Comment poursuivre la vérité (7)

Lors de la dernière réunion, nous avons échangé sur ce qu’était le calibre, ainsi que sur la façon de mesurer le calibre d’une personne. Combien de normes pour mesurer le calibre d’une personne avons-nous énumérées en tout ? (Onze) Répétez ces onze normes, une fois de plus. (La capacité d’apprentissage, la capacité à comprendre les choses, la capacité à saisir, la capacité à accepter les choses, la capacité cognitive, la capacité à porter des jugements, la capacité à identifier les choses, la capacité à réagir aux choses, la capacité à prendre des décisions, la capacité à évaluer et à apprécier les choses, et la capacité à innover.) Ces onze capacités forment chacune une partie de la mesure du calibre global d’une personne. La dernière fois, nous avons échangé sur dix d’entre elles, jusqu’à la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Pour chaque capacité, nous avons échangé sur les manifestations d’un bon calibre, d’un calibre moyen, d’un calibre médiocre et d’une absence de calibre. Les gens sans calibre, en gros, n’ont aucun point fort, aucun passe-temps ou centre d’intérêt authentiques. Quand ils sont confrontés à quelque chose, ils n’ont aucune opinion et aucune capacité à porter des jugements. Ils n’ont aucune capacité à identifier les gens, les événements et les choses, ils n’ont pas non plus la moindre capacité à accepter quoi que ce soit et, bien entendu, on peut encore moins dire qu’ils ont la capacité de réagir aux choses ou de prendre des décisions. Parce que de tels individus n’ont aucun point fort, ils sont encore moins associés à la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses.

En ce qui concerne la capacité à évaluer et à apprécier les choses, lors de la dernière réunion, nous avons échangé sur une partie de ce que cela recouvrait. À quoi fait référence principalement la capacité à évaluer et à apprécier les choses ? Le terme évaluer fait référence à ce que les gens appellent le discernement, dans le sens d’une capacité à identifier les pensées, les points de vue, les positions et les thèmes prônés par les gens, les événements et les choses. La capacité à évaluer et à apprécier les choses implique principalement les pensées et les points de vue des personnes au sujet de certains problèmes, autrement dit, ce qui est lié au domaine de la pensée. Si tu as la capacité d’identifier et d’apprécier ces choses, alors tu es quelqu’un qui a la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Si tu ne sais pas comment voir ces problèmes liés aux pensées et aux points de vue, et que, fondamentalement, tu ne peux pas les percevoir, alors on ne peut pas considérer que tu as la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses et cette capacité n’a rien à voir avec toi. Cependant, quand tu es confronté à quelque chose, si tu peux identifier son origine et sa finalité, et que tu peux identifier si les pensées et points de vue qu’elle exprime et prône sont corrects ou non, et que tu peux aussi identifier si ces pensées et points de vue tiennent la route, s’il s’agit de choses positives ou de choses négatives, et si ces pensées et points de vue sont conformes aux lois du développement des choses ou sont proches des phénomènes au sein des lois qui gouvernent toutes choses créées par Dieu, si tu as ce genre de capacité à évaluer et à apprécier les choses, alors cela prouve que ton calibre est très bon. Par exemple, quand tu lis un article écrit par un frère ou une sœur de l’Église, tu peux détecter si la compréhension des choses, la compréhension de la nature-essence des gens et la compréhension des paroles de Dieu de ce frère ou de cette sœur s’alignent sur les vérités-principes, si les points de vue exprimés dans l’article sont déformés et si la perspective et la position adoptées par ce frère ou cette sœur sont correctes ou incorrectes. Tu peux détecter toutes ces choses. Si tu peux être d’accord avec les pensées et les points de vue dans l’article qui sont corrects, et si tu peux également identifier et corriger les pensées fallacieuses et les points de vue fallacieux dans l’article, et que tu sais pourquoi de telles pensées et de tels points de vue sont incorrects, et quels aspects de la logique de pensée ou quelles lois objectives des choses positives ces pensées et points de vue enfreignent, et que, à un niveau plus profond, tu peux voir quel aspect des vérités-principes, au sujet duquel Dieu a réprimandé l’humanité, ces pensées et points de vue enfreignent, cela prouve que ton calibre est bon. D’une part, si tu peux voir quelles choses positives, qui valent la peine d’être apprises, se trouvent dans cet article, et que tu peux aussi évaluer quelle direction positive cela apporte aux gens, et quel approvisionnement positif, quelle aide, quel soutien cela leur apporte, et en outre, si tu sais quelles choses défavorables, négatives et déformées l’article contient, quelles pensées fallacieuses et quels point de vue fallacieux, qui peuvent amener les gens à penser dans une mauvaise direction, cet article contient, et quels impacts négatifs ces pensées fallacieuses et ces points de vue fallacieux pourraient avoir sur les gens, si tu sais comment ces choses fallacieuses devraient être corrigées, et comment certaines insuffisances devraient être contrebalancées pour que cela bénéficie davantage aux gens, alors c’est là une manifestation de la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Par exemple, quand tu apprends à danser et que tu observes un spectacle de danse, tu peux détecter les mouvements, exprimant les pensées et les souhaits au sein de l’humanité, qui sont très humanisés, les mouvements qui émanent de la perspective de l’humanité, les mouvements qui sont basés sur l’humanité et se conforment tout à fait aux besoins de la conscience et à la raison de l’humanité normale. Et tu peux détecter les mouvements, les expressions du visage, les méthodes expressives de langage corporel, et les pensées qu’ils véhiculent, qui sont positifs et peuvent enrichir le monde spirituel d’une personne, tu es capable de voir toutes ces choses. Tu n’es pas seulement capable de danser ou de faire certains mouvements simples. Au lieu de cela, tu peux voir les pensées prônées dans un spectacle de danse. Tu peux appréhender le sens des pensées qui s’y trouvent, ainsi que les formes de danse employées sous l’égide de ces pensées. Si les formes de danse et le langage corporel bénéficient aux gens, et que cela constitue quelque chose que tu devrais apprendre, accepter, et dont tu devrais t’inspirer, que tu es capable de voir et d’apprendre ces choses et que tu peux accepter leurs éléments positifs, alors c’est là une manifestation de la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Bien entendu, si la danse présente des pensées déformées qui ne correspondent pas à l’humanité, que tu peux aussi les percevoir, que tu peux identifier où résident les erreurs, que tu sais également ce qui ne va pas dans cette forme de présentation et ce que sont les idées directrices derrière cette présentation, si tu peux voir et identifier tout cela, alors c’est également là une manifestation de la capacité à évaluer et à apprécier les choses. Maintenant que ces deux exemples ont été donnés, comprenez-vous ce qu’est la capacité à évaluer et à apprécier les choses ? Cette norme pour mesurer si quelqu’un a un bon calibre et la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses a-t-elle été établie ? (Oui.)

Si tu vois quelque chose et que tu sais quelles pensées et quels points de vue cette chose prône ou la perspective et la position qu’elle adopte, mais que tu ne sais pas si ces pensées et points de vue sont corrects ou incorrects, alors tu n’as guère la capacité d’identifier les choses. Il se pourrait que tu penses seulement : « Cette danse est assez bonne, cet article est assez bon, ce film est assez bon. Ces choses ont une valeur artistique et leurs techniques d’expression sont formidables », en observant et en découvrant simplement cette chose dans la perspective de l’industrie ou de la connaissance, mais sans être capable de déterminer si les pensées et points de vue prônés par cette chose sont corrects ou incorrects, bons ou mauvais, positifs ou négatifs. Et tu pourrais poser des questions comme : « Ces pensées et points de vue sont-ils conformes à la vérité ? Ce numéro de danse est-il aligné sur l’humanité ? Est-il conforme aux lois du développement des choses ? De telles personnes existent-elles ? De tels événements se sont-ils produits ? Est-ce là une chose positive ? » Si chaque phrase que tu dis se termine par un point d’interrogation, alors tu n’as pas la capacité d’identifier les choses. Si tu ne connais que les aspects techniques, professionnels ou basés sur la connaissance concernée, mais que, lorsqu’il s’agit de choses au niveau de la pensée, tu n’as pas la capacité de juger si ces choses sont correctes ou incorrectes, bonnes ou mauvaises, qu’est-ce que cela dit de ton calibre ? Cela indique que tu as un calibre moyen. Même si tu as une certaine capacité à évaluer et à apprécier les choses, ta capacité se limite à l’appréciation des pensées de l’auteur dans une perspective technique et professionnelle. Tu peux seulement appréhender ou comprendre pourquoi l’auteur a fait ce qu’il a fait, mais tu ne peux pas évaluer si les pensées et les points de vue qu’il prône sont corrects ou non, s’il s’agit de choses positives, ni évaluer l’étendue de l’impact que ces pensées et points de vue ont sur les gens une fois qu’ils leur sont présentés, ni s’il s’agit d’un impact positif ou négatif, ni leurs conséquences pour les gens, tu ne sais rien de tout cela. Sur la base de ce niveau, le calibre de tels individus est simplement moyen. Ils peuvent seulement apprécier, mais pas évaluer, et par conséquent, ils ne peuvent pas atteindre le calibre qui consiste à avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Certaines personnes, quel que soit le devoir qu’elles font, ont une capacité très médiocre à identifier les choses. Elles pensent qu’agir de n’importe quelle façon est acceptable. Leurs points de vue et leurs attitudes sont très floues et complètement obscurs. Peu importe ce que tous les autres disent, elles peuvent l’accepter, n’ayant pas de points de vue précis ni de principes de pratique. Par conséquent, elles ne font bien aucun devoir. Quel que soit le travail qu’elles entreprennent, elles se montrent particulièrement floues et obscures quand il s’agit de définir et de fixer des limites concernant la positivité ou la négativité, la justesse ou la fausseté de diverses pensées et divers points de vue qui émergent au cours de leur travail. Quand les gens leur demandent : « Ce genre de pensée ou de point de vue a émergé, est-ce correct ? », elles répondent : « L’esprit des gens est libre. Il ne devrait pas être limité. Il doit y avoir de la diversité, on devrait permettre à n’importe quel genre de pensée d’être présenté et exprimé. » Voilà leur point de vue concernant l’existence de diverses pensées. Autrement dit, peu importe les pensées ou points de vue qui émergent, qu’ils soient bons ou mauvais, corrects ou incorrects, elles croient qu’on devrait leur permettre à tous d’exister, et qu’ils devraient être présentés librement. Elles pensent que, tant que quelqu’un pense d’une certaine façon, tant que quelqu’un a un certain besoin, tant qu’il y a un public pour une certaine pensée ou des gens qui approuvent cette pensée, alors l’existence de cette pensée a de la valeur. La pensée et le point de vue de ces personnes sont très flous. Dans le monde des non-croyants, il y a souvent une « zone grise »dépourvue de limites. Ces gens n’ont pas de normes ou de critères strictes pour juger si les choses sont correctes ou incorrectes. On peut également dire que de tels individus n’ont aucune position, aucune pensée ni point de vue réels. Bien entendu, on peut aussi dire que ces gens ne prônent rien de positif au sujet de quoi que ce soit. Alors, de tels individus peuvent-ils accepter la vérité ? Peuvent-ils comprendre la vérité ? C’est vraiment difficile à dire. Avoir un calibre médiocre est problématique. Quand les gens dotés d’un calibre médiocre sont confrontés à l’apparition de deux pensées ou points de vue au même moment, ils n’ont aucune opinion propre. Ils ne savent pas ce qui est correct et ce qui est incorrect. Ils suivent le camp le plus acharné, quel qu’il soit. C’est ce que l’on appelle n’avoir aucun positionnement. Ces gens sont des individus à l’esprit confus. Nous ne discuterons pas de ce qu’est la poursuite de leur humanité ni de ce qu’est leur caractère ; simplement, en ce qui concerne la capacité de ces gens à évaluer et à apprécier les choses, on peut dire que leur calibre est seulement moyen. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que, même si leur calibre leur permet d’apprécier certaines choses au niveau de la pensée, ils n’ont pas la capacité d’évaluer l’authenticité des choses ni d’identifier si les choses sont bonnes ou mauvaises, correctes ou incorrectes. Par conséquent, leur calibre est classé comme moyen. Parce que, lorsqu’il s’agit d’évaluer les choses, leurs pensées, leurs points de vue et leur positionnement sont très flous, et qu’ils n’ont pas des choses positives comme base ou critère, ils peuvent faire de bonnes choses, mais aussi de mauvaises choses. Ils peuvent faire des choses relativement correctes qui bénéficient aux autres et aident l’humanité, mais, en même temps, ils peuvent faire des choses qui nuisent aux autres et qui ont une influence défavorable sur eux. Par conséquent, le calibre de telles personnes est simplement moyen. Par exemple, supposons l’existence d’un film dans lequel les pensées prônées par le réalisateur sont relativement positives et humaines, et que celles-ci s’alignent relativement sur les besoins de l’humanité, des besoins qui sont justifiés dans la société actuelle, comme la démocratie, la liberté, les droits de l’homme et autres choses positives, et que, par le biais de son film, le réalisateur mette en valeur ces choses dans la profondeur des pensées humaines pour aider les gens à les connaître. Si une personne au calibre moyen regarde ce film, elle peut reconnaître que ces pensées sont bonnes et correctes. Elle peut voir que ces pensées sont relativement populaires et révérées dans la société actuelle. Elle peut percevoir la justesse des pensées prônées par le réalisateur. Mais si, dans ce film, le réalisateur prône également des pensées relativement ciblées, des choses auxquelles la plupart des adultes et des gens qui ont une capacité de compréhension ne penseraient pas, des choses qui sont vraiment extrêmes et dont on peut même dire qu’elles sont rarement vues, ou qu’il est pratiquement impossible qu’elles se produisent d’après les lois normales du développement des choses, alors les gens qui ont une capacité moyenne d’évaluer et d’apprécier les choses ne seraient pas capables de les discerner en regardant ce film. Ils se diraient : « Ces pensées particulières prônées par le réalisateur ne sont pas fausses. Même s’il s’agit là de choses qui ne sont aimées et adoptées que par un petit nombre de gens, ces pensées devraient être révérées dans la société actuelle. Elles devraient être rendues publiques pour que tout le monde puisse les connaître et les accepter. » Tu vois, que les choses prônées par le réalisateur dans le même film soient ou non positives, qu’elles aient ou non une influence négative sur les gens, ceux qui ont une capacité moyenne d’évaluer et d’apprécier les choses les accepteront et même, ils les apprécieront particulièrement. Pour eux, il n’y a pas de distinction claire ou précise entre ce qui est correct et ce qui est incorrect. Par conséquent, ils peuvent accepter les choses positives dans ce film, et ils peuvent aussi accepter les choses négatives. Puisqu’ils peuvent accepter ces choses, ils les appliqueront également. Ils incorporeront ces choses dans des œuvres qui expriment leurs propres pensées et points de vue, ou ils les inculqueront aux autres dans la vie quotidienne, et ils influenceront ainsi les autres. Bien entendu, les choses positives auront un effet bénéfique sur les gens, tandis que les choses négatives auront assurément un effet négatif sur eux. Par conséquent, les individus de ce type feront aussi de mauvaises choses, tout en faisant de bonnes. Autrement dit, quand tu as faim, ils te donneront, par exemple, un bol de porridge, mais le bol ne sera pas propre et le porridge sera mélangé à du sable, et en manger pendant longtemps nuira à ta santé. Ou bien ils te donneront un bol de nourriture, mais cette nourriture sera mélangée à des choses telles que des mouches et des moustiques. Tu la trouveras peut-être savoureuse, mais elle contiendra certaines bactéries nuisibles à l’organisme. Même si de telles personnes auront assouvi ta faim et rempli ton estomac, elles auront également provoqué des effets néfastes sur ton corps. De la même manière, si tu manques de discernement, quand tu regarderas une œuvre, il est très probable que tu accepteras alors d’elle certaines pensées et certains points de vue incorrects, en étant induit en erreur et empoisonné par elle. Par conséquent, posséder la capacité d’identifier les choses est également très important. Voilà les manifestations des gens qui ont un calibre moyen, pour ce qui est de leur capacité à évaluer et à apprécier les choses.

Le niveau suivant est celui des gens qui ont un calibre médiocre. Les gens dont le calibre est médiocre n’ont aucune capacité à évaluer et à apprécier les choses. Autrement dit, quand ils voient quoi que ce soit, ils ne savent pas quelles pensées et quels points de vue il est correct d’avoir, et ils ne savent pas non plus l’angle ou le positionnement qu’il est correct d’adopter. Et même, ils ne savent pas le genre de pensées et de points de vue incorrects que les gens ont en la matière, ni par quelles pensées les gens étaient gouvernés quand ils faisaient face à de telles questions : cela implique une logique de pensée, et les gens qui ont un calibre médiocre ne sont tout simplement pas à la hauteur de cela, de sorte qu’il est hors de question qu’ils soient capables d’apprécier les choses. C’est seulement une fois que les gens peuvent apprécier les choses que l’on peut alors dire en quoi consiste leur appréciation des choses ou s’ils ont la capacité d’évaluer les choses. S’ils ne peuvent même pas apprécier les choses, il ne rime même à rien de discuter pour savoir s’ils ont la capacité d’évaluer les choses. Par exemple, après avoir lu un article, certains individus disent : « Cet article utilise un langage fleuri, son expression est très fluide et il est assez drôle. Cet article est merveilleusement écrit ! » Quelqu’un demande : « Quelles pensées et quels points de vue l’auteur a-t-il voulu exprimer dans cet article ? Quelle est son attitude envers les gens, les événements et les choses de ce type ? » Ces individus répondent : « Oh, l’auteur a une attitude ? Cet article implique aussi des pensées et des points de vue ? Je ne l’avais pas remarqué. Quoi qu’il en soit, je pense que son article est bien écrit, et j’ai aimé le lire. » L’autre partie demande : « Alors, quelles pensées et quels points de vue exprimés par l’auteur as-tu aimés ? Sais-tu quel paragraphe ou quelle histoire exprime quel genre de pensées et de points de vue de l’auteur, et quelle est l’idée centrale de cet article ? » Les individus répondent : « Je ne l’ai pas encore compris. » Ils lisent l’article deux ou trois fois de plus et pensent encore seulement qu’il est bien écrit et éloquent. Quant aux pensées et aux points de vue qu’il exprime, ils ne peuvent pas le percevoir. Cela expose leur calibre, n’est-ce pas ? S’ils lisent cet article et qu’ils ne peuvent pas percevoir les pensées et les points de vue que l’article explique, on peut seulement dire qu’ils n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses et qu’ils sont des personnes au calibre médiocre. Si l’article renferme un langage clair qui explique déjà les pensées et les points de vue corrects et qu’ils ne peuvent toujours pas le comprendre, cela prouve que leur calibre est extrêmement médiocre. Ils peuvent seulement dire : « L’article est bien écrit, la langue est fluide et le style est bon », mais ils ne savent pas ou ne comprennent pas si les faits discutés dans l’article sont objectifs, ce que l’article fait ressentir aux lecteurs, ou ce que les lecteurs peuvent en apprendre et en tirer. Pour le savoir ou le comprendre, il leur faudrait encore demander à l’auteur. Cela prouve entièrement que de tels individus ont un calibre médiocre. Comment leur calibre médiocre s’affiche-t-il ? Il s’affiche en cela qu’ils ne comprennent pas ce que sont les pensées et les points de vue, et qu’ils ne comprennent pas comment apprécier les choses, et plus encore, bien entendu, en cela qu’ils sont entièrement incapables d’évaluer les choses. Généralement, on se réfère à cela comme au fait de ne pas avoir la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Les gens qui n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses sont pires que ceux qui ont un calibre moyen, parce qu’il leur manque non seulement la capacité d’évaluer les choses, mais aussi celle de les apprécier. Par conséquent, quand il s’agit de choses qui sont du niveau des pensées et des points de vue, de la logique de pensée, ou si quelque chose est aligné sur l’humanité ou les lois objectives des choses, ils ne peuvent pas percer cela à jour et ils ne savent pas comment l’apprécier. Ils ne peuvent même pas percevoir si cet article explique les moindres pensées ou points de vue, et encore moins identifier si les pensées et les points de vue sont corrects ou incorrects. C’est seulement parce qu’ils sont allés à l’école qu’ils peuvent lire des choses liées aux mots, à la connaissance, aux compétences techniques et aux professions, mais ils restent au niveau où ils sont capables de lire, de regarder et d’écouter les choses, sans être capables de les apprécier. De tels individus sont ceux qui ont un calibre médiocre. Les gens qui ont un calibre médiocre peuvent parler de choses liées aux compétences techniques et aux professions, ou à la connaissance, ils savent, par exemple, quelle chose est l’œuvre d’une personne célèbre, quelle citation célèbre d’une personne connue est mentionnée, à quel style d’expression il a été fait référence, ou quelle compétence technique ou quelle profession ont été utilisées pour y parvenir. Ils peuvent percevoir ces choses. Cependant, ils ne comprennent pas les concepts qui sont prônés et exprimés au niveau de ces professions et de ces compétences techniques, ou de cette connaissance, ni ce que sont les concepts, les bases ou les fondamentaux qui se cachent derrière la forme et la présentation de ces choses. Voilà ce que signifie avoir un calibre médiocre. De tels individus ont une caractéristique : ils ne savent pas comment réfléchir ou penser à ces problèmes. Ils ne savent pas comment identifier, juger ou en venir à connaître la cause profonde et l’essence des phénomènes causés par quelque chose, ou la future direction du développement de ces phénomènes et l’impact qu’ils auront sur les gens, les événements et les choses. De tels individus n’ont pas une pensée normale. Les choses qu’ils peuvent comprendre et l’expérience de vie qu’ils peuvent saisir sont extrêmement limitées. Quelles que soient les questions complexes auxquelles ils sont confrontés, ils ne peuvent pas les comprendre ni les percer à jour. Autrement dit, ils peuvent seulement penser aux mots qu’ils entendent et au texte qu’ils voient en surface à propos de quelque chose, ainsi qu’aux formes et aux méthodes apparentes concernées, et ils n’atteignent que ce niveau. Quant aux aspects plus profonds, comme les relations, la logique et les influences mutuelles entre diverses choses, ils n’y pensent pas, et ils ne sont pas non plus capables d’y penser. Certains individus pensent même à quelque chose au point d’en perdre l’appétit, d’en perdre le sommeil, ou de devenir déprimés, et ils ne peuvent quand même pas percer cette chose à jour. Voilà ce que signifie avoir un calibre médiocre. La mesure pour savoir si une personne a la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses dépend, quand elle est confrontée à une question, de sa capacité à porter des jugements pour trouver plusieurs possibilités concernant les relations complexes, les liens ou les influences mutuelles entre diverses choses, ainsi que les effets ultérieurs que ces choses pourraient avoir. Si une personne peut seulement rapporter ce que quelqu’un a dit ou fait, en racontant simplement ce qu’elle a entendu ou vu, sans le moindre discernement et sans être capable de percevoir le moindre problème, cela indique qu’elle n’a pas une pensée normale. Les gens qui n’ont pas la capacité de penser n’ont pas la capacité d’apprécier les choses et, bien entendu, ils n’ont pas non plus la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, et ils ne savent pas comment penser. Alors, pourquoi devons-nous discuter de cette capacité ? Si les gens n’ont pas les diverses capacités d’apprécier le monde matériel, le calibre de ces gens est médiocre. Ils ne savent pas comment penser et leur pensée n’est pas logique, de sorte que de tels individus n’ont pas la capacité de saisir la vérité. La raison en est que la vérité, d’une certaine manière, implique divers aspects des problèmes dans la vie réelle des gens. En même temps, elle implique aussi les divers principes que les gens devraient mettre en pratique pour se débarrasser de leurs tempéraments corrompus. Bien entendu, elle implique encore plus les divers types de problèmes, à facette unique, ou complexes et à plusieurs facettes, que les gens rencontrent dans la vie réelle et les relations entre ces problèmes. Qu’il s’agisse d’une vérité unique ou multiple, ou de vérités interconnectées, aucune vérité n’est une règle. Il s’agit plutôt de principes ou de critères pour mesurer une catégorie de choses. À propos des principes et des critères, ce ne sont pas des règles ou des formules, comme un plus un égale deux. Puisque ce ne sont pas des formules, quand les gens sont confrontés à des questions dans la vie réelle, ils doivent être capables de réfléchir et de chercher les problèmes de l’humanité impliqués, si les révélations de l’humanité dans cet aspect contiennent les éléments d’un tempérament corrompu, les états et les révélations qui existent pour le même type de tempérament corrompu, et les aspects de la vérité que les gens devraient pratiquer et embrasser afin de transformer ce tempérament. Tout cela doit être compris par les gens. Si tu ne connais que les mots de la vérité, mais que tu ne sais pas ce que sont les principes dont il est question dans cet aspect de la vérité, alors tu ne sauras pas comment mettre la vérité en corrélation avec les choses de la vie réelle, et tu ne sauras pas non plus comment pratiquer la vérité. Si tu n’as pas la capacité de saisir la vérité, tu ne seras pas capable de la mettre en corrélation avec les problèmes qui existent en toi ou avec les problèmes que tu rencontres dans la vie réelle. Tu ne sauras pas combien d’aspects de la vérité sont concernés, quel est le chemin de pratique et d’entrée dans la vie, ni quels problèmes tu devrais résoudre. Bien entendu, il est hors de question que tu sois capable de considérer les gens et les choses, ou de te conduire et d’agir en te basant sur les paroles de Dieu, ou que tu sois capable d’adhérer aux vérités-principes ou de pratiquer conformément aux vérités-principes. Si tu n’as pas la capacité d’apprécier certaines personnes, certains évènements et certaines choses se rapportant à la vie humaine, que tu n’as aucune pensée ou point de vue à leur sujet, et que, fondamentalement, tu ne peux pas saisir les choses en rapport avec la pensée, n’ayant aucune capacité à les apprécier et encore moins la capacité à les évaluer, on peut dire que tu n’as pas la capacité de saisir la vérité. Si tu n’as pas la capacité de saisir la vérité et que tu es incapable de comprendre la vérité, qu’utiliseras-tu pour changer les défauts de ton humanité et pour te débarrasser de tes tempéraments corrompus ? Si tu n’as pas la capacité de saisir la vérité, tu ne sauras pas quelles vérités-principes sont impliquées dans la question qui se présente à toi. Bien entendu, tu ne sauras pas non plus à quelles vérités-principes tu devrais adhérer. Dans ce cas, tu agiras aveuglément, soit en suivant les règlements, soit en agissant sur la base de notions et de ton imagination, ou sinon, en commettant imprudemment des méfaits. Ne pas comprendre la vérité mène à ces conséquences et à ces manifestations.

Pour ce qui est du thème de la capacité à évaluer et à apprécier les choses, même si ce thème n’implique pas le problème de la poursuite de la vérité pour se débarrasser des tempéraments corrompus, en termes de la vie humaine elle-même, si tu n’as pas la capacité d’apprécier les choses, que tu n’as aucun point de vue sur tout ce que tu vois, ni la moindre opinion sur ce qui relève du niveau de la pensée – en examinant toutes choses comme si un voile te recouvrait les yeux, en étant incapable de voir qu’un problème se pose – et que tu ne connais que le processus du déroulement d’un évènement dans son intégralité ou que tu ne connais que les gens, les événements et les choses concernés, mais que tu ne sais pas quelle est l’essence du problème, ou ce que sont les pensées et points de vue apparentés des gens, alors cela indique que tu es une personne qui a un calibre médiocre. La raison en est que tu ne penses absolument pas aux problèmes de ta vie. Tu ne sais pas comment considérer, penser ou définir les problèmes qui relèvent du niveau de la pensée. En te basant sur ton propre âge, la maturité de ton humanité, ou tes expériences passées, tu ne sais pas comment considérer la nature d’un problème, ni ce que tu devrais en apprendre et en tirer, ni l’impact que cela a sur toi, les leçons que cela t’enseigne, dans quelle perspective tu devrais envisager et gérer ce genre de problème, ni comment tu devrais agir et ce que tu devrais éviter si tu y es confronté à nouveau. Toutes ces réflexions te font défaut. Peu importe ce qui t’arrive, tu es aussi simple d’esprit qu’un animal et tu n’as aucun point de vue. Peu importe ton âge ou ce que tu as vécu, tu ne sais toujours pas comment réfléchir aux problèmes. Tu ne sais pas comment utiliser tes propres expériences passées, tes connaissances, et ce que tu as appris, pour réfléchir aux problèmes dans divers domaines. Les gens comme cela sont ceux qui ont un calibre médiocre. Les gens qui ont un calibre médiocre, sans même parler d’avoir une entrée dans la vie, ne peuvent pas synthétiser les moindres structures, même dans les questions sans importance de la vie quotidienne. Même s’ils atteignent l’âge de quarante ou cinquante ans, soixante-dix ou quatre-vingts ans, ils restent des gens à l’esprit confus, incapables de partager la moindre expérience. De tels individus sont lents d’esprit et ne pensent pas. Parce que leur calibre est médiocre et qu’ils n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, peu importe leur âge, ils n’examinent jamais rien qui relève du niveau de la pensée. Ils ne savent pas comment considérer les choses et ne peuvent pas percer à jour quoi que ce soit. Par conséquent, quand tu jauges le calibre de quelqu’un, et que tu te demandes spécifiquement si cette personne a la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, n’examine pas son âge ou ses expériences passées. Au lieu de cela, que devrais-tu examiner ? (Nous devrions examiner si cette personne a des pensées.) Autrement dit, tu devrais examiner si, après que cette personne a fait l’expérience de divers individus, divers évènements et diverses choses pendant quarante ou cinquante ans, elle a la moindre compréhension, et si ses expériences passées concernent la valeur de la vie humaine, le chemin que les gens prennent, ou la profondeur de la pensée humaine, et son monde spirituel. Si ses expériences ne se rapportent qu’à certaines questions et n’engendrent pas de réflexion, alors cette personne n’a pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. Par exemple, certains individus disent souvent : « Notre génération vivait au jour le jour. Il n’était pas facile de manger quelque chose de bon. Nous ne pouvions manger de la viande qu’au Nouvel An, ou lors d’autres fêtes. Les gens de notre génération étaient si simples et candides, nous étions habillés si simplement. » Ils n’arrêtent pas de parler de ce genre de choses. Ce à quoi les autres répondent : « Pourquoi votre génération mérite-elle autant qu’on s’en souvienne ? Y a-t-il des choses que nous autres, jeunes gens, pouvons en tirer et au sujet desquelles nous pouvons communiquer ? » Ils répondent : « À notre époque, quand nous allions sur le champ de bataille pour combattre, nous restions des jours sans dormir, simplement parce que nous devions marcher continuellement. Parfois, nous ne prenions pas un seul repas de la journée. Quand nous arrivions au camp, les nouvelles recrues allaient directement se coucher, mais nous, les vétérans, allions d’abord manger avant de dormir. Sinon, nous étions obligés de reprendre la route après l’heure du repas, et nous finissions affamés en chemin. » Les autres disent alors : « Il ne s’agit là que d’un incident, on ne peut pas considérer que ce soit une réflexion. Partagez quelque chose qui vaut la peine que nous, jeunes gens, l’apprenions, ou certaines leçons qui peuvent nous aider à éviter de faire des détours, et nous empêcher de commettre des erreurs de base par stupidité. » Ils disent : « À cette époque, nous n’étions pas comme les jeunes d’aujourd’hui, qui sont paresseux, goinfres, et qui aiment la facilité tout en détestant travailler. En ce temps-là, nous voulions simplement endurer davantage de souffrance, travailler davantage, et bien nous comporter pour pouvoir attirer l’attention de nos dirigeants et être promus. » Y a-t-il une quelconque réflexion dans ces paroles ? (Non.) Après avoir entendu cela, as-tu l’impression que ce sont là les paroles d’un mentor spirituel, le genre de beaux discours inspirants que les non-croyants prononcent ? Cela élargit-il ta réflexion, cela élève-t-il ton niveau de pensée, cela améliore-t-il ta capacité à être conscient des choses, ou cela t’aide-t-il à découvrir de nouvelles choses ou des pensées et des points de vue corrects que tu n’avais jamais envisagés ? (Non.) Alors, de tels individus ont-ils la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses ? Peu importe de quelle façon tu les interroges sur certains concepts, tu ne tireras rien d’eux. Ce n’est pas réellement qu’ils ne sont pas disposés à parler, c’est qu’ils n’ont tout simplement rien en eux. Voilà ce que signifie avoir un calibre médiocre. Même quand ils atteignent l’âge de cinquante ou soixante ans, ils n’ont aucune pensée ni aucun point de vue. Ils se contentent de faire dans l’à-peu-près dans la vie de cette façon. Ils ne savent pas que vivre ne consiste pas seulement à poursuivre des perspectives, une bonne famille, un bon travail ou une bonne vie, mais qu’il y a aussi des questions relevant de la pensée qui nécessitent réflexion, considération, et constante récapitulation dans les profondeurs du cœur. Ils ne savent pas que, sur le chemin de la vie humaine, les gens seront confrontés à de nombreuses choses inconnues, et ils ne savent pas non plus comment les gérer. Quand il ne leur arrive rien, ils ne pensent pas ou ne réfléchissent pas à l’avance pour éviter des détours ou d’emprunter le mauvais chemin. Ils ne savent pas non plus pourquoi ils ont agi d’une certaine façon dans certaines situations qu’ils ont vécues, si le fait d’agir ainsi s’est avéré bien ou mal, ni comment ils devraient suivre le chemin qui s’ouvre devant eux pour vivre heureux, l’esprit tranquille, et pour vivre une vie qui a de la valeur et pour ne pas vivre en vain. Du fait que de tels individus ont un calibre médiocre, ils ne pensent pas à ces problèmes. Quand ces gens atteignent l’âge de soixante ans, ils se contentent de rester assis là, à se souvenir, et disent : « Quand j’étais jeune, j’étais beau et talentueux, tant de gens me couraient après ! Ah, dans ma jeunesse… » Ils n’évoquent que des histoires de leurs jours de gloire, jamais ces choses qui ne valent pas la peine d’être mentionnées. Les gens qui ont un calibre médiocre, peu importe leur âge, ne pensent pas aux problèmes se rapportant à la vie humaine, au chemin que les gens prennent, ou à la façon dont les gens devraient vivre. Ils ne réfléchissent pas au type de points de vue que les gens devraient avoir quand ils font face à diverses questions. Par conséquent, peu importe comment ils vivent, leur niveau de pensée ne s’améliorera pas, leurs pensées manqueront de fond, leur monde spirituel restera pauvre, et ils n’auront aucune expérience de vie authentique. Voilà ce que signifie avoir un calibre médiocre. Quand tu interagis avec de tels individus, tu vois qu’à vingt ans, ils sont assez puérils et simples, ils sont pleins de sève et ont un fort tempérament. Quand ils arrivent à l’âge de trente ans, ils sont encore tout aussi médiocres. À cinquante ans, leur façon de parler est encore au même niveau : ils savent seulement dire quelques phrases simples. Leur visage a davantage de rides et de tâches de vieillesse, et ils ont davantage de cheveux blancs. Ils ont clairement un certain âge, mais ils n’ont aucune réflexion et aucun point de vue. Quand ils discutent avec les autres, ils n’ont jamais rien à dire. Toutes ces années de leur vie n’ont servi à rien, et ils n’ont fait aucun progrès. Les gens qui ont un calibre médiocre sont comme cela dans la vie et s’ils croient en Dieu, leurs manifestations, du début à la fin, sont les mêmes. Quand ils commencent à croire en Dieu, à la vingtaine, ils sont ainsi. Quand ils arrivent à l’âge de trente ou quarante ans, ils sont encore ainsi, n’ayant fait absolument aucun progrès. Ils disent les mêmes choses qu’avant. Simplement, ils ont fait l’expérience de certaines choses tout en croyant en Dieu, ils en sont venus à comprendre certaines paroles et doctrines, et peuvent utiliser de manière plus complète la terminologie spirituelle. Cependant, ils n’ont aucune véritable compréhension basée sur l’expérience. Leurs pensées manquent encore de profondeur, leurs points de vue sur les choses n’ont pas changé, leur connaissance de Dieu et de la vérité ne s’est pas améliorée, et leur connaissance d’eux-mêmes ne s’est pas développée. Ils n’ont connu aucun changement, n’est-ce pas ? (En effet.) Accumuler certaines formules et doctrines, ou une certaine terminologie spirituelle, par le biais de la mémoire ou du renforcement du temps n’est pas changer, ce n’est pas un progrès et ce n’est certainement pas un gain. C’est précisément la manifestation des gens qui ont un calibre médiocre. Peu importe combien de hauts et de bas ces gens traversent, ou de combien de revers, d’échecs ou de frustrations ils font l’expérience, ils n’en tirent aucune leçon ou n’en gagnent aucune expérience, et ils ne peuvent pas obtenir quoi que ce soit de bénéfique. Quand quelque chose est terminé, c’en est tout simplement fini d’eux, ils passent seulement par le processus et, en fin de compte, ils n’accomplissent rien. De tels individus peuvent être décrits comme étant tout à fait pitoyables. Nous disons que de tels individus ont un calibre très médiocre précisément parce qu’il n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. On peut encore moins dire qu’ils ont la moindre capacité de saisir la vérité, et on ne peut pas non plus dire qu’ils connaissent le moindre changement.

Les gens qui ont un calibre médiocre, pour ce qui est de la capacité à évaluer et à apprécier les choses, ne sont pas à la hauteur. Quant à ceux qui n’ont aucun calibre, ils ont encore moins la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses : ils ne peuvent pas apprécier les choses et encore moins les évaluer. Quand tu partages tes pensées et points de vue au sujet de quelque chose, les gens qui ont un calibre médiocre seront abasourdis en écoutant, ils n’auront aucune réaction. Dans leur cœur, ils pensent : « Il y a des pensées et des points de vue là-dedans ? Comment se fait-il que je ne l’ai pas perçu ? » Même s’ils sont capables de comprendre une fraction de ce que tu dis, ils peuvent seulement l’écouter comme des formules et des doctrines, ou des méthodes. Quant aux gens sans calibre, quand ils entendent les autres échanger sur les pensées et les points de vue concernant quelque chose, ou sur l’essence du problème et la position que les gens devraient adopter à cet égard, ils ne peuvent pas le comprendre. Ils se disent seulement que c’est assez profond, mais cela échappe à leur compréhension. Plus tu échanges sur les pensées et sur la compréhension, plus ils sont perdus. Ils se disent : « Comment cette question ordinaire est-elle devenue compliquée ? Pourquoi est-ce que je ne comprends rien aux pensées, aux points de vue ou aux positionnements ? Quel positionnement ? Nous devons simplement croire en Dieu correctement, et Dieu approuvera. Comment se fait-il que plus on croit en Dieu, plus les choses se compliquent ? À t’écouter, on dirait que personne ne peut entrer dans le royaume ! » Peux-tu communiquer avec de tels individus ? (Non.) Non seulement tu ne peux pas communiquer avec eux, mais ils sont aussi capables de dire certaines choses déraisonnables : « Ces pensées et points de vue que tu as mentionnés sont-ils réellement si bons et si corrects ? Je ne le crois pas ! Les gens ne peuvent jamais se passer d’argent. Les gens devraient toujours bien manger et profiter de bonnes choses. Sans argent à dépenser ou sans bonne nourriture à manger, comment quiconque peut-il faire son devoir ? » Quelle genre de logique est-ce là ? Ils disent : « Tu parles sans cesse de la vie humaine, des valeurs, des pensées et des points de vue des gens, et du chemin qu’ils prennent. Pourquoi ne parles-tu pas du fait de se nourrir et de s’habiller ? Pourquoi ne parles-tu pas de la façon de prendre soin de son corps pour pouvoir bien faire son devoir ? » C’est à cela qu’ils pensent. Peuvent-ils quand même saisir la vérité ? On ne peut tout simplement pas communiquer avec de tels individus. Quand tu essaies de parler avec eux, ils parlent juste de gagner de l’argent. Ils traitent le fait de gagner de l’argent, de vivre leur vie, de poursuivre les choses du monde et de passer leur vie à manger, à boire et à s’amuser comme les questions majeures de la vie humaine et le chemin que les gens devraient suivre dans la vie. Quant à ce que les gens devraient poursuivre ou gagner en croyant en Dieu, ces choses n’existent pas dans leurs pensées ou dans leur conscience. Ils croient que, quel que soit leur nombre d’années de croyance en Dieu, les gens doivent quand même manger et boire, et que, pour bien vivre, on ne peut pas se passer d’argent, qu’avoir de l’argent signifie avoir une bonne vie et que, sans argent, la vie ne peut pas continuer. Voilà leur logique. De tels individus sont enclins aux déformations. Les gens qui sont enclins aux déformations n’ont pas de pensées ou de points de vue corrects. Ils sont comme des gens sans âme. Quelle différence y a-t-il entre la vie de tels individus et celle des cochons ou des chiens ? (Il n’y a pas de différence.) Si tu essaies d’éduquer un chien ou un chat pour les rendre obéissants, et qu’ils agissent comme des enfants sages, peuvent-ils comprendre ? (Non.) Que peut comprendre un chien, tout au plus ? Si tu lui dis : « Assis ! » et que lui donne ensuite un morceau de viande, il s’en souviendra. Ensuite, dès que tu diras : « Assis ! » il s’assiéra immédiatement, même s’il est éloigné, et attendra que tu lui donnes de la viande. Un chien peut se souvenir de cette action mécanique. Tant que tu lui fais savoir que s’asseoir mène à une récompense, il obéira. Ses pensées sont aussi simples que cela. Alors, à quel point la différence entre les pensées des gens sans calibre et celles de ces animaux est-elle importante ? (Il n’y a pas de différence significative.) Chaque jour, une fois que les animaux ont fini de manger, ils sortent jouer. Quand vient le moment de manger à nouveau et que tu les rappelles, ils arrivent immédiatement en courant. Que tu les attaches ou que tu les fasses s’asseoir, ils obtempéreront. Pour quelle raison ? Parce qu’il y a de la nourriture à la clef. Ils sont plus qu’heureux d’obéir à tes ordres par souci de cette petite quantité de nourriture. Les pensées des animaux sont simples à ce point. Pour eux, il est suffisant de s’en tenir à une règle ou à une formule qui leur bénéficie. Ils ne pensent pas à grand-chose d’autre. Parce que l’instinct que Dieu donne aux animaux est limité à ces choses, qui sont suffisantes pour assurer leur survie, et que Dieu ne leur a pas donné la moindre commission, les animaux n’ont pas à tenir compte de la vie, de l’avenir, de leur destination, ou de leurs responsabilités et de leurs obligations. De même, ils n’ont pas à considérer quel chemin prendre ni à considérer la poursuite d’une vie pleine de sens, et ainsi de suite. Mais les gens sont différents. Dieu a doté les gens de divers instincts et Il leur a également accordé que la vérité soit leur vie. Par conséquent, Dieu a des normes requises pour les gens. Les gens devraient donc tenir compte de ces problèmes. Seul agir ainsi peut conduire au fait qu’ils gagnent que la vérité soit leur vie. Voilà la responsabilité et l’obligation que les gens devraient avoir, et c’est aussi, bien entendu, leur droit. Mais si tu ne peux pas exercer ce droit ou que tu n’as pas cette capacité de penser aux problèmes, cela prouve que ton calibre est très médiocre. Parmi les êtres vivants du niveau des êtres humains, tu appartiens à la catégorie de ceux qui ont un calibre médiocre. Tu ne peux pas penser par toi-même, et même quand les autres t’expliquent les choses, tu ne comprends pas. Dans les cas plus graves, tu résistes, tu ridiculises, tu tournes en dérision, ou même tu critiques les autres. Si ton calibre est médiocre à ce point, cela signifie que tu n’as pas de calibre du tout. Par exemple, une personne sans calibre lit un article de témoignage d’expérience, et tu lui demandes : « Cet article est-il bon ? » Elle répond : « Il est plutôt bon. Le texte est divisé avec précision en paragraphes et la ponctuation est en grande partie exacte. Le premier paragraphe explique le moment et le lieu, le second paragraphe explique les antécédents des personnages, le troisième paragraphe commence à raconter le déroulement de l’histoire, puis le texte passe au point culminant et à la conclusion de l’histoire. » Si tu demandes alors à la personne quelles sont les pensées et quels sont les points de vue de l’auteur, elle répond : « Il y a des pensées et des points de vue ? La partie des paroles de Dieu que l’auteur a citée sont les pensées et les points de vue. » Tu demandes : « Les paroles de Dieu que l’auteur a citées sont-elles pertinentes ? Les pensées et les points de vue qu’il veut exprimer sont-ils exacts ? » La personne dit qu’elle ne le sait pas. Puis tu lui poses des questions comme : « La compréhension que l’auteur a partagée est-elle authentique et concrète ? Ce qu’il comprend, est-ce de la doctrine, ou est-ce proche de la réalité ? Cela édifie-t-il les autres ou a-t-il de la valeur pour eux ? Cela apporte-t-il de l’aide aux lecteurs ou cela leur bénéficie-t-il ? » La personne n’en sait rien et ne peut pas le percevoir. Voilà ce que signifie avoir un calibre très médiocre. Si tu échanges avec la personne sur les erreurs dans les pensées et les points de vue de l’article, sur les parties qui sont concrètes et celles qui ne le sont pas, la personne ne comprend toujours pas et ne peut pas relier cela à l’article. Cela montre-t-il un manque de calibre ? (Oui.) Même quand d’autres échangent sur les problèmes qui existent, la personne ne le comprend toujours pas. Cela ne montre-t-il pas un manque de calibre ? C’est comme certains dirigeants d’Église : quand des personnes malfaisantes ou des incrédules apparaissent dans l’Église, ils ne savent pas comment s’en occuper. Après que tu as échangé sur les vérités-principes avec eux, ils ne comprennent pas et te demandent de donner un exemple. Après que tu as fourni un exemple, ils ne savent toujours pas comment s’en occuper. Ils disent : « S’il te plaît, apprends-moi. Comment devrais-je m’occuper de cette personne, exactement ? Devrais-je la placer dans une Église ordinaire, dans un groupe B, ou devrais-je l’exclure ? Comment devrais-je échanger avec cette personne ? S’il te plaît, explique-moi cela mot pour mot. Je vais l’enregistrer et ensuite, je suivrai tes indications verbatim pour gérer la situation. Ainsi, je pourrai le faire. » Ces dirigeants se comportant ainsi, à quoi bon échanger sur les principes avec eux ? Même quand tu donnes des exemples, ils ne comprennent pas l’affaire en question et ne peuvent pas s’en occuper. De tels individus n’ont tout simplement aucune capacité de compréhension. Finalement, ils demandent encore : « Dis-moi ce que je devrais faire quant à ce problème actuel, et je le ferai. » Tu leur indiques où aller pour gérer cette affaire, ce qu’il faut dire à qui pour que ce soit fait, et dans quelle mesure cette affaire doit être gérée pour qu’elle soit considérée comme complètement résolue. Après que tu as fini d’expliquer, ils semblent comprendre, mais ils ne peuvent toujours pas gérer la situation, et tu dois trouver quelqu’un pour que cette personne coopère avec eux afin d’achever la tâche. De tels individus sont extrêmement lents d’esprit et ils n’ont pas de calibre. Par exemple, supposons que tu dises à des gens qui apprennent à danser que les pas d’une certaine danse sont très bons, et que tu leur fasses suivre une vidéo pour qu’ils apprennent ces pas. Au bout de quelques jours, quand tu leur demanderas comment ils ont progressé, certains individus lents d’esprit diront qu’ils ont été incapables de dire quels pas étaient bons. Même s’ils disposent de supports pédagogiques, ils ne peuvent quand même pas apprendre ces pas. Ils ne savent pas quels mouvements sont bons ou quels mouvements sont utiles, et il ne savent pas comment choisir. Que font-ils, finalement ? Ils ont une seule tactique. Ils disent : « Choisis simplement quelques pas de danse pour que je les apprenne, et je les suivrai, point final. » Ils ont vraiment le chic pour faire cela. Même s’ils ne comprennent pas les principes, ils ont un peu d’astuce. Ne sont-ils pas tout à fait comme des robots ? Ils ont peut-être des connaissances et de l’éducation, mais ils n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, voilà ce que signifie n’avoir aucun calibre. Ils ne savent pas pourquoi ils devraient apprendre ce que tu leur dis d’apprendre. Quant aux choses que tu leur dis de ne pas apprendre, ils ne savent pas ce qui ne va pas avec ces choses ni pourquoi ils ne devraient pas les apprendre. Même après qu’on le leur a dit, ils ne peuvent toujours pas le voir. Dis-Moi, de tels individus ont-ils du calibre ? (Non.) Ne pas avoir la capacité d’être conscient des choses par soi-même, et ne pas avoir la capacité d’identifier et de juger de manière autonome ce qui est bien et ce qui est mal, voilà ce que signifie n’avoir aucun calibre. Comme du bétail ou des chevaux, ces gens ont toujours besoin que quelqu’un les guide. Ne sont-ils pas simplement des pions ? Si tu avais du calibre, aurais-tu quand même besoin que quelqu’un te guide ? Pourquoi as-tu un cerveau, alors ? Ton cerveau ne sert à rien. Pour dire les choses avec précision, tu n’as aucun calibre. Tu dois écouter les autres et être guidé par eux, tu n’es qu’un pion. Peu importe pendant combien de temps les gens de ce genre étudient une certaine profession, ou combien de principes s’y rapportant ils entendent, ils ne peuvent quand même pas les comprendre ou les saisir. En fin de compte, ils ne savent pas comment appliquer ou mettre en œuvre ces principes. Voilà le genre de gens qui ont le calibre le plus médiocre, ceux qui n’en ont aucun. Certains disent : « Ne pense pas, parce qu’ils n’ont pas la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses, et qu’ils suivent constamment ton exemple quand ils font leur devoir, qu’ils ont pour autant un calibre médiocre. En fait, ils manquent seulement de calibre quand il s’agit de saisir la vérité. Quand il s’agit de questions qui touchent à leurs intérêts, ils pensent toujours à toutes les façons possibles de s’éviter de subir la moindre perte. Dans ce domaine, ils sont intelligents, ils ne sont absolument pas lents d’esprit. Dans l’Église, ils semblent lents d’esprit, mais s’ils devaient retourner dans le monde, ils ne seraient pas lents d’esprit. Dans les domaines qu’ils aiment, ils ont des pensées et ont créé des œuvres. Peut-être pourraient-ils avoir un certain succès. » Il y a aussi des gens qui commettent des méfaits dangereux dans l’Église, et tout le monde dit d’eux qu’ils ont un calibre médiocre, mais eux-mêmes n’en sont pas convaincus : « Tu dis que j’ai un calibre médiocre, mais si j’étais dans le monde non-croyant, je pourrais quand même gagner de l’argent et gagner ma vie. Je pourrais quand même prospérer, il n’est pas dit que je ferais pire que les autres ! » Le monde non-croyant évalue-t-il toutes choses selon les vérités-principes ? Se fie-t-il aux paroles de Dieu en les prenant comme fondement ? Dans le cas contraire, alors, même si les œuvres créées par ces gens peuvent tenir la route dans le monde non-croyant, cela ne prouve pas qu’ils ont du calibre. Par exemple, certaines personnes peignent, et, de prime abord, les couleurs, la composition, l’éclairage, les proportions des personnages, et autres aspects de leurs tableaux semblent assez bons. Cependant, quand ils peignent certains saints antiques dans la maison de Dieu, des problèmes se présentent. Je dis : « Les œuvres de ce peintre se vendaient assez bien parmi les non-croyants, et les gens les appréciaient beaucoup. Mais pourquoi est-ce que Je trouve ses représentations d’Abraham, de Job et de Noé aussi maladroites ? Comment ces trois personnes de trois époques différentes ont-elles toutes fini par avoir l’air d’appartenir à une seule famille ? C’étaient d’anciens israélites, et la structure osseuse des traits de leur visage devrait refléter les caractéristiques de ce groupe ethnique. Même si le peintre ne connait pas la personnalité de chaque personnage, à tout le moins, il devrait comprendre à quoi ressemble la structure squelettique et les traits de cette ethnie. Peu importe à quelle époque vivait la personne que le peintre représente, ses caractéristiques ethniques devraient être soulignées et rendues manifestes par le biais de ses cheveux, des traits de son visage, de la couleur de ses yeux et de la forme de son visage. » Alors, comment se fait-il que les personnages de ces différentes époques, que le peintre a représentés, bien qu’ils aient des âges différents, possèdent tous une structure osseuse qui ne ressemble pas à celle de leur groupe ethnique ? Ils ont tous des visages rectangulaires. Les plus jeunes ont simplement moins de rides et les cheveux plus foncés, tandis que les plus vieux ont davantage de rides, une peau plus sombre et davantage de cheveux blancs. Les caractéristiques de ces personnages sont, pour l’essentiel, toutes les mêmes : ils ont un visage large, rectangulaire, ils sont de grande taille et particulièrement costauds. Je dis : « Pourquoi tous ces personnages se ressemblent-ils ? Ils sont trop semblables et n’ont pas de caractéristiques qui les distinguent. » Le peintre lui-même ne remarque pas le problème. Peut-être qu’il a peint trop d’œuvres de ce genre, que sa technique est devenue trop raffinée et que son style est devenu figé. Chaque fois qu’il peint des personnages, les hommes ont un visage de la même forme, et il ne peut pas capturer les traits du visage uniques de différents caractères. Sa capacité à évaluer et à apprécier les choses n’est-elle pas un peu médiocre ? (Si.) Après avoir terminé son tableau, le peintre ne sait pas si les traits du visage qu’il a représentés s’alignent sur les caractéristiques squelettiques de ce groupe ethnique. Il n’est pas sûr de ces caractéristiques. Diriez-vous que son calibre dans ce domaine est moyen ou médiocre ? (Médiocre.) Peut-il corriger cela quand les autres lui font des suggestions ? Un jour, J’ai fait des suggestions à ce peintre, mais quand J’ai vu son travail par la suite, il était resté le même. À ce stade, il n’y a rien de plus à dire, des explications plus poussées échapperaient encore à sa compréhension.

Pour ce qui est des problèmes en lien avec la capacité des gens à évaluer et à apprécier les choses, voilà les manifestations des individus dans l’ensemble des différents niveaux de calibre. Les gens qui ont un bon calibre sont non seulement capables d’apprécier les choses, mais aussi de les évaluer. Ceux qui ont un calibre encore meilleur, quand ils sont confrontés à des pensées et à des points de vue corrects, les prôneront et les partageront, ou les transmettront aux autres, et quand ils sont confrontés à des pensées et à des points de vue incorrects, ils peuvent les identifier et les corriger. Les gens qui ont un calibre moyen ont une certaine capacité à apprécier les choses, mais ils n’ont pas la capacité d’évaluer les choses, ils ne peuvent pas identifier les choses qui relèvent de la pensée. Les gens qui ont un calibre médiocre ne comprennent pas les choses qui relèvent de la pensée, de sorte qu’on ne peut pas dire qu’ils ont la moindre capacité à identifier les choses. Les gens qui n’ont aucun calibre ne peuvent pas du tout comprendre ces questions. Même si quelqu’un leur explique ces questions, ils ne peuvent toujours pas comprendre ce que sont les pensées et les points de vue qui font l’objet de la discussion. Pour eux, c’est comme entendre une histoire au sujet d’une autre planète, cela échappe complètement à leur compréhension. Voilà les différentes caractéristiques affichées par les gens de calibre variable pour ce qui est de la capacité à évaluer et à apprécier les choses.

La onzième norme pour mesurer le calibre d’une personne est la capacité à innover. La capacité à innover est la capacité créative que tu possèdes, basée sur la compréhension que tu as une fois que tu connais les fondamentaux, les principes et les lois de quelque chose. Cette capacité créative fait référence à l’amélioration de cette chose par rapport à son fondement d’origine, en la développant, en élargissant sa sphère d’influence ou en la transformant en nouvelle génération d’une certaine chose ; c’est ce que l’on appelle la capacité à innover. Spécifiquement, cela signifie qu’en partant du postulat que tu saisisses avec précision les lois objectives d’une certaine chose, tu puisses appliquer ces lois à la vie réelle, élargir et approfondir leur champ d’application, et permettre à ces fondamentaux et à ces principes qui se conforment aux lois du développement des choses de servir davantage de gens, afin qu’ils en bénéficient et que cela les aide. D’une part, tu soutiens ces fondamentaux et ces principes, en élargissant constamment leur sphère d’influence et leur public. En outre, tu les transformes en quelque chose de tangible à partir d’une présentation littérale, quelque chose qui permet aux gens de gagner de réels avantages, d’une façon plus concrète et en allant un peu plus loin. Voilà ce que signifie avoir la capacité d’innover. Si une personne, sur la base de son environnement familial et du milieu dans lequel elle a grandi, de la connaissance qu’elle acquière, peut saisir avec précision les fondamentaux, les principes et les lois du développement de quelque chose, qu’elle sait comment appliquer ces fondamentaux et ces principes, et les transformer en choses tangibles à partir de la théorie, en ne s’arrêtant pas au niveau des mots et des doctrines, mais en appliquant ces fondamentaux et ces principes à la vie réelle, en les intégrant dans la vie des gens et en les transformant en résultats qui servent les gens, en leur permettant de gagner des avantages et de l’aide, et en rendant la vie des gens plus facile et plus commode, si cette personne peut parvenir à ce niveau, c’est une personne qui a la capacité d’innover et qui a un bon calibre. Autrement dit, si tu peux, sur la base de la compréhension des fondamentaux des lois du développement des choses et des vérités-principes, réaliser la promotion, le soutien, l’expansion ou le renouvellement d’une chose, si tu as cette capacité ou que tu peux accomplir l’une de ces réalisations, et que tu peux permettre aux fondamentaux et aux lois d’une chose positive ou aux principes de la vérité d’être mis en œuvre, matérialisés et développés parmi les gens, alors cela prouve que ton calibre est bon. Même si tu ne peux pas l’amener à un niveau plus profond, si tu peux au moins soutenir, développer et matérialiser cela, et que tu peux élargir son influence positive, alors la preuve est faite que tu es une personne qui a la capacité d’innover. Si tu n’as pas cette capacité, et que tu as seulement la capacité de saisir les lois des choses positives, mais que cette capacité de compréhension reste seulement au niveau de la compréhension littérale et théorique, et que tu ne peux pas mettre en œuvre ou matérialiser ces lois avec les gens, et que tu ne peux pas non plus faire en sorte qu’elles servent aux gens et qu’elles leur apportent des avantages, alors tu n’as pas la capacité d’innover. Tu dois être capable d’opérer concrètement et d’appliquer les fondamentaux, les principes, les lois et les règles. C’est seulement alors qu’on peut dire que tu as la capacité d’innover. Seuls ceux qui ont cette capacité sont des gens qui ont un bon calibre. Par exemple, certains dirigeants et ouvriers, ou superviseurs, peuvent mettre en œuvre les principes et les approvisionnements de la maison de Dieu juste après les avoir compris. Ils mettent en œuvre les vérités-principes de chaque aspect du travail avec le peuple élu de Dieu, aidant davantage de gens à comprendre la vérité et faisant en sorte que le travail de l’Église se poursuive de façon ordonnée, autrement dit, de façon à ce que cela circule de manière positive dans le cadre des principes, en se développant et en progressant continuellement, sans qu’il y ait d’écarts. Quel est le résultat que les gens voient ? Tout le monde fait ce qu’il devrait faire dans le cadre de ce travail, tout le monde comprend les principes et agit conformément à ces principes, le travail ne connait aucun écart, et ce travail produit continuellement de nouveaux résultats ou de nouveaux travaux. Même si des circonstances particulières émergent en cours de route, les superviseurs sauront comment les gérer avec souplesse conformément aux fondamentaux, aux approvisionnements et aux principes du travail. Sous leur direction, ce travail se poursuivra continuellement de manière ordonnée et, pour l’essentiel, ne s’arrêtera pas. Autrement dit, peu importe ce qui peut se produire, peu importe la personne qui peut en venir à perturber le travail ou diffuser des idées fausses, cela n’affectera pas l’avancement ordonné du travail. Le travail ira de l’avant continuellement. Peut-on dire que les fondamentaux de ce travail et les vérités-principes à cet égard se trouvent continuellement soutenus ? (Oui.) Grâce à la mise en œuvre, au soutien et à l’avancement des fondamentaux et des principes de ce travail, ce dernier n’a pas été interrompu. Il est continuellement mis en œuvre et soutenu de manière ordonnée et en même temps, les bons résultats de ce travail émergent à différentes périodes. L’influence de ces résultats du travail s’élargit continuellement, et de plus en plus de gens en bénéficient. Ceux qui en bénéficient, bénéficient en fait des divers principes, des divers fondamentaux et même des divers approvisionnements rigides des arrangements de travail que ces superviseurs peuvent saisir et accepter. Voilà ce que signifie avoir une capacité à innover. Autrement dit, une personne de bon calibre peut continuellement mettre en œuvre les principes du travail et les vérités-principes qu’elle saisit et accepte, en les incorporant dans le travail dont elle est responsable et qu’elle met en œuvre avec tout le monde, permettant au travail de se poursuivre de manière ordonnée ou d’aller de l’avant. En même temps, le travail donnera des résultats, régulièrement ou irrégulièrement. Les non-croyants appellent cela des « travaux productifs ». Autrement dit, des résultats de travail apparaitront continuellement, et l’apparition de ces résultats aura par la suite une plus grande influence et touchera davantage de gens. Les gens qui ont cette capacité peuvent finalement élargir continuellement les résultats du travail, de sorte que de plus en plus de gens en bénéficient. De telles personnes sont celles qui ont un bon calibre. Pour mesurer ton calibre en fonction de ta capacité à innover, il est nécessaire d’examiner en quoi consiste ta capacité à mettre en œuvre, à faire avancer et à développer les principes du travail, les approvisionnements de travail et les vérités-principes, une fois que tu les as saisis. Autrement dit, en quoi consiste ta capacité à soutenir ce travail. Deuxièmement, il est nécessaire d’examiner combien de personnes sont touchées par le travail que tu fais, quelle est l’étendue de ceux qui sont touchés, quelle est l’importance du degré d’influence et quelle est l’efficacité et quels sont les résultats de ton travail. Si l’efficacité de ton travail est excellente, que les résultats de ton travail sont bons, et que l’étendue de ceux qui sont touchés s’élargit continuellement, alors ton calibre est bon. Si le nombre de personnes touchées est faible, que l’efficacité du travail est faible, que les résultats sont médiocres, qu’il faut constamment remanier le travail, qu’il y a des arrêts et qu’il faut constamment combler des lacunes, alors ton calibre est moyen. Si une personne saisit plutôt bien, et rapidement, les principes du travail, les arrangements de travail et d’autres aspects, mais que ses progrès en termes de mise en œuvre sont très lents et que son efficacité est très faible – dans des circonstances normales, des résultats pourraient être obtenus en un mois, mais il faut trois mois ou même six, et les résultats obtenus restent très moyens, le nombre de personnes touchées est faible, et les avantages procurés aux gens ne sont pas significatifs – une telle personne est de calibre moyen.

Certains individus, après avoir compris certains principes ou certains fondamentaux, ne saisissent que leur sens littéral à ce moment-là, et ils ne peuvent pas relier cela aux gens, aux événements ou aux choses dans leur travail, qui impliquent ces principes ou ces fondamentaux, de quelque façon que ce soit. Ils se contentent d’écouter les principes et les fondamentaux en tant que règlements ou doctrines, et après les avoir entendus, ils n’établissent aucun plan dans leur cœur et ne savent pas comment les mettre en œuvre ni comment appliquer à la vie réelle les arrangements de travail et les fondamentaux ou les principes qu’ils comprennent. Foncièrement, ils ne peuvent pas faire le lien entre la vie réelle et ces fondamentaux ou ces principes. Quand il s’agit de la vie réelle ou du travail, ils mettent de côté les principes, les fondamentaux et les lois du développement des choses, ils sont incapables de les appliquer, et font simplement tout ce qu’ils veulent. Pour le moment, ne nous demandons pas si leur humanité est bonne ou mauvaise, ni en quoi consiste leur caractère, ni s’ils ne font pas quelque chose intentionnellement, ni s’ils ne veulent pas faire quelque chose, simplement en termes de calibre, de tels individus ont un calibre médiocre. Peu importe où ils vont, ils peuvent beaucoup parler de doctrines, évoquer certains fondamentaux et discuter de certaines soi-disant lois du développement des choses avec les autres. Ils semblent avoir un niveau de pensée assez élevé et une capacité de compréhension, et ils paraissent avoir un certain calibre. Cependant, quand on leur confie un aspect du travail, un mois ou deux s’écoulent sans résultats, et ils ne tiennent pas les autres au courant de la situation. Au moment d’exprimer leur détermination, ils parlaient très bien, mais quand il s’agit d’agir réellement, ils ne savent pas quoi faire. Ils disent : « Le Supérieur a expliqué les principes très clairement, alors que dois-je faire, maintenant ? Qui devrais-je nommer superviseur, qui devrais-je nommer prédicateur, et qui devrait gérer les affaire extérieures ? Je ne sais pas ce qu’il faut faire ! Mais j’ai eu des revendications audacieuses et j’ai exprimé ma détermination, alors je dois le faire ! » Ils sont si angoissés qu’ils ont de la fièvre et des aphtes, ils ne peuvent ni manger ni dormir, et finissent débraillés et accablés, pourtant ils ne savent toujours pas ce qu’ils doivent faire. Voilà les manifestations des gens qui ont un calibre médiocre. De quelque manière que ce soit, quand on arrange du travail pour eux, ils font des vœux solennels et expriment leur détermination, ils prononcent des paroles audacieuses et grandioses avec beaucoup d’énergie : tu dois voir s’ils peuvent faire le travail, s’ils suivent des étapes et des plans, et s’ils comprennent comment mettre en œuvre les arrangements de travail et agir conformément aux principes. S’ils ne comprennent pas cela ou qu’ils ne peuvent pas le faire, alors ils ont un calibre médiocre. S’ils ne comprennent que les doctrines, mais qu’ils ne peuvent pas appliquer les principes, et qu’ils agissent simplement aveuglément et imprudemment, cela montre aussi un calibre médiocre. Du moment que tu ne peux pas mettre en œuvre efficacement, et dans la vie réelle, les principes, les fondamentaux ou les lois du développement des choses, alors, que tu sois angoissé et troublé, ou que tu commettes des méfaits dangereux, il s’agit là des manifestations d’un calibre médiocre. Ces paroles sont-elles exactes ? (Oui.) Certaines personnes agissent aveuglément, tandis que d’autres ne savent pas comment faire cela et n’osent pas le faire, elles ne savent même pas par où commencer. Les manifestations spécifiques des gens qui ont un calibre médiocre, du point de vue de leur capacité à innover, sont qu’ils ne savent pas comment appliquer les fondamentaux et les principes à un travail spécifique, réel. Ils ne savent que répéter des formules, comme des perroquets, apprendre des doctrines et mémoriser des règlements. Se contenter de mémoriser des doctrines et des règlements est inutile, et cela n’indique pas que tu as la capacité d’innover. Que tu aies ou non la capacité d’innover est mis en évidence selon que tu peux ou non mettre en œuvre ces fondamentaux, ces principes et ces règles dans la vie réelle, en faisant bien le travail lié à ces fondamentaux et à ces principes, de sorte que ces fondamentaux et ces principes ne restent pas des paroles et des doctrines, des règlements et des formules, mais qu’ils soient mis en œuvre dans la vie des gens et appliqués aux gens, pour permettre à ces derniers de les utiliser et d’en tirer des avantages et de l’aide, et d’en faire ainsi un chemin de pratique dans la vie, ou un guide, une orientation et un objectif de vie. Si une personne n’a pas cette capacité à innover et qu’elle ne sait que se gargariser de formules et de doctrines et clamer des slogans, et qu’elle est incapable d’utiliser ces principes et ces fondamentaux au moment de faire son devoir, ceux qui suivent un tel dirigeant ou superviseur ne gagneront pas de principes de pratique dans cet aspect de la vérité. De tels dirigeants ou superviseurs sont des personnes de calibre médiocre, incapables de faire leur travail et qui devraient être signalées et démises dès qu’elles sont identifiées. Pour évaluer si quelqu’un peut assumer un aspect du travail, tu dois d’abord voir si, après avoir lu les arrangements de travail et compris les vérités-principes, cet individu peut les organiser et les mettre en œuvre, et faire démarrer le travail. Peu importe le nombre de gens qu’il y a dans une Église, si ces gens font démarrer tous les aspects du travail de l’Église et que, quel que soit le nombre de tâches effectuées par les gens, qu’il y en ait cinquante ou une centaine, tâches dont ils sont responsables, ils peuvent faire en sorte que le travail se développe, en s’assurant que tout le monde a sa place et peut travailler et faire son devoir conformément aux vérités-principes, alors de tels individus peuvent être considérés comme éligibles en tant que dirigeants ou superviseurs. Bien entendu, tu dois également voir à quoi ressemble leur caractère, s’ils sont les bonnes personnes, et s’ils sont des personnes qui poursuivent la vérité. Savoir ces choses est essentiel ! Un dirigeant ou un ouvrier doit, à tout le moins, avoir calibre et stature dans ces domaines, afin de guider le peuple élu de Dieu pour qu’il entre dans la vérité-réalité, et pour que tout le monde puisse travailler et faire son devoir conformément aux arrangements de travail ou aux vérités-principes. Ainsi, le peuple élu de Dieu peut profiter de ces arrangements et des vérités-principes. Si un dirigeant ou un ouvrier n’a pas cette capacité, alors il ne peut pas être choisi. En choisissant de tels individus, même si tu fainéantes sans faire le moindre travail pendant que tu les suis et que cela peut réconforter ta chair, te sentiras-tu comblé dans ton esprit ? Si tu passes quelques heures chaque jour dans les réunions à les écouter prêcher des doctrines, mais que tu ne fais aucun travail concret, est-ce là faire ton devoir ? (Non.) Ces individus te prêchent des doctrines chaque jour, et même si ce que tu entends peut t’enrichir, tu ne fais pas ton devoir et tu te contentes de suivre ces individus en faisant dans l’à-peu-près sans but. Dans ce cas, tu as été induit en erreur et tu es entravé par ces individus. Si tu continues à les écouter prononcer ces paroles et ces doctrines arides et qu’en fin de compte, tu ne fais pas ton devoir ou que tu ne fais pas preuve de loyauté, et que tu ne fais aucune expérience réelle dans la vérité, sans faire preuve de loyauté envers ce que Dieu t’a confié, sans faire démarrer le travail ni obtenir le moindre résultat – de sorte que lorsque Dieu demande des résultats aux gens, tu n’as rien à présenter – n’auras-tu pas subi une perte ? Par conséquent, si tu pensais précédemment que de tels individus étaient éligibles en tant que dirigeants, change désormais rapidement ton point de vue et raie de tels individus de ta liste de candidats. Ils ne doivent pas être choisis comme dirigeants. En quoi les gens qui ont un calibre médiocre et aucune capacité à innover ne sont-ils pas à la hauteur ? Ils ne sont pas à la hauteur en cela qu’ils savent seulement agir comme des généraux de salon, tout en ne sachant jamais comment appliquer leurs idées au travail dans la vie réelle, et en cela qu’ils ne peuvent pas faire de travail concret. Quelles seraient les conséquences si de tels individus devenaient dirigeants ? Ils ne feraient que semer la pagaille dans le travail. S’ils servaient en tant que dirigeants d’Église en Chine continentale, ils mèneraient l’Église toute entière à la ruine. Non seulement ils ne gagneraient pas eux-mêmes la vérité, mais la vie de ceux qu’ils guideraient subirait des pertes. Si tu peux identifier rapidement de tels individus et les éliminer, certains désastres seront évités, et le travail d’Église n’aura pas à subir de pertes. Mais si tu continues à suivre de tels individus et à accepter leur direction, alors ils pourraient anéantir ton espoir d’atteindre le salut, et ta chance de salut aura alors disparu. Par conséquent, la capacité à innover est une capacité cruciale pour un dirigeant, un ouvrier ou un superviseur. Si tu n’as pas le calibre et la capacité élémentaires pour faire le travail, tu dois absolument faire preuve de prudence et ne pas te lancer tête baissée, et tu ne dois pas vouloir sans cesse te démarquer ni vouloir être un dirigeant ou un superviseur. En agissant ainsi, non seulement tu te fais obstacle à toi-même, mais tu empêches aussi les autres d’atteindre le salut. Si tu ne fais obstacle qu’à toi-même, ce n’est que ta propre mort que tu auras causée, mais si tu fais obstacle aux frères et sœurs, ne fais-tu pas du tort à beaucoup de gens ? Tu ne te soucies peut-être pas de ta propre vie, mais les autres se soucient de la leur. De plus, faire obstacle à ta propre vie quotidienne ou à ta réussite financière n’est pas grave, mais faire obstacle au travail de l’Église, ce n’est pas un problème mineur. Peux-tu porter une telle responsabilité ? Si tu es véritablement quelqu’un de conscient et que tu sens que cette question implique une responsabilité significative, que faire obstacle au travail de l’Église n’est pas quelque chose dont tu peux porter la responsabilité, alors tu ne dois en aucun cas recourir à tous les moyens nécessaires pour te mettre en valeur et rivaliser pour être le dirigeant. Si tu n’as pas le calibre et la stature, cesse de toujours vouloir autant te démarquer. Ne fais pas obstacle au travail de l’Église ou n’empêche pas le peuple élu de Dieu d’entrer dans la vérité et de gagner une bonne destination simplement pour satisfaire ton désir d’autorité – il s’agit là d’une iniquité ! Tu dois avoir une certaine conscience de toi-même. Fais ce que tu es capable de faire et n’aspire pas sans cesse à devenir dirigeant. Outre le fait de devenir dirigeant, il existe bien d’autres devoirs que tu peux faire. Être dirigeant n’est pas ton droit exclusif et cela ne doit pas non plus être ce que tu poursuis. Si tu as le calibre et la stature d’un dirigeant, ainsi que le sens du fardeau à porter, alors il vaut mieux te laisser élire par les autres. Cette pratique est bénéfique pour le travail de l’Église et pour toutes les personnes concernées. Si tu n’as pas le calibre d’un dirigeant, tu devrais faire preuve de bonté et assumer une partie de la responsabilité quant à l’avenir des autres. Ne cherche pas constamment à devenir dirigeant et ne fais pas obstacle aux autres. Vouloir être dirigeant et prendre en charge le travail de l’Église en dépit d’un calibre médiocre, c’est faire preuve d’un manque de raison. Si tu n’as pas le calibre et la stature nécessaires, contente-toi de bien faire tes devoirs. En menant à bien véritablement tes devoirs, tu montres que tu es pourvu de raison. Fais tout le travail que tu peux faire selon tes capacités ; ne nourris pas d’ambitions et de désirs. Ne cherche pas seulement à satisfaire tes désirs personnels en négligeant le travail de l’Église : cela nuit à la fois à toi-même et à l’Église. Voilà la manifestation des gens qui ont un calibre médiocre en matière de capacité à innover.

Aucun individu de calibre médiocre ne possède la capacité d’innover et donc encore moins ceux qui n’ont aucun calibre. De tels individus ne peuvent pas du tout comprendre les fondamentaux des choses, les lois du développement des choses ou les vérités-principes quand ils les entendent. Quand ils lisent les paroles de Dieu, même s’ils peuvent voir qu’il s’agit là de vérités-principes, ils ne peuvent pas relier les principes à leur champ d’application ou aux gens et aux questions concernés par ces principes. Ils pensent même : « Cet échange sur la vérité est trop détaillé, et il est trop fourni. En entendant ces paroles, je comprends qu’il s’agit là de principes, mais je ne sais pas quelle est la définition des principes ni quel cadre ces principes délimitent. » S’ils ne connaissent même pas la définition des principes, alors ils ne savent certainement pas comment les mettre en œuvre ni comment les mettre en pratique. Par exemple, quand il se passe quelque chose qui doit être géré, les autres leur disent : « Tu devrais pratiquer conformément aux principes. » Ils répondent : « Je ne sais même pas comment pratiquer conformément aux principes. Je ne sais pas à quel principe cette question se rapporte. » Même après que les autres leur ont expliqué le principe qu’ils devraient mettre en pratique quand ils s’occupent de cette question, ils ne savent toujours pas ce qu’ils doivent faire. De tels individus ont un calibre extrêmement médiocre. Ils ne peuvent même pas comprendre le langage humain et qui plus est, ils sont inaptes à être utilisés. Cela ne montre-t-il pas que de tels individus sont si incompétents qu’on ne peut plus les aider ? Les gens qui sont désespérément incompétents n’ont ni la pensée ni la capacité nécessaires pour comprendre les choses de l’humanité normale, et ils ont encore moins une logique de pensée. Par conséquent, les gens qui comprennent les vérités-principes, ou divers fondamentaux et diverses règles, n’ont aucun moyen de communiquer avec ceux qui manquent de calibre. Ces gens ne peuvent pas parvenir à un consensus, et, bien entendu, ils n’ont pas de langage commun. Pourquoi ne peuvent-ils pas communiquer ? Il y a un problème essentiel, qui est que les capacités de ces deux types d’individus à être conscients de diverses choses, leurs capacités à identifier, à juger, à comprendre et à accepter ces diverses choses ne sont pas au même niveau ou sur la même longueur d’onde. Ces capacités sont comme deux lignes parallèles qui ne se croiseront jamais. C’est là parler en termes quelque peu abstraits. Pour le dire de façon plus concrète, le calibre de ces deux types d’individus est diamétralement opposé, et il n’est pas au même niveau. Par conséquent, ces gens n’auront jamais la même capacité à porter des jugements, la même capacité à identifier les choses ou la même capacité cognitive au sujet de la même question. Autrement dit, ce que les gens qui ont un bon calibre ou un calibre moyen peuvent reconnaître, les gens qui n’ont pas de calibre ne peuvent absolument pas le reconnaître ; ces derniers en sont encore loin, et ils ne seront jamais à la hauteur, comme s’ils étaient dépourvus de cette faculté. Par exemple, quand une poule est arrivée à maturité, elle pond naturellement des œufs. Même si elle en produit peu, elle en pondra quand même, parce qu’elle a cette faculté. En revanche, un coq a beau être bien nourri, il ne peut pas pondre d’œufs, parce qu’il n’a pas cette faculté. Le coq dit : « Même si je n’ai pas la faculté de pondre des œufs, je peux chanter le matin ! » Peu importe combien de fois tu chantes ou la puissance de ta voix, cela ne signifie pas que tu puisses pondre des œufs. Alors que la poule ne chante pas, elle a la faculté de pondre des œufs. Pourquoi est-ce que Je vous donne cet exemple ? Parce que les gens qui n’ont pas de calibre expriment de tels raisonnements déformés, fallacieux et illogiques. C’est ce que l’on appelle n’avoir aucun calibre. Par conséquent, quand les gens qui ont un bon calibre, un calibre moyen, ou même un calibre médiocre, communiquent et discutent de questions avec des gens qui n’ont aucun calibre, cela semble gênant. Avec les gens qui ont un calibre médiocre, tu peux quand même communiquer sur certaines questions simples et faciles à comprendre. Mais avec les gens qui n’ont aucun calibre, personne ne peut communiquer, parce qu’ils n’ont aucune capacité de compréhension et aucune pensée ou aucun point de vue sur quoi que ce soit. Voilà la description ou l’explication des gens sans calibre. Quand tu communiques avec eux à propos de quelque chose, même si tu expliques cette chose en détail et clairement, et qu’ils disent peut-être qu’ils la comprennent, quand la même chose se produira à nouveau, ils ne comprendront néanmoins toujours pas et exprimeront à nouveau des raisonnements déformés et fallacieux. Dis-Moi, de tels individus peuvent-ils comprendre la vérité ? (Non.) Ils n’ont pas la capacité d’identifier les choses ou d’en être conscients, comment pourraient-ils comprendre la vérité ? Dire qu’ils peuvent comprendre la vérité serait tout simplement absurde. Les gens sans calibre n’ont pas de capacité à innover, de sorte que telles sont leurs manifestations à cet égard. Parce qu’ils ne comprennent pas les moindres fondamentaux ni les moindre principes, ils ne planifient rien, quoi qu’ils fassent. Leur esprit ne suit ni plan ni étapes, et plus encore, il ne peuvent pas mettre en œuvre les moindres fondamentaux ou principes. Tout ce qu’ils font tourne à la catastrophe, à la confusion totale. De tels individus peuvent seulement fournir un effort physique et faire des tâches manuelles. Ils peuvent à peine gérer un travail simple, unique. Après tout, ce sont des gens ordinaires, qui peuvent se lancer dans une tâche individuelle, mais quand la situation s’élève au niveau où il faut assumer un aspect du travail, ils ne sont plus compétents pour cela. De tels individus sont incapables de faire le moindre travail de valeur ou exigeant sur le plan technique. Ils peuvent seulement gérer des petits travaux, comme un travail manuel, un travail agricole, ou élever du bétail, et même alors, ils ont besoin d’un superviseur à leurs côtés pour que celui-ci les surveille et les soutienne. Parfois, quand ils sont de mauvaise humeur, quelqu’un doit les rappeler à l’ordre. Et quand ils se retrouvent parfois pris dans des déformations ou qu’ils deviennent négatifs, quelqu’un doit les conseiller dans leur façon de penser. Même pour des tâches mineures, quelqu’un doit vérifier ce qu’ils font. Sinon, des problèmes et des erreurs émergeront et le travail sera à refaire. S’ils ne gâchent pas des matériaux, ils gaspillent l’énergie, ou l’eau, l’électricité et le gaz. Dans les pays occidentaux, ils sont constamment signalés par les autres et condamnés à des amendes par la police. S’il n’y a pas quelqu’un pour les surveiller, ils ne peuvent même pas faire des petits travaux correctement, ils sont tout simplement problématiques et pitoyables à ce point. Voilà les manifestations des gens sans calibre. De tels individus ne sont-ils pas simplement inutiles et stupides ? Peuvent-ils encore être utilisés en tant qu’êtres humains ? En fait, dans la maison de Dieu, de tels individus peuvent seulement fournir quelques efforts physiques. Quand il s’agit du travail d’Église, ils ne peuvent pas le faire. Ils sont incapables de faire quoi que ce soit. Même quand il s’agit de travaux qui nécessitent un effort physique, ils ne peuvent pas les achever de façon autonome, ils ont quand même besoin que d’autres leur donnent des instructions, qu’ils les supervisent et vérifient ce qu’ils font. Mais quand ils font des tâches qui nécessitent un effort physique, ils se disent malgré tout que c’est indigne de leurs talents, qu’ils sont surqualifiés, ils deviennent rebelles, et vont jusqu’à se plaindre : « Regardez ces gens qui font un travail technique sur ordinateur, qui écrivent des articles, qui chantent et qui dansent, ou qui jouent la comédie, comme ils sont chics ! Mais je peux seulement gérer l’hébergement et faire la cuisine, dans la graisse et la fumée toute la journée. Dans quelques années, je serai une femme exténuée. Regardez à quel point je suis pitoyable ! » Ils se sentent toujours assez pitoyable en faisant ce travail, mais ils ne s’arrêtent jamais pour se demander pourquoi ils peuvent seulement faire ce genre de travail. Ils ne considèrent pas s’ils sont vraiment capables de gérer d’autres travaux. C’est parce que leur calibre est médiocre qu’ils se sentent constamment contrariés quand ils font certaines tâches qui nécessitent un effort physique. Si leur calibre était vraiment bon, ils ne se sentiraient pas contrariés. Leur calibre est si médiocre qu’ils ne peuvent faire que des tâches physiques, pourtant ils pensent quand même que c’est indigne de leurs talents. Ne sont-ils pas des imbéciles ? De tels individus sont véritablement stupides. Les gens de ce genre ne peuvent même pas faire correctement des tâches qui nécessitent un effort physique. Quand ils cuisinent, ils préparent soit trop de nourriture soit pas assez, et peu importe depuis combien de temps ils cuisinent, ils ne savent toujours pas quelles habitudes ils doivent suivre en le faisant. Malgré tout, ils se disent encore que de telles tâches sont indignes de leurs talents, qu’ils sont surqualifiés, et ils pensent qu’ils ne devraient pas faire des tâches qui nécessitent un effort physique. Ils croient qu’ils devraient travailler dans un bureau comme secrétaire, assumer un aspect du travail dans la maison de Dieu ou au moins, servir en tant que dirigeant d’Église. N’est-ce pas là manquer totalement de raison ? Dis-Moi, pour quel travail es-tu compétent ? Si tu n’es compétent pour aucune sorte de travail et qu’on te confie des tâches qui nécessitent un effort physique pendant que la maison de Dieu subvient quand même à tes besoins, n’est-ce pas là t’exalter ? Et pourtant, tu restes insatisfait. Ta raison n’est-elle pas bien trop médiocre ? (Si.) Y a-t-il un lien entre la raison et le calibre ? (Oui.) Ne pas se connaître soi-même, ne pas savoir à quel niveau se situe son calibre, toujours penser que son calibre est élevé : ne s’agit-il pas là des manifestations d’un calibre médiocre ? (Si.) Les gens qui ont un bon calibre sauront comment s’évaluer eux-mêmes, et après s’être évalués, ils connaîtront le niveau de leur calibre. Une fois qu’ils auront déterminé leur calibre, ils seront capables de trouver leur place dans l’Église. Ils se sentiront à l’aise quoi qu’ils fassent, et ils pourront aborder rationnellement le devoir qu’ils font. Même si on leur confie des tâches qui nécessitent un effort physique, ils seront en paix et sentiront qu’il est justifié qu’ils les fassent. Ils s’y soumettront et seront d’accord pour les faire du fond du cœur, ils accepteront ce travail et cette tâche. C’est ce que l’on appelle être rationnel. Si quelqu’un n’est jamais à l’aise quand il fait son devoir, qu’il se sent sans cesse mécontent, et pense que toute tâche qu’on lui demande de faire est indigne de ses talents, n’est-il pas dépourvu de raison ? (Si.)

Nous avons désormais fini de discuter de la dernière des onze capacités qui permettent de mesurer le calibre d’une personne, la capacité à innover. Après avoir échangé sur ces onze capacités, comprenez-vous un peu plus clairement votre propre calibre ? (Oui.) Êtes-vous alors capables de le mesurer ? Pouvez-vous évaluer avec précision ce qu’est vraiment votre propre calibre ? Il existe une norme de mesure quand il s’agit de déterminer si ton propre calibre est bon, moyen, médiocre ou inexistant ; tu ne peux pas te contenter d’examiner un seul aspect, ton calibre doit être mesuré de manière exhaustive. Alors, quels sont les aspects à prendre en compte pour mesurer ce qu’est le calibre d’une personne ? À en juger par les manifestations des onze capacités sur lesquelles nous avons échangé, pour que le calibre d’une personne soit considéré comme bon, cette personne doit au moins posséder plusieurs capacités relativement importantes. Réfléchis-y un instant : parmi les onze capacités, lesquelles sont les principales qui permettent de démontrer qu’une personne a un bon calibre ? Peux-tu l’évaluer ? Il faut procéder par ordre décroissant, de la dernière capacité à la première : une personne qui a un bon calibre doit au moins avoir une capacité à innover. Ensuite, il y a la capacité à évaluer et à apprécier les choses, la capacité à prendre des décisions et la capacité à réagir aux choses. Puis viennent la capacité à identifier les choses, la capacité à porter des jugements et la capacité cognitive. Finalement, il y a la capacité à accepter les choses, la capacité de compréhension, la capacité à comprendre les choses et la capacité d’apprentissage. Tel est l’ordre. Pourquoi cet ordre est-il inversé ? Nous avons classé au départ par ordre croissant, mais pour évaluer si une personne a un bon calibre, cet ordre est décroissant. Une personne qui a un bon calibre doit au moins posséder une capacité à innover. Elle y parvient sur le fondement qu’elle a déjà une capacité à prendre des décisions, une capacité à évaluer et à apprécier les choses, et une capacité à identifier les choses. Si tu es capable d’être conscient des choses, de les identifier et de les juger, et que tu as aussi la capacité de les comprendre, et que tu peux alors innover, cela fait de toi une personne qui a un bon calibre. De tels individus sont ceux qui ont une capacité de direction, qui sont capables d’accéder à un niveau de prise de décision. Ils sont doués en tant que dirigeants, et il peuvent présider à un certain domaine de travail. Il s’agit là de gens qui ont un bon calibre. Les gens qui ont un calibre moyen sont ceux dont les capacités sont toutes moyennes, quel que soit le domaine, de la capacité à innover à la capacité d’apprentissage. Quand ils agissent, leur efficacité et les résultats qu’ils obtiennent, sont tout aussi moyens. Voilà les gens qui ont un calibre moyen. Quelle est la manifestation première des gens qui ont un calibre moyen ? Leur façon de saisir les principes et la compréhension qu’ils en ont manquent de profondeur et ne sont pas très précises. Quand ils mettent en œuvre quelque chose et qu’ils pratiquent, il y a sans cesse des failles et des écarts. Ils passent sans cesse à côté de choses, ils oublient ceci et cela, et ne peuvent pas tout prendre en compte de manière exhaustive. Par exemple, on les choisit pour être dirigeants d’Église, mais ils sont incapables de prendre en charge tous les aspects du travail de manière exhaustive. Quand ils sont responsables du travail d’évangélisation, ils ne se concentrent que sur ce travail et ne peuvent pas s’occuper d’autre chose. Ils peuvent mettre en branle le travail d’évangélisation, mais ils n’ont pas le temps de poser des questions sur le travail textuel ou sur le travail de production de films. Pour quelle raison ? Parce que leur calibre est foncièrement moyen et qu’ils ne peuvent gérer qu’un seul aspect du travail. Ils parviennent tout juste à être compétents dans un domaine du travail, mais dès qu’on leur demande de s’occuper également d’une autre tâche, ils se plaignent amèrement et sont submergés, incapables de faire correctement quelque travail que ce soit. Il faut toujours que quelqu’un supervise ce qu’ils font dans leur travail, les rappelle à l’ordre, inspecte et vérifie ce qu’ils font. Il faut toujours qu’il y ait quelqu’un à leurs côtés pour les soutenir, pour échanger sur la vérité avec eux, pour souligner à maintes reprises les principes du travail, les différents écarts et les différentes failles qui sont susceptibles de survenir. Il faut toujours qu’il y ait quelqu’un pour les rappeler à l’ordre. Pourquoi ont-ils toujours besoin que quelqu’un les rappelle à l’ordre et leur donne des directives ? Ce n’est pas parce que leur expérience professionnelle est inadéquate, mais parce que leur calibre est moyen. Ils sont incapables d’anticiper les situations et les problèmes qui sont susceptibles de surgir ou alors, ce qu’ils peuvent anticiper est très limité. Par conséquent, il faut toujours qu’il y ait quelqu’un à leurs côtés pour les guider, pour vérifier leur travail et assurer son suivi, et il faut fréquemment faire le point avec eux. Quand on fait le point avec eux, il s’avère qu’ils n’ont pas fait tel aspect du travail ou qu’ils l’ont oublié. Ou bien, ils ont négligé un certain aspect ou ne savent pas comment procéder, mais ils ne savent pas pour autant à qui demander ni comment faire des recherches, et ils attendent encore. En bref, leur capacité à être compétents dans le travail est très moyenne. Le fait que ce soit « moyen » n’a rien à voir avec leur degré de détermination, de force, avec leur amour du travail ou le fait de savoir s’ils peuvent endurer des souffrances et payer un prix : cet aspect “moyen” n’a rien à voir avec ces choses. Cela fait plutôt exclusivement référence à leur capacité de travail moyenne. Les gens qui ont un bon calibre, en revanche, ne commettent généralement pas d’erreurs majeures dans leur travail. Les principes, la direction et le cadre global qu’ils suivent sont généralement précis. Même s’il peut souvent leur arriver d’oublier certains menus détails, ceux-ci n’affectent pas l’efficacité et les résultats du travail dans son ensemble. Voilà les gens qui ont un bon calibre. Bien entendu, aucun être humain n’est parfait. Même les gens qui ont un bon calibre peuvent faire un travail qui présente des failles mineures, ils peuvent parfois oublier momentanément quelque chose, ou négliger quelque peu un aspect du travail parce qu’ils ont été récemment accaparés par un autre aspect. Cependant, simplement pour ce qui est de leur calibre, ils peuvent rapidement reprendre en main la situation, la gérer et la contrôler, en s’assurant que le travail dans son ensemble est, pour l’essentiel, exempt d’erreurs et en règle générale, conforme aux vérités-principes, aux arrangements de travail ou aux dispositions des décrets administratifs, et qu’il se poursuit de manière ordonnée. Même quand des antéchrists ou des personnes malfaisantes semblent provoquer des perturbations dans le cadre de leur travail, ils gèrent rapidement la situation du fait qu’ils ont la capacité de réagir aux choses. Ils gèreront cette question et la résoudront à la première occasion, en s’assurant que le travail d’Église reprenne rapidement la bonne voie et que l’environnement des frères et sœurs pour faire leur devoir ne soit pas affecté. Même lorsque des situations inattendues surviennent, les gens qui ont un bon calibre savent comment les gérer. Même s’ils n’ont pas géré de telles situations auparavant, ils sauront comment chercher les principes. Grâce à leur capacité à identifier les choses, à les juger et à en avoir connaissance, ils résoudront rapidement les problèmes conformément aux principes. Ils ont absolument la capacité de résoudre les problèmes. Leur capacité à identifier les choses, à réagir aux choses et à porter des jugements leur permet de rapidement désamorcer et apaiser les situations inattendues. Ils parviennent ainsi à sauvegarder l’avancement normal et ordonné du travail de l’Église et à sauvegarder les intérêts de la maison de Dieu, en garantissant que de telles situations ne se reproduisent pas ou qu’elles ne soient pas perturbées sur de longues périodes. En même temps, les principes selon lesquels ils gèrent les choses, ainsi que les résultats finaux qu’ils obtiennent, servent à sauvegarder les intérêts de la maison de Dieu. Une grande efficacité et de bons résultats sont ce à quoi les gens qui ont un bon calibre peuvent parvenir dans leur travail. Cependant, lorsque les gens de calibre moyen s’occupent de problèmes qui surviennent dans le travail d’Église ou dans la vie quotidienne, ils sont quelque peu submergés et trouvent cela un peu difficile. Leur façon de gérer les problèmes est souvent inefficace et très lente. Pour ce qui est de problèmes qui devraient être résolus en un jour ou deux, il se peut qu’ils attendent et réfléchissent pendant quatre ou cinq jours parce qu’ils sont incapables d’y voir clair. Ils sont incapables de prendre des décisions déterminantes pour redresser la situation. Ils sont, au contraire, impuissants et permettent que la situation continue à se dégrader. Ils peuvent seulement gérer des tâches simples, comme vérifier les faits, poser des questions sur la situation aux gens concernés ou trier les problèmes et les signaler à leurs supérieurs. Les problèmes que les autres résolvent en deux jours peuvent leur prendre quinze jours. Même si les problèmes sont finalement résolus, ce retard prolongé fait subir des pertes au travail d’Église. Durant cette période, certaines personnes pourraient être fourvoyées par des antéchrists, des offrandes pourraient être perdues, ou certains aspects du travail pourraient subir des pertes parce que les problèmes n’ont pas été résolus rapidement. Même si, par la suite, un dédommagement ou une indemnisation sont fournis, et que les gens qui devraient être gérés sont finalement gérés, les résultats et l’efficacité sont très moyens. C’est comme la lutte contre les incendies : les gens de bon calibre ont un don pour éteindre les incendies, pour obtenir de bons résultats et prévenir les pertes financières. En revanche, les gens de calibre moyen finissent par causer des pertes plus importantes, du fait qu’ils utilisent des méthodes inappropriées, qu’ils ne disposent pas de mesures d’urgence, qu’ils agissent lentement, qu’ils sont incapables de prendre des décisions déterminantes et de saisir les points essentiels pour résoudre le problème. Certains disent : « Je suis prêt à fournir un dédommagement pour les pertes que j’ai causées. » S’il s’agit purement d’une perte économique, un dédommagement peut résoudre le problème. Mais si tu fais face aux arrestations du grand dragon rouge et que tu n’arrives pas à gérer la situation correctement, faisant subir des pertes au travail de l’Église, peux-tu réparer cela ? As-tu les moyens d’offrir un dédommagement quant au coût du travail retardé et du temps perdu ? Quand des évènements inattendus se produisent, du fait de la capacité à réagir des gens de calibre moyen, leur capacité à porter des jugements, à identifier les choses et même leur capacité à prendre des décisions sont toutes moyennes ; ils gèrent donc les problèmes lentement et avec une efficacité extrêmement faible, et leurs mesures d’urgence sont inefficaces, ce qui a pour conséquence, en fin de compte, de mener à des résultats de travail insatisfaisants et à certaines pertes. Même si les problèmes finissent par être résolus, en raison des retards prolongés et de l’efficacité réduite, cela constitue une perte. Par conséquent, ces gens sont caractérisés comme ayant un calibre moyen. Certaines personnes disent : « Ce n’est pas juste. Eux aussi ont fait des efforts, travaillé dur et résolu les problèmes. Comment peux-Tu dire quand même que leur calibre est moyen ? » On ne peut pas se baser sur les émotions ou les sentiments pour évaluer de telles questions. Objectivement et équitablement, et en termes de niveau que le calibre d’une personne peut atteindre, ton calibre est moyen. Pourquoi est-il moyen ? Parce qu’il y a des gens qui ont un calibre plus élevé que le tien. Dans des situations où leur humanité est à peu près la même que la tienne, les gens qui ont un bon calibre peuvent gérer les problèmes avec davantage d’efficacité et obtenir de meilleurs résultats que toi, et leurs pertes sont plus faibles que les tiennes. Par conséquent, ton calibre peut seulement être classé comme moyen. Comprends-tu ? (Oui.) De tels individus sont caractérisés comme ayant un calibre moyen parce que les gens de bon calibre parviennent à davantage d’efficacité et à de meilleurs résultats quand ils agissent. Par conséquent, leur calibre est moyen. Cette explication est équitable et raisonnable. Certaines personnes disent : « Ils sont sincères, et mettent tout leur cœur dans cette tâche. Ils ont enduré beaucoup de souffrances et ont payé un prix non négligeable. » À quoi bon dire cela ? Cela signifie-il qu’ils ont un bon calibre ? Peu importe à quoi ressemblent leur humanité, leurs émotions ou leurs souhaits, simplement en termes de leur calibre, il s’agit là des manifestations de leur calibre moyen.

Quelles sont les manifestations des gens qui ont un calibre médiocre ? Si l’on examine les choses du point de vue de leurs diverses capacités, les gens qui ont un calibre médiocre ont comparativement une certaine capacité d’apprentissage et une certaine capacité à comprendre les choses. Quand ils acquièrent certaines connaissances, certaines théories, certaines compétences professionnelles ou sujets académiques, ils peuvent s’en souvenir pleinement et précisément, en notant les points essentiels dans leur carnet. Leur capacité à comprendre les choses est plutôt bonne lorsqu’ils ont fait des études et elle peut atteindre un niveau moyen. Cependant, ils n’ont pas les capacités qui viennent après la capacité de compréhension, comme la capacité à accepter les choses et la capacité à identifier les choses. Autrement dit, leurs capacités restent limitées à l’apprentissage et à la compréhension de théories, de connaissances, de compétences techniques ou de professions au niveau textuel. Quand il s’agit de considérer les gens, de gérer des questions, de résoudre des problèmes et de mettre en œuvre les arrangements de travail dans la vie réelle, ils ne sont pas à la hauteur. Leurs capacités restent limitées à une capacité d’apprentissage et à une capacité à comprendre les choses. Ils peuvent parvenir à une capacité de compréhension, mais ils ne sont pas à la hauteur en termes de capacité à accepter les choses. Les gens qui ont la capacité d’accepter les choses peuvent savoir à quelles choses de la vie réelle ces principes, théories et fondamentaux correspondent, ainsi que celles qui sont concrètes et applicables, celles qui ne sont pas concrètes ou qui ne leur conviennent pas. Les gens qui ont un calibre médiocre, cependant, ne peuvent pas percer ces choses à jour. Par exemple, diverses connaissances sur la santé et diverses informations sur l’entraînement physique sont disponibles en ligne. Les gens qui ont un calibre médiocre peuvent eux aussi apprendre à faire de l’exercice et à prendre soin d’eux grâce à ces ressources. Ils ont une capacité d’apprentissage, ils ont la capacité de comprendre les choses et une capacité de compréhension, et ils savent également trouver ce qu’il aiment. Cependant, quand il s’agit de savoir lesquelles de ces choses sont concrètes, efficaces et véritablement nécessaires aux gens, les individus qui ont un calibre médiocre ne peuvent pas l’identifier. Ils ne sont pas à la hauteur en termes de capacité à accepter les choses. Aujourd’hui, on dit sur Internet que les épinards mijotés avec du tofu sont très nutritifs, alors ils en mangent chaque jour. Mais après en avoir mangé pendant un moment, ils n’ont aucune idée des effets que cela a, ou si cela a l’effet revendiqué en ligne. Par la suite, on dit en ligne que les épinards et le tofu sont incompatibles, et après en avoir eu connaissance, ils ne refont plus jamais mijoter d’épinards avec du tofu. Quant à savoir si les épinards et le tofu sont hautement nutritifs ou incompatibles, ils l’ignorent et ne se posent pas de questions à ce sujet. Ils ne savent que suivre aveuglément ce qu’on leur dit. L’information est aujourd’hui très développée. Diverses nouvelles sont extrêmement complexes. Ils ne peuvent pas distinguer le vrai du faux, ou ce qui est correct ou non. Ils lisent et écoutent tout, ils croient que tout ce dont ils n’ont jamais entendu parler, tout ce qui est nouveau ou apparemment profond doit être bon. Par exemple, on dit sur Internet que manger du chocolat est bon pour le cœur, alors ils mangent du chocolat chaque jour. Par conséquent, ils se mettent à avoir de la fièvre, des aphtes, les yeux rouges et des bourdonnements d’oreilles. En fait, ce qui était dit, c’était que manger du chocolat avec modération était bon pour le cœur, mais ils ne se sont pas souvenus des mots « avec modération ». Ils sont incapables de saisir le point essentiel et finissent par se faire du mal. Quelques jours plus tard, on dit désormais en ligne : « Manger du chocolat est mauvais pour le cœur, et en manger trop peut aussi entraîner une prise de poids. » Les gens capables d’identifier les choses sauraient que trop manger de chocolat est mauvais pour l’organisme, mais qu’en manger avec modération ne pose pas de problème. Cependant, ils ne peuvent pas l’identifier. Après en avoir eu connaissance, ils cessent de manger du chocolat purement et simplement. Ils passent d’un extrême à l’autre, ils penchent soit trop à gauche soit trop à droite, pourtant, ils pensent être à la pointe : « Écoutez, tout ce qui est bon selon Internet, je le mange. Tout ce qui est mauvais selon Internet, je ne le mange pas. Je suis quelqu’un qui suit les tendances de son temps. » En réalité, ce sont des gens qui n’ont aucune capacité à identifier les choses, ce sont des individus à l’esprit confus, qui suivent aveuglément la foule. Il y a toutes sortes d’informations en ligne, et la plupart des revendications sont inexactes. Bien entendu, il y a également une petite quantité d’informations et d’affirmations qui sont correctes. Tu dois être capable de les identifier. Quant aux informations que tu acceptes, tu dois les mesurer en fonction de tes besoins, savoir si elles te sont bénéfiques, et si elles sont positives. Les gens qui ont un calibre médiocre n’ont pas la capacité d’identifier de telles choses. Ils ne disposent pas de toutes les capacités, à partir du niveau de la capacité à accepter les choses. Ils restent limités à l’apprentissage et à la compréhension des choses à un niveau textuel, théorique, et au niveau des connaissances, en ayant une certaine capacité de compréhension. Cependant, en ce qui concerne le fait d’identifier davantage l’exactitude de diverses affirmations et de savoir si ces affirmations ont de la valeur et sont significatives, les gens qui ont un calibre médiocre n’ont pas la capacité de juger et d’identifier cela. Ensuite, il y a la capacité à réagir aux choses, que les gens qui ont un calibre médiocre ne possèdent pas non plus. Quand il s’agit de divers problèmes qui apparaissent dans la vie réelle ou sur le chemin de la survie, ils ne peuvent pas les gérer en se basant sur les vérités-principes qu’ils connaissent ou qu’ils ont saisies. Quel que soit le nombre de formules et de doctrines qu’ils peuvent énoncer, ces dernières sont vides de sens et peu pragmatiques. Quant aux problèmes qui se présentent autour d’eux ou sur le chemin de la survie, ils comptent sur leurs ruses mesquines pour y faire face. Ils essaient simplement d’éviter de subir des pertes, et c’est tout, tout en ne parvenant pas à atteindre le niveau consistant à faire l’expérience des principes qu’ils ont saisis, à les appréhender ou à les vérifier. En outre, ceux qui ont un calibre médiocre sont également dépourvus de capacité cognitive. Autrement dit, quand le moindre problème émerge, ils ne peuvent pas synthétiser la situation ni reconnaitre l’essence de la question elle-même, la cause profonde qui se cache derrière cette question, ni les conséquences qu’elle peut entraîner à l’avenir. Les gens qui ont un calibre médiocre ne savent pas du tout comment penser à ces choses, et encore moins mettre en application la vérité ou les principes et les lois de diverses choses qu’ils ont saisies pour faire face et gérer de tels problèmes. Leur calibre étant médiocre, leur réflexion est simpliste et superficielle, et leur point de vue sur les questions s’écarte du sujet. Par ailleurs, ce qui est encore plus problématique, c’est qu’ils ne savent pas de quel point de vue ils peuvent considérer correctement les choses. Par conséquent, ils ne peuvent pas percer à jour l’essence de quoi que ce soit, et ils ne peuvent pas non plus juger de l’exactitude de quoi que ce soit, ou de ce qui est bien ou mal quant à quoi que ce soit. Sans jugement, ils ne peuvent rien identifier. Alors, bien entendu, ils n’ont pas non plus la capacité à réagir aux choses et encore moins de prendre des décisions. Certaines personnes disent : « Les gens qui ont un calibre médiocre savent, eux aussi, ce qu’il faut manger et porter chaque jour, et ils peuvent gérer leur vie quotidienne. » Ce n’est pas cela avoir du calibre. Avoir du calibre fait référence au fait d’être capable de gérer divers problèmes essentiels rencontrés dans la vie, et sur le chemin de la survie, conformément aux vérités-principes que l’on comprend. Les divers problèmes rencontrés dans la vie comprennent le fait d’évaluer une personne, de régler une question, et ainsi de suite. Les problèmes rencontrés sur le chemin de la survie comprennent le fait de faire face à des problèmes majeurs liés à ce qui est juste ou faux, les environnements que Dieu a organisés pour toi, la souveraineté de Dieu, les questions liées aux perspectives et à la destination, et la façon de choisir la route à venir, et ainsi de suite : tout cela fait partie des problèmes liés à la survie. Si quelqu’un n’a aucune capacité à gérer les problèmes qui se présentent dans la vie ou sur le chemin de la survie, cela signifie qu’il n’a pas de capacité à prendre des décisions. De tels individus sont mentalement vides, de sorte que parler de capacité à évaluer et à apprécier les choses en ce qui les concerne est quelque peu injustifié. Bien entendu, la dernière capacité, la capacité à innover, est d’autant plus hors de portée des gens qui ont un calibre médiocre. C’est comme se demander qui, du lion ou du tigre, est le roi des animaux. À tout le moins, tous deux sont des candidats qualifiés, parce que les lions comme les tigres ont les grands airs et les capacités d’un souverain parmi les bêtes. Ils ont chacun leur propre force, et quand on les compare les uns aux autres, ils peuvent être de force égale, ce qui les qualifie pour se disputer le titre de roi des animaux. Si tu compares des gnous, des élans ou des yaks à des lions et à des tigres pour décider qui est le roi des animaux, les gens te riront au nez. Pourquoi ? (Parce que ces animaux ne sont pas comparables.) Ils ne sont pas au même niveau, ils ne sont pas dans la même catégorie de poids. Ils ne sont pas comparables. De même, les gens qui ont un calibre médiocre ne pensent pas, et ils n’ont aucune capacité à évaluer et à apprécier quiconque, le moindre évènement ou quoi que ce soit au niveau mental. Par conséquent, cela ne vaut même pas la peine de se demander si de tels individus ont la capacité d’évaluer et d’apprécier les choses. La capacité à évaluer et à apprécier les choses est relativement avancée et s’applique aux gens qui ont un bon calibre. La capacité à innover, donc, s’applique encore plus aux gens de bon calibre. La capacité à innover se juge à la capacité d’une personne à gérer de manière concrète n’importe quoi dans la vie réelle. Les gens qui ont un calibre médiocre non seulement ne pensent pas et ne suivent pas d’étapes dans tout ce qu’ils font, mais ils n’ont pas non plus la capacité de faire avancer les choses, de sorte qu’on ne peut pas dire d’eux qu’ils ont la moindre capacité à innover. Alors, quelles sont les capacités des gens sans calibre ? La plupart des gens sans calibre ont une caractéristique commune : ils n’ont aucun point fort. Pour ce qui est de leur capacité d’expression, ils n’en ont pas. Pour ce qui est des points forts techniques ou professionnels, ils n’en ont pas non plus. Même quand ils accomplissent la tâche la plus simple, tel que le nettoyage, ils n’ont aucune solution rapide et concise, ils ne suivent aucune étape et aucun ordre. Quand ils accomplissent une tâche simple, tu peux voir exactement les caractéristiques des gens sans calibre. La caractéristique la plus évidente des gens sans calibre est qu’ils manquent de capacités dans tous les domaines. Pour dire les choses simplement, ils ne parviennent même pas à gérer leur propre vie humaine ou leurs besoins les plus élémentaires : tout cela est dans un désordre complet et dépourvu de tout principe. La description la plus précise des gens sans calibre est qu’ils ne peuvent rien accomplir et qu’ils ne vivent que pour satisfaire leurs besoins quotidiens élémentaires, rien de plus. Les diverses manifestations des gens qui ont différents niveaux de calibre, ainsi que les caractéristiques du calibre et de leurs capacités, ont toutes été expliquées clairement. Si vous avez compris, vous serez capables d’apprendre à discerner et à traiter les gens de différents calibres.

Ayant échangé sur ce qu’est le calibre, ainsi que sur la façon de classer les niveaux et les types de calibre des gens, après que vous avez fini d’écouter, avez-vous gagné le moindre avantage ? (Oui.) Savez-vous réellement que votre propre calibre est médiocre ? (Oui.) Certains individus sans calibre disent : « Comment se fait-il que je n’aie aucun calibre ? Même si mon calibre était moyen ou médiocre, cela m’irait quand même. » Personne n’est prêt à tomber dans la catégorie des gens qui n’ont aucun calibre, à être un idiot, un imbécile, ou une personne inutile, mais, comme par hasard, certaines personnes, se mesurant elles-mêmes en se basant sur leurs principales manifestations et sur leurs résultats après avoir fait leur devoir au fil des années, tombent vraiment dans la catégorie des gens qui n’ont aucun calibre. Cela rend-il certaines personnes négatives ? Quand de nombreuses choses ne sont pas expliquées clairement, les gens pensent bêtement : « J’ai des capacités, j’ai des capacités, je suis sage, mon calibre n’est pas mauvais, je suis noble, je suis quelqu’un dans le royaume de Dieu, je suis un pilier, un élément de base, » en s’accrochant stupidement à leurs rêves pleins d’espoir, en se sentant plutôt bien dans leur peau, en étant assez sûrs d’eux, en pensant qu’ils ont un potentiel et de l’espoir. Ils ne sont pas négatifs, et vivent en ayant un but. Cependant, une fois qu’ils connaissent les véritables faits, ils deviennent tristes et se disent : « Cela ne veut-il pas dire que je n’ai aucun espoir de recevoir le salut ? » et ils tombent dans un état négatif. Si ces choses ne sont pas dites clairement, les gens sont stupidement arrogants. Plus une personne est stupide, plus elle est arrogante, et plus son arrogance devient sans limites. Ceux qui sont intelligents, après avoir reçu la vérité au fil de ces années, réfléchiront et s’examineront eux-mêmes, ils se compareront à l’aune de la vérité, et la révélation de leur tempérament arrogant s’atténuera peu à peu. Plus le calibre d’une personne est médiocre, plus cette personne est stupidement arrogante. N’y a-t-il pas ce dicton : « Ils ne sont rien et pourtant ils ne s’inclinent devant personne » ? Ce dicton est assez approprié. Ceux qui ne sont rien ne s’inclinent devant personne. Pourquoi ? Parce que leur calibre est vraiment médiocre. À quel point ? Au point qu’ils n’ont aucune intelligence, qu’ils ne connaissent pas l’étendue de leurs capacités, qu’ils ne savent pas dans quelle mesure leur intelligence est à la hauteur, qu’ils ne savent pas qu’il y a toujours des gens meilleurs qu’eux, et qu’ils ne savent pas ce qu’est un bon calibre. Et à quel point sont-ils arrogants ? Au point que les gens trouvent cela dégoûtant et écœurant à regarder, c’est cela l’arrogance stupide. Le dicton : « Ils ne sont rien et pourtant ils ne s’inclinent devant personne » signifie qu’ils ne peuvent rien accomplir, leurs propres affaires dans la vie sont dans un désordre complet, ils ne peuvent rien voir clairement, ils ne pensent pas, ils n’ont aucun points de vue, ils sont incapables de dire si les points de vue des autres sont corrects ou justes, ils se contentent de s’obstiner bêtement dans leur arrogance et se disent : « J’ai des capacités, j’ai des capacités, je suis sage, je suis meilleur que les autres ! » Dites-Moi, est-il préférable de les laisser être des gens stupidement arrogants qui ne s’inclinent devant personne, ou de leur dire que leur calibre est médiocre, qu’ils ne sont rien, qu’ils sont juste des imbéciles, des gens inutiles et mentalement déficients, afin qu’ils deviennent négatifs ? Que choisissez-vous ? (De les laisser devenir négatifs, parce que, s’ils sont stupidement arrogants, ils sont susceptibles de faire des choses qui enfreignent les principes, et ils peuvent interrompre et perturber le travail de l’Église.) S’ils deviennent négatifs, ils peuvent revenir à la raison de l’humanité et mieux se comporter, faire moins de choses qui interrompent et perturbent le travail de l’Église. Cela les protège. Même s’ils n’ont pas fait beaucoup de choses qui bénéficient aux autres, qu’ils fassent moins de choses qui interrompent et perturbent le travail de l’Église signifie qu’ils commettront bien moins de transgressions et d’actes malfaisants, et la probabilité qu’ils soient punis à l’avenir diminuera, n’est-ce pas ? (En effet.) Sans chercher à savoir s’ils peuvent atteindre le salut, car il s’agit là de quelque chose de relativement éloigné, la probabilité qu’ils enfreignent les décrets administratifs de Dieu et qu’ils offensent le tempérament de Dieu diminuera-t-elle ? Et leurs chances de survie augmenteront-elles ? (Oui.) Si l’on considère les choses selon ces avantages, le fait de permettre aux gens de reconnaître leur propre calibre et de se rendre compte finalement qu’ils n’en ont aucun, et qu’ils deviennent négatifs, s’avère en fait être une bonne chose. Sinon, quand les gens disent : « Tu n’es rien, pourtant tu ne t’inclines devant personne : c’est de l’arrogance stupide ! » ils ne peuvent tout simplement pas le voir clairement ou le reconnaître. Ils se rebellent et pensent malgré tout : « Mon calibre n’est pas médiocre ! Et vous dites que je suis stupidement arrogant. Je vaux bien mieux qu’un imbécile ! » Cela prouve d’autant plus qu’ils sont vraiment stupides, que leur intelligence est trop faible et, plus encore, qu’ils doivent accepter le fait qu’ils n’ont aucun calibre. Quels sont les avantages quand on accepte ce fait ? Tout cela n’est pas destiné à te rendre négatif, mais à t’aider à te traiter correctement et à t’éviter d’agir stupidement. Les gens sont arrogants parce qu’ils ont un tempérament corrompu et qu’ils ne se connaissent absolument pas. Cependant, l’arrogance de certaines personnes est une arrogance normale. Par exemple, certaines personnes ont un capital parce qu’elles ont été emprisonnées et qu’elles ont enduré des souffrances, parce qu’elles ont contribué à l’Église de certaines façons, ou parce qu’elles ont des dons qui les rendent meilleures que d’autres. Comme elles ont un tempérament arrogant associé à un certain capital, on peut toujours considérer qu’il est compréhensible qu’elles révèlent de l’arrogance. Mais si tu n’es rien, si, fondamentalement, tu ne peux rien accomplir, que tu n’as apporté aucune contribution à l’Église et, plus encore, si tu n’as aucun point fort, et que tu es quand même arrogant, cela n’a aucun sens, ce n’est pas rationnel. Maintenant, on te le dit clairement : tu n’as aucun calibre, tu n’es rien et tu n’as même pas le moindre point fort. Ton esprit est vide, et comparé à celui des gens qui pensent, il ne contient rien. Même si tu es quand même un être humain, tu n’es pas à la hauteur de ces gens. Aux yeux de Dieu, tu ne satisfais pas à la norme pour être humain. Alors, pour quelle raison es-tu quand même arrogant ? À l’aune des paroles de Dieu, tu ne satisfais pas à la norme d’un être humain. Aux yeux de Dieu, tu ne devrais pas être traité comme un être humain. Mais comme la grâce de Dieu est immense, Dieu t’a exalté, Il t’a choisi et Il t’a traité comme un être humain, te permettant de faire un devoir dans la maison de Dieu. Dieu te traite-t-Il comme un être humain pour te voir Le traiter, Lui et la vérité qu’Il te procure, de cette façon stupide et arrogante ? Pour te voir traiter ton devoir et ta vie de cette façon ? Non. Puisque Dieu te traite comme un être humain et qu’Il t’indique les diverses vérités que les êtres humains devraient comprendre, Il espère que tu pourras être un véritable humain, Il espère que tu pourras accepter les pensées que les êtres humains devraient avoir et que tu ne seras pas stupide et arrogant. Par conséquent, tu as tort d’être négatif, tu ne devrais pas l’être. Puisque Dieu ne t’a pas traité ou ignoré en Se basant sur ton calibre, mais, au contraire, qu’Il t’a traité comme une personne normale et qu’Il t’a utilisé de cette façon, tu devrais être à la hauteur de cette Grâce qui émane de Lui et ne pas Le décevoir. Quel que soit ton calibre et quel que soit le travail que tu puisses faire, fais bien ce travail, tout simplement. N’essaie pas de débiter des idées pompeuses, ne fais pas ce qu’une personne ne devrait pas faire, et n’aie pas les idées ou les ambitions extravagantes qu’une personne ne devrait pas avoir. Fais ce qu’une personne devrait faire et sois à la hauteur de l’exaltation de Dieu. N’est-ce pas approprié ? Cela ne résout-il pas le fait d’être négatif ? (Si.)

Le discernement des diverses manifestations des personnes de différents calibres et ces exemples spécifiques ont pour but de t’aider à trouver ta place. C’est pour te permettre d’identifier avec précision ta propre position, d’approcher rationnellement ton propre calibre et tes diverses conditions, d’approcher rationnellement l’exposition et le jugement que Dieu opère sur toi – ainsi que l’émondage et le travail arrangé pour toi – pour que tu sois en mesure de te soumettre du plus profond de ton cœur avec gratitude, plutôt que de faire montre de résistance et de répulsion. Lorsque les gens peuvent approcher rationnellement leur propre calibre et ensuite identifier avec précision leur propre position, en agissant comme des êtres créés, de manière terre-à-terre, tel que le veut Dieu, en faisant ce qu’ils ont à faire correctement en fonction de leur calibre originel, et en Lui consacrant toute leur loyauté et tous leurs efforts, ils atteignent la satisfaction de Dieu. Puisque Dieu t’a donné ce calibre et ces conditions, Il ne te forcera pas à faire ce qui t’est difficile ; Il ne forcera pas un poisson à vivre sur la terre ferme. Quoi que Dieu t’ait donné, c’est ce qu’Il te fait proposer. Ce que Dieu ne t’a pas donné, Il ne l’exigera pas de toi de manière excessive. Si tu te fixes constamment des exigences trop élevées, en essayant d’être une personne forte, un surhomme, quelqu’un qui sort de l’ordinaire, cela indique que tu as un tempérament corrompu, c’est de l’ambition. Si ton calibre est bon, tu assumes davantage de travail, si ton calibre est moyen, tu ne peux qu’assumer moins de travail. Quel que soit le devoir que tu peux faire, donne-toi à fond, offre ta loyauté, et agis conformément aux principes, n’essaie pas de débiter des idées pompeuses. Vouloir sans cesse prouver que tu n’es pas une personne ordinaire, vouloir sans cesse que les autres te tiennent en haute estime est erroné. Cela montre un grand manque de conscience de soi, c’est ne pas connaître ta propre mesure. Si tu continues à poursuivre la vérité selon ton ambition et tes désirs, cela ne finira pas bien pour toi. Par conséquent, les gens qui ont un calibre médiocre ne devraient pas sans cesse aspirer à être dirigeants, chefs d’équipe ou superviseurs. Ils ne devraient pas viser trop haut. Si ton calibre est médiocre, alors fais simplement consciencieusement ce que les gens de calibre médiocre peuvent faire. Si tu ne penses pas et que tu ne peux te charger d’aucun travail, ne force pas les choses : puisque Dieu ne t’a pas donné ce calibre, Il n’a pas fixé d’exigences trop élevées à ton égard. Quant aux vérités-principes, mets-les en pratique dans la mesure où tu peux les comprendre et les accepter, c’est ce qu’il y a de plus important. Ce que tu es capable d’appréhender, c’est ce que Dieu t’a donné. As-tu appliqué ces choses à ton devoir ou à la commission que Dieu t’a confiée ? Si tu les as appliquées, alors tu t’es donné à fond et tu as offert ta loyauté. Dieu sera satisfait, et tu seras à la hauteur en tant qu’être créé. Si ton calibre est médiocre, Dieu n’exigera absolument pas de toi que tu te conformes à la norme de ceux qui ont un bon calibre. Dieu ne fera pas cela. Les gens qui n’ont pas de calibre sont au niveau le plus bas. Si certains croyants en Dieu n’ont aucun calibre, alors comment devraient-ils pratiquer ? Veux-tu suivre Dieu ? Admets-tu que Dieu est souverain sur toutes choses qui concernent l’homme ? Veux-tu te soumettre à l’orchestration et aux arrangements de Dieu qui te sont destinés ? Si tu es prêt à accepter et à te soumettre, alors calme ton cœur et accepte tous les arrangements de Dieu à ton égard. Si ton calibre ne te permet de faire que des tâches qui demandent un effort physique, des tâches invisibles, méprisées et dont les gens ne se souviennent pas, si telle est ta situation, tu dois l’accepter comme venant de Dieu, ne pas laisser ton cœur céder à l’amertume et plus encore, tu ne dois pas choisir tes devoirs en fonction de tes propres souhaits. Fais tout ce que la maison de Dieu arrange pour toi, et tant que c’est à la portée de ton calibre, fais-le bien. Par exemple, si tu es chargé d’élever des cochons, tu dois bien les nourrir pour que les frères et sœurs puissent manger de la bonne viande de porc. Si tu es chargé d’élever des poules, tu dois bien les nourrir et bien t’en occuper, pour qu’elles pondent des œufs normalement pendant la période de ponte, et tu dois également les protéger des autres animaux, de cette façon, tous ceux qui verront les poules que tu élèves diront qu’elles sont bien élevées. Cela prouvera que tu chéris toutes les choses créées par Dieu et que tu peux bien t’en occuper. Cela prouvera que, quels que soient les créatures ou les animaux concernés, tu peux les chérir et bien t’en occuper, en considérant cela comme ta responsabilité et ton devoir à réaliser. Quand bien même tu ne pourrais faire aucun autre travail, quand bien même tu ne pourrais pas jouer de rôle clé et décisif dans le travail de l’Église et ta contribution ne serait pas significative, tant que tu peux déployer tous tes efforts et toute ta loyauté dans un travail banal et que tu cherches uniquement à satisfaire Dieu, c’est suffisant. Ce n’est pas manquer à l’exaltation de Dieu pour toi. Ne choisis pas tes tâches en fonction du fait qu’elles sont sales ou fatigantes, que les autres te voient les faire ou non, ou que les gens te louent ou te méprisent pour les avoir faites. Ne pense pas à ces choses-là ; cherche simplement à l’accepter comme venant de Dieu, soumets-toi et accomplis les tâches qui t’incombent. Quand J’échange sur les manifestations des gens sans calibre, il se peut que Je te dise que tu es un imbécile, une personne inutile et mentalement déficiente. Cependant, si tu peux assumer les tâches qu’on te confie et qu’en fin de compte, tu ne déçois pas l’exaltation de Dieu à ton égard ou le souffle de vie que Dieu t’a accordé, si tu ne vis pas ou ne manges pas en vain, si tu ne profites pas en vain de toutes choses matérielles que Dieu fournit à l’humanité, et si tu ne manques pas d’être à la hauteur des paroles sorties de la bouche de Dieu, c’est suffisant. Même si, en termes de calibre, tu n’es pas à la hauteur pour ce qui est d’être une personne complète, si tu peux faire ton devoir et faire le travail avec cette loyauté et cette sincérité, à tout le moins, dans le cœur de Dieu, tu es à la hauteur en tant qu’être créé. Ce que Dieu veut, c’est cette loyauté et cette sincérité. Il veut un être créé qui soit à la hauteur. Peu importe le devoir que la maison de Dieu arrange pour toi, tu l’acceptes de Dieu, et tu peux l’accepter et te soumettre. C’est ce qu’il y a de plus précieux. Si tu as fait ce que Dieu exige de toi, et que tu as offert tout ce dont tu es capable, Dieu aura-t-Il quand même des exigences plus élevées à ton égard ? Si ta sincérité et ta loyauté sont précieuses aux yeux de Dieu, alors ta vie a de la valeur. Cette compréhension est-elle bonne ? (Oui.)

Certains disent : « J’ai encore l’impression de ne pas comprendre. Pourquoi Dieu prédestine-t-Il les gens à toutes sortes de calibres ? Puisque Dieu veut que les gens témoignent de Lui, qu’ils pratiquent la vérité et se débarrassent de leurs tempéraments corrompus, pourquoi ne peut-Il pas leur donner un bon calibre ? Est-il si difficile à Dieu de donner aux gens un bon calibre ? Si Dieu faisait en sorte que les gens aient des capacités dans tous les domaines – une capacité cognitive, une capacité à porter des jugements, une capacité à identifier les choses, une capacité à réagir aux choses, une capacité à prendre des décisions, une capacité à innover, et plus encore, une capacité à évaluer et à apprécier les choses – s’Il donnait aux gens des capacités dans tous les domaines, leur calibre ne serait-il pas bon ? Même s’Il donnait aux gens un calibre moyen, ces gens ne seraient-ils pas alors capables de saisir la vérité à un niveau moyen ? Si les gens pouvaient saisir la vérité, ne seraient-ils pas alors capables de pratiquer la vérité ? Ne seraient-ils pas capables de se débarrasser de leurs tempéraments corrompus et de parvenir au salut ? » Quel est le problème des gens qui ont ces pensées ? Les gens ne comprennent pas pourquoi Dieu leur donne ce calibre tout à fait moyen. Il est difficile de trouver des dirigeants qui ont un bon calibre et il est extrêmement difficile de faire correctement le travail d’Église. Les gens pensent : « Si Dieu donnait aux individus un bon calibre, ne serait-il pas plus facile de trouver des dirigeants ? Le travail d’Église ne serait-il pas plus facile à faire ? Pourquoi Dieu ne donne-t-Il pas un bon calibre aux gens ? » En examinant la question du point de vue du travail global de la maison de Dieu, bien entendu, s’il y avait davantage de gens avec un bon calibre, le travail d’Église serait effectivement plus facile. Cependant, il y a un postulat : dans la maison de Dieu, Dieu accomplit Sa propre œuvre et les gens ne jouent pas un rôle décisif. Par conséquent, que le calibre des gens soit bon, moyen ou médiocre, cela ne détermine pas les résultats de l’œuvre de Dieu. Les résultats ultimes à obtenir sont accomplis par Dieu. Tout est dirigé par Dieu. Tout est l’œuvre du Saint-Esprit. Du point de vue de l’œuvre de Dieu, cette question devrait être expliquée de cette façon, c’est l’une des raisons. Il y a une deuxième raison : après avoir été corrompus par Satan, les gens ont comme essence de vie les tempéraments corrompus de Satan. Autrement dit, ils vivent tous selon leurs tempéraments corrompus, et leur vie est gouvernée par leurs tempéraments corrompus. Si, en plus de cela, quelqu’un possède un bon calibre ou un calibre extraordinaire, et que ses capacités dans tous les domaines sont exhaustives, parfaites et sans imperfection, cela favorisera ses tempéraments corrompus. Cela conduira à l’intensification effrénée de ses tempéraments corrompus, ce qui le rendra incontrôlable et aura pour conséquence que cette personne deviendra plus arrogante, intransigeante, fourbe et malveillante. Elle aura de plus en plus de mal à accepter la vérité et il deviendra impossible de résoudre ses tempéraments corrompus. Il y a une autre raison. En outre, Dieu donne aux gens un tel calibre parce que l’humanité que Dieu veut sauver est intrinsèquement une humanité incomplète, avec des capacités dont tous les aspects sont moyens et déficients. De plus, connaître les paroles de Dieu et la vérité ne s’accomplit pas simplement en utilisant diverses capacités, il faut suivre un processus. Que comprend ce processus ? Il comprend des changements dans l’environnement, l’accroissement de l’âge d’une personne, l’augmentation du nombre d’expériences de vie et des connaissances, et l’expérience gagnée par le biais de divers environnements, ce qui permet aux gens, sur le fondement de leur calibre inhérent et de leurs instincts, d’en venir à comprendre et à savoir peu à peu à quoi fait réellement référence la vérité dans les paroles de Dieu. Ensuite, les gens acceptent et pratiquent les paroles de Dieu. Par le biais d’un tel processus, la vérité dans les paroles de Dieu est intégrée chez quelqu’un et devient sa vie, non pas une théorie de la vie, une philosophie ou un moyen de subsistance. Au contraire, les paroles de Dieu deviennent le fondement de son existence. Une telle personne est une personne nouvelle, une vie qui vient de naître. Il s’agit là d’un processus essentiel. Même si ton calibre et tes capacités, dans tous leurs aspects, sont exceptionnellement bons et élevés, ces processus ne peuvent être omis. En tant qu’être humain créé, afin de parvenir finalement à la transformation issue des paroles de Dieu dans sa vie, personne ne peut se passer de la moindre étape du processus dont on doit faire l’expérience dans son intégralité. Autrement dit, tout le monde développera des notions, de l’imagination, de la résistance, de l’opposition et de la rébellion vis-à-vis de Dieu. Tous ces gens traverseront des revers, des échecs, des trébuchements, des renvois, un émondage, un jugement et un châtiment ; tout le monde fera l’expérience de divers environnements, rencontrera divers types de gens, et autres processus de ce genre. Ton calibre aura beau être bon ou élevé, ou tes capacités auront beau être fortes dans tous leur aspects, aucun de ces processus, aucune de ces étapes ne peuvent être omis. Par conséquent, même si Dieu devait te donner un calibre excellent et des capacités excellentes, ce serait quand même un gâchis. Il vaut mieux pour toi que tu sois une personne ordinaire, moyenne. Même si tu peux avoir certains défauts dans ton humanité, tu peux faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, comprendre les paroles de Dieu après les avoir entendues, et reconnaître tes faiblesses et tes défauts. De cette manière, d’une part, ce que tu gagnes est plus concret, et tu reçois davantage de Dieu ; d’autre part, tu en viens à connaître plus précisément tes capacités naturelles, et tu deviens plus rationnel. C’est la raison pour laquelle Dieu n’a pas l’intention de donner à tout le monde un bon calibre : Il donne aux gens un calibre moyen.

Après avoir entendu parler de ces manifestations spécifiques des diverses capacités qui mesurent le calibre des gens, tu t’évalues et tu constates que tu n’as qu’un calibre moyen, tout au plus, que tu n’atteins pas le niveau d’une personne ayant un bon calibre. Alors, qui sont les personnes qui atteignent le niveau d’un bon calibre ? Ce sont celles qui sont utilisées par le Saint-Esprit. Si Dieu te donne un bon calibre, tu dois assumer un travail qui correspond à un bon calibre. S’il n’est pas nécessaire que tu assumes un tel travail, il est déjà assez positif que Dieu t’ait donné un calibre moyen : il s’agit là de la grâce de Dieu. Si Dieu te donne un calibre moyen, tu ne peux pas faire un travail très important, donc tu ne peux pas devenir arrogant. Cela te protège. Un calibre moyen t’ayant été donné, tu n’as pas de capital pour te vanter, et tu ne peux pas non plus apporter de contributions stupéfiantes au travail de l’Église. Tu dois penser en permanence : « Mon calibre est moyen. Je ne suis pas bon dans tel domaine, ni dans tel autre domaine. Je dois être prudent et chercher les vérités-principes en faisant mon devoir. » Quand tu as l’impression d’être déficient à tous égards, tu te comportes bien mieux et tu respectes bien plus les règles, tu es bien plus modeste. Par exemple, quel que soit le travail que vous fassiez, que vous soyez superviseurs ou membres ordinaires, si, durant une certaine période, votre travail se passait relativement bien, s’il donnait des résultats et que vos accomplissements étaient remarquables, et si vous receviez des encouragements du Supérieur, quel serait votre état d’esprit ? (Nous deviendrions suffisants, nous aurions l’impression d’être bons, et nous ne chercherions plus la vérité.) Il te serait alors difficile de suivre les règles et de rester terre à terre dans ta façon de te conduire. C’est là une tentation très dangereuse pour toi. Ce n’est pas un bon signe. Cependant, parce que tu es déficient ou qu’il y a des imperfections dans tes diverses capacités et que, lorsque tu fais un travail, soit tu ne parviens pas à tenir compte d’un aspect de ce travail, tu ne parviens pas à anticiper, tu négliges et oublies un autre aspect de ce travail, soit tu es émondé quant à un aspect du travail ou tu fais face à des revers et à des déboires quant à un autre aspect de ce travail, au fond de ton cœur, tu te mets en garde constamment : « Je ne suis pas compétent. Mon calibre est médiocre, et je ne comprends pas la vérité. Je ne comprends pas les principes. » Ainsi, tu deviens très prudent quand tu agis, tu as vraiment peur de commettre des erreurs et d’être émondé, vraiment peur d’interrompre et de perturber le travail, et vraiment peur de créer des failles dans le travail qui entraînent des pertes. Du fait que tes capacités, à divers égards, sont déficientes, ou qu’elles sont toutes très moyennes, ta capacité à être compétent dans le travail est aussi très moyenne, et le travail que tu fais est très moyen. Donc tu te dis qu’il n’y a pas de quoi te vanter : même si tu parviens effectivement à obtenir des résultats durement gagnés, tu ne les obtiens qu’après avoir enduré beaucoup de souffrance et après avoir fourni des efforts énormes en coulisses. Tu veux faire semblant d’être compétent et assez doué devant les autres, mais dans ton cœur, tu manques d’assurance. Tu sais que, quoi que tu fasses, tu ne peux pas bien le faire, et tu as encore besoin que le Supérieur examine ton travail. Dans certains domaines, ce n’est que lorsque tu fais face au fait d’être émondé que tu réalises en quoi tu as tort, et que tu vois à quel point exactement ton calibre est extrêmement médiocre. De cette façon, tu ne pourras pas devenir arrogant. Autrement dit, il y aura toujours quelqu’un qui a un bon calibre dans ton entourage et qui te surpassera, et il y aura toujours la vérité et les normes requises par Dieu qui te restreindront. Tu te dis : « Le peu de travail que je peux accomplir, c’est seulement parce que le Supérieur l’a examiné et qu’il l’a décidé. Ce travail n’a été achevé que parce que le Supérieur l’a examiné à maintes reprises, qu’il l’a vérifié et corrigé. Je n’ai pas de quoi me vanter. » La fois suivante, quand tu fais quelque chose, tu penses encore à mettre tes compétences en avant, mais tu ne parviens quand même pas à faire le travail correctement et tu ne peux jamais sortir du lot. C’est précisément parce que ton calibre et tes compétences sont limités que les effets de l’exécution de tes devoirs sont toujours moyens, qu’ils n’atteignent jamais le niveau ou la norme que tu idéalises. Ainsi, inconsciemment, tu réalises en permanence qu’en aucune manière tu n’es remarquable, supérieur ou extraordinaire. Peu à peu, tu en viens à comprendre que ton calibre n’est pas aussi bon que ce que tu imaginais, mais plutôt ordinaire. Ce processus graduel t’aide grandement à te connaître : tu fais l’expérience de quelques échecs et revers de façon concrète, et après introspection, tu deviens plus précis dans l’évaluation de ton niveau, de tes compétences et de ton calibre. Tu reconnais de plus en plus que tu ne possèdes pas un bon calibre et que, bien que tu puisses avoir quelques forces et dons, un peu de capacité à porter des jugements, ou occasionnellement quelques idées ou plans, tu n’es toujours pas à la hauteur des vérités-principes, tu es toujours loin des exigences de Dieu et des normes de la vérité, et encore plus loin de la norme de possession de la vérité-réalité – inconsciemment, tu as ces jugements et ces évaluations vis-à-vis de toi-même. Au fur et à mesure que tu te jugeras et t’évalueras, la connaissance que tu as de toi-même deviendra de plus en plus précise, et tes tempéraments corrompus et tes révélations de corruption deviendront de moins en moins nombreux, ils deviendront plus restreints et contrôlés. Bien sûr, que tes tempéraments corrompus soient contrôlés n’est pas l’objectif. Quel est alors l’objectif ? L’objectif est que, tandis que tes tempéraments corrompus sont contrôlés, tu apprennes peu à peu à chercher la vérité et à bien te conduire, sans toujours chercher à exprimer des idées pompeuses ou à mettre tes compétences en avant, sans toujours lutter pour être le meilleur ou le plus fort, et sans toujours essayer de faire tes preuves. Alors que cette prise de conscience ne cesse de s’imprimer au plus profond de ton cœur, tu penseras : « Je dois chercher quelles sont les vérités-principes pour faire cela, et ce que Dieu en dit ». Cette prise de conscience s’établira progressivement au plus profond de ton cœur, et ton degré de recherche, de reconnaissance et d’acceptation de la parole de Dieu et de la vérité ne cessera de croître, ce qui, pour toi, signifie l’espoir d’être sauvé. Plus tu accepteras la vérité, moins tes tempéraments corrompus se révèleront. Encore mieux : tu auras davantage d’occasions d’utiliser la parole de Dieu comme norme de pratique. N’est-ce pas s’engager progressivement sur le chemin du salut ? N’est-ce pas une bonne chose ? (Si.) Mais si, parmi les gens, toutes tes compétences sont supérieures, parfaites et extraordinaires, peux-tu toujours chercher la vérité tout en t’occupant des questions et en accomplissant tes devoirs ? C’est dur à dire. Il est très difficile à quelqu’un qui a des capacités extraordinaires dans tous les domaines de venir devant Dieu avec un cœur calme ou une attitude humble pour se connaître lui-même, pour connaître ses imperfections et ses tempéraments corrompus, et atteindre le stade de la recherche de la vérité, de l’acceptation de la vérité, puis de la mise en pratique de la vérité. Tout cela est assez difficile, n’est-ce pas ? (Si.)

Que les gens aient un calibre moyen renferme les bonnes intentions de Dieu. Que les gens aient un calibre vraiment médiocre renferme également les bonnes intentions de Dieu. Dieu, en voulant te sauver, ne te donne pas un calibre excellent. Pour quelle raison ? Dieu donne aux gens diverses conditions innées, comme leurs antécédents familiaux, leur apparence, leurs instincts, leur personnalité, et diverses capacités vitales. Dieu donne même aux gens certains points forts, certains centres d’intérêt et passe-temps, et Il accorde aussi à certaines personnes des dons particuliers. C’est suffisant. Ces choses suffisent à assurer ta survie personnelle. Avec ces choses, tu as la capacité de vivre de façon autonome, et tu as les conditions pour cela, avec un certain niveau de calibre, tu peux accepter les paroles de Dieu, te débarrasser de tes tempéraments corrompus à des degrés variables, et parvenir à être sauvé. Voilà pourquoi Dieu ne donne pas aux gens un calibre excellent. Dieu ne donne pas aux gens un calibre excessivement bon. D’abord, c’est pour que les gens, avec cette condition fondamentale, puissent rester un peu terre-à-terre, et pour que, étant donné qu’ils sentent qu’ils sont des gens ordinaires, moyens, des gens avec des tempéraments corrompus, ils puissent de bon gré accepter l’œuvre de Dieu et le salut de Dieu. C’est seulement de cette façon que les gens sont dans la situation fondamentale d’accepter les paroles de Dieu. Ensuite, si les gens ont un très bon calibre ou qu’ils sont exceptionnellement vifs d’esprit, avec de très fortes capacités dans tous les domaines, qu’ils sont vraiment exceptionnels, que tout se déroule sans heurts pour eux dans le monde, qu’ils gagnent beaucoup d’argent en affaires, qu’ils font une carrière politique toute tracée, qu’ils fonctionnent sans effort dans toutes les situations, qu’ils sont comme des poisson dans l’eau, alors il n’est pas facile à de tels individus de venir devant Dieu et d’accepter le salut de Dieu, n’est-ce pas ? (En effet.) La plupart de ceux que Dieu sauve n’ont pas des positions élevées dans le monde ou parmi les gens dans la société. Parce que leur calibre et leurs compétences sont moyens, voire médiocres, et qu’ils peinent à trouver popularité ou succès dans le monde, ayant sans cesse le sentiment que ce monde est morne et injuste, ils ont besoin de foi, et au final, ils se présentent devant Dieu et entrent dans la maison de Dieu. C’est une condition de base que Dieu accorde aux gens lorsqu’Il les choisit. Ce n’est qu’avec ce besoin que tu peux avoir le désir d’accepter le salut de Dieu. Si tes conditions, à tous égards, sont très bonnes et adaptées pour lutter dans le monde, et que tu veux sans cesse te faire un nom, alors tu n’auras pas le désir d’accepter le salut de Dieu, ni même l’opportunité de recevoir le salut de Dieu. Même si ton calibre est peut-être moyen ou médiocre, tu es quand même bien plus béni que les non-croyants, car tu as l’opportunité d’être sauvé par Dieu. Par conséquent, avoir un calibre médiocre n’est pas ton imperfection, ni un obstacle au fait de te débarrasser de tes tempéraments corrompus et d’atteindre le salut. En fin de compte, c’est Dieu qui t’a donné ce calibre. Tu as autant que Dieu te donne. Si Dieu te donne un bon calibre, alors tu as un bon calibre. Si Dieu te donne un calibre moyen, alors tu as un calibre moyen. Si Dieu te donne un calibre médiocre, alors tu as un calibre médiocre. Une fois que tu comprends cela, tu dois l’accepter de Dieu et être capable de te soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Quelle vérité constitue la base de la soumission ? C’est que ces arrangements de Dieu contiennent les bonnes intentions de Dieu ; Dieu est minutieusement prévenant, et les gens ne doivent pas se plaindre ou mal comprendre le cœur de Dieu. Dieu ne te tient pas en haute estime en raison de ton bon calibre, ni ne te méprise ou te déteste en raison de ton calibre médiocre. Qu’est-ce que Dieu déteste ? Dieu déteste les gens qui n’aiment pas ou n’acceptent pas la vérité, qui comprennent la vérité mais ne la pratiquent pas, les gens qui ne font pas ce dont ils sont capables, les gens incapables de tout donner dans leurs devoirs, mais qui ont toujours des désirs extravagants, qui recherchent toujours un statut, qui rivalisent sans cesse pour leur rang, et qui ont toujours des exigences à l’égard de Dieu. Voilà ce que Dieu trouve répugnant et détestable. Pour commencer, tu as un calibre médiocre ou aucun calibre, étant incapable de faire le moindre travail, et pourtant, tu veux quand même sans cesse être dirigeant. Tu rivalises pour obtenir un poste et le pouvoir, et tu veux sans cesse que Dieu te donne une réponse définitive, en te disant qu’à l’avenir tu pourras entrer dans le royaume, recevoir des bénédictions et avoir une bonne destination. Que Dieu te choisisse est déjà une immense exaltation, pourtant tu veux quand même prendre tout le bras quand on te tend la main. Dieu t’a donné ce que tu dois recevoir, et tu as déjà beaucoup reçu de la part de Dieu, pourtant, tu as quand même des exigences déraisonnables. C’est ce que Dieu déteste. Ton calibre est très médiocre, ou ton intelligence n’atteint même pas le niveau de celle d’un être humain, pourtant Dieu ne t’a pas traité comme un animal, Il te traite malgré tout comme un être humain. Par conséquent, tu dois faire ce qu’un être humain devrait faire, dire ce qu’un être humain devrait dire, et accepter tout ce que Dieu t’a donné comme venant de Lui. Quel que soit le devoir que tu peux faire, fais-le. Ne déçois pas Dieu. Ne convoite pas davantage que ce qui t’est donné parce que Dieu te traite comme un être humain, en disant : « Puisque Dieu me traite comme un être humain, alors Il devrait me donner un meilleur calibre, me permettre d’être chef d’équipe, superviseur ou dirigeant d’Église. Le mieux serait qu’Il fasse en sorte que je n’aie pas à faire le moindre travail fatigant, que la maison de Dieu subvienne à mes besoins gratuitement, et que je n’aie pas à fournir d’efforts ou à souffrir d’épuisement, et qu’Il me permette de faire ce que je veux. » Ces exigences sont toutes déraisonnables. Ce ne sont pas les manifestations ou les requêtes qu’un être créé devrait avoir ou mettre en avant. Dieu ne t’a pas traité en fonction de ton calibre médiocre, mais au lieu de cela, Il t’a choisi et t’a donné l’occasion de faire ton devoir. C’est là l’exaltation de Dieu. Tu ne dois pas vouloir davantage que ce qui t’es donné ni avoir d’exigences déraisonnables à l’égard de Dieu. Au lieu de cela, tu devrais remercier Dieu, et mener à bien ton devoir pour rendre à Dieu Son amour. Voilà ce que Dieu exige de toi. Ton calibre est médiocre, mais Dieu n’a pas d’exigences à ton égard en fonction des normes qui concernent ceux qui ont un bon calibre. Tu manques de calibre et d’intelligence, mais Dieu n’a pas exigé que tu parviennes aux normes que les gens qui ont un bon calibre peuvent atteindre. Quoi que tu sois capable de faire, fais-le, tout simplement. Dieu n’oblige pas un poisson à vivre sur la terre ferme. C’est simplement que, toi, tu as sans cesse des désirs extravagants et que tu n’es jamais disposé à être une personne ordinaire, une personne moyenne dotée d’un calibre médiocre. C’est que tu ne veux pas faire ces tâches laborieuses qui ne te mettent pas en valeur, et quand tu fais ton devoir, tu détestes toujours les difficultés et tu fuis l’épuisement, en choisissant à ton gré ce que tu veux faire. Tu es constamment obstiné et tu as toujours tes propres plans et préférences. Ce n’est pas que Dieu t’a fait du tort. Alors, comment les gens devraient-ils aborder correctement leur propre calibre ? D’abord, quel que soit le calibre que Dieu te donne, tu dois l’accepter comme venant de Dieu et te soumettre à la souveraineté et à l’arrangement de Dieu. Voilà les pensées et le point de vue les plus élémentaires que les gens devraient avoir. Ce point de vue est correct, et il tient la route dans n’importe quelle situation. C’est la vérité-principe qui reste constante, quelle que soit la façon dont les choses changent. Ensuite, que ton calibre soit bon, moyen, médiocre ou inexistant, tu dois faire le travail que ton calibre te permet d’accomplir. Tu ne dois rien retenir et tu ne dois pas non plus chercher à sortir du lot. Que ton calibre soit bon ou moyen, tu peux seulement faire ce qui est à la portée de ton calibre et de tes capacités. Il n’y a aucun raison de te vanter : c’est ce que Dieu t’a donné, tu dois l’offrir en sacrifice. Tout ton être, ton souffle, tes conditions innées, et tes capacités dans tous les aspects de ton calibre sont donnés par Dieu. Les diverses vérités-principes que tu comprends maintenant sont également fournies par Dieu. Sans l’œuvre de Dieu et sans les diverses conditions innées que Dieu accorde aux gens, les êtres humains ne sont rien d’autre qu’une poignée de poussière. Par conséquent, les gens n’ont à se vanter de rien. C’est le deuxième aspect. Il y a un autre aspect : que ton calibre soit moyen, médiocre ou inexistant, tu dois l’aborder correctement. D’abord, reconnais à quel niveau ton calibre se situe, puis, en te basant sur ton calibre inhérent, fais ce que tu devrais faire. N’essaie pas sans cesse d’aller au-delà de tes capacités et de faire ce que tu ne peux pas accomplir, en essayant constamment de faire tes preuves face aux gens ou à Dieu. Tu ne peux rien prouver. Plus tu essaies de faire tes preuves de cette façon, plus cela prouve que ton calibre est médiocre, que tu ne connais pas ta propre mesure, et plus cela prouve que tu es au-delà de la raison et que tu as un tempérament gravement corrompu. Ne cherche pas par tous les moyens à changer ton calibre ou à améliorer tes compétences dans tous les domaines, mais au contraire, identifie précisément et aborde correctement ton calibre et tes compétences inhérents. Si tu te découvres des insuffisances, étudie vite les domaines dans lesquels tu peux rapidement progresser, afin de compenser les insuffisances dans ces domaines. Concernant les domaines que tu ne peux pas atteindre, ne force pas les choses. Agis conformément à ta situation concrète, fais les choses en te basant sur ton propre calibre et tes propres compétences. Le principe ultime est de faire ton devoir conformément à la parole de Dieu, aux exigences de Dieu pour les humains et aux vérités-principes. Peu importe le niveau de ton calibre, tu peux, à différents degrés, agir et accomplir tes devoirs conformément aux vérités-principes ; tu peux répondre ou être à la hauteur des normes de Dieu. Ces vérités-principes ne sont absolument pas des paroles creuses ; elles ne transcendent absolument pas l’humanité. Ce sont toutes des chemins de pratique sur mesure pour les tempéraments corrompus, les instincts, les diverses capacités et les divers calibres de l’humanité créée. Par conséquent, peu importe ton calibre, peu importe que tes compétences soient insuffisantes ou imparfaites, ce n’est pas un problème. Si tu comprends vraiment la vérité et que tu es prêt à la pratiquer, il y aura un chemin à suivre. Les imperfections d’une personne quant à certains aspects du calibre et des compétences n’entravent en rien sa pratique de la vérité. Si ta capacité à porter des jugements ou d’autres capacités te font défaut, tu peux chercher davantage et échanger davantage, solliciter des instructions et des suggestions auprès de ceux qui comprennent la vérité. Lorsque tu comprends et saisis les principes et les chemins de pratique, tu dois les mettre en pratique en basant tous tes efforts sur ta stature. Accepter et pratiquer, voilà ce que tu dois faire. Le fait que J’échange ainsi vous aide-t-il à comprendre ? (Nous comprenons un peu mieux.)

Pourquoi Dieu prédestine-t-Il les gens à avoir toutes sortes de calibres ? Pourquoi Dieu ne donne-t-Il pas aux gens un calibre parfait ? Sur combien d’aspects avons-nous échangé concernant ce que sont les intentions de Dieu à cet égard et comment les gens devraient-ils aborder cela correctement ? Résumons ces aspects. Le premier aspect consiste à accepter cela comme venant de Dieu. Voilà les pensées et le point de vue les plus élémentaires que les gens devraient avoir. Le deuxième aspect consiste à reconnaître et à évaluer ton calibre, et à agir et faire ton devoir en te basant sur ton calibre et tes capacités. N’essaie pas de faire des choses qui sont au-delà de ton calibre et de tes capacités. Ce que tu peux faire, fais-le consciencieusement et de manière terre-à-terre, et fais-le bien. Ce que tu ne peux pas faire, ne te force pas à le faire. Quel est le troisième aspect ? (Nous ne devons pas souhaiter constamment changer notre calibre. Même si notre calibre est moyen, médiocre ou inexistant, nous devons aborder cela correctement. Nous ne devons pas souhaiter sans cesse faire la preuve que notre calibre est bon face à Dieu. C’est inapproprié.) En effet. Aborde ton calibre correctement. Ne te plains pas. Quelle que soit la mesure de ce que Dieu t’a donné, c’est ce qu’Il demandera de toi. Ce que Dieu ne t’a pas donné, Dieu ne l’exige pas de toi. Par exemple, si Dieu t’a donné un calibre moyen ou un calibre médiocre, Il n’exige pas de toi que tu sois dirigeant, chef d’équipe ou superviseur. Cependant, si Dieu t’a donné de l’éloquence, une capacité à t’exprimer, ou un certain don, et qu’Il te demande de faire un travail lié à ce don, alors tu dois bien le faire. Ne manque pas d’être à la hauteur de la condition que Dieu t’a donnée. Tu dois être à la hauteur de ce que Dieu t’a octroyé, en jouer pleinement et bien l’appliquer, l’appliquer à des choses positives et obtenir des résultats valables dans le travail qui bénéficient à l’humanité. Ce serait idéal, n’est-ce pas ? (En effet.) En outre, tu dois savoir que Dieu a de bonnes intentions quand Il donne aux gens divers calibres. C’est précisément parce que Dieu veut te sauver qu’Il ne t’a pas donné un calibre excessivement bon. Cela renferme l’intention méticuleuse de Dieu. Le fait que Dieu te donne un calibre moyen ou médiocre te protège. Si les gens avaient un calibre excessivement bon ou extraordinaire, il leur serait facile de suivre le monde et Satan, et ils n’en viendraient pas facilement à croire en Dieu. Regarde les gens remarquables dans diverses industries et divers domaines dans le monde, de quel genre d’individus s’agit-il ? Ce sont tous des génies rusés, des démons incarnés. Dites-Moi, Dieu sauve-t-Il de tels individus ? (Non.) Alors, voulez-vous être des démons incarnés, ou des individus ordinaires, des individus au calibre médiocre, mais qui peuvent recevoir le salut de Dieu ? (Nous sommes prêts à être des individus ordinaires.) De ces deux types d’individus, lesquels sont bénis ? Il y a ceux qui prospèrent dans le monde, qui se hissent au premier plan, qui sont célèbres, qui deviennent des hauts fonctionnaires ou des gens aisés, qui ont tout ce qu’ils veulent et peuvent dépenser sans compter. Voulez-vous être de tels individus, ou êtes-vous prêts à venir devant Dieu et à être des individus simples, ordinaires, au calibre moyen ? Quel est ton choix ? (Être simple, ordinaire.) Si tu choisis d’être un individu simple, ordinaire, au calibre moyen, qui préfère ne pas profiter d’une bonne vie matérielle dans cette existence, qui ne veut pas se hisser au premier plan, qui n’a aucun sens de la présence dans ce monde, et qui est méprisé par tout le monde, si tu préfères être ce genre d’individu et chérir ou gagner la possibilité du salut que Dieu donne aux gens, si c’est ton choix, si tu choisis d’être sauvé et de ne pas suivre ce monde et que, dans ton cœur, tu ne souhaites pas appartenir à ce monde, mais appartenir à Dieu, alors tu ne dois pas mépriser le calibre que Dieu t’a donné. Même si ton calibre est très médiocre ou que Dieu ne t’a pas donné le moindre calibre, tu dois quand même accepter volontiers ce fait et, avec les conditions inhérentes des diverses capacités que Dieu t’a données, mener à bien le devoir d’un être créé. Un autre aspect est que, même si le calibre que Dieu donne aux gens n’est pas très bon, mais simplement le calibre de gens ordinaires, et que les capacités qu’Il leur donne, à tous égards, sont moyennes ou même médiocres, les vérités les plus élémentaires que Dieu enseigne aux gens, et que les gens devraient pratiquer, peuvent quand même être obtenues et atteintes si ces gens sont prêts à les pratiquer en y mettant tout leur cœur. Même si ton calibre est vraiment médiocre, et que ta capacité de compréhension, ta capacité à accepter les choses, ta capacité à porter des jugements, et ta capacité à identifier les choses sont vraiment médiocres ou même inexistantes, du moment que tu as l’humanité et la raison les plus élémentaires, les tâches et travaux que Dieu te confie peuvent être achevés et bien faits. En outre, la façon la plus élémentaire de craindre Dieu et de s’éloigner du mal, que Dieu demande des gens, est quelque chose que tu peux suivre. C’est quelque chose que tu peux atteindre et réaliser. Par conséquent, Dieu n’a jamais eu l’intention de te donner un très bon calibre. Si Dieu te donnait un bon calibre et certaines capacités particulières, te permettant ainsi de devenir un démon incarné dans le monde, alors Dieu ne te sauverait pas. Pouvez-vous comprendre le cœur de Dieu en ce qui concerne cette question à présent ? (Oui.) Si vous pouvez comprendre le cœur de Dieu, c’est bien. Vous comprendrez cette vérité et aborderez correctement votre propre calibre. Il n’y aura plus de difficultés à cet égard. Ensuite, les gens doivent simplement faire ce qui leur incombe. Même s’il s’agit simplement d’une seule tâche, fais-la bien, mets-y tout ton cœur et fournis les efforts nécessaires pour que ce soit bien fait, et ne manque pas d’être à la hauteur des attentes de Dieu vis-à-vis de toi. Comprends-tu ? (Oui.) C’est tout pour l’échange d’aujourd’hui sur ce thème. Au revoir !

Le 11 novembre 2023

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