger préparé de la sorte favorisait la croissance. Par la suite, certains ont dit que des chercheurs en nutrition avaient découvert que les épinards contenaient de l’acide oxalique, et qu’en manger avec du tofu pendant longtemps pouvait facilement entraîner la formation de calculs dans l’organisme. Après avoir appris cela, ces personnes se disent : « Qu’est-ce que l’acide oxalique ? Qui a jamais vu de l’acide oxalique dans les épinards ? J’en ai mangé pendant tant d’années, et il ne s’est rien passé. Je vais continuer à en manger ! » Elles ne l’acceptent pas. Il s’agit là de personnes qui n’ont absolument aucune mesure d’acceptation quant aux nouvelles choses ou aux nouveaux points de vue. Par contraste, les personnes qui ont une capacité à accepter les choses, après avoir vérifié que les épinards contiennent de l’acide oxalique, se demanderont comment l’éliminer, et en se renseignant davantage à ce sujet, elles découvriront que blanchir les épinards à l’eau bouillante élimine l’acide oxalique. Les personnes qui ont une capacité à accepter les choses, en recevant de nouvelles informations, discerneront, en effectuant des recherches, la véracité de ces informations et sauront si ces informations sont bénéfiques aux gens, puis elles décideront de les accepter ou de les rejeter. Elles poseront des questions, étudieront les détails concernés, puis appliqueront ces informations à la vie réelle, en évitant les inconvénients ou les préjudices causés aux personnes par la nouvelle chose en question. En revanche, les personnes à l’esprit confus qui n’ont absolument aucune capacité à accepter les choses, quelles que soient les nouvelles informations qu’elles reçoivent, ne s’en soucient pas, et ne se renseignent pas non plus à leur sujet, mais elles les rejettent directement, en s’accrochant seulement aux choses anciennes et dépassées. Tout cela se résume, en fin de compte, au problème de leur calibre. Quand il s’agit de choses nouvelles, elles ne savent pas comment les aborder ou quels principes elles devraient saisir, et elles ne prennent pas non plus en considération les conséquences que le rejet des nouvelles choses pourrait avoir sur leur vie ou leur travail. En bref, elles nourrissent toujours une attitude méfiante vis-à-vis des choses nouvelles et des nouvelles informations, et elles n’osent pas les accepter. De telles personnes sont de calibre médiocre.

Les personnes qui ont un calibre médiocre ne peuvent pas résoudre de manière autonome les problèmes qu’elles rencontrent dans la vie, quel que soit le nombre de problèmes qui se présentent. De telles personnes n’ont pas la capacité de vivre de manière autonome. Peu importe le sujet, quelle que soit la façon d’agir qu’elles ont héritée de leurs ancêtres autrefois, c’est de cette façon qu’elles continuent d’agir. Elles n’y changent rien et y adhèrent rigidement jusqu’au bout. Si tu les critiques, en disant qu’elles ont tort de procéder ainsi, elles n’écoutent pas et deviennent même extrêmement obstinées, et elles argumentent avec toi : « C’est ce qui nous a été transmis par nos ancêtres. La génération de mon grand-père et la génération de mes parents ont toutes fait ça de cette façon, et ça a été transmis comme ça ! » Les choses qui sont transmises sont-elles nécessairement correctes ? Ces personnes ne prennent pas en considération cette question, ce qui prouve qu’elles ont un calibre médiocre. Si elles avaient le calibre d’une personne normale, elles réfléchiraient à cette question. En recevant des informations sur de nouvelles choses, elles afficheraient un certain degré d’acceptation. Si elles ne présentent pas ces manifestations, cela signifie qu’elles n’ont aucun degré d’acceptation. De telles personnes n’ont pas la capacité de vivre de manière autonome. Peu importe l’âge qu’elles atteignent, elles disent toujours : « À l’époque de mon père, c’était comme ça. À l’époque de mon grand-père et de mon arrière-grand-père, c’était comme ça. Donc, pour les gens de ma génération, cela doit rester comme ça. » Ces personnes sont clairement des fossiles. Elles sont comme des souches pourries, elles sont bornées ! Elles n’ont aucune capacité à accepter quoi que ce soit de nouveau, ce qui montre qu’elles sont de calibre très médiocre. Peu importe comment tu leur expliques les avancées des nouvelles choses, elles ne les accepteront pas. De telles personnes n’ont pas la capacité de vivre de manière autonome. En apparence, on pourrait croire qu’elles sont capables de se nourrir, de s’habiller, de se loger et de se déplacer toutes seules, mais les façons de faire et les méthodes qu’elles utilisent sont inférieures à la moyenne. Elles n’adaptent pas leur mode de vie à leur époque ou à la croissance que l’humanité a connu dans les divers domaines du bon sens et de la connaissance. De telles personnes sont celles qui ont un calibre médiocre. Même si elles ne meurent pas de faim, qu’elles ne meurent pas de froid, et qu’elles n’ont contracté aucune maladie grave, à en juger par leur point de vue sur la survie et par leur mode de vie, de telles personnes vivent simplement de façon confuse, et on peut également les ranger dans la catégorie des gens mentalement déficients, des idiots ou des personnes stupides. Certaines personnes sont mal à l’aise quand on les traite de déficientes mentales ou d’idiotes, mais même si elles sont mal à l’aise, c’est vrai. Leur calibre est réellement médiocre à ce point. J’aimerais vraiment dire quelque chose qui te mette à l’aise, mais tu n’as tout simplement pas le calibre pour cela. Tu manques de capacités à tous égards et tu n’as aucune pensée ou opinion précises qui s’alignent sur la réflexion de l’humanité normale sur quelque sujet que ce soit. N’est-ce pas là manquer de calibre ? Il est déjà assez courtois de ne pas te traiter de personne inutile. Les personnes de ce genre qui n’ont aucun calibre sont à deux doigts d’être des handicapées mentales. Les personnes handicapées mentales n’ont même pas la capacité de prendre soin d’elles-mêmes, elles dépendent entièrement de l’aide des autres. À l’heure des repas, leurs parents doivent encore les nourrir à la petite cuillère, et elles ne savent même pas elles-mêmes si elles sont rassasiées ou non. Les personnes qui ont un calibre médiocre sont mentalement déficientes. Ce sont des personnes idiotes et elles sont à deux doigts d’être des handicapées mentales. Voilà à quel point leur calibre est médiocre. Dis-Moi, de telles personnes ne sont-elles pas pathétiques ? Ne sont-elles pas tout à fait exaspérantes ? Les personnes qui ont un calibre médiocre n’ont aucune capacité d’apprentissage, aucune capacité à comprendre les choses et aucune capacité de compréhension. Elles ont encore moins une capacité à accepter les choses, elles n’ont aucune capacité, à aucun égard. Peu importe la manière dont tu leur expliques les choses ou dont tu leur donnes des exemples, elles ne peuvent toujours pas saisir ou comprendre ce qui a été dit. N’est-ce pas là de la déficience mentale ? Peu importe la façon dont tu leur expliques les choses, elles ne peuvent pas les comprendre. Même si tu parles très clairement et que tu expliques les choses en détail, elles ne les comprennent toujours pas, et elles trouvent même que ce que tu dis est très étrange. Elles n’ont pas la pensée de l’humanité normale et inventent même toutes sortes d’idées fausses pour te réfuter. Il est impossible de raisonner avec de telles personnes. Dis-leur simplement : « Tu es au-delà de la raison ! » Leur calibre est médiocre à ce point. Peux-tu ne pas être angoissé et exaspéré par ces personnes ? Peu importe ce que tu leur dis, cela ne sert à rien. Peu importe la manière dont tu essaies de les éclairer, elles ne le comprennent pas. Même quand il s’agit d’une question mineure, il faut toute la journée pour les éclairer, et si tu parles d’une façon un peu plus profonde, elles ne comprennent pas. Tu dois utiliser les termes les plus superficiels et en dire beaucoup avant qu’elles comprennent quoi que ce soit. Même après qu’elles ont compris un problème, quand un problème similaire se présente, elles ne le comprennent toujours pas. N’est-ce pas là de la déficience mentale ? Cependant, les personnes mentalement déficientes de ce genre ne pensent pas être stupides. Elles disent : « Ne pars pas du principe que je suis stupide. Si tu me proposes de me donner dix yuans ou dix dollars américains, regarde ce que je choisis : je choisirai assurément les dollars américains, parce que je sais qu’ils ont plus de valeur. » Les autres leur disent : « Tu es quand même stupide. » Pourquoi les autres disent-ils que de telles personnes sont stupides ? Parce que des personnes ordinaires n’utiliseraient pas ce genre d’exemple pour prouver qu’elles ne sont pas stupides, et qu’elles n’utiliseraient pas non plus une aussi piètre méthode pour le démontrer. Si ces personnes ne se considèrent jamais comme étant stupides, c’est précisément parce qu’elles ont un calibre extrêmement médiocre, qu’elles n’ont aucune norme pour évaluer les personnes, les événements ou les choses, quels qu’ils soient, et qu’elles ne savent pas comment les évaluer. Les personnes véritablement avisées, après avoir fourni des efforts et s’être débattues sans relâche au sein d’une groupe de gens pendant quatre ou cinq ans, se rendent compte que, dans n’importe quel groupe, il y a des individus qui sont meilleurs qu’elles, qui les surpassent. Ces personnes ont sans cesse le sentiment que leur propre calibre n’est pas suffisamment bon, que leurs capacités et leur intelligence ne sont pas suffisamment élevées. Elles sont toujours capables de découvrir leurs propres insuffisances, de reconnaître ce qui leur manque par rapport aux autres, et d’identifier leurs propres problèmes. Elles peuvent toujours voir les points forts des autres. Les personnes de ce genre sont avisées et ont du calibre. Celles qui sont dénuées de calibre, d’un autre côté, quand elles vivent au sein d’un groupe de gens, se disent toujours que les autres sont inférieurs à elles. Elles voient que certains individus ne savent même pas épeler certains mots ou taper à la machine, et elles les méprisent, pensant que ces individus ont un calibre médiocre. Elles utilisent ces petites choses sans importance qu’elles-mêmes savent faire, pour affirmer que leur propre calibre est bon. Il y a également des personnes qui, lorsqu’elles voient que les autres sont moins exigeants qu’elles quant à leur hygiène, ou qu’ils ne savent pas bien s’habiller, disent que ces gens ont un calibre médiocre. Elles-mêmes sont un peu plus propres, elles peuvent afficher un certain raffinement, ou ont certaines connaissances et certains points forts, de sorte qu’elles considèrent que leur propre calibre est bon. De telles personnes sont-elles avisées ou stupides ? Elles sont stupides. Observez comment parlent les personnes avisées. Elles disent : « Pourquoi j’ai encore tout gâché ? Je me rends compte que je suis stupide ! » Les personnes qui disent souvent qu’elles sont stupides et qu’elles ont des insuffisances sont véritablement avisées. Celles qui n’admettent jamais qu’elles sont stupides et qui disent toujours : « Tu penses que je suis stupide ? Essaie de me demander de l’argent et tu verras si je t’en donne ! » sont vraiment stupides. La stupidité, en termes familiers, c’est ce que l’on appelle « ne pas avoir la lumière à tous les étages ». Le fait que ces personnes soient capables de dire des choses aussi stupides ne constitue-t-il pas de la stupidité ? N’est-ce pas « ne pas avoir la lumière à tous les étages » ? (En effet.) Quand ces personnes voient quelqu’un qui a des défauts ou des imperfections, ou qui oublie des choses dans ce qu’il fait, elles rient de lui dans son dos, et disent : « Comment peut-il être aussi stupide ? » Quand elles voient quelqu’un qui est très calculateur pour profiter des autres et qui monte des tas de combines rusées, elles le considèrent comme un individu avisé, qui a un bon calibre. Les personnes véritablement avisées évaluent la qualité du calibre d’un individu et déterminent s’il est avisé ou stupide en se basant sur ses diverses capacités. Les personnes stupides, en revanche, ne s’intéressent qu’à ceux qui se montrent calculateurs, qui profitent des gens et qui évitent toujours de subir des pertes, qui sont doués pour ce qui est de se servir eux-mêmes par la ruse, elles croient que tous les individus de ce genre sont avisés et ont un bon calibre. En réalité, les personnes de ce genre sont toutes stupides. Parce qu’évaluer la qualité du calibre d’un individu en se basant sur la mesure dans laquelle cet individu se montre calculateur, c’est être soi-même stupide. À l’instant, nous avons mentionné l’une des manifestations les plus stupides. Les personnes qui présentent cette manifestation disent : « Si tu me proposes dix dollars américains ou dix yuans, regarde ce que je choisis. Je ne choisirais certainement pas le renminbi. Ne crois pas que j’ignore que le dollar américain a davantage de valeur ! Si tu me proposes de la viande ou du tofu, regarde ce que je mange. Penses-tu que je sois stupide au point de manger le tofu et pas la viande ? Je sais que la viande a meilleur goût ! » De telles personnes sont, en fait, stupides. Si tu ne veux vraiment pas que les autres voient ta stupidité, tu ne devrais absolument pas utiliser de tels exemples. C’est compris ? (Oui.) Les personnes stupides font-elles souvent cette erreur ? (Oui.) Elles se disent même : « Regarde à quel point je suis douée pour ce qui est de donner des exemples ! Tu vois à quel point je suis avisée ? Penses-tu que j’aie l’air stupide ? C’est toi qui es stupide ! » Les personnes les plus stupides respirent la stupidité en permanence. Ceci conclut l’échange sur cette capacité : la capacité à accepter les choses.

La cinquième capacité est la capacité cognitive. À quoi les termes « capacité cognitive » font-ils référence ? Ils portent principalement sur le degré de compréhension qu’une personne a des choses elles-mêmes. Pour évaluer la capacité cognitive d’une personne, il faut examiner son degré de compréhension d’une chose, et le laps de temps dont elle a besoin pour parvenir à une compréhension de l’essence de cette chose. Si la personne a besoin d’une période très courte et que son degré de compréhension est suffisamment profond, atteignant le niveau de la compréhension de l’essence de cette chose, elle a une capacité cognitive. Si le laps de temps dont une personne a besoin pour comprendre une chose se situe dans une fourchette normale, et que la personne peut comprendre l’essence de cette chose en question, qu’elle peut clairement voir les causes et les conséquences, la racine et l’essence des problèmes au sein de cette chose, et avoir ensuite une compréhension de cette chose dans son cœur, et mieux encore, si elle peut donner une définition et tirer une conclusion à propos de cette chose, c’est ce que l’on appelle avoir un bon calibre. Autrement dit, en tant que personne normale capable de la réflexion de l’humanité normale, peu importe que tu sois un homme ou une femme, que tu viennes d’atteindre l’âge adulte ou que tu sois déjà d’âge mûr ou âgé, si tu atteins la compréhension de l’essence de cette chose dans un délai normal, alors on considère que ton calibre est bon. Si le laps de temps qu’il te faut pour comprendre cette chose est deux ou trois fois plus long que celui dont a besoin une personne normale, autrement dit, si une personne qui a un bon calibre a besoin de trois jours, mais qu’il te faut dix jours, voire un mois, et que, d’ici à ce que tu aies compris clairement toute la suite d’évènements constituant cette affaire, et que les préjudices et les conséquences négatives dus à cette affaire soient déjà apparus, ce n’est qu’alors que tu te rends compte de la gravité de cette affaire, et de ce que sont sa racine et son essence, alors, au mieux, ton calibre est moyen. En d’autres termes, si cette affaire n’a pas encore eu de conséquences graves, mais que certaines conséquences négatives ont déjà émergé continuellement, et que c’est seulement au cours de ce processus que tu deviens peu à peu conscient de la racine et de l’essence de cette affaire, que tu en arrives à une définition et à une conclusion, alors ton calibre est considéré comme moyen. Mais si c’est seulement après que cette affaire a entraîné des conséquences négatives et graves que tu as subitement une prise de conscience et comprends ce qu’est la nature de cette affaire, alors ton calibre est extrêmement médiocre. Si cette affaire a déjà entraîné des conséquences négatives et que tu ne sais toujours pas quel problème elle pose, ou quelle est la racine du problème, et que tu ne peux toujours pas tirer de conclusion à son sujet, alors tu n’as aucun calibre. La capacité cognitive se divise en ces quatre niveaux. Il y a d’abord les personnes qui ont un bon calibre. Autrement dit, quand quelque chose vient de se produire et nécessite que tu en tires immédiatement des conclusions en quelques heures – et qu’il s’agit d’une situation urgente qui aura des conséquences négatives si tu ne portes pas rapidement un jugement, si tu n’élabores pas un plan pour gérer et résoudre l’affaire, ou même si tu ne conçois pas un plan de contrôle des pertes pour l’empêcher de se développer davantage – si, durant ce laps de temps, tu peux prendre conscience de la racine de cette affaire, et que tu peux immédiatement et de manière décisive porter un jugement précis, prendre une décision et tirer une conclusion avec précision, puis formuler un plan raisonnable pour gérer le problème, cela signifie que tu as un bon calibre. Supposons cependant que tu aies seulement le sentiment que cette affaire pose un certain problème, mais que tu ne saches pas où réside ce problème, ou quelle en est sa racine, et que, dans les limites d’un laps de temps normal pour gérer cette affaire, tu n’en tires aucune conclusion, tu ne rendes aucun verdict ou n’élabores aucun plan pour la gérer. Au lieu de cela, tu te contentes d’attendre passivement et d’observer tandis que le problème se développe davantage, et c’est seulement à travers la continuation de son développement que tu essaies d’identifier quelle est réellement l’essence de cette affaire et que tu portes un jugement qui n’est pas très précis, et ensuite, tu continues à attendre et à observer, et avant que l’affaire ne se soit pleinement développée, tu peux tout juste être capable de percer à jour l’essence du problème ou de trouver une solution, mais ta gestion de ce problème n’est toujours pas rapide. Si tel est le cas, alors ton calibre est très moyen. Si cette affaire s’est pleinement développée et que des conséquences ont déjà fait surface, que l’essence du problème a déjà complètement émergé, et que c’est seulement alors que tu te rends compte que cette affaire est nuisible, et que tu vois quelle en est la racine sous-jacente – ou peut-être que tu ne peux même pas voir du tout sa racine, mais que tu endures ou fais face simplement aux conséquences finales de cette affaire – cela signifie que ton calibre est médiocre. Une autre manifestation des personnes qui ont un calibre médiocre est que, si de telles affaires se présentent à nouveau, ces personnes gardent la même attitude, la même méthode pour les gérer, et elles les gèrent à la même vitesse. Autrement dit, chaque fois que de telles affaires se présentent, ces personnes les gèrent toujours de la même manière, à la même vitesse et avec la même efficacité. Peu importe le nombre de choses qui se produisent, elles ne sont pas capables de discerner leur essence, pas plus qu’elles ne changent, de manière correspondante, la moindre de leurs opinions ou le moindre de leurs points de vue sur les affaires mondaines. Il s’agit là de personnes qui ont un calibre médiocre. C’est précisément parce que ces personnes ont un calibre médiocre qu’elles n’ont pas une capacité à vivre de manière autonome. Autrement dit, elles n’ont aucune perspective sur la survie ou la vie. Cela indique qu’elles ont un calibre médiocre. La manifestation des personnes dénuées de calibre est la suivante : quand une affaire s’est déjà présentée, et que des conséquences ont peut-être déjà émergé, ces personnes ne savent toujours pas ce qui s’est passé, comme si elles rêvaient. C’est là n’avoir aucun calibre et aucune capacité cognitive. Comprends-tu ? (Oui.) Les termes « capacité cognitive » font principalement référence à la compréhension de l’essence de divers individus et événements, et de la racine de leurs problèmes. Voilà ce qu’est la capacité cognitive. Cela signifie que lorsque tu vois les manifestations, les révélations et l’humanité d’un certain type de personnes, tu peux connaître les problèmes auxquels ces personnes font face, la racine de leurs problèmes dans l’environnement où elles vivent, ainsi que l’essence des événements que tu observes à ce moment-là et où se trouve la racine des problèmes en eux. Les termes « capacité cognitive » font principalement référence à deux aspects : le fait de percer à jour l’essence des personnes, des évènements et des choses, et le fait de percer à jour la racine de leurs problèmes. Que comprenez-vous d’autres au sujet de la capacité cognitive ? Quelqu’un comprend-t-il cela comme la capacité à comprendre et à acquérir des connaissances ? (Non.) La capacité cognitive dont nous parlons concerne principalement la capacité à considérer les personnes et les évènements. Si la norme selon laquelle tu considères les personnes et les évènements est très basse, que ta compréhension est très superficielle, ou que tu ne peux pas comprendre l’essence de quelconques personnes, évènements ou choses, quels qu’ils soient, alors ta capacité cognitive est très médiocre, voire inexistante. Si, quel que soit le nombre de paroles manifestement incorrectes ou de points de vue erronés que les gens autour de toi prononcent et expriment, quel que soit le nombre d’actes incorrects qu’ils commettent, ou quelle que soit la quantité de corruption évidente qu’ils révèlent, tu ne peux pas découvrir l’essence du problème, que tu ne sais pas quel type d’individus ils sont, s’ils sont des gens corrects, s’ils sont des individus qui poursuivent la vérité, que tu ne sais pas à quoi ressemble leur caractère, ou quelle est l’essence de tels individus, si tu ne sais aucune de ces choses, alors tu n’as aucune capacité cognitive. Quand tu es confronté à n’importe quelle personne ou à n’importe quelle affaire, tu n’as aucune norme pour les évaluer. Une fois l’affaire terminée, tu n’en as tiré aucune conclusion quant à l’essence de tels problèmes, et plus encore, tu n’en as absolument aucune compréhension et, bien entendu, tu n’as aucun principe pour gérer de telles affaires ni aucun chemin de pratique pour elles, voilà ce que signifie n’avoir aucune capacité cognitive. Les termes « capacité cognitive » font principalement référence à la capacité d’une personne à comprendre les personnes, les évènements et les choses. Ceci conclut notre discussion sur cette capacité.

La sixième capacité est la capacité à porter des jugements. Avoir la capacité de porter des jugements, c’est quand, étant confronté à une situation, tu peux juger si celle-ci est correcte ou incorrecte, bonne ou mauvaise, positive ou négative, et que tu peux ensuite utiliser ton jugement pour déterminer la façon appropriée d’aborder et de gérer cette situation. En temps normal, quand une personne est confrontée à une certaine situation – qu’il s’agisse de quelque chose qu’elle a déjà vu ou non, de quelque chose dont elle a fait l’expérience auparavant ou non, et que cette situation soit relativement positive ou relativement négative – quel genre d’attitude cette personne devrait-elle adopter vis-à-vis de cette situation ? Devrait-elle la rejeter ou l’embrasser et l’accepter ? Si, une fois que tu vois les choses clairement, tu as ta propre position et des opinions précises qui s’alignent sur les vérités-principes, cela prouve que tu as la capacité de porter des jugements. Par exemple, quand tu entends quelqu’un dire quelque chose, après y avoir réfléchi, tu peux déterminer ce que cela signifie, quel but l’individu qui parle veut atteindre, pourquoi il prononce ces paroles, pourquoi il utilise une telle formulation et un tel ton, et pourquoi il a une certaine expression dans le regard quand il dit cela. Tu peux voir les intentions, les buts et les motivations qui sous-tendent ce qu’il dit. Quelle que soit la façon dont tu gères ces intentions et motivations sous-jacentes par la suite, tu peux immédiatement percevoir certains des problèmes sous-jacents à la situation. Tu sais ce que cet individu veut faire, pourquoi il veut le faire de cette façon, le but qu’il veut atteindre, l’effet qu’il veut que ses paroles produisent, et les moyens, les stratagèmes et les intrigues cachés qui sont impliqués. Tu peux voir certains signes, prendre conscience que le problème n’est pas ordinaire, et tu peux même avoir une certaine vigilance dans ton cœur. Cela prouve que tu as la capacité de porter des jugements. Si tu as la capacité de porter des jugements, cela signifie que tu es une personne qui a un bon calibre. Peu importe à quel point les paroles de quelqu’un semblent agréables, à quel point elles s’alignent sur la vérité du point de vue de la doctrine, à quel point l’attitude de cet individu semble droite aux autres, ou à quel point son objectif est profondément dissimulé, tu peux quand même juger du problème d’après les révélations apparentes de cet individu, d’après les phénomènes qu’il engendre ou ce qu’il dit : cela prouve que tu as un bon calibre et que tu as la capacité de porter des jugements. Par exemple, quand tu es confronté à une situation, quelle que soit la mesure dans laquelle cette situation s’est développée, tu peux percer à jour son essence et la racine du problème, en comprenant le processus suivi par cette situation. C’est là avoir la capacité de porter des jugements. Par exemple, dans l’Église, quand il y a des antéchrists et des personnes malfaisantes qui causent des interruptions et des perturbations, quand il s’agit de savoir qui, parmi ces gens, est le meneur, qui sont ceux qui suivent Dieu, qui joue le rôle principal dans cette situation et qui est passif, et quant à savoir quelle sorte d’influence cette situation elle-même aura sur les gens, et quelles conséquences défavorables émergeront si cette situation se développe davantage, tu peux, en comprenant les circonstances fondamentales de cette situation, porter un jugement sur la situation tout entière. Même si ton jugement, à ce moment-là, présente certaines divergences avec la façon dont la situation finit par tourner, à tout le moins, tu as un point de vue, une attitude et des principes précis pour la gérer. C’est suffisant pour prouver que tu as la capacité de porter des jugements à propos de cette situation. Autrement dit, tu as la capacité de juger qui est le meneur ou l’instigateur d’une affaire, ou dans quelle mesure cette affaire se développera à l’avenir, et quel genre d’attitude et de principes tu devrais utiliser pour l’aborder et l’empêcher d’entraîner des conséquences défavorables. Tant que tu as une capacité à juger, la logique et la méthode de ton jugement sont correctes, et le fondement de ton jugement est, au minimum, conforme à l’humanité, ou mieux encore, conforme aux vérités-principes, et cela prouve que tu as la capacité de porter des jugements. Même si ton jugement présente certaines divergences avec la situation elle-même, du moment qu’il est fondé, qu’il se conforme aux schémas de développement de la situation elle-même, et qu’il s’aligne sur la racine et l’essence de problèmes similaires ou analogues, et qu’en outre, il s’aligne sur les vérités-principes, on peut également dire que tu as la capacité de porter des jugements. Avoir la capacité de porter des jugements prouve que tu peux réfléchir aux problèmes. Si ton jugement s’aligne sur la racine, l’essence et tous les autres aspects de la situation elle-même, alors cela prouve que tu es une personne qui a un bon calibre.

Qui que soient les personnes ou les situations auxquelles on est confronté, c’est seulement quand on pense correctement, et seulement sous réserve de juger si une situation est correcte ou incorrecte, bonne ou mauvaise, ou si elle est positive ou négative, que l’on peut ensuite avoir un plan pour gérer et résoudre cette situation. Si une personne ne sait pas comment réfléchir aux problèmes – et, en particulier, si elle ne peut pas juger des problèmes – alors elle est également incapable de gérer ces problèmes. Autrement dit, elle n’a pas la capacité de gérer les problèmes. Quiconque gère des problèmes le fait sur la base d’un jugement quant à savoir si une situation est correcte ou incorrecte, sinon, son plan pour résoudre les problèmes, et son chemin de pratique, seront dépourvus de fondement. Par exemple, disons que quelqu’un te signale que, dans une certaine Église, la vie d’Église n’est pas bonne, que la plupart des gens sont négatifs et indifférents, qu’ils sont réticents à se réunir ou à faire leur devoir. Comment juges-tu un tel phénomène ? S’agit-il là d’un problème de la vie réelle ? (Oui.) Puisqu’il s’agit d’un problème de la vie réelle, tu dois trouver un plan de pratique spécifique pour le gérer et le résoudre. Avant de résoudre ce problème, ne dois-tu pas juger de ce que sont sa racine et son essence, et de qui le provoque ? Ne dois-tu pas juger de ces choses ? (Si.) Ce n’est que par le biais de la réflexion que tu peux porter un jugement, et c’est seulement après l’avoir fait que tu peux identifier la racine du problème, et que, sur la base de la racine et de l’essence du problème, tu peux déterminer des méthodes appropriées et adaptées pour gérer ce problème, et élaborer des plans pour le résoudre. Si tu apprenais que la vie d’Église dans une certaine Église n’était pas bonne, mais que tu ne savais pas pourquoi, comment t’y prendrais-tu pour savoir où se situe la racine du problème ? (Je penserais d’abord que ce problème est directement lié au dirigeant d’Église. Si le dirigeant d’Église n’a pas de compréhension spirituelle, qu’il croit en Dieu depuis des années, mais qu’il ne comprend pas la vérité, qu’il ne peut pas gérer le moindre problème auquel il est confronté, et qu’il ne sait pas comment amener le peuple élu de Dieu à manger et à boire les paroles de Dieu, ou à échanger sur la vérité, alors une Église ayant un faux dirigeant de ce genre sera forcément dépourvue d’une bonne vie d’Église.) Voilà un premier jugement. En général, pour des problèmes simples, si un jugement est exact, il peut te permettre de saisir la racine du problème. Cependant, certains problèmes sont complexes, et si les renseignements que tu comprends ne sont pas complets, il est possible que ton jugement unique ne te permette pas de saisir la racine du problème. Alors, y a-t-il un second et un troisième jugement ? (Oui.) Après avoir porté trois jugements, il est possible que l’un d’entre eux soit le plus exact. Alors, quels autres jugements peuvent vous venir à l’esprit ? (Ce qui me vient à l’esprit, c’est que les gens dans cette Église ont, pour la plupart, un calibre médiocre et une capacité médiocre à comprendre la vérité, et qu’ils n’aiment pas la vérité. C’est la raison pour laquelle les résultats de la vie d’Église y sont médiocres.) Est-ce conforme à la réalité de la situation ? C’est le deuxième jugement. Y a-t-il d’autres jugements ? (Je me demanderais également s’il y a des personnes malfaisantes qui perturbent cette Église.) Voilà le troisième jugement. Lequel de ces trois jugements est davantage conforme à la situation réelle et plus réaliste, et lequel est creux ? (J’ai l’impression que le second jugement est quelque peu creux. En fait, si l’Église avait une personne appropriée comme dirigeant responsable du travail, les résultats de la vie d’Église seraient bons. En mangeant et en buvant les paroles de Dieu, et en comprenant la vérité, les frères et sœurs auraient certainement la motivation nécessaire pour faire leurs devoirs. J’ai l’impression que le premier et le troisième jugement sont plus réalistes.) Le second jugement est de la doctrine creuse. Le premier et le troisième jugement sont alignés sur la situation réelle et sont exacts. D’abord, ces deux jugements font appel à la pensée logique. Ensuite, ils sont basés sur certains phénomènes que l’on rencontre couramment dans la vie réelle. Si tu peux saisir les phénomènes courants, cela prouve que ta réflexion est correcte et qu’elle se conforme à la logique. Si tu ne peux pas saisir la situation réelle et que ton jugement est déconnecté de la vie réelle, cela prouve que ta réflexion manque de logique et contient des problèmes, et que tu considères les problèmes de façon irréaliste et non-objective. Le premier et le troisième jugement sont objectifs. La situation pourrait être que le dirigeant d’Église ne sait pas comment faire le travail. Lui-même n’a aucun chemin quant à l’entrée dans la vie, de sorte qu’il a encore moins un chemin quand il s’agit de diriger l’Église et les frères et sœurs. Par conséquent, la vie d’Église à cet endroit ne s’améliore pas. En fait, la plupart de gens dans l’Église croient sincèrement en Dieu et sont motivés, mais la vie d’Église ne porte pas vraiment ses fruits. Chaque réunion suit la même routine : il y a des chants, des prières, des lectures de paroles de Dieu, puis le dirigeant ou le diacre partage certaines compréhensions ou doctrines superficielles. Peu de gens dans cette Église peuvent parler de compréhension réelle par l’expérience. Pour couronner le tout, le dirigeant d’Église a un calibre médiocre et une expérience superficielle, et il est incapable d’échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes. La vie d’Église semble donc ennuyeuse et peu agréable. Il y a eu de nombreuses réunions, mais personne n’a rien gagné grâce à elles, de sorte que la plupart des gens se disent qu’assister à de telles réunions leur est moins bénéfique que lire les paroles de Dieu chez eux, et ils deviennent réticents à y participer. Certaines personnes, après avoir cru en Dieu depuis un ou deux ans et parce qu’elles comprennent quelque vérité, veulent faire des devoirs. Cependant, certains dirigeants d’Église ne savent pas quelles personnes conviennent pour faire quel devoir, ou à quelle sorte de travail ces personnes sont adaptées. Ils ne sont pas capables de mettre en place des arrangements raisonnables concernant les gens ou d’utiliser les gens, pas plus qu’ils ne peuvent utiliser leurs propres expériences pour soutenir les gens et les aider à mener à bien leurs devoirs. Cela peut amener certaines personnes à devenir négatives et réticentes à faire leurs devoirs. En fait, la plupart de gens qui sont disposés à faire leur devoir peuvent bien le faire. Il leur manque simplement un soutien et de l’aide. Si les dirigeants d’Église et les diacres peuvent soutenir et aider les gens conformément aux paroles de Dieu, le nombre de personnes dans l’Église prêtes à faire leur devoir augmentera et ces personnes pourront faire leur devoir normalement. C’est parce que les dirigeants d’Église et les diacres ne savent pas comment faire le travail que la vie d’Église donne des résultats médiocres et que certains problèmes restent sans solution pendant longtemps, et au bout d’un moment, bon nombre de gens deviennent négatifs et n’ont plus aucune motivation. Cela affecte les membres du peuple élu de Dieu quand ils font leur devoir. Si les résultats de la vie d’Église sont médiocres, c’est principalement parce que les dirigeants d’Église et les diacres ne savent pas comment faire le travail d’Église. Voilà une première situation. Une autre situation, c’est quand des antéchrists et des personnes malfaisantes détiennent le pouvoir et provoquent des perturbations dans l’Église, ce qui se produit de temps à autre. Quand des dirigeants d’Église ne savent pas comment faire le travail, et qu’il y a également des antéchrists et des personnes malfaisantes qui détiennent le pouvoir, qui forment constamment des cliques, qui établissent des royaumes indépendants, qui tourmentent et répriment les autres, cela amène certains frères et sœurs, qui croient sincèrement en Dieu et qui sont prêts à faire leur devoir à être réprimés, tourmentés et exclus. Ils veulent faire leur devoir, mais n’en ont pas l’occasion, ce qui les rend négatifs et faibles. Ces gens qui croient sincèrement en Dieu ne prennent aucun plaisir à se réunir avec des antéchrists et leurs comparses. Les antéchrists veulent toujours détenir le pouvoir et s’imposer. Quand ceux qui croient sincèrement en Dieu se joignent aux réunions, ils veulent comprendre plus de la vérité et partager leurs expériences, mais les antéchrists les répriment et ne leur en donnent pas l’occasion. Par conséquent, la vie d’Église devient désordonnée. Les gens sombrent dans le désarroi et les réunions ne sont plus agréables. Le peu d’enthousiasme et d’amour que les gens avaient se perd et ces gens ne sont plus disposés à faire leur devoir. Les résultats médiocres de la vie d’Église peuvent être dus à l’une ou l’autre de ces raisons. Voilà à quoi vous pouvez penser et ce dont vous pouvez juger. Si la conclusion à laquelle tu parviens par le biais du jugement se rapporte à la situation réelle, même si elle ne s’y rapporte que partiellement ou qu’elle identifie seulement un problème potentiel, il s’agit quand même de la manifestation du fait que tu as la capacité de porter des jugements. À tout le moins, la conclusion à laquelle tu parviens et l’opinion que tu te fais par le biais du jugement se rapportent à la situation réelle, et il ne s’agit pas de doctrine, de quelque chose de creux ou qui n’existe jamais. Cela prouve que tu as la capacité de porter des jugements. Si les conclusions que tu tires de chaque situation ne s’alignent pas sur les schémas normaux du développement des choses ou sur la façon dont tourne n’importe quelle situation dans la vie réelle, et que ces conclusions sont purement imaginées, creuses, irréalistes et fausses, et qu’elles n’ont aucun rapport avec les situations réelles, alors cela signifie que tu n’as aucune capacité à porter des jugements ou que tu fais souvent des erreurs de jugement. Alors, qu’en est-il du second jugement que vous avez mentionné précédemment, selon lequel les résultats médiocres de la vie d’Église sont dus au fait que les gens dans cette Église ont un calibre médiocre et n’aiment pas la vérité. De quel genre de jugement s’agit-il là ? (Il s’agit d’une erreur de jugement.) On appelle cela faire une erreur de jugement. Si tu ne peux pas saisir pleinement les problèmes qui accompagnent souvent de telles situations, autrement dit, les quelques problèmes qui ont le plus de chances de se présenter, et que tu ne trouves qu’un problème par le biais du jugement, ou que des problèmes potentiels te viennent à l’esprit, mais aussi des problèmes impossibles, qu’est-ce que cela prouve ? Cela prouve que ta capacité à porter des jugements est moyenne. Une personne qui fait preuve d’une capacité moyenne à porter des jugements a certaines pensées sur une situation, mais ne peut pas en être certaine. Dans de tels cas, le jugement qu’elle porte est inexact. Si les jugements d’une personne sont parfois corrects et parfois incorrects, que certains s’alignent sur la situation réelle tandis que ce n’est pas le cas pour d’autres, mais que les jugements inexacts sont relativement plus fréquents, cela indique que la capacité de cette personne à porter des jugements est médiocre. Admettons que les conclusions auxquelles elle parvient par le biais du jugement soient complètement creuses, qu’elles ne se conforment pas du tout aux structures du développement des choses et, plus encore, qu’elles ne s’alignent pas sur les phénomènes courants ou sur ceux qui se produisent fréquemment, en n’ayant absolument aucun lien avec les faits. Les jugements de cette personne ne sont rien d’autre que des fantasmes, ils n’ont absolument aucun lien avec les schémas de développement des choses ou avec l’humanité-essence elle-même, et ils sont entièrement incompatibles avec le contexte de la vie réelle et l’environnement alentours. Autrement dit, admettons que les jugements de cette personne soient déconnectés de la réalité : c’est-à-dire que ce qui vient à l’esprit de cette personne par le biais du jugement ne pourrait jamais se produire dans la vie réelle et que ce dont elle parle n’est pas du tout l’essence du problème. Si tel est le cas, alors cette personne n’a aucune capacité à porter des jugements.

Pour évaluer si une personne a la capacité de porter des jugements, l’essentiel est de voir si ses jugements portant sur divers types de gens et divers types de choses sont exacts. Par exemple, disons que tu vois une personne pleurer, et que tu ne sais pas pourquoi elle pleure. Tu vois que cette personne pleure en étant très mécontente et très triste, qu’elle prie et lit également les paroles de Dieu de temps à autre, et qu’elle ne répond pas à tous ceux qui lui parlent. On te demande de juger de ce qui arrive à cette personne, et tu dis : « Elle a peut-être le mal du pays. Sa mère est tombée malade il y a quelque temps, alors elle veut rentrer chez elle. » Ce jugement est-il exact ? Certains disent : « Cette personne se sent peut-être négative. La plupart du temps, quand les gens pleurent, c’est parce que leurs sentiments ont été blessés. Par exemple, les gens pleurent quand on les tyrannise ou qu’on les trompe. Quand une personne fait face à des problèmes et qu’elle a été traitée injustement, elle pleure sans cesse et ne veut pas parler aux autres ou interagir avec eux. C’est la manifestation du fait qu’elle se sent négative. » D’autres portent ce jugement : « Cette personne prêchait souvent l’Évangile et faisait son devoir à l’extérieur, mais maintenant, elle fait son devoir à l’intérieur depuis longtemps, elle ne s’y est peut-être pas habituée et se sent opprimée. » Y a-t-il d’autres possibilités ? Certains disent : « Peut-être que cette personne n’a pas pu manger de viande hier, ce qui l’a contrariée, et donc elle pleure. » D’autres disent : « Hier, elle est venue me parler. J’ai cru qu’elle ne faisait que passer, alors je lui ai jeté un coup d’œil sans rien dire. Cela a-t-il pu la mettre en colère ? Se pourrait-il qu’elle pleure pour cette raison ? » Comment devrait-on juger de cette affaire d’une façon qui s’aligne sur la situation concrète ? Est-il facile de juger de cela ? (Je peux porter certains jugements. Les quelques raisons qui viennent d’être mentionnées – le mal du pays, les sentiments blessés, ou une humeur morose, opprimée – correspondent à des états qui peuvent tous potentiellement amener une personne à pleurer. Cependant, des petites choses comme le fait de ne pas pouvoir manger de viande, ou d’être ignoré quand on parle à quelqu’un, ne devraient pas suffire à faire pleurer une personne.) Quelles sont les raisons pour lesquelles une personne peut pleurer à chaudes larmes ? Les griefs, la tristesse, le fait que quelqu’un ou quelque chose te manque, un sentiment de redevabilité. Donc, tu devrais demander à la personne : « Pourquoi pleures-tu ? Pleures-tu parce que tu as été traitée injustement et que tu te sens triste, ou parce que tu réfléchis sur toi-même et que tu te dis que tu dois tant à Dieu ? » En ayant une conversation sincère de cette façon avec la personne, tu sauras pourquoi elle pleure. En bref, il n’est pas possible qu’elle pleure parce qu’elle n’a pas bien mangé ou parce qu’elle n’a pas pu manger de viande, et il n’est pas non plus possible qu’elle pleure parce que les autres l’ont ignorée ou qu’ils ont levé les yeux au ciel en la voyant. Bien entendu, dans des circonstances habituelles, endurer un peu de souffrance ne ferait pas pleurer une personne, et ne pas être de très bonne humeur de temps à autre ne la ferait pas non plus pleurer. Ce qui peut faire pleurer une personne, c’est en général simplement ces quelques situations mentionnées ci-dessus. Tu peux juger de la raison pour laquelle la personne pleure en te basant sur ces situations habituelles, et tu peux ensuite porter un jugement sur la base de ses manifestations habituelles, constantes – comme le fait que la personne ne pleure pas en général, sauf si elle se trouve confrontée à quelque chose de triste ou à quelque chose qui touche un point sensible, qu’elle ne verse pas facilement des larmes, et qu’elle ne pleure que lorsqu’elle parle de situations particulièrement contrariantes et de choses qui touchent particulièrement son âme, ou quand elle a fait quelque chose de mal ou qu’elle a commis une erreur grave et qu’elle estime être redevable à Dieu – en te basant sur ce contexte pour porter un jugement, tu peux plus ou moins comprendre pourquoi la personne pleure. Une situation possible serait qu’elle pleure si un membre de sa famille tombait gravement malade ou décédait. Une autre serait qu’elle pleure si elle-même souffrait d’une maladie grave et était angoissée. Sinon, elle pourrait pleurer parce qu’elle a fait quelque chose de mal et qu’elle a donc commis une transgression, et qu’elle se dit qu’elle est redevable à Dieu, qu’elle veut faire tout son possible pour changer de cap, mais qu’elle a encore des faiblesses et qu’elle est incapable de les surmonter ; le mélange de ces émotions complexes conduirait cette personne à pleurer. Ces jugements sont relativement en accord avec la situation concrète. En portant des jugements sur la base des manifestations constantes de cette personne et des caractéristiques de sa personnalité, tu peux comprendre la cause profonde qui explique pourquoi elle pleure à ce moment-là. Ainsi, le jugement sera relativement plus exact. En comprenant, d’une part, la stature de telles personnes et certains des problèmes dont elles font l’expérience à ce moment-là et, d’autre part, les imperfections de leur humanité elle-même, ainsi qu’une partie de la corruption et des faiblesses qu’elles révèlent fréquemment, tu peux, pour l’essentiel, restreindre le cadre, et juger de ce qu’est la cause profonde du problème de cette personne au sein de ce cadre. Porter un jugement de cette façon sera relativement exact.

Nous avons désormais fini d’échanger sur les manifestations des personnes qui ont un bon calibre, un calibre moyen et un calibre médiocre en ce qui concerne leur capacité à porter des jugements, n’est-ce pas ? (En effet.) Il y a également la catégorie des personnes qui ont le pire calibre. Peu importe ce qui se passe ou ce que de telles personnes voient quelqu’un faire, elles ne savent pas porter un jugement. Pourquoi ? Parce que, leur calibre étant vraiment médiocre, elles n’ont aucune capacité à porter des jugements et elles ne savent pas comment juger les choses. Par exemple, admettons qu’elles entendent quelqu’un dire quelque chose de négatif. En ce qui concerne l’essence et la nature de cette déclaration, elles ne savent pas sur quoi baser leur jugement, elles n’en ont aucune idée. C’est là ne pas savoir comment réfléchir aux problèmes et ne pas savoir comment juger les choses. Quand elles voient quelqu’un faire quelque chose, elles ne peuvent pas juger de la nature de cette situation ou du caractère de cet individu en se basant sur l’essence de la situation. Elles ne savent pas comment juger ces choses en se basant sur leur expérience quant à leur façon de se conduire, et encore moins en se basant sur les paroles de Dieu. Par conséquent, elles n’ont pas la capacité à porter des jugements. Quelle est la cause profonde de l’incapacité à juger les choses ? C’est que les personnes de ce type ne savent pas réfléchir aux problèmes et que, lorsqu’il s’agit de considérer les gens et les choses, elles ne savent pas quel aspect de ces gens et de ces choses examiner, comment les considérer ou sur quelle base les considérer. Et elles ne savent pas quelles conclusions en tirer après coup, ni comment tirer des conclusions, ni comment aborder et gérer ce genre d’individus ou de situations une fois qu’elles sont parvenues à une conclusion. Leur esprit est soit vide soit embrouillé. C’est là ne pas avoir la capacité à porter des jugements. Le problème principal des personnes qui n’ont pas la capacité à porter des jugements est qu’elles ne comprennent et ne saisissent aucun des principes, et qu’elles n’ont même pas d’expérience quant à leur façon de se conduire. Par conséquent, quand elles interagissent avec divers types de gens, elles ne savent pas quelle sorte d’individus valent la peine d’être fréquentés et quelle sorte d’individus n’en valent pas la peine. Elles ne savent pas quels individus sont relativement bons et ont également des points forts desquels elles peuvent apprendre pour compenser leurs propres lacunes ni qui peut les aider et leur être bénéfique, quel genre d’individus peuvent être tolérés et avec lesquels on peut s’entendre à contrecœur, et quelle sorte d’individus ont une humanité si incroyablement malfaisante que les fréquenter pourrait facilement provoquer des problèmes ou des conflits, et devraient donc être tenus à distance : elles ignorent tout cela. En résumé, ces personnes qui n’ont pas la capacité à porter des jugements ne savent rien, et elles ne peuvent juger aucun individu, aucune situation. Mais elles ont aussi leur propre façon d’aborder les choses, une règle fixe qu’elles suivent. Elles disent : « Peu importe avec qui je gère les choses ou à qui je parle, je me contente de me débarrasser d’eux en plaisantant. Je n’ai d’inimitié pour personne. Qu’il s’agisse d’une bonne ou d’une mauvaise personne, que cette personne croie sincèrement en Dieu ou qu’elle ne soit pas croyante, qu’elle aime la vérité ou qu’elle ait de l’aversion pour la vérité, je m’entends bien avec elle, et je n’offense personne. Quand je vois des gens malfaisants, je les évite. Quand je vois des gens dociles, je les tyrannise. » Voilà précisément leur logique démoniaque. Elles ne savent pas quel genre d’individus elles devraient fréquenter, quel genre d’individus elles devraient tenir à distance, quel genre d’individus elles ne devraient jamais fréquenter ou auxquels elles ne devraient jamais avoir affaire. Elles ne font pas preuve du moindre discernement et considèrent tout le monde de la même façon, elles traitent tout le monde uniformément. Peu importe de qui il s’agit, du moment qu’elles n’ont pas une opinion favorable à l’égard de cet individu, elles le considéreront comme un étranger ou un ennemi. Peu importe à quel point un individu est bon, tant qu’il ne leur procure pas le moindre avantage, elles le traiteront avec méfiance. Elles n’ouvrent leur cœur à personne et elles abordent tout le monde avec méfiance. De telles personnes ont-elles un bon calibre ou un calibre médiocre ? (Un calibre médiocre.) Puisqu’elles ont un calibre médiocre, comment peuvent-elles avoir quand même de telles pensées ? De telles personnes ont simplement l’esprit étroit. Quelle est la différence entre les personnes dépourvues de calibre et celles qui sont handicapées mentales ? Les personnes dénuées de calibre sont mentalement déficientes et idiotes. À part se nourrir et se vêtir, ne pas perdre la face et être calculatrices pour profiter des gens et ne subir aucune perte, elles n’ont absolument aucun calibre. Les personnes handicapées mentales, en revanche, ne font même pas de calculs pour protéger leurs propres intérêts ou pour profiter des autres, elles ne pensent pas du tout, tout simplement. Les personnes mentalement déficientes et idiotes, outre un certain sens du calcul, n’ont absolument aucune capacité de survie, aucun calibre et aucune capacité à porter des jugements. Par conséquent, il n’y a aucun principe dans leur façon de traiter les gens, quels qu’ils soient. Elles se fient simplement à leurs sentiments. Tant qu’elles estiment que tu ne te montres pas bon envers elles, elles t’éviteront, elles se sentiront réfractaires à ton égard et te haïront dans leur cœur, et elles te rejetteront. Peu importe à quel point tu fais preuve de bonne volonté à leur égard ou la façon dont tu les aides, tant qu’elles ne peuvent pas clairement le percevoir, elles n’auront pas le sentiment que tu es amical envers elles ou que tu ne leur causes aucun préjudice. Elles ne peuvent pas identifier si les personnes, les événements et les choses sont corrects ou incorrects, bons ou mauvais, positifs ou négatifs, elles ne peuvent pas juger de ces choses. Elles sont seulement un certain sens du calcul. Quand elles ont profité de quelqu’un, elles sont contentes. Quand elles n’ont pas profité de quelqu’un, elles se disent qu’elles ont subi une perte, qu’on les a traitées injustement, et que les autres se sont moqués d’elles, et elles décident que, la prochaine fois, elles ne laisseront pas les autres profiter d’elles, ou qu’elles ne permettront pas aux autres de se vanter ou de prendre le dessus devant elles : elles ne leur en donneront pas la moindre occasion. Dis-Moi, le simple fait d’avoir ces calculs à l’esprit signifie-t-il qu’elles ont du calibre ? C’est seulement un peu mieux qu’être handicapé mental, mais en matière de capacités, elles n’en ont aucune, elles n’ont aucune des différentes capacités pour gérer divers types d’affaires. Elles sont simplement idiotes et mentalement déficientes. De telles personnes n’ont aucun calibre. Comprends-tu ? (Oui.) La seule chose que ces personnes ont, et que les personnes handicapées mentales n’ont pas, ce sont ces calculs. Les personnes handicapées mentales ne font même pas ces calculs. Quand de telles personnes apprennent cela, elles ne sont pas convaincues. Elles disent : « Tu soutiens que je n’ai aucune capacité à porter des jugements ? Rassemble quelques dollars américains et de l’or, et regarde si je ne fais pas la différence. Je suis capable de les distinguer ! L’or est jaune et les dollars américains sont des billets de banque ! Rassemble du platine et de l’argent, et regarde si je suis incapable de porter un jugement ! Le platine et l’argent ont des nuances de blanc différentes, je suis capable de le voir ! » N’est-ce pas stupide ? C’est tout à fait stupide. Elles sont seulement capables de faire la différence entre ces choses et pourtant, elles veulent s’en vanter et prouver qu’elles ne sont pas stupides. Elles ont fait tant de choses stupides, et tant de choses qui démontrent un manque de calibre, pourquoi n’en parlent-elles pas et n’essaient-elles pas de comprendre ces choses ? C’est précisément parce qu’elles manquent de calibre, parce que leur calibre est si médiocre, et qu’elles ne peuvent pas identifier ou distinguer ces choses, qu’elles évoquent une ou deux choses que les personnes handicapées mentales ne peuvent pas faire, pour prouver qu’elles ne sont pas handicapées mentales, pour prouver qu’elles ont de l’esprit et un calibre. N’est-ce pas stupide ? Cela prouve davantage leur stupidité. Notre échange sur les manifestations des personnes qui n’ont aucun calibre est également terminé, à présent. Quelle est la principale indication pour savoir si une personne à la capacité de porter des jugements ? C’est si elle a la réflexion de l’humanité normale. Si tu n’as pas la réflexion de l’humanité normale, tu ne seras pas capable de juger de quoi que ce soit. Si tu as la réflexion de l’humanité normale, tes jugements seront peut-être tout de même erronés, mais, à tout le moins, cela montrera que tu as la capacité de porter des jugements et que tu as la capacité de réflexion de l’humanité normale. Les jugements que tu portes ne sont pas de la spéculation, de la supposition, ils ne sont pas hypothétiques et ils ne sont pas non plus de la déduction. Au contraire, ce sont les différentes conclusions et opinions auxquelles tu parviens en considérant tous les aspects d’une situation. Voilà ce que l’on appelle la capacité à porter des jugements.

Maintenant que nous avons fini de discuter de la capacité à porter des jugements, parlons de la capacité d’identifier les choses. À quoi fait référence la capacité d’identifier les choses ? Cela fait principalement référence au fait d’identifier si les personnes, les événements et les choses sont positifs ou négatifs, corrects ou incorrects, et s’ils sont bons ou mauvais. Cela fait référence au fait de caractériser ou de classer les personnes, les événements et les choses, de ranger les personnes, les évènements et les choses auxquels tu es confronté dans diverses catégories. L’intention et le but de cette identification sont de classer les personnes selon leur genre et de classer les choses positives et négatives selon de leur genre. Bien entendu, classer ne veut pas dire regrouper les oiseaux dans la catégorie des oiseaux, les animaux dans la catégorie des animaux ou les plantes dans la catégorie des plantes. La capacité d’identifier les choses ne fait pas référence à la capacité d’identifier ces catégories, mais à la capacité d’identifier les attributs de diverses personnes, évènements et choses. Par exemple, peux-tu catégoriser les manifestations, les révélations et l’essence de diverses personnes ? Peux-tu définir les attributs des diverses personnes, évènements et choses auxquels tu es confronté ? Par exemple, quand tu identifies des incrédules, peux-tu identifier leurs révélations qui te permettent de reconnaître clairement qu’ils sont des incrédules ? Si tu connais les caractéristiques et les traits que les incrédules présentent, les révélations d’humanité qu’ils affichent, les paroles qu’ils prononcent, les actions qu’ils entreprennent, les pensées et les points de vue qu’ils ont, alors tu devrais être capable d’identifier les incrédules. Un individu qui a un bon calibre, quand divers personnes, évènements et choses apparaissent, peut identifier s’il s’agit de choses positives ou négatives, de personnes positives ou négatives, si ces personnes sont justes ou malfaisantes, et si elles sont correctes ou incorrectes. Il peut définir les attributs de diverses personnes, événements et choses et identifier si ces derniers s’alignent sur l’humanité et la vérité. Il s’agit-là d’un individu qui a un bon calibre. Alors, qu’en est-il des gens qui ont un calibre moyen ? Ils peuvent identifier les divers personnes, événements et choses qui ont des attributs évidents. Par exemple, certains individus disent : « Comment pourrait-il y avoir un dieu ? Où est-il ? Pourquoi je ne peux pas vérifier qu’il existe ? » Face à de telles paroles qui nient manifestement Dieu, ces gens font preuve d’un certain discernement et ils peuvent identifier que des tels individus sont des incrédules et des personnages négatifs. Ils peuvent identifier le mal manifeste et les choses manifestement négatives, injustes, néfastes, mais quant à certaines choses qui sont spécieuses, dont on entend rarement parler et qui se situent dans une zone intermédiaire ou floue, ils ne peuvent pas les différencier, et ils ne sont pas non plus capables de les traiter différemment. Ils ont bien une capacité à discerner les personnes malfaisantes qui commettent des méfaits évidents. Ils savent que de telles personnes sont malfaisantes et que si des personnes comme elles devenaient dirigeantes et gagnaient un statut, elles seraient des antéchrists. Mais si ces personnes ont un caractère médiocre et qu’elles n’ont pas encore commis d’actes malfaisants, ces gens ne seraient pas capables d’identifier si on peut les catégoriser comme étant des personnes malfaisantes ni quels actes malfaisants elles pourraient commettre, et ces gens ne seraient pas non plus capables de définir les attributs de ces personnes. C’est là avoir un calibre moyen. Le comportement de certains personnes est assez évident. Par exemple, elles se livrent à la débauche, vénèrent des idoles, suivent les choses mondaines, aiment raconter des ragots, répriment et tyrannisent fréquemment les autres, ou se rendent coupables de meurtres et d’incendies volontaires, et ces gens diraient que ces personnes ne sont pas bonnes et qu’elles sont également détestées par Dieu. Ces gens peuvent faire cette distinction. Mais en ce qui concerne certaines personnes dont le comportement apparent est plutôt bon – elles font souvent l’aumône et aident les autres, elles font preuve de patience envers les gens, elles s’entendent raisonnablement bien avec les autres – des personnes dont l’humanité semble assez bonne, vue de l’extérieur, mais dont les paroles et les actes, la plupart du temps, ne sont pas en accord avec la vérité, et dont les actes violent souvent les vérités-principes, ces gens ne seraient pas capables de discerner si de telles personnes sont celles qui poursuivent la vérité, ou à quelle catégorie exactement elles appartiennent. En ce qui concerne ces personnes, événements et choses qui sont évidents et facilement étiquetés, ces gens peuvent discerner s’ils sont corrects ou incorrects, bons ou mauvais, s’ils sont justes ou malveillants, et s’il s’agit de choses positives ou négatives. Ces gens peuvent faire la distinction entre de telles questions apparentes, mais ils ne peuvent pas faire de distinctions quand il s’agit de personnes, d’évènements et de choses qui concernent vraiment les principes et qui sont vraiment en rapport avec la vérité. Ces gens ne peuvent pas discerner ceux qui sont visiblement en accord avec la vérité et ceux qui violent la vérité. C’est là avoir un calibre moyen. Par exemple, certains individus portent des vêtements faits de relativement bons tissus, qui semblent élégants et de grande qualité, qui leur donnent l’allure de ces personnalités de haut rang ou de ces élites en col blanc dans le monde. En voyant cela, les gens qui ont un calibre moyen disent : « Ces vêtements sont ce que les non-croyants aiment. En tant que personnes qui croient en Dieu, nous ne devrions pas les aimer. Ce ne sont pas des choses positives. » Dire cela est incorrect. Ces vêtements ne sont pas séduisants ni aguicheurs, ils ont plutôt un aspect élégant, digne et convenable, qui donne à celui qui les porte à une allure noble. Mais ces gens considèrent de tels vêtements, qui donnent une allure noble et élégante à celui qui les porte, et qui sont également à la mode, comme des choses négatives et disent qu’ils sont de mauvaises choses. C’est être incapable d’identifier ces choses, n’est-ce pas ? (En effet.) Alors, qu’en est-il de la capacité de ces gens à identifier les choses ? Au mieux, elle est moyenne. C’est là avoir un calibre moyen. De telles personnes ne sont même pas capables de faire la distinction entre certaines choses que les non-croyants sont pourtant capables de différencier : les non-croyants qui ont un bon calibre peuvent discerner une bonne et une mauvaise humanité, mais ces gens en sont incapables. Même s’ils ont compris certaines doctrines après avoir commencé à croire en Dieu, les individus de ce genre sont incapables de faire la distinction entre les choses positives et négatives. Ils peuvent discerner les choses qui sont évidentes, mais pas celles qui ne le sont pas. Ils sont capables de discerner les personnes manifestement malfaisantes, les incidents évidents au cours desquels des interruptions et des perturbations sont provoquées, et les incidents évidents au cours desquels les principes sont violés, mais quand il s’agit de certaines personnes, de certains évènements et de certaines choses qui sont relativement particuliers, sinistres, étranges, et cachés dans l’ombre, ils ne peuvent pas les identifier. C’est seulement grâce à l’échange avec les autres et à leurs indications, ou du fait que les personnes elles-mêmes fassent quelque chose d’évident, qu’ils peuvent les identifier. Sinon, ils en sont incapables. Cela indique que leur capacité à identifier les choses est moyenne. Il y a aussi des gens qui, quelles que soient les circonstances, ne peuvent pas identifier les personnes, les évènements ou les choses, ni définir leurs attributs. Par exemple, quand il s’agit d’évaluer ce que sont exactement les attributs d’une certaine catégorie de personnes, d’évaluer s’il s’agit de vrais croyants ou d’incrédules, d’évaluer s’il s’agit de personnes qui poursuivent la vérité, ou si elles conviennent pour être cultivées, ces gens ne le savent pas et ils ne peuvent pas voir ces choses. Même quand de telles personnes présentent de nombreuses manifestations et qu’elles ont des problèmes flagrants, ils ne peuvent toujours pas les identifier ni définir leurs attributs. C’est là ne pas avoir la capacité d’identifier les choses. Même si des personnes, des événements et des choses ordinaires et facilement discernables apparaissent, ils ne peuvent pas dire clairement si ces personnes sont bonnes ou malfaisantes, ni s’il s’agit de questions justes ou injustes. Ils ne savent pas comment les différencier ou les catégoriser, et ils ne savent pas non plus comment les classer. Même après avoir lu les paroles de Dieu et avoir échangé avec les autres, ils ne peuvent toujours pas les identifier. En fin de compte, ils font en sorte que les autres décident pour elles, et disent : « Quelle que soit la façon dont tu les caractérises, c’est ce qu’ils sont. Si tu les caractérises comme des gens justes, alors ils sont justes. Si tu les caractérises comme des gens malveillants, alors ils sont malveillants. » En bref, eux-mêmes ne peuvent pas établir de définitions ou tirer des conclusions. Quelle que soit la situation, chaque fois qu’il s’agit de tirer une conclusion, ils sont perdus et n’ont rien à dire. N’est-ce pas là être dépourvu de la capacité d’identifier les choses ? (Si.) Même quand il s’agit du phénomène extérieur le plus simple qui soit, si on leur demande d’identifier ce que sont la nature et les attributs de ce phénomène, ils l’ignorent. Cependant, ils ont bien une astuce : ils peuvent parler sans arrêt, raconter ce qu’un individu a dit et fait. Mais si tu leur demandes : « En réalité, cette personne est-elle une vraie croyante ou non ? Est-elle quelqu’un qui a aspire formidablement à Dieu ? » ils répondent : « Eh bien, elle croit en Dieu depuis plus de dix ans et elle a renoncé à sa famille et à sa carrière. Quand sa fille avait trois ou quatre ans, elle la confiait aux frères et sœurs et partait de chez elle pour faire son devoir. » Ces individus font bel et bien des calculs. Ils évitent de tirer des conclusions eux-mêmes, et à la place, ils te laissent décider. Si tu leur demandes : « Alors, cette personne est-elle quelqu’un qui accepte la vérité ? » ils répondent : « Eh bien, depuis qu’elle est devenue dirigeante d’Église, elle se lève très tôt et se couche très tard. Quant à savoir s’il s’agit de quelqu’un qui accepte la vérité, quand, un jour, les frères et sœurs lui ont signalé certains de ses problèmes, elle s’est tout de suite mise à pleurer, en disant qu’elle était redevable à Dieu et qu’elle ne s’était pas bien débrouillée. » Si tu leur demandes : « Et s’est-elle repentie par la suite ? » ils répondent : « Eh bien, à ce moment-là, elle a eu une assez bonne attitude. » Ils aiment te submerger d’informations, en te montrant qu’ils valent quelque chose, qu’ils savent tout et qu’ils savent considérer les personnes, et en t’empêchant de les sous-estimer. En réalité, ils ne savent pas discerner les personnes ni tirer des conclusions. Ils t’indiquent simplement tout un tas de phénomènes et d’informations, en te laissant la tâche d’identifier le genre de personne dont il s’agit, de tirer des conclusions quant à cette dernière et de définir ses attributs. Tu leur dis : « On peut globalement considérer que cette personne est quelqu’un qui accepte la vérité. Elle est dynamique dans sa façon de croire en Dieu, c’est une vraie croyante. Simplement, comme elle a un calibre médiocre et qu’elle n’a pas de capacité de compréhension, elle n’est jamais capable de trouver les principes de pratique, et elle ne peut pas pratiquer la vérité, même si elle est disposée à accepter la vérité. » Ils répondent : « Elle ne me semble pas être quelqu’un qui a une capacité de compréhension. Chaque fois qu’elle parle de quelque chose de désagréable, elle pleure, elle a toujours la même attitude. » Tu vois ? Eux-mêmes n’ont aucune capacité à identifier les choses, mais ils sont assez doués pour ce qui est de s’appuyer sur les remarques faites par les autres. N’est-ce pas problématique ? La manifestation la plus fréquente des gens qui n’ont pas de capacité à identifier les choses est qu’ils aiment te parler de tout un tas de phénomènes, d’informations, de problèmes difficiles, du déroulement d’évènements ou de tout ce qu’ils ont observé d’une certaine situation, puis ils attendent que tu définisses tout cela, et une fois que tu l’as fait, ils pensent que ta définition est bonne et ils peuvent l’accepter. Après l’avoir acceptée, ils ne savent toujours pas pourquoi tu as défini les choses de cette façon. Ils ne savent pas sur quelle base ou sur quels principes reposent tes conclusions, ni comment traiter ou gérer le type d’individu en question. Ils ne savent rien de toutes ces choses. Même après avoir échangé et étudié, ils ne comprennent toujours pas. Cela montre qu’ils n’ont aucune capacité à identifier les choses. C’est là la manifestation d’une absence de calibre. Ils commettent aussi fréquemment l’erreur de déformer les faits et de confondre une chose avec une autre. Quel que soit le problème sur lequel ils font des remarques, ils ne parviennent pas à saisir la racine ou l’essence de la question et, au lieu de cela, ils en tirent des conclusions en se basant uniquement sur des phénomènes extérieurs. Par exemple, ils décrivent les actes malfaisants d’un antéchrist comme une transgression, croyant que, tant que l’antéchrist admet ses torts, il peut se racheter. S’ils voient un individu honnête dire un mensonge, ils caractérisent cet individu comme quelqu’un de fourbe. S’ils voient quelqu’un se montrer arrogant et présomptueux, ils le caractérisent comme une personne malfaisante. Voilà le genre d’erreurs fréquemment commises par les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses. La capacité d’identifier les choses est une forme de calibre que chaque individu devrait posséder lorsqu’il est confronté à diverses personnes, évènements et choses dans la vie. La capacité d’identifier les choses implique non seulement d’identifier l’essence de diverses personnes, évènements et choses, mais aussi de déterminer leurs attributs. Plus tu peux déterminer avec exactitude ces attributs, plus cela prouvera que tu possèdes une capacité élevée à identifier les choses. Si tes déterminations ne sont pas très exactes et qu’il y a un écart entre tes déterminations et l’essence et la racine de la question, cela prouve que ta capacité à identifier les choses est moyenne. Si tu ne peux pas déterminer les attributs des personnes, des évènements et des choses, et que tu ne peux pas non plus percer à jour ces attributs, cela prouve que tu n’as aucune capacité à identifier les choses. Par exemple, admettons que, lorsqu’il s’agit d’une personne, tu puisses seulement décrire ses nombreuses manifestations et révélations, mais que tu ne puisses pas percer à jour son essence. Autrement dit, tu peux seulement parler de la façon dont cette personne a tendance à être négative ou de ses points forts, tu peux seulement parler des nombreuses choses qui lui sont arrivées, mais tu ne connais pas son caractère, son calibre ou son attitude envers la vérité, tu ne peux pas percer à jour ces problèmes essentiels, et tu n’as aucune définition des personnes, des évènements et des choses qui apparaissent ou qui se produisent autour d’elle. Que ces choses soient correctes ou incorrectes, justes ou mauvaises, positives ou négatives, qu’elles soient les manifestations d’une bonne humanité ou d’une humanité malfaisante, tu ne peux percer à jour ou discerner aucune de ces choses. Peu importe le nombre de vérités que tu as entendues ou de témoignages d’expérience que tu as écoutés, tu ne peux toujours pas identifier ou différencier diverses personnes, évènements et choses. Dans ton cœur, tu n’as aucune définition pour aucune catégorie de personnes, d’évènements ni de choses. C’est là ne pas avoir de capacité à identifier les choses et c’est aussi la manifestation du fait d’être dénué de calibre.

Si les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses n’ont pas conscience d’eux-mêmes, et qu’ils sont également arrogants et présomptueux, quelle est l’erreur qu’ils sont le plus susceptible de commettre ? C’est de s’emparer de quelques manifestations affichées par d’autres personnes, puis de les étiqueter et de les définir arbitrairement. Par exemple, ils voient que certaines personnes sont un peu obstinées, et ensuite ils disent qu’elles sont comme des personnes malfaisantes, qu’elles sont des démons. N’est-ce pas là une énorme erreur ? Ces personnes sont simplement un peu obstinées, et du fait de leur situation familiale ou de l’environnement dans lequel elles ont grandi, elles ont pris certaines habitudes de vie médiocres ou développé certaines mauvaises habitudes et certains défauts. Globalement, le caractère de ces personnes n’est pas empreint de bonté, mais il n’est pas non plus malfaisant, de sorte que l’on ne peut pas dire d’elles qu’elles sont des personnes malfaisantes. Pourtant, les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses s’accrochent à deux ou trois choses que l’une de ces personnes dit ou deux ou trois choses qu’elle fait, puis ils définissent cette personne aveuglément, en déclarant : « Cette personne a une personnalité étrange, asociale et obstinée. C’est une personne malfaisante. » Cette définition est erronée. Les personnes véritablement malfaisantes disent des choses agréables à entendre et amadouent les autres. Elles emploient certaines tactiques, elles dissimulent et trompent, elles jouent avec les autres. Certaines personnes malfaisantes peuvent même faire l’aumône, aider les autres et se montrer patientes. Les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses diront de telles personnes : « Ces personnes sont si bonnes, ce sont de vraies croyantes, » mais en réalité, ces personnes sont des pharisiens hypocrites. Les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses ne peuvent pas percer à jour l’essence des personnes : durant des élections, ils votent même pour des personnes malfaisantes, afin qu’elles deviennent dirigeantes. À quoi cela équivaut-il ? Cela équivaut à être complice du mal. Certaines personnes malfaisantes n’affichent pas leur malfaisance à travers leur comportement, et elles ne la révèlent pas. Leur malveillance est dans leur cœur. Tout ce qu’elles font a un but et leurs intentions ont toutes un aspect secret. Ce que tu peux voir de ce qu’elles font ne reflète pas leurs véritables intentions. Leurs véritables intentions, leurs véritables buts et leur malveillance se trouvent tous cachés dans leur cœur. Si quelqu’un n’a pas la capacité d’identifier les choses et qu’il ne peut pas discerner de telles personnes, il est susceptible de les considérer comme de bonnes personnes, qui poursuivent la vérité. Certaines personnes ont une personnalité simple et elles n’emploient aucune tactique quand elles fréquentent les autres. Elles parlent de façon directe et sont quelque peu irritables du point de vue de leur personnalité et de leur tempérament. En réalité, il n’y a pas de problème majeur quant à leur humanité, simplement, leur ton quand elles parlent est parfois brusque. Néanmoins, ce qu’elles révèlent est exactement ce qu’elles se disent intérieurement, tout ce qu’elles se disent intérieurement est ce qu’elles révèlent extérieurement. Les autres pensent souvent que ces personnes ne savent pas interagir avec les gens ni comment les fréquenter, et ils n’ont pas l’habitude de la façon dont ces personnes parlent. De telles personnes parlent de façon particulièrement brusque et directe, et elles blessent sans cesse les autres involontairement. À la longue, elles finissent par blesser tout le monde, et les gens ne nourrissent pas de bons sentiments à leur égard. Certains individus qui manquent de discernement disent que de les personnes de ce genre sont malfaisantes, mais en réalité, elles ne le sont pas. Tu dis qu’elles sont malfaisantes, puis tu soulignes le fait qu’elles ont tourmenté les autres. Qui ont-elles tourmenté ou réprimé ? Qui ont-elles blessé ou trompé ? S’il y a vraiment une base factuelle prouvant que de telles personnes sont malfaisantes – qu’elles ne se contentent pas de blesser les autres par leurs paroles, qu’il y a également de la malfaisance au fond de leur cœur, et qu’elles nuisent vraiment aux autres – alors on peut les caractériser comme des personnes malfaisantes. Si elles n’ont aucune intention de blesser les autres, alors ce ne sont pas des personnes malfaisantes. Elles ont simplement une personnalité simple et parlent de façon brusque, c’est inné chez elles. Parler de façon brusque est tout au plus un défaut et une imperfection de leur humanité. Elles ne savent pas comment faire preuve de tact et se mettre sur un pied d’égalité avec les autres quand elles parlent, elles ne savent pas faire preuve de tolérance envers les autres, ni être conciliantes et patientes avec les autres, ni être soucieuses des sentiments des autres. Elles ne savent faire rien de tout cela. Leur humanité présente des lacunes. Pourtant, certains individus qui manquent de discernement considèrent de telles personnes comme des personnes malfaisantes. En fait, quand ces personnes agissent, elles protègent les intérêts de la maison de Dieu, la plupart du temps. Même si leur ton est un peu brusque quand elles parlent aux autres, elles ne nuisent à personne, et elles n’ont pas non plus l’intention de nuire aux gens. Simplement, elles manquent de tact dans leur discours et ne tiennent pas compte de la situation quand elles parlent. Du fait de certaines imperfections et de certains défauts dans l’humanité de telles personnes, beaucoup de gens pensent à tort qu’elles sont malfaisantes, mais ils ne peuvent produire aucune preuve du fait que ces personnes font le mal. C’est là mal juger de telles personnes et les caractériser de façon erronée. Même si les individus véritablement malfaisants ne nuisent pas aux autres en apparence, qu’ils font l’aumône et aident les autres, que leurs paroles montrent qu’ils sont compréhensifs, pleins de sollicitude, d’affection, qu’ils sont conciliants, et même si ces individus font preuve de tolérance et d’amour envers les autres, que leurs paroles et leurs actes peuvent sembler assez bons, dans certaines circonstances particulières ou quant à des questions particulières, et quant aux affaires qui concernent leurs propres intérêts, ils peuvent réprimer, blesser et manigancer en secret contre les autres, et même, ils ne protégeront pas du tout les intérêts de la maison de Dieu. Même si quelque chose ne concerne pas leurs propres intérêts, ils ne protégeront toujours pas les intérêts de la maison de Dieu, même s’il leur suffisait de lever le petit doigt pour cela. En apparence, ce que de tels individus vivent semble exceptionnellement bon et, vu de l’extérieur, aucun défaut ou aucune imperfection ne sont visibles dans leur humanité, mais ce sont vraiment des personnes absolument malfaisantes. Nombreux sont ceux qui ne parviennent pas à discerner de tels individus et sont aveuglées par leurs tactiques, leurs philosophies des relations mondaines, leurs intrigues et leurs manigances. Si la nature-essence d’un individu de ce genre et la preuve de ses méfaits sont exposées, non seulement ces gens ne l’acceptent pas, mais ils considèrent également que cet individu est bon, qu’il est quelqu’un que la maison de Dieu devrait cultiver et auquel elle devrait donner un rôle important. Ces gens n’ont pas de discernement vis-à-vis de tels individus. Ne nous demandons pas si ces gens sont capables d’évaluer un individu conformément à la parole de Dieu ou aux vérités-principes, et examinons simplement leur calibre : ces gens considèrent même ces individus manifestement malfaisants comme des bonnes personnes, et même quand il y a des preuves de leurs méfaits, ils les considèrent encore comme des bonnes personnes. Cela signifie qu’elles ont l’esprit complètement confus. Les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses ne sont pas seulement mentalement déficientes et idiotes, ils ont également l’esprit confus. Ces individus malfaisants ont réprimé et tourmenté les autres, et ils ont utilisé diverses tactiques pour jouer avec les gens, pourtant ces gens ne considèrent pas cela comme étant malfaisant et ils ne peuvent pas voir que c’est malfaisant. En outre, les personnes malfaisantes ont une manifestation évidente, qui est qu’elles ne protègent jamais les intérêts de la maison de Dieu, pas même une fois. Même si, pour le faire, il leur suffirait de dire un mot ou de lever le petit doigt, elles ne les protégeront quand même pas, et elles le feront encore moins lorsqu’il s’agit de questions qui touchent à leur sécurité personnelle, ou à leur statut et à leur réputation : si tel est le cas, elles protégeront encore moins les intérêts de la maison de Dieu. Certains ne peuvent pas percer à jour ces individus manifestement malfaisants. Dites-moi, les gens de ce type ont-ils un calibre ? Les personnes malfaisantes ont une essence malfaisante, elles répriment n’importe qui. Peu importe de qui il s’agit, dès lors que quelqu’un nuit à leur statut ou à leurs intérêts, il devient la cible de leur répression. Les gens qui manquent de discernement ne peuvent pas percer à jour ces questions. Les gens qui manquent de discernement n’ont-ils pas l’esprit confus ? (Si.) Ils ne savent même pas si les personnes malfaisantes vont les réprimer : dites-Moi, à quel point de tels individus ont-ils l’esprit confus ? N’ont-ils pas l’esprit tout à fait confus ? (Si.) Quand des personnes malfaisantes sont renvoyées, certains individus qui n’ont absolument aucune capacité à identifier les choses s’avancent même pour plaider leur cause, pour les défendre, et pour vociférer contre l’injustice qu’elles ont subi, simplement parce que ces personnes malfaisantes croient en Dieu depuis des années, qu’elles ont certains dons, qu’elles sont éloquentes, qu’elles emploient des tactiques, et parce qu’en apparence, elles renoncent aux choses, se dépensent et endurent des souffrances. Ces individus ne parlent pas du mal que ces personnes malfaisantes ont fait. Au lieu de cela, ils disent : « Ces personnes croient en Dieu depuis des années, elles suivent Dieu avec une dévotion farouche, et elles ont enduré beaucoup de souffrance. Elles ont même été arrêtées par le grand dragon rouge, elles ont subi la torture, fait de la prison, et elles ont aussi aidé Frère Untel ou Sœur Unetelle. » Ils n’examinent que ces choses et ignorent les actes malfaisants de ces personnes, ils ne disent pas dans quelle mesure elles ont fait le mal. Ne sont-ils pas confus ? (Si.) Les individus complètement confus sont au-delà de la rédemption, ils sont irrécupérables. Les gens qui n’ont pas la capacité d’identifier les choses n’ont aucun calibre, ils n’ont absolument aucune capacité. De tels individus ne savent pas et ne peuvent pas identifier si quelque chose est correct ou incorrect, ou si quelqu’un est une figure positive ou négative. Ils ne peuvent pas voir clairement l’essence et la nature d’une personne, ni résumer ses attributs par le biais de son comportement, de ses manifestations, de ses révélations de corruption, et des nombreuses preuves de ses méfaits. Tant que cette personne reste dans l’Église, ces individus la traiteront comme un frère ou une sœur, avec un amour sincère. Ils ne discernent personne et ne peuvent traiter personne conformément aux principes. De tels individus n’ont aucune capacité à identifier les choses. Ils ne savent pas et ne peuvent pas identifier si diverses affaires sont justes ou injustes, si elles ont un effet positif ou négatif sur les gens, si elles devraient être considérées comme correctes et acceptées, ou comme incorrectes et être discernées, rejetées et combattues. Quand on leur donne un exemple pour expliquer une question, ils savent que de telles affaires sont néfastes, qu’elles ne sont pas conformes aux vérités-principes et qu’elles ne peuvent pas être appliquées dans la maison de Dieu. Mais quand une question similaire apparaît à nouveau, ils ne savent toujours pas comment l’aborder et ils ne peuvent pas appliquer les principes, ils ne comprennent que si on leur donne un autre exemple. Il faut leur expliquer les problèmes les uns après les autres, de la même façon que l’on enseigne quelque chose à un enfant, pour qu’ils comprennent. C’est là ne pas avoir la capacité d’identifier les choses. Qu’il s’agisse d’une personne ou d’une chose, ils ne savent pas si tout cela est juste ou injuste, correct ou incorrect, s’il s’agit d’une chose positive ou négative, si c’est conforme à la vérité et aux besoins de l’humanité ou non, ni comment ceux qui croient en Dieu devraient considérer cela, ils n’en savent rien. C’est là ne pas avoir la capacité d’identifier les choses. Alors, sur quelle base évalue-t-on le niveau de la capacité d’identifier les choses qu’a un individu ? Elle repose sur l'exactitude de tes définitions des attributs de diverses choses. Si tes définitions sont exactes, alors tu as la capacité d’identifier les choses. Si l’exactitude de tes définitions des attributs de diverses choses dépasse cinquante pour cent, alors ta capacité à identifier les choses est moyenne ou au-dessus de la moyenne. Si elle n’atteint pas cinquante pour cent, alors ta capacité à identifier les choses est médiocre. Si l’exactitude n’est même pas d’un pour cent, alors tu n’as aucune capacité à identifier les choses et tu n’as aucun calibre. C’est ainsi que l’on discerne si quelqu’un a la capacité d’identifier les choses. Je ne donnerai pas d’autres exemples quant à cette capacité. Vous pouvez échanger sur ce sujet vous-mêmes, Je vous en laisse le soin.

Maintenant, nous allons discuter de la huitième capacité, la capacité à réagir aux choses. La capacité à réagir aux choses, c’est la façon dont une personne aborde une situation : que cette situation se soit déjà présentée, qu’elle se présente soudainement, ou que les divers facteurs de cette situation aient changé, la façon dont une personne l’aborde est sa capacité à réagir aux choses. Alors, à quoi fait-on principalement référence quand on parle de capacité à réagir aux choses ? On fait référence à ta capacité à identifier, à juger, à aborder et à gérer une situation. Quand tu es confronté à une personne, à un événement ou à une chose, quelle est leur nature ? S’agit-il de quelque chose de positif ou de négatif ? Comment devrait-on faire face aux choses de ce genre et les gérer ? Quand elles surviennent soudainement, quelles leçons devrait-on en tirer ? Quelles sont les bonnes intentions de Dieu ? Si ce genre de chose peut nuire au travail de l’Église, alors comment devrait-on gérer la situation d’une façon qui se conforme aux principes et qui remédie aux conséquences des dégâts occasionnés, en faisant en sorte que cela ne porte plus atteinte au travail de l’Église et en empêchant également que les effets négatifs continuent à se développer ? Si, quand tu es confronté à une personne, à un évènement ou à une chose, tu peux juger avec exactitude de l’essence et de la cause profonde de telles situations, et des principes et plans pour les gérer, en te basant sur les principes de discernement que tu as saisis et les vérités-principes que tu connais, alors tu es une personne qui a la capacité de réagir aux choses, ce qui signifie également que tu es une personne qui a un bon calibre. Par exemple, quand une situation survient soudainement devant toi, comment devrais-tu y faire face ? D’abord, tu devrais voir clairement dans quelle direction cette situation pourrait se développer, quelles conséquences elle entraînerait si elle continuait à se développer, où se situe la cause profonde de son apparition et quelle est son essence : tu dois être capable de discerner et de voir clairement toutes ces choses. Caractérise la situation par le biais du discernement, puis trouve immédiatement un plan pour la gérer. Comment cette situation devrait être gérée, qui est le meneur, qui sont les suiveurs, qui est le principal groupe responsable, qui devrait assumer la principale responsabilité, comment gérer les parties responsables : tu dois résoudre tous ces problèmes. En outre, quand tu gères des problèmes, tu dois minimiser les pertes et aussi procéder à une réorganisation et à des ajustements au niveau du personnel. C’est seulement de cette façon que les erreurs peuvent être rapidement corrigées, que les problèmes peuvent être complètement résolus et que l’on peut remédier à la situation, en permettant aux choses de se développer dans une direction correcte et bénéfique. En bref, si tu peux considérer tous les divers facteurs impliqués par cette situation, puis avoir une façon correcte de l’aborder, avec des principes corrects et précis pour la gérer, c’est ce que l’on appelle avoir la capacité de réagir aux choses et cela signifie que tu es quelqu’un qui a un bon calibre. Bien entendu, cette méthode pour aborder la situation, ainsi que les principes pour la gérer, pourraient émaner de conclusions et de définitions auxquelles tu arrives grâce au contact et à l’échange avec des gens qui sont au courant de la situation, ou d’une coopération et d’une discussion avec tout le monde. Si, en étudiant l’évolution de la situation concrète, puis en demandant aux frères et aux sœurs qui comprennent ce genre de question de te faire des suggestions, tu peux finalement parvenir à une définition, parvenir à tirer des conclusions, à déterminer une solution et à gérer correctement le problème, en finissant de procéder à des ajustements dans le personnel, en compensant les pertes provoquées par cette situation, puis en procédant à des ajustements dans le travail de l’Église de sorte que cette situation ne se développe plus dans une direction nuisible, alors c’est ce que l’on appelle avoir la capacité de réagir aux choses. Si tu peux gérer les situations à ce niveau, on peut considérer que tu as un bon calibre. Évidemment, avoir un bon calibre ne signifie pas que, lorsqu’une personne est confrontée à une situation, elle peut immédiatement la percer à jour, prendre des décisions rapides et la gérer de façon complète et appropriée, ce n’est pas nécessairement le cas. Les gens doivent suivre un processus pour gérer les problèmes. Il est nécessaire qu’ils comprennent les divers aspects de la situation pour percer à jour l’essence des choses. Les gens sont faits de chair et de sang, ils agissent dans le cadre de l’humanité, et il est nécessaire qu’ils suivent un processus. Ce n’est pas comme lorsque l’Esprit de Dieu œuvre : l’Esprit de Dieu scrute toute la terre, de façon universelle. Dieu peut toujours voir l’essence et la cause profonde de toutes choses et de tous problèmes. Quand les gens sont incapables de percer à jour ce qui se cache derrière les situations, ils sont facilement trompés et aveuglés. C’est précisément pour cette raison que les gens doivent étudier en profondeur le véritable état des choses qui se cache derrière les situations. Ayant compris les situations concrètes qui se cachent derrière une situation, si tu peux gérer rapidement les problèmes, résoudre les écarts, procéder de façon appropriée à des ajustements quant à ceux qui sont directement responsables et au personnel de travail, et si tu peux garantir le déroulement normal du travail, alors cela prouve que tu as la capacité de réagir aux choses. En particulier quand tu es confronté à des incidents soudains, si tu peux gérer diverses personnes, événements et choses conformément aux principes, cela prouve que tu es une personne qui a un bon calibre. Les gens qui ont une capacité moyenne à réagir aux choses, quand ils sont confrontés à des situations habituelles et ordinaires, peuvent faire certaines choses en suivant des procédures, de façon routinière, mais les résultats auxquels ils parviennent sont moyens, ils ne font pas de découvertes capitales ou de progrès significatifs. Dès qu’ils sont confrontés à des situations particulières ou à des incidents soudains, ils sont perdus et incapables de les gérer. Par exemple, lorsque certaines personnes prêchent l’Évangile, dans des circonstances normales, elles peuvent gagner quelques individus chaque mois. Cela reflète leur calibre moyen, et les résultats de leur prédication de l’Évangile sont également moyens, ils ne sont pas particulièrement bons. Si un incident impliquant des antéchrists qui fourvoient les gens a lieu dans l’Église, ces ouvriers d’évangélisation sont perdus et ils ne savent pas quoi faire. Le travail d’évangélisation s’arrête et ils ne savent pas s’ils doivent continuer à prêcher ou attendre des arrangements de travail. Ils ne savent pas chercher les principes du travail de prédication de l’Évangile. Dans les arrangements de travail de la maison de Dieu, il est souvent dit : « Le travail d’évangélisation ne doit s’arrêter à aucun moment, quelles que soient les circonstances. » Pourtant, simplement parce qu’ils ont été confrontés à un incident au cours duquel des antéchrists induisaient les gens en erreur, ils arrêtent le travail d’évangélisation. Font-ils leur devoir avec loyauté ? Ils en sont loin. Se soumettent-ils aux orchestrations et aux arrangements de Dieu ? Ils en sont loin également. Quand ils sont confrontés à des antéchrists ou à de faux dirigeants qui commettent imprudemment des méfaits et qui provoquent des interruptions et des perturbations, ils sont perdus. Ils ne savent pas demander à ceux qui comprennent la vérité comment ils devraient gérer la situation à laquelle ils sont confrontés, et ils savent encore moins chercher dans les paroles de Dieu les principes de pratique et un chemin de pratique. Ils n’ont pas cette capacité à réagir aux choses. Certains dirigeants d’Église, quand ils voient un antéchrist diffuser des idées fausses pour induire les gens en erreur, ne savent pas comment échanger sur la vérité pour réfuter ces idées fausses. Ils ne savent pas ce qu’ils doivent faire mais ne cessent de prier : « Ô Dieu je T’en prie, entrave Satan. Je T’en prie, fais taire Satan et empêche-le de diffuser des idées fausses pour induire les gens en erreur. Je T’en prie, sauve ces gens ignorants et stupides, et empêche-les d’être induits en erreur par l’antéchrist. Ô Dieu, je T’en prie, ramène-les ! » Se contenter de prier sans chercher la vérité peut-il résoudre le problème ? Si les gens ne coopèrent pas et ne font pas leur devoir, cela ne sert à rien. Les gens devraient faire nombre de choses. D’abord, ils devraient examiner quel genre d’antécédents cet antéchrist a, quelles caractéristiques il présente, et sur quoi il s’appuie pour induire les autres en erreur. Ils devraient également voir s’il y a des individus dotés d’un bon calibre qui peuvent accepter la vérité parmi ceux qui ont été induits en erreur, et ils devraient se hâter de les ramener sur la bonne voie. Voilà le travail qui devrait être fait en premier. Mais ces dirigeants d’Église ne le savent pas, et ils ne savent pas travailler de cette façon. Ils deviennent simplement désorientés, ils trépignent d’inquiétude. Certains individus inutiles vont jusqu’à pleurer d’inquiétude. À quoi bon pleurer ? Pleurer peut-il permettre de ramener ceux qui ont été induits en erreur sur la bonne voie ? Pleurer n’est pas travailler, et cela ne signifie pas non plus que tu assumes un fardeau. C’est une manifestation d’incompétence. Les gens qui ont un calibre, quand ils sont confrontés à de telles situations, commencent par se calmer. Après avoir prié, cherché, analysé et jugé, puis échangé, ils prennent finalement une décision. Les gens qui ont un calibre médiocre, quand ils sont confrontés à des situations, sont perdus : ils ne savent pas prier ni chercher, et ils ne savent pas non plus trouver quelques individus qui comprennent la vérité pour échanger avec eux. Ils se contentent d’attendre passivement. C’est ce qui retarde le plus les choses. Tu n’as aucune solution, mais peut-être que les autres en ont une. Pourquoi ne pas trouver d’autres personnes pour leur demander de l’aide ? Les gens intelligents, même pendant qu’ils attendent, n’oublient pas de mener à bien leur propre devoir et d’assumer leurs responsabilités. Ils mènent à bien leur devoir et assument leurs responsabilités de façon proactive, et non passive. Ce n’est pas attendre que Dieu donne des ordres ou qu’Il agisse en personne pour changer la situation. Au contraire, c’est faire tous les efforts possibles pour ramener sur la bonne voie ceux qui peuvent l’être pendant la période d’attente. Quant à ceux qui ne peuvent pas être ramenés sur la bonne voie – comme les idiots qui ont l’esprit confus, ceux qui sont possédés par des esprits malfaisants, et les incrédules qui croient en Dieu uniquement pour suivre le mouvement et se nourrir – il ne faut pas se soucier de ces gens. En ce qui concerne ceux qui n’ont pas été aveuglés, il faut vite prendre des dispositions pour que quelqu’un échange sur la vérité avec eux et leur parle de la manière de discerner l’antéchrist. N’est-ce pas là un plan pour gérer la situation ? C’est une mesure de réaction aux choses. Les gens qui ont un calibre médiocre ne prennent pas de telles mesures de réaction aux choses. Ils savent seulement pleurer et se plaindre. C’est ne pas avoir la capacité de réagir aux choses. Si, dans des situations ordinaires, une personne est capable de travailler normalement, mais qu’une fois qu’elle est confrontée à des situations particulières, elle est abasourdie et perdue, alors la capacité de réagir aux choses de ce genre de personne est, au mieux, moyenne. Si quelqu’un ne peut même pas gérer des situations ordinaires, ce genre de personne n’a aucune capacité à réagir aux choses. Par exemple, si cette personne est envoyée dans une Église pour y organiser l’élection d’un dirigeant d’Église, elle ne sait pas quel genre d’individu choisir ni comment rassembler les gens et organiser l’élection. Elle ne comprend même pas les procédures élémentaires des élections. Pour couronner le tout, il y a des gens dans l’Église qui ont des tempéraments corrompus graves – ceux qui appartiennent à la catégorie des tyrans, des voyous et des scélérats – et ces gens saisissent l’occasion de perturber l’élection. Les personnes qui n’ont aucune capacité à réagir aux choses sont encore plus incapables de gérer ce genre de situation, elles sont simplement faites prisonnières et capitulent. En fin de compte, elles peuvent seulement dire aux frères et sœurs : « Choisissez vous-mêmes. Qui que vous élisiez, nous l’accepterons. » Quelle sorte de créatures sont-elles ? Ne sont-elles pas des bons à rien ? C’est là n’avoir aucune capacité à réagir aux choses. Les gens qui n’ont aucune capacité à réagir aux choses n’ont pas non plus de capacités de travail. Dans des situations normales comme dans des situations particulières, quand il se passe quelque chose, ils s’effondrent et reculent. Quand il se passe quelque chose, ils sont perdus et se mettent à pleurer. Quand il ne se passe rien, ils peuvent énoncer quelques formules et doctrines, mais quand il se passe quelque chose et qu’on leur demande de gérer un problème, ils en sont incapables. Par exemple, quand certains individus se montrent négligents en faisant leur devoir, les personnes qui n’ont aucune capacité à réagir aux choses savent seulement en discuter avec eux, et elles disent : « S’il vous plaît, ne vous montrez pas négligents. S’il vous plaît, faites bien votre devoir ! » Cela peut-il résoudre les problèmes de ces individus ? Elles devraient échanger avec ces individus sur le problème que constitue le fait d’être négligent. Si ces individus ne comprennent pas la vérité et ne peuvent pas reconnaître leur problème, elles devraient échanger sur la vérité avec eux. Si ces individus agissent de cette façon alors qu’ils savent qu’ils ont tort, elles devraient les disséquer et les émonder. Si leurs actes sont dus à un autre problème, elles devraient échanger en se basant sur ce problème. Elles devraient déterminer une façon de procéder appropriée en se basant sur le genre de problème qui a émergé, puis agir en conséquence. Si tu ne peux pas faire cela, alors tu n’as pas la capacité de réagir aux choses. Comprends-tu ? (Oui.) Si, quand tu es confronté à une situation, quelle qu’elle soit, tu n’as aucune solution, aucun moyen de l’aborder, et aucun principe pour la gérer, alors tu n’as pas la capacité de réagir aux choses. De telles personnes n’ont-elles pas la capacité de réagir aux choses la plus médiocre ? (Si.)

Les personnes qui ont la meilleure capacité à réagir aux choses sont celles qui, lorsqu’elles sont confrontées à certaines affaires particulières ou à certaines situations soudaines, peuvent rapidement les juger et les identifier, puis élaborer des plans relativement appropriés pour les gérer. Les personnes qui ont une capacité moyenne à réagir aux choses peuvent gérer des situations ordinaires, routinières, quand elles y sont confrontées. Elles peuvent travailler en suivant des procédures pour préserver et gérer la situation, ou procéder à des ajustements et à des remplacements dans le personnel, elles ne sont pas trop mauvaises pour ce qui est de faire ce genre de travail. Mais quand elles sont confrontées à des situations soudaines, elles ne peuvent pas les gérer. Même si on leur indique les principes, elles ne peuvent pas les appliquer. Même si on leur en donne l’autorité et qu’on leur demande de gérer la situation, elles restent incapables de le faire. C’est là avoir une capacité moyenne à réagir aux choses. Les personnes qui ont une capacité médiocre à réagir aux choses ne gèrent pas bien les situations même routinières. Elles savent seulement parler de doctrines et s’en tenir aux règlements, et en fin de compte, la cause profonde du problème n’est pas du tout résolue. Un antéchrist qui provoque des perturbations et qui induit les gens en erreur suffit à leur faire renoncer à la prédication de l’Évangile. Un faux dirigeant qui dit n’importe quoi suffit également à leur faire interrompre le travail d’évangélisation. S’agit-il de personnes qui suivent la volonté de Dieu ? Elles en sont loin. La capacité de réagir aux choses de ces personnes est trop médiocre. Quelle que soit la situation qui se présente, les personnes qui ont une capacité médiocre à réagir aux choses ne peuvent pas la gérer. Par exemple, si un incendie se déclare dans une pièce, elles paniquent et cherchent vite un extincteur. Une fois qu’elles ont trouvé l’extincteur, elles ne savent pas s’en servir et doivent chercher son mode d’emploi. Par conséquent, l’incendie se propage. Cela arrive parce qu’elles ne savent pas comment utiliser l’extincteur et qu’elles retardent donc les choses, et c’est également dû à leur manque de capacité à réagir aux choses. Elles sont même incapables de s’occuper d’une situation aussi urgente qu’un incendie. C’est là ne pas avoir la capacité de réagir aux choses. Pour donner un autre exemple, si un enfant s’étouffe en mangeant, qu’il n’arrive plus à respirer et que ses yeux se révulsent, ces personnes paniquent. Elles ne savent pas s’il faut ou non emmener l’enfant à l’hôpital, et elles ne savent pas s’il faut ou non lui donner à boire. Elles sont tellement angoissées qu’elles se mettent à transpirer et deviennent toutes rouges, mais elles ne savent tout simplement pas ce qu’elles doivent faire. Au bout d’un moment, l’enfant tousse plusieurs fois et peut finalement respirer à nouveau. Elles ont paniqué pendant si longtemps, mais n’ont trouvé aucune solution pour résoudre le problème. Heureusement, l’enfant a eu de la chance, sinon, il serait mort sous leur responsabilité. Les personnes qui ont un calibre médiocre n’ont absolument aucune capacité et ne peuvent rien faire correctement. Les quelques doctrines qu’elles comprennent ne sont rien de plus que des règlements et des slogans. Qu’il s’agisse de situations classiques ou de situations particulières, elles sont uniformément incapables de les gérer ou de s’en occuper. Par conséquent, pour ce qui est de la capacité de réagir aux choses, de telles personnes en sont encore plus dépourvues, elles n’en ont aucune capacité. Quelle que soit la situation à laquelle elles sont confrontées, elles ne peuvent pas y réagir ni la gérer, elles ne peuvent pas comprendre ces situations. Elles pensent qu’être capables d’énoncer quelques formules et doctrines, et de clamer quelques slogans, est suffisant, que cela signifie qu’elles ont un capital et qu’elles sont accomplies dans leur vie. En réalité, quand il se passe quelque chose, les doctrines qu’elles connaissent ne servent absolument à rien. Pour autant, elles ne parviennent pas à se rendre compte que cela reflète un calibre médiocre : leur calibre est vraiment médiocre, mais elles n’en sont pas elles-mêmes conscientes. Ne s’agit-il pas là d’un calibre extrêmement médiocre ? (Si.) De telles personnes ne sont-elles pas stupides ? (Si.) Les personnes stupides n’ont pas la lumière à tous les étages. À quoi fait référence le fait de « ne pas avoir la lumière à tous les étages » ? Cela signifie que, quel que soit le nombre de doctrines qu’elles comprennent ou le nombre de règlements qu’elles peuvent respecter, quand il se passe quelque chose, aucun de ces règlements, aucune de ces doctrines ne peut résoudre le problème concret. Pourtant, elles ne peuvent toujours pas comprendre cela et elles se demandent : « Pourquoi ces doctrines et ces règlements sont-ils inefficaces ? » Même quand elles se creusent la cervelle, cela ne sert à rien : elles ont beau réfléchir, elles ne peuvent toujours pas comprendre comment gérer ou résoudre le problème. Certaines personnes, quand elles s’occupent d’incidents provoqués par des antéchrists, ne commencent pas par secourir ceux qui ont été induits en erreur par ces antéchrists, pas plus qu’elles ne soutiennent ceux qui sont devenus négatifs et réticents à se réunir du fait du fourvoiement des antéchrists. Que font-elles en premier ? Elles tiennent de grandes réunions pour discuter des manifestations des antéchrists, des types d’individus qui sont des antéchrists, des différences entre les antéchrists et ceux qui ont un tempérament d’antéchrist, de la façon de discerner exactement les antéchrists et de la façon de discerner exactement ceux qui ont le tempérament des antéchrists : quand elles ont fini d’échanger sur tout cela, certains des individus induits en erreur par les antéchrists ont depuis longtemps quitté l’Église et certains de ceux qui sont négatifs et faibles n’assistent plus aux réunions. Elles ont raté le meilleur moment pour secourir ces gens, elles leur ont vraiment beaucoup nui ! En résumé, les personnes qui ont un calibre médiocre ont également un défaut majeur pour ce qui est de leur capacité à réagir aux choses : elles en sont complètement dépourvues. N’examine pas à quel point une personne est éloquente ou avec quel talent elle peut énoncer des formules et des doctrines et parler de théologie dans des circonstances habituelles, regarde simplement si elle a la capacité de gérer les problèmes quand elle fait face à des situations concrètes, en particulier quand des incidents soudains se produisent, regarde si elle a la capacité de porter des jugements et la capacité d’identifier les choses, si elle a élaboré des plans pour gérer et résoudre les problèmes. Si c’est le cas, cela prouve qu’elle a ses propres opinions et qu’elle sait réfléchir aux choses. Mais si elle n’a pas la capacité d’identifier les choses ni la capacité de porter des jugements et que, lorsqu’il se passe quelque chose, elle panique et devient angoissée, et qu’elle est seulement capable d’énoncer des doctrines grandioses et de clamer des slogans, alors cette personne ne peut pas résoudre les problèmes et elle ne sert à rien. Peu importe le nombre de difficultés, de problèmes ou de défauts qu’un individu a, cette personne utilise la même série de théories pour les expliquer et les aborder, et elle continue d’échanger avec cet individu de cette façon, mais elle n’est jamais capable de résoudre des problèmes. C’est là être complètement dépourvu de la capacité à réagir aux choses. Ne pas avoir la capacité de gérer les problèmes est précisément une incapacité à réagir aux choses. Les personnes qui n’ont aucune capacité à réagir aux choses sont dépourvues de calibre. En termes usuels, ce sont des imbéciles, des idiotes, et elles sont mentalement déficientes. Peu importe combien de doctrines elles peuvent énoncer, cela ne sert à rien, on ne peut tout simplement pas utiliser ces personnes. Ceci conclut notre échange sur la huitième capacité, la capacité à réagir aux choses.

Maintenant, examinons la neuvième capacité, la capacité à prendre des décisions. La capacité à prendre des décisions teste considérablement le calibre d’une personne. Une personne moyenne n’a pas cette capacité. Les personnes qui ont véritablement le calibre et la capacité requis pour prendre des décisions sont celles qui sont au niveau en termes de prise de décisions. Alors, à quoi fait principalement référence la capacité à prendre des décisions ? Cette capacité fait référence à la façon dont, lorsque divers personnes, événements et choses apparaissent, et que la plupart des gens ne peuvent pas les percer à jour, certaines personnes sont capables de discerner et de gérer diverses sortes de problèmes et de gérer divers types d’individus, en se basant sur les paroles de Dieu et la vérité. Cette capacité à gérer les problèmes est qualifiée de capacité à prendre des décisions. Les personnes qui ont cette capacité à gérer les choses ont une capacité à prendre des décisions. Celles qui n’ont pas cette capacité à gérer les choses n’ont pas une capacité à prendre des décisions. Qu’est-ce que la capacité à prendre des décisions implique ? Elle implique la capacité de compréhension des gens, leur capacité à porter des jugements, leur capacité à identifier les choses et leur capacité à réagir aux choses. Ces choses-là sont collectivement qualifiées de capacité à prendre des décisions. Les personnes qui ont la capacité de prendre de décisions peuvent à la fois juger de l’essence des problèmes et identifier les attributs de ces problèmes. Bien entendu, plus important encore, ces personnes peuvent saisir les principes et la direction pour gérer divers problèmes. Seules les personnes capables de faire ces choses ont la capacité de prendre des décisions. Par exemple, admettons que tout le monde parle, l’un après l’autre, de tout un tas de phénomènes, de faits ainsi que de facteurs, de circonstances, de conditions, et ainsi de suite. Sur la base des divers facteurs et des diverses conditions susmentionnés, les personnes qui ont une capacité à prendre des décisions décident, en fin de compte, comment elles doivent agir exactement, quels devraient être les moyens et la direction de leurs actes, quel est le meilleur niveau atteignable et quel est le niveau minimum acceptable : elles ont une base de référence. Puis, en se basant sur les vérités-principes, elles comprennent et gèrent les problèmes. Les personnes qui ont cette capacité sont celles qui ont une capacité à prendre des décisions, et de telles personnes sont celles qui ont le meilleur calibre. Quel que soit le type de compétence professionnelle auquel elles font face, ou quel que soit le genre de problème qu’elles gèrent, et que le problème mis au jour ait une seule facette ou de multiples facettes, qu’il soit simple ou complexe, elles peuvent utiliser les diverses informations qui émergent de tous les aspects du problème pour juger de son essence, puis analyser sa cause profonde, et finalement décider de la conduite à tenir en se basant sur le problème et ses conditions existantes. Leur décision est principalement prise sur la base de ce qui peut être accompli étant donné les conditions existantes, et le chemin qu’elles choisissent de suivre pour agir est la meilleure solution. Les personnes qui peuvent gérer les problèmes de cette façon sont des personnes qui ont une capacité à prendre des décisions. Les personnes qui ont ce type de capacité à prendre des décisions sont celles qui ont un très bon calibre. Seules de telles personnes conviennent pour être dirigeantes et pour faire un devoir dans un groupe décisionnaire. Les personnes qui ont un calibre médiocre ou moyen, quand elles font face à n’importe quel type de problème, peuvent seulement s’en tenir à la question elle-même et prononcer des paroles superficielles, elles sont complètement incapables de résoudre le problème. Même si elles consultent d’autres gens et étudient le problème, elles ne peuvent en fin de compte toujours pas arriver à une définition de ce problème et ne savent pas comment agir. C’est là ne pas avoir de capacité à prendre des décisions. Quelle que soit la complexité de la situation à ce moment-là ou la difficulté du problème qui doit être géré à ce moment-là, et quelle que soit l’importance des obstacles qui peuvent être rencontrés en le faisant, les personnes qui ont une capacité à prendre des décisions peuvent gérer tout cela correctement conformément aux principes, et leur gestion de tout cela est relativement appropriée et fiable. De telles personnes sont celles qui ont une capacité à prendre des décisions. Quand les gens qui ont une capacité moyenne à prendre des décisions sont confrontés à des situations ordinaires et à certains événements courants dans l’Église, ils peuvent les gérer. Mais s’ils sont confrontés à certaines personnes particulières, à certains événements particuliers et à certaines choses particulières, ils sont désorientés et ne savent pas comment faire face à tout cela ni comment gérer tout cela. Après ample considération, ils ne peuvent toujours pas porter de jugements clairs ni parvenir à une décision. Les gens qui ont une capacité à prendre de décisions savent chercher les vérités-principes qui ciblent le cœur du problème. Les gens qui n’ont pas de capacité à prendre des décisions ne savent pas où se trouve le cœur du problème, ni comment chercher, ni ce qu’il faut chercher. Voilà la différence entre ces individus. Si, en cherchant, une personne en vient à savoir ce qu’il faut faire, cela indique qu’elle a un calibre moyen. Quant aux personnes qui ont un calibre médiocre, même si elles en viennent à comprendre certaines vérités-principes en cherchant, et qu’elles se disent à ce moment-là qu’elles savent comment gérer la question, elles n’y parviennent quand même pas lorsque le moment est venu de le faire. Elles sont perplexes : « Pourquoi ne puis-je pas appliquer les vérités-principes que je viens de comprendre ? Qu’est-ce qui m’échappe ? » À nouveau, elles sont perdues et, en fin de compte, elles ne parviennent toujours pas à résoudre le problème. C’est là ne pas avoir la capacité de prendre des décisions. C’est là avoir un calibre médiocre. Les personnes qui ont le calibre le plus médiocre font simplement tout ce que tu leur dis de faire. Si tu ne leur dis pas ce qu’elles doivent faire, elles ne savent pas comment agir. Quand des personnes qui sont à un niveau décisionnaire les autorisent à effectuer une tâche et les mandate ou leur ordonne d’effectuer cette tâche, elles ne seront capables de le faire que de la façon dont on leur a dit de le faire. Cependant, quant à savoir pourquoi exactement cette tâche doit être effectuée de cette façon, à quels résultats cette tâche est censée parvenir, ou ce qu’il faut faire et comment gérer les choses si des situations inattendues, qui diffèrent du scénario d’origine, se présentent, elles n’en savent rien et doivent demander aux autres, et attendre qu’ils les aident à résoudre le problème. C’est là ne pas avoir une capacité à prendre des décisions. De telles personnes sont comme des robots, elles peuvent seulement être manipulées et contrôlées par les autres, et elles n’ont aucune autonomie. Avoir la capacité de prendre des décisions est exclu pour les personnes de ce genre qui n’ont aucun calibre. Elles sont très loin d’avoir la capacité de prendre des décisions, elles sont tout simplement en deçà de cette capacité. La capacité à prendre des décisions doit seulement être divisée en trois niveaux : élevé, moyen et faible. Les termes élevé, moyen et faible correspondent aux termes bon, moyen et médiocre. Lorsqu’il s’agit de personnes qui n’ont aucun calibre, il ne vaut même pas la peine de parler de capacité de décision. Peu importe ce qu’elles font, elles ne peuvent pas prendre de décisions. Par exemple, elles ne savent pas exactement ce qu’il est approprié de porter une fois que l’automne arrive et que le temps se rafraîchit, ni ce qu’il est approprié de porter une fois l’hiver venu et qu’il fait froid, elles n’ont même pas ces connaissances les plus élémentaires, alors ne serait-il pas ridicule de leur demander de prendre de décisions quant à des questions majeures concernant le travail de l’Église ? Avoir la capacité de prendre des décisions est exclu pour les personnes qui n’ont aucun calibre. Avoir la capacité de prendre des décisions est quelque chose qui s’applique principalement à ceux qui sont au niveau des dirigeants, des ouvriers et des superviseurs. Très peu de gens ont une capacité élevée à prendre des décisions. Quelles autres choses implique la capacité à prendre des décisions ? Cette capacité implique les conséquences entraînées par la situation au sujet de laquelle tu as pris une décision – au fait de savoir si ces conséquences seront bénéfiques aux gens ou auront un effet négatif sur eux, et si elles auront un effet positif sur les gens qui comprennent la vérité ou qui agissent conformément aux principes – tu dois tirer cela au clair. Être simplement capable de prendre des décisions, de se montrer décidé et de faire la loi rapidement ne revient pas à avoir une capacité à prendre des décisions. La question est aussi de savoir si la solution, l’objectif et la direction au sujet desquels tu as pris une décision sont corrects. Si les résultats obtenus sont positifs, alors tu as vraiment une capacité à prendre des décisions. Si les résultats obtenus sont négatifs, qu’ils détournent les gens du droit chemin, qu’ils leur nuisent gravement ou les ruinent, alors il ne s’agit pas d’une quelconque sorte de capacité à prendre des décisions. Et donc, la croyance des gens que toutes les sommités et toutes les personnalités éminentes ont une capacité à prendre des décisions, et que toutes les personnalités dirigeantes ont un calibre relativement élevé et une capacité relativement élevée à prendre des décisions, n’est pas un point de vue exact. C’est une opinion complètement erronée. Que les décisions que tu prends soient correctes ou non dépend également des principes, des objectifs et des directions qui sous-tendent ces décisions. Si ces objectifs et directions sont bénéfiques à l’humanité, et s’ils aident les gens et bénéficient aux gens pour ce qui est de leur façon de se conduire, de leur pratique de la vérité et de leur obtention du salut, du changement de leur tempérament et de leur façon de craindre Dieu et de s’éloigner du mal, alors ta capacité à prendre des décisions est vraiment élevée. Mais si tu prends des décisions à l’aveuglette qui finissent par nuire gravement aux gens, par leur causer de grands préjudices, par les détourner du droit chemin, par les amener à s’éloigner de Dieu et à perdre leur direction, alors c’est là nuire aux gens et on ne peut pas dire que tu aies une capacité à prendre des décisions. Ceci conclut notre discussion sur la capacité à prendre des décisions.

La capacité suivante est la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Savez-vous ce que cela signifie ? Il s’agit là d’un sujet peu commun. Avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses signifie que, lorsque tu abordes certaines personnes, certains événements ou certaines choses, tu peux évaluer et apprécier leurs points forts, leurs mérites et leurs aspects qui ont de la valeur à partir des informations que tu peux observer et saisir, puis appliquer tout cela à ta propre vie, à ta conduite et à tes actes. Si tu ne peux pas évaluer et apprécier quelque chose, tu ne seras pas capable de voir ce que sont les mérites et les défauts de cette chose, tu n’en comprendras pas la clef, et tu ne seras pas capable de gagner le moindre bienfait grâce à elle. Cela signifie que tu n’as pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Cependant, si tu peux évaluer et apprécier les choses, apprendre quelque chose d’utile de certaines situations et appliquer tout cela à ta vie réelle, et si ce que tu as appris peut, dans une certaine mesure, apporter de l’aide à ta vie humaine et à ton choix d’un chemin de vie, alors cela prouve que tu as une certaine capacité à évaluer et à apprécier les choses. Plus ta capacité à cet égard est élevée, plus cela prouve que tu as un bon calibre. Prenons un exemple simple : la vue d’un tableau. Même si tu n’as pas étudié l’art, si tu peux observer la composition d’un tableau et percevoir la signification qu’il renferme du point de vue de l’humanité – et que ton point de vue est, en outre, très précis et en rapport avec le fait d’être humain – et que tu peux voir dans ce tableau des choses concrètes qui se rapportent au fait d’être humain, puis appliquer ces choses à ta propre vie ou à ton travail, cette manifestation prouve que tu as la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. La portée de la capacité à évaluer et à apprécier les choses fait référence à certaines choses relativement concrètes, pas à des choses abstraites. Les choses abstraites comprennent les couleurs, les œuvres d’art, et ainsi de suite. Parce que ces choses ne se rapportent pas au fait d’être humain, qu’elles ne sont pas suffisamment concrètes, qu’elles sont très éloignées de la pensée humaine normale et de certaines choses présentes dans la vie humaine, et qu’elles ne sont pas étroitement liées à la vie, nous ne les catégorisons pas dans le cadre de la capacité à évaluer et à apprécier les choses. En ce qui concerne certaines choses qui sont relativement proches de la vie, qui contiennent certaines significations cachées ou qui sont en rapport avec le fait d’être humain, si tu es capable de les jauger, de les discerner et de les appliquer, si tu peux voir leurs mérites ainsi que leurs inconvénients, que tu as ta propre réflexion et tes propres points de vue sur elles, que tu peux comprendre leurs aspects qui sont bénéfiques à l’humanité des gens, et si tu peux discerner tous les éléments déformés et rigides qui s’opposent à la vérité quand ils sont présents, alors on appelle cela avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Si tu ne peux pas jauger ces choses et que, lorsque tu examines une chose concrète, tu peux seulement discerner ses avantages et ses inconvénients en termes de doctrine, mais que tu ne peux pas voir exactement à quels aspects de l’humanité elle se rapporte dans la vie quotidienne, alors ta capacité à évaluer et à apprécier les choses est moyenne. Si tu examines une œuvre d’art et qu’après l’avoir examinée à plusieurs reprises tu ne sais toujours pas ce qu’elle essaie d’exprimer, ni pourquoi son créateur l’a réalisée de cette façon, et si, que cette œuvre d’art soit en rapport avec l’humanité ou non, tu ne peux pas voir les choses essentielles qu’elle contient, et que tu ne peux pas voir ce qui en est la clef, alors cela signifie que tu n’as pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses signifie que tu n’as aucun point de vue sur quoi que ce soit et que tu es facilement induit en erreur par les tendances sociales ou certaines choses négatives prônées par les gens. Autrement dit, il se peut que tu considères quelque chose qui est intrinsèquement négatif comme s’il s’agissait de quelque chose de positif et que tu l’acceptes. La conséquence est que cela t’empoisonnera, et si cette chose reste en toi longtemps et qu’elle s’enracine profondément en toi, cela entravera et perturbera ton acceptation de la vérité. Donnons un autre exemple concernant la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Disons, par exemple, que les images brutes d’un film fassent un total de trois heures, et qu’après montage, la durée du film soit de deux heures et quarante minutes. Est-ce là la longueur conventionnelle d’un film ? (Non.) Qu’est-ce que cela indique ? (Cela indique que les réalisateurs du film n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses.) Que signifie spécifiquement le fait de ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses quand il s’agit d’un film ? (Cela signifie que les réalisateurs du film ne sont pas à même de choisir les meilleures images et qu’ils ne peuvent pas porter de jugements précis sur les images qui devraient être retenues et sur celles qui devraient être jetées.) Ces réalisateurs ne savent pas quel thème le film veut exprimer ni quelles scènes sont étroitement liées à ce thème. Par conséquent, ils ne peuvent pas décider de ce qu’il faut garder et de ce qu’il faut jeter. Autrement dit, ils ne savent pas quelles scènes ou quelles parties de l’intrigue sont superflues et uniquement liées au thème de façon secondaire, et peuvent être éliminées, et quelles scènes ou parties de l’intrigue sont les plus liées au thème et doivent être retenues. Comme ils n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, ils se montrent « miséricordieux » pendant le montage, et se disent que telles images ne peuvent pas être coupées et que telles autres images ne peuvent pas non plus être coupées. En fin de compte, après des efforts considérables, ils ne retirent que les scènes qui posent des problèmes évidents ou les images mal tournées. Quant au contenu qui n’est pas étroitement lié au thème, ils le laissent dans son intégralité. C’est là ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Ils ont une compréhension peu claire de la définition d’un film. Quant aux formes spécifiques et aux techniques expressives d’un film, quant à la relation entre chaque scène, et quant à savoir quelles scènes sont vraiment des scènes de film, ils ne comprennent rien de tout cela. C’est là ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Et donc, au cours du tournage, ils sont pleins d’assurance. Durant le montage, le désarroi se dessine sur leur visage. Et quand il s’agit de passer les images en revue, ils s’inquiètent à mort. Après avoir passé les images en revue, ils sont très sûrs d’eux quant à la façon de continuer, parce que, grâce aux conseils du Supérieur, ils ont appris quelles scènes jeter et les coupent ensuite hardiment. En fin de compte, dans quelle mesure coupent-ils le film ? Ils le coupent de sorte qu’il ait une durée d’une heure et quarante minutes. Les caméramans sont assez contrariés : « N’est-ce pas gâcher le fruit de notre labeur ? Nous avons passé six mois à tourner laborieusement tant d’images, mais tu t’es montré impitoyable, en faisant couper ceci et cela, s’agit-il même encore d’un film ? » Ma réponse est que couper autant d’images est exactement ce qu’il faut faire, c’est à cela que devrait ressembler un film. Ce que tu avais n’était pas un film. Au mieux, c’était une série télévisée. La vérité échappe aux personnes qui ont une capacité médiocre à évaluer et à apprécier les choses, échanger sur la vérité avec elles ne donnera aucun résultat. Quels que soient les choses, les idées et les points de vue, elles ne peuvent pas évaluer ce qui s’aligne sur les besoins et les normes de l’humanité normale, ce qui s’oppose à l’humanité normale, ce qui est réel et concret, ce qui est creux et imaginé, ce qui s’accorde avec les exigences de Dieu, et ce qui s’oppose aux intentions de Dieu. En matière de films, quant à savoir quelles scènes servent à soutenir le thème, quelles scènes vont droit au but et communiquent directement le thème et sont essentielles pour ce qui est d’exprimer le cœur du thème, et quelles scènes sont superflues ou inutiles, ces personnes ne peuvent pas distinguer ces choses et n’en comprennent aucune. En matière de montage, elles se montrent toujours « miséricordieuses » et rechignent à couper des images. C’est là ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Si, après avoir tourné les scènes, en examinant les idées que le film est censé exprimer et la direction qu’il est censé communiquer, tu sais quelles scènes ne devraient pas être incluses, quelles scènes n’ont pas assez d’impact et quelles scènes sont des plans de réserve, qu’il n’a jamais été question d’utiliser, mais qui ont été préparés en réserve, au cas où des circonstances particulières se présenteraient, si, dans ton cœur, tu as pris en considération ces questions, que tu as élaboré des plans pour les gérer et que tu as des solutions, c’est ce que l’on appelle avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Si tu ne peux faire aucune de ces choses, que les points de vue et méthodes que tu utilises pour considérer et voir les problèmes n’ont pas de fondement, et que tu ne peux pas tirer de conclusions correctes au bout du compte, cela signifie que tu n’as pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Bien entendu, la plupart des gens dans l’Église n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. La capacité à évaluer et à apprécier les choses ne concerne pas seulement la mesure dans laquelle tu peux percer à jour une œuvre créative, une création artistique, quelque chose qui fait office de nourriture spirituelle ou une théorie philosophique à propos de l’humanité des gens. La clé, c’est que tu dois également avoir une vision exacte de ces choses. D’une part, ta vision doit s’aligner sur les faits et sur les besoins de l’humanité. D’autre part, ce que tu comprends ou saisis doit s’aligner sur des choses positives et sur les lois de toutes choses. Cela ne doit pas être creux ou déformé et, en fin de compte, il s’agit de se conformer aux vérités-principes. Si tu peux non seulement voir quelles idées et quels points de vue sont exprimés, si tu ne restes pas simplement bloqué à ce niveau, et que tu peux également voir si ces idées et points de vue sont réellement corrects, s’ils s’alignent réellement sur les besoins de l’humanité, s’ils sont réellement purs, et s’ils se conforment réellement à la vérité, si tu peux faire toutes ces choses, alors tu es quelqu’un qui a une bonne capacité à évaluer et à apprécier les choses. Les personnes qui ont une bonne capacité à évaluer et à apprécier les choses sont celles qui ont un bon calibre. Si tu ne peux pas accomplir toutes ces choses ou que tu peux seulement les accomplir à un degré moyen, alors ta capacité à évaluer et à apprécier les choses est seulement moyenne. Si tu ne peux fondamentalement pas comprendre ces questions, si, par exemple, tu ne peux pas comprendre la moindre œuvre audio-visuelle, la moindre œuvre littéraire et artistique, la moindre œuvre d’art, et ainsi de suite, que ces œuvres soient abstraites ou concrètes, et que tu les trouves complètement incompréhensibles, comme une langue étrangère, et que n’as pas la capacité, au sein de ton humanité, d’évaluer et d’apprécier de telles choses, alors tu n’as pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, tu es une personne qui n’a aucun calibre. Si, en observant le comportement ou l’état psychologique et l’expression globale de l’état mental d’un personnage dans une scène de film, avec certaines couleurs, un certain éclairage et dans un certain environnement, tu peux voir l’impact que cette scène aura sur l’esprit d’un spectateur, alors tu as la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Cependant, les personnes qui n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses ne peuvent pas voir cela. Elles disent : « Quelle importance si l’éclairage est faible ou non, ou si les couleurs sont belles ou non ? Le personnage ne reste-t-il pas le même ? Comment peux-tu savoir quel est son état mental ? Pourquoi ne puis-je pas le voir ? » C’est là ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Peu importe comment tu leur expliques cela, elles peuvent soutenir qu’elles comprennent, mais en réalité, dans leur cœur, elles ne comprennent toujours pas. Ce domaine leur restera toujours étranger. Les personnes qui n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, quel que soit le genre de travail qu’elles font ou le genre d’œuvres littéraires ou artistiques qu’elles voient, sont incapables d’exprimer leurs propres pensées et points de vue. En particulier pour ce qui est du travail ou des créations qui requièrent l’expression d’une signification profonde, l’expression d’un thème, ou le fait de prodiguer des conseils spirituels, elles ne peuvent pas bien le faire et ne sont pas qualifiées pour effectuer de telles tâches. Si tu as la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses et qu’en outre, tu comprends également la vérité, alors, en ce qui concerne le travail de la maison de Dieu se rapportant aux films, à la littérature et à l’art, qui implique d’avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, tu peux bien le faire, tu es qualifié pour le faire, et tu peux mener à bien ce genre de devoir. Si tu n’as pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, alors tu as un calibre médiocre et tu ne peux pas être qualifié pour ce type de travail. Certains disent : « J’ai écouté la vérité pendant tant d’années, je comprends les vérités-principes. Cela signifie-t-il que je suis qualifié pour faire ce type de travail ? » Cela ne sera toujours pas suffisant. Même si tu comprends une partie de la vérité, sans la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses en complément, tu peux seulement accomplir un travail comme la prédication de l’Évangile ou l’abreuvement de l’Église. Toutefois, pour ce qui est du travail impliquant d’avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, tu ne seras pas qualifié pour le faire. Par conséquent, si certaines personnes ont été choisies à tort pour faire ce type de travail, et qu’elles se rendent compte à ce moment-là qu’elles n’ont aucun potentiel dans ce domaine, qu’elles sont intrinsèquement dépourvues de la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, elles devraient rapidement démissionner et dire : « Je ne peux pas faire ce travail. Mon humanité n’a pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. » Bien entendu, que tu aies ou non la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, il s’agit là d’une norme pour évaluer le calibre d’une personne. Même s’il ne s’agit pas d’une norme essentielle, pour certains travaux particuliers, avoir une capacité à évaluer et à apprécier les choses est également nécessaire. Ceci conclut notre échange sur la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Il y a encore une capacité, la capacité à innover, sur laquelle nous échangerons la prochaine fois.

Échanger de cette manière rend-il les choses plus claires pour vous ? (Oui.) Si Je ne parlais qu’en termes généraux et que Je disais : « Le calibre d’une personne s’évalue à son efficience et à son efficacité quand elle agit », vous seriez seulement capables de réciter cette doctrine, mais vous ne comprendriez toujours pas clairement à quels aspects spécifiques le calibre fait référence. Par la suite, Je Me suis dit qu’il valait mieux échanger de façon plus spécifique. Quand vous y verrez plus clair sur ce sujet, vous serez capables d’évaluer avec précision et de comprendre clairement votre propre calibre. Cela vous aidera à rester à votre place et à ne pas surestimer vos capacités. Voir clairement et comprendre vos propres capacités, déterminer si votre calibre est bon, moyen, médiocre ou inexistant, et identifier à quel groupe vous appartenez, trouver votre place de cette façon, vous permet d’agir et de vous conduire de façon sage. D’une part, cela vous permet d’avoir une compréhension exacte de vous-mêmes. D’autre part, en termes de résolution de vos tempéraments corrompus, cela vous apporte aussi de l’aide, dans une certaine mesure, pour ce qui est de transformer votre tempérament arrogant. N’est-ce pas exact ? (Si.) Terminons l’échange ici pour aujourd’hui. Au revoir !

Le 4 novembre 2023

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