45. La famille et le mariage ne sont plus mon havre de paix

Par Fusu, Chine

Quand j’étais enfant, ma famille était très pauvre. Mon père ne gagnait que quelques points de travail dans l’équipe de production et ne se souciait pas des affaires domestiques, et ma mère ne pouvait pas compter sur mon père quand elle était lésée ou rencontrait des difficultés. Elle s’occupait de tout toute seule et a beaucoup souffert. Je me suis dit : « Quand je me marierai, je devrai trouver un homme qui soit attaché à sa famille, responsable et fiable, ou tout au moins, quelqu’un qui me protégera et me défendra quand je rencontrerai des difficultés. » Mais les choses ne se sont pas passées comme je l’espérais. Après mon mariage, j’ai découvert que mon mari était irresponsable, et il m’était complètement indifférent. Ainsi, m’occuper de notre enfant et gérer le foyer me sont entièrement revenus. Plus tard, il a commencé à avoir des liaisons ailleurs et ne rentrait souvent pas la nuit. Je ne pouvais vraiment plus le supporter et nous avons divorcé. Après le divorce, j’étais à la dérive, je n’avais personne sur qui compter, et je me sentais complètement seule et désemparée. J’aspirais de plus en plus à un foyer stable, et à trouver quelqu’un qui puisse m’aider dans les difficultés et qui soit prêt à m’écouter. En 2006, j’ai rencontré mon mari actuel. Il était droit et gentil, et bien qu’il ne fût pas riche, il me traitait très bien et se souciait beaucoup de moi. Il était disposé à m’écouter, et il a même aidé à payer l’assurance de ma fille. J’ai été très touchée, et j’ai senti qu’il était responsable et fiable, et que c’était quelqu’un sur qui je pouvais compter. Peu de temps après, nous nous sommes mariés. Je chérissais profondément ce mariage. Pour financer l’éducation de notre enfant, nous avons ouvert un petit magasin. Mon mari était très travailleur et compétent, et quoi qu’il arrive, il se manifestait toujours pour s’en occuper, et je n’ai jamais eu à m’inquiéter ni à me sentir accablée. J’étais si heureuse, et je sentais que j’avais enfin quelqu’un sur qui compter et un foyer stable.

En 2013, mon mari et moi avons accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours. Nous assistions aux réunions et mangions et buvions les paroles de Dieu ensemble, et je me disais souvent : « C’est si bien que nous croyions en Dieu ensemble, et que personne ne nous persécute ni ne nous fasse obstacle ! À l’avenir, nous pourrons être sauvés tous les deux. » J’étais très heureuse. Mais peu à peu, j’ai remarqué que mon mari ne poursuivait pas la vérité, et qu’il lisait rarement les paroles de Dieu et était toujours à ergoter sur les gens et les choses. En 2018, mon mari a cessé de croire. À partir de ce moment-là, il semblait être une personne complètement différente, et chaque fois que les sœurs venaient pour une réunion, il avait toujours une mine renfrognée. Un jour, une sœur est venue chez nous pour une réunion, et il a immédiatement lancé un regard furieux et a crié : « Qu’est-ce que tu fais ici ? Sors d’ici tout de suite ! » La sœur n’a eu d’autre choix que de partir rapidement. Après ça, peu importe ce que je disais, il n’écoutait pas, et comme j’avais peur de le mettre en colère, j’ai arrêté de parler. Je me suis dit : « Nous avions une si bonne relation avant, alors je ne devrais pas me disputer avec lui pour des questions de foi, car cela affectera notre relation. » Plus tard, le responsable de l’Église a arrangé pour moi que j’assiste à des rassemblements ailleurs. Parfois, quand je rentrais tard d’une réunion, mon mari faisait la tête et me reprochait de rentrer si tard, alors chaque fois que j’allais à une réunion, j’étais toujours sous la contrainte du temps. J’avais peur que s’il rentrait et que le repas n’était pas prêt, il soit mécontent.

Une fois, pendant une réunion, la dirigeante échangeait sur les paroles de Dieu, et au début, j’arrivais à écouter attentivement, mais à l’approche de l’heure du repas, voyant qu’elle n’avait toujours pas l’intention de s’arrêter, mon cœur s’est mis à bouillonner : « Pourquoi n’as-tu pas encore fini ? Regarde l’heure ! Je dois encore rentrer et préparer le repas de mon mari. Si je rentre tard, on risque de se disputer à nouveau. Notre relation ne deviendrait-elle pas encore plus tendue ? » Je suis devenue si anxieuse que je ne tenais plus en place et n’écoutais plus ce que la sœur disait, et j’ai dit : « C’est l’heure. » Et la sœur a dû mettre fin à la réunion à la hâte. Avec une mine renfrognée, je suis immédiatement partie. Presque chaque fois que je rentrais chez moi après une réunion, j’avais le cœur serré. Si en rentrant, je voyais que mon mari n’était pas là, mon cœur anxieux se calmait enfin, mais s’il était à la maison, je me dépêchais nerveusement de cuisiner, de peur qu’il ne soit mécontent. Plus je lui cédais, plus il en rajoutait, et si quelque chose ne se passait pas comme il le voulait ou si je le contrariais en disant quelque chose de travers, il se mettait en colère. Il disait : « Tu passes tes journées en réunion à lire la parole de Dieu, que puis-je attendre de toi ? Nous n’avons pas le même esprit ni le même chemin. Tôt ou tard, nous devrons nous séparer ! » Quand j’ai entendu mon mari dire que nous finirions par nous séparer, j’ai eu peur de revivre seule. Mais je ne voulais pas non plus quitter Dieu, et je ressentais une immense douleur. Je me suis dit : « Nous avons travaillé dur pour enfin construire un parfait foyer, et il m’a plutôt bien traitée aussi. Si je le quitte vraiment, pourrais-je encore avoir ce genre de vie ? » Pour préserver notre famille, je suis devenue encore plus prudente. Parfois, quand mon mari travaillait, je préférais moins manger et boire la parole de Dieu et l’aider à la place, juste pour le contenter. Je m’occupais aussi de toutes les tâches ménagères, je préparais trois repas par jour exactement à son goût, et même s’il disait des choses désagréables, je ne discutais pas, car je ne voulais pas provoquer une autre dispute.

Une fois, deux sœurs sont venues chez moi pour discuter de quelque chose avec moi, et mon mari est sorti brusquement de la chambre et les a chassées. Par la suite, il m’a également avertie : « Pas de sœurs à la maison. Si elles reviennent, j’appelle la police. » Voyant mon mari intensifier son comportement et pousser toujours plus loin, je me suis dit : « N’est-ce pas me forcer à abandonner ma foi ? Je ne peux pas abandonner ma foi, alors peut-être que je devrais simplement le quitter. » Mais ensuite, je me suis dit : « Comment pourrais-je vivre seule après l’avoir quitté ? » J’avais vraiment peur de vivre seule, et je ne pouvais pas me résoudre à le quitter. Plusieurs fois, quand mon mari m’a demandé de l’aider dans son travail, c’était justement l’heure de mon devoir, et je choisissais toujours de faire plaisir à mon mari et d’abandonner mon devoir. Parfois, dès que quelque chose lui déplaisait, même un peu, il me critiquait et se moquait de moi, jusqu’au jour où je n’ai pas pu m’empêcher de lui répondre, en disant : « Tu sais que croire en Dieu est une bonne chose, alors pourquoi tu me cherches toujours des noises ? Qu’y a-t-il de mal à ce que j’assiste à des réunions et que je fasse mon devoir ? Est-ce que je ne fais pas toutes les tâches ménagères ? Serais-tu plus heureux si j’étais comme les autres, toujours à jouer au mahjong, à faire la fête et à négliger notre foyer ? » En me voyant répliquer, il est devenu encore plus furieux, il a haussé le ton, m’a fusillée du regard et a dit avec férocité : « Ne me pousse pas à bout. Si tu me mets vraiment en colère, je jetterai toutes tes affaires dehors ! » Je me suis dit : « N’est-ce pas là un démon ? Il hait Dieu et la vérité ! » J’ai alors pensé aux paroles de Dieu : « Les croyants et les non-croyants ne sont pas compatibles, mais plutôt opposés les uns aux autres » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Mon mari ne croyait plus en Dieu. Nous suivions désormais des chemins différents, nos esprits n’étaient pas en accord, et nous ne pouvions tout simplement pas nous entendre. Il n’a cessé d’intensifier sa persécution de ma foi, et j’ai souvent pensé à le quitter, tout simplement. Mais quand je pensais à la vie solitaire et désolée après le divorce, au fait que je n’aurais personne pour me protéger des difficultés de la vie, et au fait que la famille que j’avais mis tant d’efforts à construire serait brisée, je n’arrivais tout simplement pas à me décider. Dans ma douleur, je suis venue prier devant Dieu : « Ô Dieu, mon mari me persécute de plus en plus sévèrement. Je suis contrainte par lui dans mes réunions comme dans mes devoirs. Je ressens une grande douleur dans mon cœur et je ne sais pas quoi faire. Dans cette situation, quelles leçons devrais-je apprendre ? Je T’en prie, éclaire-moi, illumine-moi et guide-moi. »

Pendant mes dévotions, j’ai lu les paroles de Dieu : « Une fois qu’ils sont mariés, certains sont prêts à consacrer tout ce qu’ils peuvent faire à leur vie conjugale et ils se préparent à faire de gros efforts, à se battre et à travailler dur pour leur mariage. Certains gagnent très difficilement de l’argent et souffrent, et bien sûr, encore plus nombreux parmi eux sont ceux qui remettent leur bonheur entre les mains de leur partenaire. Ils croient que leur bonheur et leur joie dans la vie dépendent de la manière dont se comportera leur partenaire, si c’est une bonne personne ou non ; si sa personnalité et ses intérêts correspondent aux leurs ; s’il s’agit de quelqu’un qui peut faire vivre sa famille et la diriger ; s’il s’agit de quelqu’un qui peut leur assurer les nécessités de base à l’avenir et leur fournir une famille heureuse, stable et merveilleuse ; et si c’est quelqu’un qui peut les réconforter quand ils traversent des souffrances, des tribulations, des échecs ou des revers. Pour vérifier cela, ils se montrent particulièrement attentifs à leur partenaire pendant qu’ils vivent ensemble. Avec beaucoup de soins et d’attention, ils observent et enregistrent les pensées, points de vue, discours et comportements de leur partenaire, chaque mouvement qu’il exécute, ainsi que chacune de ses forces et de ses faiblesses. Ils se rappellent en détail toutes les pensées, visions, paroles et tous les comportements révélés par leur partenaire de vie, afin de pouvoir mieux le comprendre. En même temps, ils espèrent aussi être mieux compris de leur partenaire, ils le laissent entrer dans leur cœur et ils rentrent eux aussi dans le cœur de leur partenaire pour pouvoir mieux se contenir l’un l’autre, ou pour pouvoir être la première personne présente lorsqu’il arrive quelque chose à leur partenaire, la première personne à l’aider, la première personne à se manifester pour les soutenir, les encourager et être leur roc. Dans de telles conditions de vie, le mari et la femme essayent rarement de discerner quel genre de personne est leur partenaire, car ils vivent entièrement à travers leurs sentiments pour leur partenaire et utilisent leurs sentiments pour s’occuper de leur partenaire, le tolérer, gérer toutes ses failles, tous ses défauts, et toutes ses poursuites, jusqu’à répondre même à ses moindres désirs. Par exemple, le mari d’une femme dit : “Tes réunions durent trop longtemps. Vas-y seulement pendant une demi-heure et ensuite reviens à la maison.” Elle répond : “Je ferai de mon mieux.” Bien entendu, la fois suivante, lorsqu’elle se rend à une réunion, elle reste une demi-heure et revient à la maison, et cette fois, son mari lui dit : “C’est mieux comme ça. La prochaine fois, tu n’as qu’à y aller pour te montrer et ensuite, tu reviens.” Elle dit : “Oh, alors je te manque tant que cela ? Alors d’accord, je ferai de mon mieux.” Bien entendu, elle ne le déçoit pas et lorsqu’elle se rend à une réunion la fois suivante, elle revient à la maison après environ dix minutes. Son mari est très content et heureux et il dit : “Voilà qui est mieux !” S’il lui demande d’aller à droite, elle n’ose pas se diriger vers la gauche ; s’il veut qu’elle rie, elle n’ose pas pleurer. Il la voit lire les paroles de Dieu et écouter des hymnes et il déteste cela, ça le dégoûte. Il dit alors : “À quoi cela te sert-il de lire ces paroles et de chanter ces chants en permanence ? Ne peux-tu pas éviter de lire ces paroles et de chanter ces chants quand je suis à la maison ?” Elle répond : “D’accord, d’accord, je ne les lirai plus.” Elle n’ose plus lire les paroles de Dieu ou écouter des hymnes. À cause des exigences de son mari, elle finit par comprendre qu’il n’aime pas qu’elle croie en Dieu ou qu’elle lise les paroles de Dieu, alors elle lui tient compagnie quand il est à la maison, ils regardent la télévision ensemble, mangent leurs repas, discutent et elle l’écoute même se plaindre. Elle est prête à tout faire pour lui, tant que cela le rend heureux. Elle croit que ce sont les responsabilités qu’une épouse doit endosser. Alors, quand lit-elle les paroles de Dieu ? Elle attend que son mari sorte, puis elle ferme la porte à clé derrière lui et se dépêche de commencer à lire. Lorsqu’elle entend quelqu’un arriver, elle pose rapidement le livre et elle a tellement peur qu’elle n’ose plus le lire. Et lorsqu’elle ouvre la porte, elle voit que ce n’est pas son mari qui revient, c’était une fausse alerte, alors elle continue à lire. Tandis qu’elle continue de lire, elle se sent comme sur des charbons ardents, elle est nerveuse et effrayée, et elle pense : “Et s’il revient vraiment à la maison ? Je devrais arrêter de lire pour le moment. Je vais l’appeler et lui demander où il est et quand il compte rentrer.” Elle lui téléphone donc et il dit : “Il y a pas mal de travail aujourd’hui, alors il se peut que je ne rentre pas à la maison avant quinze ou seize heures.” Cela l’apaise, mais arrive-t-elle pour autant à calmer son esprit pour pouvoir lire les paroles de Dieu ? Non ; son esprit a été perturbé. Elle se précipite devant Dieu pour prier, et que dit-elle ? Dit-elle que sa croyance en Dieu manque de foi, qu’elle a peur de son mari et qu’elle n’arrive pas à calmer son esprit pour lire les paroles de Dieu ? Elle a le sentiment de ne pas pouvoir dire ces choses, alors elle n’a rien à dire à Dieu. Mais ensuite, elle ferme les yeux et joint les mains. Elle se calme et se sent moins agitée, alors elle retourne lire les paroles de Dieu, mais les mots ne s’ancrent pas en elle. Elle se dit : “Où en étais-je déjà ? Où en suis-je arrivée dans mes contemplations ? J’ai complètement perdu le fil de mes pensées.” Plus elle y pense, plus elle se sent agacée et mal à l’aise. “Je ne lirai simplement pas aujourd’hui. Ce n’est pas bien grave si je rate mes dévotions spirituelles pour une fois.” Qu’en penses-tu ? La vie se déroule-t-elle bien pour elle ? (Non.) Est-ce de la détresse conjugale ou du bonheur conjugal ? (De la détresse.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Ce que Dieu a dit décrivait exactement mon comportement. J’avais toujours considéré le mariage comme un havre de paix, et mon mari comme quelqu’un sur qui je pouvais compter. Enfant, je voyais combien il était difficile pour ma mère de gérer seule le foyer, et que mon père n’était d’aucune aide, et je trouvais ma mère vraiment digne de pitié, alors je voulais trouver un homme responsable sur qui je pourrais compter. Mais contre toute attente, mon premier mari s’est avéré irresponsable et dépourvu de sens du devoir, et finalement, nous avons divorcé. J’ai alors mené une vie solitaire, pleine de souffrances et sans soutien. Plus tard, j’ai rencontré mon mari actuel, et il a pris soin de moi et m’a chérie. Je n’avais pas à m’inquiéter des affaires du foyer, et il a même payé l’assurance de ma fille, alors j’ai pensé qu’il était responsable et digne de confiance. Comme le dit le dicton, « une maison pleine d’enfants ne vaut pas un compagnon rencontré plus tard dans la vie ». J’étais aussi d’accord avec ce dicton. Bien que j’aie une fille, je ne pourrai peut-être pas compter sur elle à l’avenir, donc je devais encore compter sur mon mari. Je voyais mon mari comme mon soutien pour le reste de ma vie, et comme mon havre de paix, alors pour préserver cette famille, les difficultés ou l’épuisement ne me dérangeaient pas. Je lui obéissais en tout pour qu’il ne me trouve aucun défaut, et tant que nous pouvions passer le reste de notre vie ensemble ainsi, j’étais satisfaite. Même après avoir trouvé Dieu, j’accordais toujours une grande importance au mariage. Quand mon mari n’arrêtait pas de m’empêcher de croire, j’avais peur que notre mariage se brise et de perdre cette famille, alors je lui obéissais toujours. Quand il interdisait aux sœurs de venir chez nous pour les réunions, je craignais qu’une dispute avec lui n’affecte notre relation, alors je lui obéissais et j’arrêtais d’accueillir des gens à la maison pour les réunions. Si une réunion durait trop longtemps, je m’inquiétais de rentrer tard et de retarder la préparation du repas de mon mari, et j’interrompais même le dirigeant avant la fin de son échange, perturbant la réunion. Quand mon devoir entrait en conflit avec l’harmonie familiale, je craignais que mon mari se fâche et que notre relation en soit affectée, alors je choisissais toujours de lui faire plaisir et d’abandonner mon devoir. Pour satisfaire mon mari, j’ai retardé ma poursuite de la vérité et manqué des occasions de la gagner. Je n’ai pas rempli le devoir et la responsabilité d’un être créé. J’ai fait de mon mari mon soutien et je lui obéissais en toutes choses. Je guettais ses expressions à chaque instant dans mon devoir, j’étais contrainte par lui, et je me sentais vraiment réprimée et lésée. Un tel mariage était plein de soucis, pas de bonheur. J’ai continué à chercher : « Comment devrais-je aborder le mariage ? »

Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Dieu a ordonné le mariage pour toi dans le seul but que tu puisses apprendre à remplir tes responsabilités, apprendre à vivre en paix avec une autre personne, à partager ta vie, et à faire l’expérience de ce qu’est la vie partagée avec ton partenaire et de la manière de gérer ensemble tout ce que vous rencontrez, pour rendre ta vie plus riche et plus différente. Cependant, Il ne te vend pas au mariage et, bien sûr, Il ne te vend pas à ton partenaire pour devenir son esclave. Tu n’es pas son esclave, et il n’est pas non plus ton esclavagiste. Vous êtes égaux. Tu n’as que les responsabilités d’une épouse ou d’un époux envers ton partenaire et lorsque tu remplis ces responsabilités, Dieu considère que tu es une épouse ou un époux satisfaisant. Ton partenaire n’a rien que tu n’aies pas et tu n’es pas pire que ton partenaire. […] En termes de relations charnelles, en dehors de tes parents, la personne qui est la plus proche de toi dans ce monde est ton conjoint. Pourtant, parce que tu crois en Dieu, il te traite comme un ennemi, il t’attaque et te persécute. Il s’oppose à ce que tu assistes à des réunions, s’il entend la moindre rumeur, il rentre à la maison pour te réprimander et te maltraiter. Même lorsque tu pries ou que tu lis les paroles de Dieu à la maison, sans que cela n’affecte aucunement sa vie normale, il te réprimande et s’oppose à toi malgré tout, et il va jusqu’à te battre. Dis-Moi, de quel genre de chose s’agit-il ? N’est-il pas un démon ? Est-ce là la personne la plus proche de toi ? Une telle personne mérite-t-elle que tu remplisses une quelconque responsabilité envers elle ? (Non.) Non, elle ne le mérite pas ! Donc, certains de ceux qui sont dans ce genre de mariage obéissent encore au doigt et à l’œil à leur partenaire, ils sont prêts à tout sacrifier, à sacrifier le temps qu’ils devraient passer à accomplir leurs devoirs, l’opportunité d’accomplir leur devoir et même leur opportunité d’atteindre le salut. Ils ne devraient pas faire cela, et la moindre des choses serait qu’ils renoncent à ce genre d’idées. […] Le but de Dieu en ordonnant le mariage est que tu puisses avoir un partenaire pour traverser les hauts et les bas de la vie et toutes les étapes de la vie en compagnie de ton partenaire, afin que tu ne sois pas seul ou isolé à chaque étape de la vie, que tu aies quelqu’un à tes côtés, quelqu’un à qui confier tes pensées les plus intimes, et quelqu’un qui puisse te réconforter et prendre soin de toi. Cependant, Dieu ne Se sert pas du mariage pour t’attacher ou te lier les pieds et les mains, de sorte que tu n’aies aucun droit de choisir ton propre chemin et que tu deviennes esclave du mariage. Dieu a ordonné le mariage pour toi et Il a arrangé un partenaire pour toi ; Il ne t’a pas trouvé un maître et Il ne veut pas que tu sois confiné au sein de ton mariage sans avoir tes propres poursuites, tes propres objectifs de vie, sans avoir la bonne direction pour tes poursuites et sans avoir le droit de chercher le salut. Au contraire, que tu sois marié ou non, le plus important des droits que Dieu t’a accordés est le droit de poursuivre tes propres objectifs de vie, d’établir le bon point de vue sur la vie et de chercher le salut. Personne ne peut te retirer ce droit et personne ne peut interférer avec cela, pas même ton conjoint » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Les paroles de Dieu m’ont profondément émue. Dieu ne veut pas que nous perdions notre dignité ou notre intégrité à cause du mariage, ni que nous abandonnions nos devoirs et nos responsabilités, et perdions notre chance d’être sauvés. Dieu ne veut pas non plus que nous soyons pieds et poings liés par le mariage et que nous devenions volontairement ses esclaves. Je devais me libérer des chaînes du mariage, et cesser d’être contrainte et liée par mon mari, car alors seulement je pourrais vivre avec dignité et intégrité. Je savais clairement que croire en Dieu était le bon chemin dans la vie, et que faire son devoir est la responsabilité et l’obligation d’un être créé, mais je vivais selon des pensées et des points de vue instillées par Satan. Je croyais que « les hommes sont les chefs de famille », et que « le mariage est un havre de paix ». Voyant que mon mari me traitait bien dans la vie de tous les jours, je le considérais comme mon pilier de soutien. Et quand il a tout tenté pour me persécuter et m’entraver dans mes réunions et mes devoirs, pour lui faire plaisir, je suis volontiers devenue son esclave. Je travaillais sans me plaindre pour préparer trois repas par jour, guettant toujours ses expressions, et je lui obéissais en tout. J’ai continué à faire des compromis pour lui, mais il n’a fait qu’en rajouter, m’entravant et me persécutant constamment. Non seulement j’étais contrainte dans les réunions, mais je n’ai pas non plus mené à bien mon devoir d’être créé. Comment pouvais-je vivre avec dignité et intégrité de cette manière ? Dieu ordonne le mariage pour que les gens en éprouvent les joies et les difficultés, pour enrichir leur expérience de la vie, pour apprendre à gérer diverses personnes, événements et choses dans la vie, et pour se soutenir et s’accompagner mutuellement en tant que conjoints dans la vie. Dieu ne m’a pas vendue au mariage. Je ne suis pas l’esclave de mon mari ; nous sommes égaux. Mais pour préserver notre foyer, je lui obéissais en toutes choses, me dérobant à mon devoir, et j’ai failli perdre ma chance d’être sauvée. J’étais si stupide ! En réalité, en tant qu’épouse, j’ai fait toutes les tâches ménagères que je pouvais, et j’avais déjà assumé mes responsabilités d’épouse, mais il me cherchait délibérément des noises et me rendait la vie difficile. De plus, mon mari avait cru en Dieu et lu Ses paroles, et il savait clairement que je croyais au vrai Dieu, mais il a quand même tout fait pour m’empêcher de croire et pour persécuter ma foi. Quand il voyait des frères et sœurs venir chez nous, il les chassait et menaçait même d’appeler la police pour les arrêter. Il a même voulu détruire les livres des paroles de Dieu. Son essence était celle d’un démon qui haïssait Dieu et Lui résistait. Il ne croyait pas en Dieu et suivait un chemin vers la destruction, et il voulait que j’aille en enfer avec lui. J’ai vu qu’il était extrêmement malintentionné et dépourvu d’humanité. Je n’avais pas réussi à discerner son essence, et au lieu de cela, je lui cédais constamment, vivant sans dignité ni intégrité, juste pour préserver notre mariage. C’était vraiment pitoyable ! Si je ne me réveillais pas et ne changeais pas, et que je me dérobais à mon devoir et trahissais Dieu pour mon mariage, alors j’étais indigne d’être appelée un être créé, et à la fin, je serais simplement éliminée et détruite par Dieu. Comprenant cela, j’ai secrètement pris ma décision : « Je ne céderai plus à mon mari. S’il tente à nouveau de m’empêcher de croire, je le quitterai et suivrai mon propre chemin, et je remplirai mon devoir d’être créé. »

En septembre 2023, un soir, après être rentrée de mon devoir, mon mari a dit avec colère : « Il faut qu’on parle. On peut encore continuer ou pas ? » J’ai dit : « Que nous puissions ou non, c’est à toi de décider. » Il s’est soudainement emporté et a grogné méchamment : « Bien ! Crois tout ce que tu veux ! Je vais brûler tous tes livres ! » En disant cela, il a commencé à fouiller dans les boîtes et les tiroirs, et avant que je puisse réagir, il a sorti quelques livres de la parole de Dieu et mon ordinateur. J’ai tendu la main pour reprendre mon ordinateur, mais il s’est retourné et l’a fracassé. La scène ressemblait à une descente de police, exposant pleinement sa nature démoniaque. J’étais terrifiée à l’idée que, dans sa rage, il détruise vraiment les livres des paroles de Dieu, alors j’ai rapidement prié Dieu dans mon cœur. Il n’est pas allé jusqu’à détruire les livres. Au bout d’un moment, il est sorti en trombe, disant qu’il déménagerait et vivrait seul à partir de maintenant. Je me suis agenouillée et j’ai crié à Dieu en prière : « Dieu, je ne m’attendais pas à ce que mon mari soit si malfaisant. J’ai clairement vu son essence démoniaque, et je ne peux plus le tolérer. Notre mariage est terminé. Mais où puis-je aller si je le quitte ? Comment puis-je vivre seule ? Je souffre tellement ; je T’en prie, aide-moi. » Après avoir prié, j’ai pensé aux paroles de Dieu : « Dès lors que tu viens au monde en poussant ton premier cri, tu commences à assumer tes responsabilités. Dans l’intérêt du plan de Dieu et de Son ordination, tu joues ton rôle et tu commences ton voyage dans la vie. Quels que puissent être tes antécédents et quel que puisse être le voyage qui t’attend, dans tous les cas, personne ne peut échapper aux orchestrations et aux arrangements du Ciel, et personne ne peut contrôler son propre destin, car seul Celui qui est souverain sur toutes choses est capable d’une telle œuvre. Depuis le jour où l’homme est venu au monde, au commencement, Dieu a toujours accompli Son œuvre de cette façon, en gérant l’univers et en dirigeant les lois du changement de toutes choses, ainsi que la trajectoire que ces choses suivent. Comme toutes choses, l’homme est nourri, discrètement et inconsciemment, par la douceur, la pluie et la rosée de Dieu. Comme toutes choses, l’homme vit inconsciemment sous l’orchestration de la main de Dieu. Le cœur et l’esprit de l’homme sont à la portée de Dieu, et tout dans sa vie est contemplé par les yeux de Dieu. Peu importe que tu croies ou non à tout cela, toutes les choses, qu’elles soient vivantes ou mortes, pivoteront, changeront, se renouvelleront et disparaîtront conformément aux pensées de Dieu. Voilà comment Dieu exerce Sa souveraineté sur toutes choses » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu est la source de la vie de l’homme). Les paroles de Dieu m’ont fait soudainement prendre conscience que Dieu est le Créateur et le Souverain de toutes choses. Dieu règne sur tout et contrôle tout, et Dieu nous a donné la vie. Il dirige nos vies quotidiennes, veillant sur nous jour et nuit, personne ne peut vivre sans Sa provision de vie, et Lui seul est le soutien de l’homme. Mon mari n’est qu’un être créé insignifiant, et tout ce qui le concerne est entre les mains de Dieu. Il ne peut même pas contrôler son propre destin, encore moins le mien, alors comment pourrais-je compter sur lui ? Tout comme lorsque je me suis effondrée de maladie auparavant, il était impuissant, et tout ce qu’il pouvait faire, c’était de rester à côté et de s’inquiéter. Plus tard, quand j’ai repris un peu conscience, j’ai prié Dieu et je suis progressivement revenue à moi. J’ai aussi pensé à mes voisins, qui étaient mariés depuis vingt ans et s’entendaient bien. Mais quand la femme est tombée malade et a été paralysée, le mari s’est occupé d’elle pendant quelques jours, puis l’a simplement quittée. Et puis il y avait ma nièce : Quand elle s’est mariée, son mari et elle étaient pratiquement inséparables, mais de manière inattendue, après qu’ils ont lancé une entreprise et que leur vie s’est améliorée, son mari a eu une liaison et est devenu une personne complètement différente, et quand ils ont divorcé, il s’est même battu avec elle pour les biens et la maison. À partir de ces faits, j’ai réalisé qu’on ne peut pas compter sur les gens. Pourtant, je voulais encore continuer à compter sur mon mari. J’avais été si stupide, aveugle et pathétique ! Dieu est mon Seigneur, Il est mon soutien, et quant à la quantité de souffrances et de bénédictions dont une personne fait l’expérience dans sa vie, Dieu a déjà tout prédestiné. Après avoir quitté mon mari, mon avenir ne serait-il pas aussi sous les orchestrations de Dieu ? Je devais simplement me soumettre et tout confier à Dieu. En pensant à cela, mon cœur n’était plus aussi douloureux, et j’ai gagné un peu de foi. Bientôt, j’ai trouvé une maison convenable, et finalement, je me suis libérée des contraintes et des liens de mon mari et j’ai vécu une vie libre, seule.

Plus tard, mon cœur ne pouvait toujours pas lâcher prise sur certaines choses. J’étais réticente à accepter que mon mariage, durement gagné, se soit effondré ainsi, et que je devrais vivre une vie solitaire sans soutien quand je serais vieille. La nuit, ces pensées emplissaient mon esprit, et en y pensant, des larmes de chagrin commençaient à couler sur mon visage. Dans ma douleur et mon impuissance, je suis venue prier devant Dieu, demandant à Dieu de m’aider à me débarrasser de cet état. J’ai lu les paroles de Dieu : « Tu peux vivre ce genre d’expérience dans tous les types de mariage, et tu peux choisir de suivre le bon chemin selon la direction de Dieu, d’accomplir la mission que Dieu t’a donnée, de quitter ton conjoint en partant de ce genre de postulat et avec ce genre de motivation, et de mettre fin à ton mariage, et c’est un choix pour lequel tu pourras être félicité. Il y a au moins une chose qui vaut la peine qu’on s’en réjouisse, et c’est le fait que tu n’es plus l’esclave de ton mariage. Tu as échappé à l’esclavage de ton mariage et tu n’as plus besoin de t’inquiéter, de te sentir peiné et de te débattre parce que tu es l’esclave de ton mariage et que tu veux te libérer sans y parvenir. À partir de ce moment, tu t’es échappé, tu es libre, et cela est une bonne chose. Cela étant dit, J’espère que ceux dont le mariage s’est terminé dans la douleur et qui sont encore entourés par les ombres de ce problème arriveront à réellement abandonner leur mariage, sortir des ombres qu’il t’a laissées, abandonner la haine, la colère, et même l’angoisse que cela a générées en eux, et ne plus ressentir la douleur et la colère parce qu’en échange de tous les sacrifices et les efforts que tu as faits pour ton partenaire, tu n’as reçu que son infidélité, sa trahison et ses moqueries. Je souhaite que tu laisses tout cela derrière toi, que tu te réjouisses de ne plus être esclave de ton mariage, que tu te réjouisses de ne plus avoir à faire quoi que ce soit ni de sacrifices inutiles pour le maître dans ton mariage. Je souhaite qu’au lieu de cela, sous la direction et la souveraineté de Dieu, tu suives le bon chemin dans la vie, que tu accomplisses ton devoir en tant qu’être créé, que tu ne sois plus contrarié et que tu ne t’inquiètes plus de rien d’autre. Bien sûr, tu n’as plus aucune raison de te préoccuper, de t’inquiéter où de te sentir anxieux au sujet de ton conjoint, aucune raison que ton esprit soit occupé par des pensées le concernant, tout va bien se passer à partir de maintenant, tu n’as plus à discuter de tes préoccupations personnelles avec ton conjoint, tu n’as plus à être restreint par lui. Tu as juste à chercher la vérité, à chercher les principes et les bases dans les paroles de Dieu. Tu es déjà libre et tu n’es plus l’esclave de ton mariage. C’est une chance que tu aies laissé ce mariage cauchemardesque derrière toi, que tu sois véritablement venu devant Dieu, que tu ne sois plus restreint par ton mariage et que tu aies plus de temps pour lire les paroles de Dieu, assister aux réunions et accomplir tes dévotions spirituelles. Tu es entièrement libre, tu n’as pas à agir d’une certaine façon en fonction de l’humeur de quelqu’un, tu n’as pas à écouter les railleries incessantes de quelqu’un, tu n’as plus à prendre en compte les humeurs ou les sentiments de quelqu’un d’autre – tu mènes une vie de célibataire, c’est formidable ! Tu n’es plus un esclave, tu peux sortir de cet environnement où tu avais différentes responsabilités à remplir envers les gens, tu peux être un véritable être créé, un être créé sous le règne du Créateur, et tu peux accomplir le devoir d’un être créé. C’est absolument formidable de pouvoir faire cela de manière pure ! Tu n’as désormais plus besoin de te quereller, de te faire du souci, de t’inquiéter, de tolérer, de supporter, de souffrir ou d’être en colère au sujet de ton mariage, tu n’as désormais plus à vivre dans cet odieux environnement et dans cette situation compliquée. Cela est merveilleux, ce ne sont que des bonnes choses et tout va bien » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Chaque phrase des paroles de Dieu réchauffait et réconfortait mon cœur. J’ai lu ce passage des paroles de Dieu à travers mes larmes et je me suis sentie fortifiée dans mon cœur. J’étais reconnaissante que, sous la direction de Dieu, je me sois libérée des liens du mariage et que j’aie échappé aux contraintes de mon mari. J’étais reconnaissante que, sous la direction de Dieu, je me sois engagée sur le bon chemin dans la vie, et qu’à partir de ce moment-là, je pourrais faire avec diligence le devoir d’un être créé, et poursuivre la vérité pour atteindre le salut. C’était une bonne chose. Je ne devrais plus pleurer ni me sentir affligée d’avoir perdu mon mariage.

Maintenant, je suis libre et je ne suis plus esclave du mariage, et je ne suis plus contrôlée ni contrainte par mon mari. En assistant aux réunions, je n’ai plus à me presser de rentrer pour cuisiner ; je peux me réunir aussi longtemps que je le veux, et je peux sortir faire mon devoir quand bon me semble. Comme c’est merveilleux d’être libre ! Je n’ai plus à être préoccupée, inquiète ou accablée par les besoins quotidiens de mon mari, et j’ai maintenant plus de temps pour poursuivre la vérité, manger et boire les paroles de Dieu, et faire le devoir d’un être créé. Quand des problèmes surviennent dans mes devoirs, je peux apaiser mon cœur, réfléchir et chercher la vérité pour les résoudre, ce qui conduit à certains résultats dans l’exécution de mes devoirs. J’ai plus de temps pour mes dévotions chaque jour, pour réfléchir à mes états incorrects et chercher rapidement les paroles de Dieu pour les résoudre, et j’ai aussi le temps d’écrire des notes de dévotion. En même temps, en méditant les paroles de Dieu, j’ai appris à discerner différentes sortes de personnes : ceux qui sont de vrais croyants et ceux qui sont des incrédules. Ce sont des choses que je n’aurais pas pu gagner auparavant. Par le passé, je vivais selon les pensées et les points de vue de Satan, accordant trop d’importance au mariage. Je voyais mon mari comme mon soutien, et je n’ai cessé de préserver mon mariage. J’ai toujours fait des compromis, et je vivais dans une grande douleur et une grande répression. C’est Dieu qui m’a fait sortir des liens du mariage, et c’est Dieu qui m’a permis de gagner un certain discernement sur l’essence de mon mari. Dieu soit loué !

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