71. Les leçons douloureuses de se mettre en avant

Par Wu Shi, Chine

En août 2016, j’étais responsable du travail d’évangélisation dans l’Église. Comme je manquais d’expérience et que ma compréhension de la vérité était superficielle, je ressentais beaucoup de pression lorsque j’ai commencé à faire ce devoir, alors je priais souvent Dieu au sujet de mes difficultés, et j’étudiais les vérités-principes liés à la prédication de l’Évangile. Lorsque je ne comprenais pas quelque chose, je demandais de l’aide aux frères et sœurs. Petit à petit, j’ai pu saisir certains principes, et j’ai appris à identifier les problèmes dans le travail et à proposer des suggestions raisonnables. Le travail d’évangélisation a commencé à donner quelques résultats, et j’étais vraiment reconnaissante envers Dieu. Plus tard, l’efficacité du travail d’évangélisation dans notre Église s’est améliorée, et quelques ouvriers d’évangélisation ont été promus superviseurs. J’étais ravie et je pensais : « Étant donné que le travail a obtenu ces résultats, il semble que je ne sois pas si mauvaise et que j’aie un certain talent et des capacités de travail. » Ces pensées ont rendu mon cœur aussi doux que du miel. Après cela, je n’étais plus aussi humble qu’avant pendant les réunions avec les frères et sœurs. Quand je voyais que certains frères et sœurs devenaient négatifs après avoir rencontré des difficultés dans le travail d’évangélisation, j’échangeais sur la manière dont j’avais commencé ce devoir, je m’étais appuyée sur Dieu pour surmonter les défis et obtenir des résultats dans le travail. En m’entendant dire cela, les frères et sœurs me regardaient avec admiration, et ils devenaient motivés et disposés à continuer à coopérer dans leurs devoirs. Après cela, les frères et sœurs venaient vers moi pour me poser des questions ou évoquer des difficultés, et les frères et sœurs avec qui je coopérais demandaient souvent mon avis lorsqu’ils rencontraient des difficultés. J’étais heureuse d’être estimée et soutenue par tout le monde, et j’avais l’impression que j’étais assez capable, et que mon poste de superviseuse était bien mérité.

En décembre 2017, beaucoup de nouvelles personnes sont venues dans notre Église, et plusieurs nouvelles Églises ont été établies successivement, et certains des nouveaux venus ont été rapidement promus et cultivés après avoir commencé leurs devoirs. Voir tout cela m’a donné un fort sentiment d’accomplissement. Même si je disais avec mes paroles que je remerciais Dieu pour Sa direction, au fond de moi, je m’admirais. Je pensais que je comprenais la vérité et que j’avais un oeil acéré pour discerner les gens. Je pensais à l’époque où j’avais commencé à exercer ce devoir, il n’y avait qu’une seule Église, et maintenant plusieurs Églises avaient été établies, et que depuis que j’avais pris en charge le travail, j’avais vraiment contribué à l’Église avec des individus talentueux. Mon cœur était rempli de joie, et je me sentais encore plus fortement capable, un vrai talent, et que j’étais le pilier de l’Église. J’ai pris conscience que je volais la gloire de Dieu, et je me sentais un peu coupable, mais ensuite j’ai pensé : « Le travail de Dieu n’est pas surnaturel, il nécessite encore la coopération humaine, et sans ma coopération, le travail n’aurait pas réussi, et comme c’est moi qui fais ce devoir depuis le plus longtemps, je mérite un certain crédit. » Lorsque je pensais ainsi, la culpabilité dans mon cœur disparaissait. Après cela, je ne pouvais m’empêcher de me mettre en avant devant les ouvriers d’évangélisation et je disais : « Je viens de telle et telle Église. Ils avaient des problèmes, mais je les ai résolus. Demain, j’irai dans une autre Église… » Les frères et sœurs me regardaient tous avec admiration. Une sœur a même dit : « Tu es responsable du travail de tant d’Églises. Nous ne pourrions certainement pas gérer cela, nous aurions le vertige. Tu comprends vraiment la vérité et tu as des capacités de travail ! » En entendant les éloges de la sœur, je me sentais très fière. Je me disais : « Bien sûr ! Je suis certainement meilleure que vous tous, sinon comment pourrais-je être superviseuse ? » À cette époque, je marchais la tête haute, et lorsque des évènements se produisaient, je ne cherchais pas les vérités-principes, j’agissais juste directement. J’avais toujours pensé que je comprenais la vérité et que je pouvais faire un certain travail, et je croyais que j’étais la meilleure pour gérer le travail d’évangélisation. Plus tard, lorsque des frères et sœurs rencontraient des problèmes dans leurs devoirs, ils ne faisaient pas d’efforts pour faire des recherches, et ils ne priaient pas Dieu ou ne cherchaient pas la vérité pour surmonter les difficultés. Au lieu de cela, ils attendaient que j’échange et que je résolve les choses. Il y avait des problèmes pour lesquels je ne pouvais pas trouver de solutions, ce qui les décourageait encore plus. En conséquence, l’efficacité du travail d’évangélisation a diminué mois après mois. Lorsque ces choses se produisaient, je ne réfléchissais pas correctement sur moi-même et je ne me connaissais pas. Cela a duré jusqu’à ce que le châtiment et la discipline de Dieu s’abattent sur moi.

Un jour en avril 2018, une sœur avec qui je coopérais était initialement censée aller à une réunion d’Église, mais elle a eu un empêchement à la dernière minute, alors j’y suis allée à sa place. Dès que je suis arrivée sur le lieu de réunion, j’ai été arrêtée par la police et condamnée à trois ans de prison. Au début, alors que j’étais dans le centre de détention, je pensais que le fait d’être persécutée et arrêtée pour croire en Dieu en Chine était normal, alors, je ne réfléchissais pas vraiment sur moi-même et je ne me connaissais pas. Ce n’est qu’après avoir été détenue pendant un an et sept mois et avoir été transférée en prison, que par peur pour ma vie, j’ai été forcée de signer les « Trois Déclarations ». À ce moment-là, j’ai été remplie de regrets, de honte et d’autocritique, et je me suis complètement effondrée. Tard dans la nuit, allongée sur mon lit, des larmes de regret coulaient sur mon visage. Dans ma douleur, je priais Dieu : « Dieu, cette situation a révélé quelque chose sur moi, mais je ne comprends pas quelle est Ton intention ou quelle leçon je devrais apprendre. Dieu, s’il Te plaît, guide-moi pour comprendre Ton intention. » Après cela, des images sur l’exercice de mon devoir avant mon arrestation défilaient dans mon esprit : je me mettais en avant et parlais avec arrogance devant les frères et sœurs, j’avais toujours pensé que si j’étais capable de faire un travail signifiait que je comprenais la vérité et que j’avais gagné certaines réalités, et je considérais que j’avais un talent rare et que j’étais le pilier de l’Église. Je passais mes journées emplie d’orgueil et d’arrogance. Comparant cela à lorsque j’ai signé les « Trois Déclarat

ions » et trahi Dieu ; j’étais faible, lâche, et pitoyable, motivée par la peur de la mort ; j’aurais aimé pouvoir trouver un trou où me cacher. À ce moment-là, j’ai commencé à comprendre pourquoi j’avais été soudainement arrêtée. Je me suis rappelée d’un passage des paroles de Dieu que j’avais lu auparavant : « Quand vous endurez une petite restriction ou épreuve, cela est bon pour vous ; si ce moment était facile pour vous, vous seriez ruinés et, alors, comment pourriez-vous être protégés ? Aujourd’hui, c’est parce que vous êtes châtiés, jugés et maudits que vous recevez une protection. C’est parce que vous avez beaucoup souffert que vous êtes protégés. Sinon, vous seriez depuis longtemps tombés dans la dépravation. Cela ne vous rend pas les choses difficiles intentionnellement : la nature de l’homme est difficile à changer, et il doit en être ainsi pour que son tempérament soit changé. Aujourd’hui, vous ne possédez même pas la conscience et le bon sens que Paul possédait, et vous n’avez même pas non plus la connaissance de soi qu’il avait. Vous devez sans arrêt être sous pression et vous devez sans arrêt être châtiés et jugés afin d’éveiller votre esprit. Le châtiment et le jugement sont ce qu’il y a de mieux pour votre vie. Et, quand cela est nécessaire, il doit aussi y avoir le châtiment des faits qui s’abattent sur vous ; alors seulement, vous vous soumettrez entièrement. Votre nature est telle que sans châtiment ni malédiction, vous refuseriez de baisser la tête, de vous soumettre. Si vous n’aviez pas les faits sous les yeux, il n’y aurait aucun effet. Vous êtes de caractère trop ignoble et sans valeur ! Sans châtiment ni jugement, il vous serait difficile d’être conquis, et votre injustice et votre désobéissance seraient dures à surmonter. Votre ancienne nature est si profondément enracinée. Si vous étiez placés sur le trône, vous ne sauriez pas quelle est votre place dans l’univers, encore moins l’endroit où vous vous dirigeriez. Vous ne savez même pas d’où vous venez, alors comment pourriez-vous connaître le Seigneur de la création ? Sans les malédictions et le châtiment opportuns d’aujourd’hui, votre dernier jour serait arrivé depuis longtemps. C’est sans parler de votre destin : ne serait-il pas dans un danger encore plus imminent ? Sans ce châtiment et ce jugement opportuns, qui sait jusqu’où irait votre arrogance ou à quel point vous deviendriez dépravés ? Ce châtiment et ce jugement vous ont amenés jusqu’à aujourd’hui et ils ont préservé votre existence. Si vous étiez encore “éduqués” en utilisant les mêmes méthodes que celles de vos “pères”, qui sait dans quel royaume vous entreriez ? Vous n’avez absolument aucune aptitude à vous contrôler et à réfléchir sur vous-mêmes. Pour des gens comme vous, si vous suivez et vous soumettez simplement, sans causer d’interruption ou de perturbation, Mes objectifs seront atteints. Ne feriez-vous pas mieux d’accepter le châtiment et le jugement d’aujourd’hui ? Quels autres choix avez-vous ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Pratique (6)). En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai compris que mon arrestation et mon emprisonnement étaient la discipline de Dieu. Pendant la période où j’étais superviseuse, j’avais été vraiment arrogante. Chaque fois que le travail enregistrait certains résultats, je me mettais en avant devant les frères et sœurs. Lorsque les ouvriers d’évangélisation rencontraient des difficultés et devenaient négatifs, je mettais en avant intentionnellement ma capacité à travailler en partageant mes expériences, et je ne manquais pas de rappeler aux frères et sœurs que le travail d’évangélisation de l’Église dont j’étais responsable avait obtenu de bons résultats, ce qui amenait tout le monde à penser du bien de moi. Plus tard, plusieurs nouvelles Églises ont été établies, et je continuais à mettre en avant ma capacité de travail, ce qui amenait les autres à m’estimer davantage. Parce que je me mettais en avant constamment de cette manière, les frères et sœurs pensaient tous que j’avais un sens du fardeau dans mon devoir et que je pouvais obtenir des résultats dans mon travail, et ils croyaient que j’étais une superviseuse compétente. Où que j’aille, tout le monde me parlait poliment et respectueusement, et chaque fois qu’ils avaient des problèmes, ils aimaient demander mon avis, et la plupart du temps, ils suivaient mes suggestions. Même la sœur avec qui je collaborais me demandait souvent mon avis. Ayant gagné l’adhésion et l’admiration de tout le monde, je me sentais très satisfaite et j’avais même l’impression d’être portée par la fierté. Je pensais que j’étais une personne indispensable dans l’Église, que le travail de l’Église ne pourrait pas se faire sans moi, et que j’étais meilleure et plus importante que les autres. En me mettant en avant ainsi, j’attirais les gens devant moi. J’avais offensé le tempérament de Dieu sans m’en rendre compte. Dieu ne pouvait pas supporter de me voir continuer à tomber. Grâce à mon arrestation par la police, il m’a empêchée de continuer sur le chemin du mal, et m’a forcée à m’arrêter pour réfléchir, afin que je puisse me détourner à temps du mauvais chemin et me réveiller à temps, et ne pas aller plus loin sur cette voie erronée. Lorsque j’ai pris conscience de cela, mes yeux se sont remplis de larmes. J’ai été profondément émue par l’amour de Dieu et ses intentions minutieuses. J’ai prié Dieu en silence : « Dieu, je Te remercie d’avoir arrangé cette situation pour moi. Je suis disposée à me repentir devant Toi. Dieu, éclaire-moi et guide-moi, afin que je puisse avoir une vraie compréhension de moi-même. »

Un jour, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « Si, au fond de toi, tu comprends vraiment la vérité, alors tu sauras comment pratiquer la vérité et te soumettre à Dieu et tu t’engageras naturellement sur le chemin de la poursuite de la vérité. Si le chemin que tu empruntes est le bon et qu’il est conforme aux intentions de Dieu, alors l’œuvre du Saint-Esprit ne te quittera pas : auquel cas il y aura de moins en moins de risque que tu trahisses Dieu. Sans la vérité, il est facile de faire le mal, et tu le commettras involontairement. Par exemple, si tu as un tempérament arrogant et vaniteux, alors le fait de te dire de ne pas t’opposer à Dieu ne fait aucune différence, tu ne peux pas t’en empêcher, c’est incontrôlable pour toi. Tu ne le ferais pas exprès ; tu le ferais sous la domination de ta nature arrogante et prétentieuse. Ton arrogance et ta prétention te feraient mépriser Dieu et te Le feraient voir comme n’ayant pas d’importance ; elles feraient que tu t’exaltes, que tu te mettes constamment en valeur ; elles te feraient mépriser les autres, elles ne laisseraient dans ton cœur que toi-même ; ton arrogance et ta prétention te priveraient de la place de Dieu dans ton cœur et elles finiraient par t’amener à prendre la place de Dieu et à exiger que les gens se soumettent à toi, et elles te feraient vénérer tes propres pensées, idées et notions comme la vérité. Tant de mal est perpétré par les hommes sous la domination de leur nature arrogante et prétentieuse ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en cherchant la vérité qu’on peut réaliser un changement de tempérament). Dieu expose que la racine de la résistance de l’homme à Dieu est sa nature arrogante et prétentieuse. Lorsqu’une personne a un tempérament arrogant, elle se considère comme étant supérieure, et pense être meilleure que tout le monde. Entre autres choses, elle témoigne d’elle-même de manière incontrôlable et se met en avant, faisant en sorte que les gens l’admirent et l’adorent. Pendant la période où j’étais superviseuse, lorsque j’avais obtenu certains résultats dans le travail, je pensais que j’avais du calibre, que je comprenais la vérité et que je pouvais résoudre des problèmes, que je savais découvrir des personnes talentueuses, et je pensais que j’avais un talent irremplaçable et que j’étais le pilier de l’Église. Tout cela était motivé par ma nature arrogante. Clairement, le fait que le travail d’évangélisation produise certains résultats était dû au travail et à la direction du Saint-Esprit et à la coopération des frères et sœurs, mais je m’en attribuais tout le mérite. Je me mettais en avant délibérément devant les frères et sœurs, leur faisant croire que c’était grâce à ma compréhension de la vérité et mes capacités de travail que celui-ci avait produit des résultats. Finalement, tous m’admiraient et m’adoraient. Comme j’étais dépourvue de honte ! J’ai pensé à l’un des décrets administratifs de Dieu : « L’homme ne doit pas se magnifier ni s’exalter. Il doit adorer et exalter Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les dix décrets administratifs qui doivent être respectés par les élus de Dieu à l’ère du Règne). Dieu exhorte les gens à L’exalter et à L’honorer comme étant grand. Dans le cœur de l’homme, il ne devrait y avoir de place que pour Dieu, car seul Dieu est digne d’être adoré par l’homme. Mais je m’honorais comme étant grande et je me mettais en avant, je voulais que les frères et sœurs me donnent une place dans leur cœur. Tout ce que je faisais était motivé par ma nature arrogante et représentait une résistance contre Dieu. J’avais déjà violé les décrets administratifs de Dieu, pourtant, je n’avais pas eu peur et je m’en réjouissais même. J’étais vraiment insensible ! J’ai réfléchi à la façon dont l’Église m’avait cultivée pour devenir superviseuse. D’une part, cela m’a permis de poursuivre la vérité et le changement de tempérament tout en faisant mon devoir, et d’autre part, cela m’a permis d’assumer un rôle de dirigeante. Lorsque le travail rencontrait des difficultés, je pouvais guider les frères et sœurs à regarder vers Dieu et à s’appuyer sur Lui, à chercher la vérité et à agir selon les principes, permettant ainsi aux frères et sœurs d’honorer Dieu comme étant grand dans leur cœur, de Lui réserver une place, et par là les amener ainsi devant Dieu. C’était ma responsabilité et mon devoir. Pourtant, je n’avais pas rempli les responsabilités qu’une superviseuse aurait dû assumer, et au lieu de cela, j’avais saisi chaque occasion dans mon travail pour me mettre en avant et témoigner de moi-même, j’avais amené les frères et sœurs à m’admirer et à m’adorer, et je les avait incités à venir vers moi lorsqu’ils rencontraient des difficultés au lieu de se fier à Dieu ou de chercher les vérités-principes. J’avais amené les gens devant moi, et ce faisant, j’avais rivalisé pour le statut avec Dieu. Je marchais sur le chemin d’un antéchrist et j’avais déjà offensé le tempérament de Dieu. Si je continuais à faire mon devoir de cette manière, je serais finalement punie pour avoir résisté à Dieu. En prenant conscience de cela, j’ai été prise d’une sueur froide, j’ai senti que cette arrestation était le juste tempérament de Dieu qui s’abattait sur moi, et que c’était aussi une grande protection et un salut de la part de Dieu pour moi. J’ai sincèrement remercié Dieu et j’étais disposée à me soumettre à cet environnement et à en tirer une leçon. En 2021, j’ai été libérée après avoir purgé ma peine et je suis sortie de cet enfer sur terre qu’est une prison du PCC.

Peu après mon retour à la maison, les frères et sœurs m’ont apporté les livres des paroles de Dieu, et j’ai été profondément émue. Un jour, pendant mes dévotions, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Êtes-vous capables de sentir la direction de Dieu et l’éclairage du Saint-Esprit pendant que vous accomplissez votre devoir ? (Oui.) Si vous êtes capables de sentir l’œuvre du Saint-Esprit, mais que vous avez pourtant toujours une haute opinion de vous-mêmes et pensez que vous possédez la réalité, alors que se passe-t-il ici ? (Lorsque l’accomplissement de notre devoir porte des fruits, nous pensons que la moitié du mérite revient à Dieu et que l’autre moitié nous revient. Nous exagérons notre coopération dans une mesure illimitée, pensant que rien n’était plus important que notre coopération et que l’éclairage de Dieu n’aurait pas été possible sans elle.) Alors, pourquoi Dieu t’a-t-Il éclairé ? Dieu peut-Il aussi éclairer d’autres personnes ? (Oui.) Quand Dieu éclaire quelqu’un, c’est par la grâce de Dieu. Et quelle est cette petite coopération de ta part ? Est-ce quelque chose dont le mérite te revient ou est-ce ton devoir et ta responsabilité ? (C’est notre devoir et notre responsabilité.) Lorsque tu reconnais que c’est ton devoir et ta responsabilité, alors tu as là le bon état d’esprit et tu ne penseras pas à essayer de t’en attribuer le mérite. Si tu penses toujours : “C’est ma contribution. L’éclairage de Dieu aurait-il été possible sans ma coopération ? Cette tâche nécessite la coopération de l’homme : notre coopération représente l’essentiel de la réussite”, alors tu as tort. Comment pourrais-tu coopérer si le Saint-Esprit ne t’avait pas éclairé, et si personne n’avait échangé avec toi sur les vérités-principes ? Tu ne saurais pas ce que Dieu exige, et tu ne connaîtrais pas le chemin de pratique. Même si tu voulais te soumettre à Dieu et coopérer, tu ne saurais pas comment le faire. Cette “coopération” de ta part n’est-elle pas simplement de vaines paroles ? Sans une véritable coopération, tu n’agis que selon tes propres idées : auquel cas, le devoir que tu accomplis pourrait-il être à la hauteur ? Absolument pas, ce qu’indique le problème en cours. Quel est le problème ? Quel que soit le devoir qu’accomplit une personne, qu’elle obtienne des résultats, accomplisse son devoir selon les normes et gagne l’approbation de Dieu dépend des actions de Dieu. Même si tu remplis tes responsabilités et ton devoir, si Dieu n’œuvre pas, si Dieu ne t’éclaire pas et ne te guide pas, alors tu ne connaîtras pas ton chemin, ta direction, tes objectifs. Quel peut bien être le résultat de cela ? Après avoir trimé pendant tout ce temps, tu n’auras pas accompli ton devoir correctement et tu n’auras pas non plus gagné la vérité et la vie : tout cela aura été en vain. Par conséquent, que ton devoir soit accompli selon les normes, qu’il édifie tes frères et sœurs et qu’il obtienne l’approbation de Dieu dépend entièrement de Dieu ! Les gens ne peuvent faire que ce qu’ils sont personnellement capables de faire, ce qu’ils devraient faire et ce qui est en leur capacité inhérente. Rien de plus. En fin de compte, l’accomplissement de tes devoirs de façon efficace dépend de l’aide des paroles de Dieu et de l’éclairage et de la direction du Saint-Esprit : alors seulement, tu peux comprendre la vérité et t’acquitter de la commission de Dieu conformément au chemin que Dieu t’a donné et aux principes qu’Il a établis. Voilà la grâce et la bénédiction de Dieu, et si les gens ne peuvent pas le voir, c’est qu’ils sont aveugles » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Les principes que l’on devrait suivre dans son comportement). Après avoir lu ce passage, j’ai compris que la raison pour laquelle je pouvais voler la gloire de Dieu était que j’avais un point de vue fallacieux en moi. Je croyais que c’était ma coopération qui permettait au Saint-Esprit de travailler et au travail de porter ses fruits. J’avais accordé trop d’importance à la coopération humaine. En réalité, la coopération humaine repose également sur la compréhension des vérités-principes. Si Dieu n’exprime pas la vérité, la coopération humaine n’a pas de direction. La coopération humaine consiste simplement à faire son devoir et à assumer ses responsabilités, et le fait que le travail porte ses fruits dépend essentiellement du travail du Saint-Esprit. En repensant à mes débuts dans l’exercice de ce devoir, je n’avais pas saisi beaucoup de principes, alors j’ai prié davantage et j’ai étudié les principes, et j’ai fait des recherches avec les frères et sœurs. Petit à petit, j’ai saisi certains principes, et avec l’éclairage et la direction du Saint-Esprit, j’ai pu découvrir et résoudre certains problèmes. Ce n’est qu’alors que le travail d’évangélisation a donné de bons résultats. Plus tard, j’ai vécu dans un état de satisfaction personnelle, et j’ai moins prié et j’ai cessé de chercher les vérités-principes, alors je n’étais plus capable d’obtenir le travail du Saint-Esprit, et je ne savais pas comment résoudre de nombreux problèmes, ce qui a affecté le travail d’évangélisation. En particulier après mon arrestation et mon emprisonnement, le travail d’évangélisation de l’Église n’a pas stagné à cause de mon arrestation, mais a progressé régulièrement et est même devenu plus fructueux. Pourtant, j’ai stupidement et aveuglément considéré ma coopération comme étant d’une importance exceptionnelle, je croyais que sans moi, le travail de l’Église n’aurait pas obtenu de bons résultats. En y repensant maintenant, je me sentais honteuse. De plus, le fait que j’aie fourni des personnes talentueuses n’était pas dû à ma compréhension de la vérité et à ma capacité à choisir les bonnes personnes, mais plutôt parce que Dieu avait depuis longtemps préparé différents types de personnes talentueuses pour Son travail. En outre, pendant le processus de sélection des personnes, il y avait de nombreux points sur lesquels je n’étais pas claire, que je n’ai vus clairement qu’en cherchant les vérités-principes avec la sœur avec qui je coopérais. Si Dieu n’avait pas exprimé la vérité, et n’avait pas échangé si clairement sur les principes liés à l’accomplissement des devoirs, comment aurais-je pu comprendre ou saisir ces principes, ou faire mon devoir correctement ? En réalité, Dieu faisait Son propre travail, et je ne faisais qu’une petite partie de mon devoir en tant qu’être humain. Il n’y avait rien dont je puisse me vanter.

Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu, et je me suis sentie encore plus honteuse, embarrassée et humiliée. Dieu Tout-Puissant dit : « Dieu a œuvré de façon significative chez les êtres humains, mais en a-t-Il jamais parlé ? L’a-t-Il jamais expliqué ? L’a-t-Il jamais annoncé ? Non. Les gens ont beau se méprendre sur Dieu, Dieu n’explique rien. Du point de vue de Dieu, peu importe si tu as soixante ou quatre-vingts ans, ta compréhension de Dieu est très limitée, et sur la base du peu que tu connais, tu es encore un enfant. Dieu n’en tient pas rigueur ; tu es encore un enfant immature. Peu importe si certaines personnes vivent depuis de longues années et que leur corps porte les signes de l’âge ; leur compréhension de Dieu est encore très immature et superficielle. Dieu ne t’en tient pas rigueur – si tu ne comprends pas, tu ne comprends pas. C’est ton calibre et ta capacité, et cela ne peut être changé. Dieu ne t’imposera rien. Dieu exige que les gens Lui rendent témoignage, mais Lui, S’est-Il rendu témoignage à Lui-même ? (Non.) D’un autre côté, Satan a peur que les gens ne connaissent même pas la plus petite chose qu’il fait. Les antéchrists ne sont pas différents : ils se vantent de chaque petite chose qu’ils font devant tout le monde. En les entendant, on dirait qu’ils témoignent de Dieu, mais si tu écoutes attentivement, tu découvriras qu’ils ne témoignent pas de Dieu mais friment et se donnent de l’importance. L’intention et l’essence de ce qu’ils disent sont de rivaliser avec Dieu pour Son peuple élu et pour le statut. Dieu est humble et caché, et Satan s’exhibe. N’y a-t-il pas une différence ? La vantardise contre l’humilité et le caractère caché : qu’est-ce qui est positif ? (L’humilité et le caractère caché.) Satan pourrait-il être décrit comme humble ? (Non.) Pourquoi ? À en juger par sa nature-essence malveillante, c’est un déchet sans valeur ; il serait anormal que Satan ne s’affiche pas. Comment Satan pourrait-il être appelé “humble” ? L’“humilité” est ce qui qualifie Dieu. L’identité, l’essence et le tempérament de Dieu sont nobles et honorables, mais Il ne Se montre jamais. Dieu est humble et caché, de sorte que les gens ne voient pas ce qu’Il a fait, mais à mesure qu’Il œuvre dans une telle obscurité, l’humanité est sans cesse pourvue, nourrie et guidée – et tout cela est arrangé par Dieu. N’est-ce pas en vertu de Son caractère caché et de Son humilité que Dieu ne déclare jamais ces choses, ne les mentionne jamais ? Dieu est humble précisément parce qu’Il est capable de faire ces choses, mais qu’Il ne les mentionne ni ne les déclare jamais, et qu’Il ne Se dispute pas à propos de ces choses avec les gens. De quel droit peux-tu parler d’humilité quand tu es incapable de telles choses ? Tu n’as accompli aucune de ces choses et cependant, tu persistes à t’en attribuer le mérite : c’est ce qu’on appelle être sans vergogne. En guidant l’humanité, Dieu accomplit un très grand travail, et Il préside à l’univers entier. Son autorité et Son pouvoir sont tellement vastes, et pourtant Il n’a jamais dit : “Mon pouvoir est extraordinaire.” Il reste caché parmi toutes choses, présidant à tout, nourrissant et pourvoyant à l’humanité, permettant à toute l’humanité de perdurer génération après génération. Prenons l’air et le soleil, par exemple, ou toutes les choses matérielles nécessaires à l’existence humaine sur terre : elles circulent toutes sans cesse. Que Dieu pourvoie aux besoins des hommes, la question ne se pose pas. Si Satan faisait quelque chose de bien, le tairait-il et resterait-il un héros méconnu ? Jamais. De même, il y a dans l’Église des antéchrists qui ont déjà entrepris un travail dangereux, qui ont abandonné des choses et enduré des souffrances, qui sont peut-être même allés en prison. Il y a aussi ceux qui ont autrefois contribué à un aspect du travail de la maison de Dieu. Ils n’oublient jamais ces choses, ils pensent qu’ils méritent de la reconnaissance à vie pour cela, ils pensent que ces choses sont le capital de leur vie, ce qui montre à quel point les gens sont petits ! Les gens sont vraiment petits, et Satan est sans vergogne » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 7 : Ils sont malfaisants, insidieux et malhonnêtes (Partie II)). L’essence de Dieu est humble, belle et bonne, tandis que l’essence de Satan est malfaisante et éhontée. J’ai pensé à la manière dont la Bible raconte que Satan a tenté le Seigneur Jésus. Clairement, tout dans le monde a été créé par Dieu, pourtant Satan avait prétendu qu’il avait tout créé et avait essayé de tenter le Seigneur Jésus à l’adorer. J’ai aussi pensé au PCC. Tout ce dont l’humanité jouit vient clairement de Dieu, et Dieu pourvoit à tous les besoins quotidiens de l’humanité, pourtant le PCC prétend qu’il a conduit le peuple à une vie meilleure, amenant le peuple à lui attribuer ces choses. J’ai aussi pensé aussi à ces antéchrists expulsés de l’Église. Ils s’étaient constamment mis en avant et exaltés eux-mêmes, et avaient parlé de tout le travail qu’ils avaient accompli pour la maison de Dieu et de toutes les souffrances qu’ils avaient endurées, ils avaient utilisé cela pour tromper les gens et les amener à les suivre et à les adorer. Voir ces choses m’a fait prendre conscience à quel point les démons et Satan sont vraiment éhontés ! En pensant à moi-même, clairement, c’était grâce au travail du Saint-Esprit que le travail de l’Église avait porté ses fruits, pourtant je comptais secrètement mes réalisations et je les mettais souvent en avant devant les frères et sœurs, amenant tout le monde à penser que c’étaient mes réalisations, à me tenir en haute estime et à me donner une place dans leur cœur. Mon comportement n’était-il pas exactement comme celui de ces antéchrists qui s’exaltent et se mettent en avant ? Comment avais-je pu être aussi éhontée et totalement dépourvue de conscience et de raison ! Dieu s’est humilié pour devenir un homme et sauver l’humanité ; Il est disposé à risquer Sa vie et à endurer de grandes humiliations et souffrances, venant parmi les gens pour travailler et nous sauver. Dieu a tout donné pour l’humanité, pourtant Il ne déclare jamais Ses actions. Il fait tranquillement l’oeuvre qu’Il a l’intention de faire. Mais quant à moi, un minuscule être créé, tout ce que j’avais fait était de faire mon propre devoir et d’assumer ma responsabilité, mais j’ai utilisé différents moyens pour me vanter et me mettre en avant. J’étais vraiment vile et sans valeur ! J’ai prié Dieu en repentance, je Lui ai demandé de pardonner mes transgressions. J’étais disposée à recommencer à zéro et à transformer mon tempérament arrogant, et à apprendre à exalter Dieu et à témoigner de Lui en toutes choses.

Plus tard, j’ai lu un passage sur la manière de pratiquer l’exaltation et le témoignage de Dieu : « Quand vous rendez témoignage à Dieu, vous devriez principalement parler de la manière dont Dieu juge et châtie les gens, et des épreuves qu’Il utilise pour épurer les gens et changer leurs tempéraments. Parlez aussi de la corruption révélée dans votre expérience, de toutes les souffrances que vous avez endurées, du nombre de choses que vous avez faites pour résister à Dieu, et de la manière dont vous avez été finalement conquis par Dieu. Parlez de toute la connaissance réelle que vous avez de l’œuvre de Dieu et de la manière dont vous devriez rendre témoignage à Dieu et Lui rendre Son amour. Vous devriez mettre du contenu dans ce genre de langage tout en le formulant de manière simple. Ne parlez pas de théories creuses. Parlez de façon plus terre-à-terre ; parlez avec votre cœur. C’est ainsi que vous devez faire l’expérience des choses. Ne vous munissez pas de théories creuses qui paraissent profondes dans l’effort de vous mettre en valeur ; ce faisant, vous avez l’air très arrogant et absurde. Vous devez parler davantage de choses réelles tirées de votre expérience réelle et parler davantage avec votre cœur ; c’est très profitable pour les autres et il est très approprié qu’ils le voient. Vous étiez les gens qui s’opposaient le plus à Dieu, qui étaient les moins enclins à vous soumettre à Lui, mais maintenant, vous avez été conquis, n’oubliez jamais cela. Vous devriez réfléchir et songer davantage à ces choses-là. Une fois que les gens les comprendront clairement, ils sauront comment porter témoignage, sinon, ils seront susceptibles de commettre des actes inavouables et absurdes, ce qui n’est pas rendre témoignage à Dieu, mais plutôt faire honte à Dieu. Sans expériences authentiques et sans une compréhension de la vérité, il n’est pas possible de rendre témoignage à Dieu. Les gens dont la foi en Dieu est confuse et embrouillée ne seront jamais capables de rendre témoignage à Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en cherchant la vérité qu’on peut réaliser un changement de tempérament). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris comment exalter Dieu et témoigner de Lui parmi les gens. D’une part, nous devons partager davantage avec les frères et sœurs sur la manière dont nous avons vécu le jugement, le châtiment, l’émondage, les épreuves et l’épurement des paroles de Dieu, la signification du travail de Dieu et quelles sont Ses intentions, et quel genre d’effets Il veut obtenir en nous, afin que les autres puissent connaître Dieu et comprendre Ses intentions minutieuses pour sauver l’humanité. D’autre part, nous devons aussi nous ouvrir et mettre à nu la corruption que nous avons révélée dans nos expériences, et les choses rebelles et défiantes que nous avons faites contre Dieu, afin que les autres puissent comprendre la nature de nos actions et en gagner le discernement. De cette manière, ils peuvent se voir eux-mêmes à la lumière de ces choses, et connaître et haïr leurs tempéraments corrompus. Ce n’est qu’en pratiquant ainsi que nous pouvons véritablement exalter et témoigner de Dieu. Mais je n’avais choisi de parler que des bonnes choses. Je n’avais parlé que de la manière dont je m’étais appuyée sur Dieu pour obtenir des résultats dans le travail, du nombre de personnes que j’avais gagnées et du nombre d’Églises que j’avais établies, sans mentionner la rébellion, la corruption et la faiblesse que j’avais révélées durant ce processus. Je n’ai pas mis ces choses à nu devant les frères et sœurs. En conséquence, ils ont été induits en erreur par mon apparente bonne conduite. Ce que j’avais fait et la manière dont j’avais agi étaient tous contraires aux paroles de Dieu, et je devais me repentir auprès de Dieu et pratiquer selon Ses paroles à partir de ce moment.

Cinq mois après ma sortie de prison, l’Église a arrangé que je continue à prêcher l’Évangile. J’étais très émue, et j’ai décidé de faire mon devoir correctement et de compenser ma redevabilité passée envers Dieu. Lors d’une réunion, une nouvelle venue a exprimé certaines notions, alors j’ai patiemment échangé sur les paroles de Dieu avec elle, et à la fin, ses notions ont été résolues. Elle a dit qu’elle avait beaucoup gagné de cette réunion, et a exprimé une grande reconnaissance envers la souveraineté et les arrangements de Dieu pour avoir amené des frères et sœurs à échanger avec elle. Elle était très excitée en parlant, et alors que je l’écoutais à ses côtés, je me réjouissais secrètement, je me disais : « Les notions de la sœur ont principalement été résolues grâce à mon échange avec elle. Il semble que je ne sois pas si mauvaise, et que je puisse échanger sur la vérité pour résoudre certains problèmes. » Quand j’avais de telles pensées, je prenais conscience que je volais à nouveau la gloire de Dieu. J’ai vu les frères et sœurs autour de moi remercier Dieu pour Sa direction, tandis que je m’admirais honteusement, et je me sentais vraiment dégoûtée de moi-même. J’étais si éhontée ! J’ai rapidement prié Dieu dans mon cœur, pensant à Ses paroles : « Quand tu auras une certaine compréhension de Dieu, quand tu pourras voir ta propre corruption et reconnaître l’indignité et la laideur de l’arrogance et de la vanité, tu ressentiras alors dégoût, nausée et angoisse. Tu seras capable de faire des choses de façon consciente pour satisfaire Dieu et, en faisant cela, tu te sentiras à l’aise. Tu seras capable de lire la parole de Dieu, d’exalter Dieu et de Lui rendre témoignage de façon consciente et, dans ton cœur, tu en éprouveras de la satisfaction. Tu te dévoileras toi-même de façon consciente, exposant ta propre laideur, et en le faisant, tu te sentiras bien intérieurement et te sentiras dans un meilleur état d’esprit » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en cherchant la vérité qu’on peut réaliser un changement de tempérament). Je me suis ouverte aux frères et sœurs au sujet de mes pensées méprisables. J’ai également mentionné que je ne comprenais pas tout à fait certains des problèmes de la réunion d’aujourd’hui au début, mais qu’au cours du processus d’échange, j’ai progressivement gagné en clarté grâce à l’éclairage des paroles de Dieu, et que ce n’était pas ma stature originelle, mais l’éclairage et la direction du Saint-Esprit. Après avoir échangé, j’ai éprouvé une profonde paix intérieure, et j’ai senti qu’il était vraiment bon de vivre de cette manière ! Cette transformation que j’ai pu avoir est le résultat du jugement et du châtiment des paroles de Dieu sur moi. Dieu soit loué !

Précédent:  70. Qu’est-ce que l’argent et le statut ont bien pu faire pour moi ?

Suivant:  72. Mon incompréhension de Dieu et ma méfiance envers Lui ont été éliminées

Contenu connexe

11. J’ai retrouvé le Seigneur

Par Li Lan, Corée du SudDieu Tout-Puissant dit : « Christ des derniers jours apporte la vie et apporte le chemin durable et éternel de la...

Paramètres

  • Texte
  • Thèmes

Couleurs unies

Thèmes

Police

Taille de police

Interligne

Interligne

Largeur de page

Contenu

Chercher

  • Rechercher ce texte
  • Rechercher ce livre

Connect with us on Messenger